TQ7 Aide aux révisions

– Citoyens, experts, associations, ONG et entreprises contribuent avec les pouvoirs publics à la mise à l’agenda politique des problèmes environnementaux.

– Le répertoire d’action des acteurs se diversifie.

– Certains acteurs (ONG, experts, politiques) coopèrent autour des questions environnementales qui peuvent modifier les politiques publiques.

– Elle consiste à interdire certains comportements polluants, sous peine d’une sanction.

– Elle est simple à mettre en œuvre et efficace si les contrôles et les sanctions le sont aussi.

La taxation

– Elles s’organisent selon le principe du pollueur-payeur : pour que l’agent économique tienne compte de son externalité, il paie une taxe s’il pollue ou bénéficie d’une subvention s’il a un comportement non polluant.

Le marché des quotas

– Il repose sur l’existence de droits à polluer que les acteurs du marché peuvent acheter ou vendre.

– Il incite à adopter un comportement non polluant en faisant gagner plus à ceux qui vendent leurs droits.

– la construction de l’action en faveur de l’environnement est soumise à l’influence des lobbys.

– La multiplicité des intérêts conduit à une multiplicité de politiques, qui peuvent être contradictoires avec un objectif environnemental.

– L’action pour l’environnement va de plus local à l’international en passant par le régional, le national et l’européen.

–  Les différentes échelles d’action sont souvent articulées entre elles.

– Le problème du climat est celui d’être un bien non exclusif qui conduit à la « tragédie des biens communs » : les pays sont tentés de se comporter en passagers clandestins et d’attendre des autres les efforts en matière de politique climatique.