Les classes de 5A et B conduisent un projet sur toute l’année sur les droits des femmes dans le monde avec Marie Mazas, autrice. Nous avons profité de cette occasion pour lui poser quelques questions sur son métier.
Merci à Mme Mazas d’avoir bien voulu répondre à nos questions.
Morgane Rivoal est une fille âgé de 13 ans disparue depuis le 25 novembre, l’adolescente a quitté son domicile de Pabu en Bretagne pour se rendre au collège. Mais elle n’est jamais arrivée jusqu’à son établissement…
Une enquête a été ouverte pour retrouver la jeune fille disparue alors qu’elle devait monter dans son bus pour ensuite se rendre au collège, mais ne l’aurait pas pris.
Image d’illustration. Source : Wikimedia commons
Ce mardi 10 décembre 2024, Morgane, qui avait disparu depuis deux semaines, a été retrouvée saine et sauve. Des moyens importants avaient été engagés par la gendarmerie afin de la localiser. Pendant deux semaines, 70 gendarmes ont été employés quotidiennement à la recherche de l’adolescente.
Elle a été retrouvée dans un foyer de jeunes travailleurs situé à Coutances dans la Manche. Après avoir été examinée par un médecin, elle sera entendue par les enquêteurs. Le jeune homme de 21 ans qui l’a hébergée risque des poursuites judiciaires.
L’association Dons solidaires dévoile les résultats de son sondage annuel concernant les fêtes de Noël, celui-ci révèle que près d’un tiers des français craint de ne pas pouvoir offrir de cadeaux pour Noël.
Un budget en baisse
La moitié des Français interrogés estime que le budget consacré aux cadeaux de Noël cette année sera revu à la baisse, en raison de l’inflation. L’inflation selon l’Insee est « la perte du pouvoir d’achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix.«
Chaque dépense est désormais comptée et réfléchie avant d’acheter les cadeaux de noël. Pour ne pas se ruiner, des familles songent à offrir peu de cadeaux par personne. Selon une étude récente, les Français on prévu de dépenser 497 euros pour leur achats de Noël, soit 10% de moins que l’an dernier. Certains privilégient les petits cadeaux ou même les moyens mais ça dépend de leur budget pour les fêtes ou même les anniversaires. « Pas plus de 20 euros par cadeau et si je peux faire moins, c’est mieux « , déclare une étudiante interrogée par France info dans un centre commercial.
Une alternative économique et écologique
Une autre solution qui apparait pour réduire les dépenses liées aux fêtes de fin d’année est de privilégier des jouets recyclés, qui sont remis en état et vendus 40% moins cher que le neuf. Cette alternative permet également d’éviter la surconsommation et réduit l’impact environnemental.
Mais pour noël, on peut aussi offrir des vêtements ou des chaussures de marque qui coûtent cher alors que les affaires de seconde main sont moins chères et de bonne qualité. Cette année 8 français sur 10 ont acheté au moins un jouet de seconde main et cette tendance devrait se poursuivre et augmenter.
Si vous voulez aider les personnes dans le besoin, vous pouvez agir vous aussi en vous rendant par exemple sur le site https://www.donsolidaires.fr/
Depuis plusieurs semaines, les agriculteurs français manifestent leur colère car ils travaillent énormément et leur rémunération n’est pas à la hauteur du travail fourni. Environ un tiers des agriculteurs touchent moins de 400€ par mois.
Un autre point cristallise également le mécontentement des agriculteurs, il s’agit du traité de libre-échange avec le Mercosur qui regroupe les pays d’Amérique latine.
Cette colère se traduit par des manifestations dans toute la France. Les agriculteurs vident par exemple des camions étrangers pour protester contre une concurrence qu’ils jugent déloyale car les autres pays n’ont pas les mêmes restrictions pour cultiver que les agriculteurs français (engrais, fertilisants, etc…)
Dans les dernières semaines, les agriculteurs ont manifesté dans la capitale : le « blocus de Paris » ou le « siège » de la capitale attire plus l’attention. D’autre part, de nombreuses actions ont aussi eu lieu dans plusieurs régions du pays, par exemple en Isère, en Savoie, dans le Vaucluse, dans la Drôme ou encore dans les Alpes du Sud. Certains produits commencent déjà à manquer du fait de ces blocus.
Source image Wikimedia commons
Sources : L’écho, La voix du nord, Ici (par France bleu), La Charente libre, France info
Une enquête réalisée auprès des élèves du collège Bernadette Chirac démontre que plus des deux tiers des élèves accèdent au quotidien aux réseaux sociaux.
70% des élèves interrogés ayant entre 10 et 15 ans possèdent un réseau social. La plupart des élèves ayant répondu ont 12 ans.
47.5 % des élèves ayant répondu passent 2 heures ou plus par jour sur les écrans, ce qui est beaucoup pour un adolescent.
Au collège, les réseaux sociaux deviennent un problème. La plupart des élèves qui sont harcelés au collège continuent à se faire harceler sur les réseaux sociaux. Cela devient du cyberharcèlement.
Ce cyberharcèlement peut avoir des conséquences graves comme des dépressions, des décrochages scolaires, des troubles psychologiques ou émotionnels, de la violence, un risque accru de suicide, perte de la faim.
25% des élèves interrogés accèdent à des réseaux sociaux en dessous de l’âge autorisé. Rappelons que les réseaux sociaux étaient jusqu’à présent autorisés à partir de 13 ans, mais la loi du 7 juillet 2023 visant à instaurer une majorité numérique et à lutter contre la haine en ligne repousse à 15 ans l’âge pour pouvoir s’inscrire seul sur un réseau social.
Cette enquête a été envoyée aux élèves le 7 novembre dernier et seulement 40 élèves ont répondu ce qui ne nous permet pas d’avoir un résultat très précis.
Merci à tous ceux qui ont répondu au questionnaire sans qui nous n’aurions pas pu écrire cet article.
Statistiques réalisées à partir des résultats de l’enquête