Attentat Nouvelle Zélande

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Le 15 mars 2019 à Christchurch en Nouvelle Zélande, un suprémaciste* blanc du nom de Brenton Harisson Tarrant de nationalité australienne âgé de 28 ans, inspiré du terroriste norvégien Anders Breivik, a fait une tuerie dans deux mosquées différentes de la plus grande ville de l’île du sud et a abattu cinquante fidèles musulmans et a fait des dizaines de victimes. Pendant cette fusillade, le terroriste retransmettait en direct sur le réseau social Facebook son acte de barbarie. L’homme était armé de deux fusils d’assaut, l’un automatique l’autre semi-automatique. C’est pourquoi le gouvernement néo-zélandais voudrait aujourd’hui interdire les armes de ce type. « C’est une bonne chose, pourquoi aurions nous besoin de telles armes dans nos maisons ? » a déclaré Kawthar Abulaban qui a survécu à la première attaque.

Sur les réseaux sociaux et dans des lieux publics, de nombreux hommages ont été rendus aux victimes de ces attaques, parmi les personnes rassemblées il y avait des musulmans mais aussi des personnes de plusieurs autre religions.

Cet attentat et sa retransmission en direct nous interrogent sur l’utilisation des réseaux sociaux et sur le fait de diffuser de telles images sur internet et notamment sur Facebook.

*Suprémaciste : Relatif au suprémacisme, soit l’idéologie raciste qui affirme qu’il existe une hiérarchie entre les êtres, que certaines races et civilisation sont supérieures à d’autres et doivent les dominer.

Source : Agence France Presse FR www.afp.com

Noah et Enzo