Category Archives: société

Les conséquences de la consommation/vente de la drogue

La drogue est un composant toxique parfois utilisé en médecine. En générale, elles ont pour effet de désorienter les consommateurs. Substances psychoactives, elles modifient la perception de la réalité, exacerbent les sensations et influent sur le comportement de ceux qui en consomment. La consommation de drogue est illégale, elle est donc vendue cher à cause de cela, les dealers peuvent écoper d’une peine d’emprisonnement inférieur à 10 ans et/ou d’une amende. Il y a différentes sortes de drogue, ex : cocaïne, cannabis, ecstasy… Il y a 3 grandes catégories de drogues : les perturbateurs/hallucinogènes ; les dépresseurs ; les stimulants.

Où est né le trafic de drogue ?

Le trafic de drogue a été inventé par un État : le Royaume-Uni. Au XIXe siècle, la Couronne britannique inonde la Chine d’opium pour renflouer ses caisses. Dès l’origine, l’opium, l’héroïne et la cocaïne deviennent des instruments politiques entre les mains des États.

Quelles sont les causes de la consommation de drogue ?
L’anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l’origine de ces usages. Ces consommations sont propices à ce qu’une dépendance s’installe et que la situation de l’usager se dégrade. La drogue est utilisée comme un anesthésiant des pensées, des sentiments, des émotions, de la souffrance. Les usagers disent souvent qu’ils utilisent la drogue pour « oublier » ou pour « décompresser ».

Les risques pour la santé dépendent du type de drogue et de la quantité consommés. Dans les cas les moins graves, le consommateur peut ressentir des nausées, des maux de tête, des vertiges, des pertes de mémoires et des modifications du comportement. Mais les troubles peuvent être plus graves, des risques cardiaques existent. La consommation de drogue accentue le risque d’infarctus. Elle peut provoquer aussi des crises de tétanie, des infections virales, des troubles rénaux. Dans le cas d’une surconsommation, cela peut conduire à l’overdose et à la mort.
Des troubles psychiques peuvent aussi apparaître : de fortes angoisses, de la nervosité, des hallucinations, bouffées délirantes. A long terme, cela peut provoquer des dépressions persistantes et des idées suicidaires.
 
No drugs PNG
Source image : pngimg.com

 

Sources :

https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/alcool-drogues-jeu/problemes-lies-a-la-consommation

https://yami2.com › catalogue › histoire-du-trafic-de-drog…

https://www.sante.fr› pourquoi-se-drogue-t

https://www.drogues-info-service.fr
https://www.drogues-dependance.fr

Noélie Salagnac

Luna Leymarie

Réforme des retraites : Tous dans la rue !

Depuis plusieurs semaines, la France se révolte contre la réforme des retraites. Il y a eu pour l’instant cinq journées de mobilisation avec des grèves et des manifestations dans toute la France.  Le gouvernement présente à l’assemblée un projet de réforme fixant l’âge légal de la retraite à 64 ans à partir de 2030, contre 62 ans aujourd’hui. Les citoyens sont sortis de chez eux pour manifester leur mécontentement dans les rues. La plupart des établissements scolaires ont été impactés par ces grèves, certains lycéens ce sont également révoltés contre cette réforme.

Toutes les villes de France étaient dans les rues pour manifester contre la réforme des  retraites notamment le 19 et le 26 janvier.

Le 7 mars une nouvelle journée de mobilisation générale est annoncée.

Cheminots en grève.Manifestation contre le projet de réfor… | Flickr
 source image : flickr

Les transports en commun ont été fortement perturbés pendant les grèves. Certains chauffeurs se demandent s’ils pourront continuer leur travail, comme certains autres métiers. La majorité des français rejette cette réforme et refuse le décalage de l’âge de départ à la retraite En effet, à compter du 1er septembre 2023, l’âge légal de départ à la retraite reculera de 3 mois par an.

 

Louise Datin et Sandy Jones 5eme A

Les audacieuses : le cinéma contre les stéréotypes !

Marie Courault lors de l’atelier (extrait du film Burn out) © Collège Corrèze

Hier , mercredi 11 Janvier, nous, les élèves de la classe de 5ème A du collège Bernadette Chirac, sommes allés au cinéma VEO de Tulle pour participer à un atelier et voir un programme de courts métrages accompagné de certains membres du Centre Alice Guy

Dans un premier temps, nous avons participé à un atelier animé par Marie Courault, artiste membre des Grands espaces. Cet atelier, intitulé Le champ des femmes  nous a permis de comprendre la place des femmes dans le cinéma. Il y a plus d’hommes que de femmes qui apparaissent à l’écran ainsi que derrière la caméra : il y a 60% d’acteurs pour 40% d’actrices en moyenne dans les films qui sortent chaque année, concernant la réalisation de films, sept personnes  sur dix sont des hommes.

Mme Courault  nous a tout d’abord diffusé des extraits de films pour nous faire comprendre la notion de point de vue. Elle a ensuite tourné un petit film avec nous dans la salle de cinéma pour que l’on perçoive la différence des points de vue au cinéma, nous avons tourné une même scène du point de vue d’une spectatrice puis du point de vue de Mme Courault. Nous avons pu ainsi comprendre en quoi il est important que le point de vue féminin apparaisse à l’écran.

©Collège Corrèze
Le tournage du mini film au cinéma

Puis nous avons assisté à la diffusion de quatre courts-métrages qui font partie du programme Les audacieuses, quatre films consacrés à la vie des filles d’aujourd’hui parfois confrontés au sexisme et à l’incompréhension.

Burn out, de Yann gozlan. C’est un film d’animation qui raconte l’histoire d’une astronaute, seule sur une planète inconnue et dont le vaisseau ne peut plus décoller. Mais elle se souvient qu’enfant elle ne voulait pas lâcher ses rêves alors elle arrive à repartir.

Fuck les gars, de Anthony Coveney, un film québéquois dont l’action se déroule dans un collège. Anaïs, la jeune héroïne est d’abord quitté par son copain, se bat ensuite avec un garçon, fait une bataille de nourriture à la cantine, se rebelle contre son prof de sport qui veut qu’elle s’habille différemment pour ne pas perturber les garçons.

Pile poil, de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller, l’histoire d’Elodie qui doit passer son CAP esthéticienne tout en travaillant dans la boucherie de son père qui parfois ne comprend pas bien la vie de sa fille. L’examen approche mais Elodie ne trouve pas de modèle pour l’épreuve pratique de manucure, soin du corps et épilation. Son père va lui servir de modèle et il va finalement mieux comprendre sa fille.

Romance, abscisse et ordonnée, de Louise Condemi. Romane une jeune lycéenne, tombe amoureuse de Diego. Lors d’une soirée, Romane vit sa première fois avec Diego mais les jours qui suivent Diego ne la calcule pas. Elle finit par lui faire avouer qu’il ne voulait rien de plus avec elle.

Ces films sont une bonne base de réflexion pour nous car nous allons également tourner nos propres courts-métrages dans le cadre d’un projet mené en partenariat avec le Centre Alice Guy.

 

 

Luna Leymarie, Capucine

Nouvelle vague, nouveau confinement…

Source image Anygator.com

Le président Emmanuel Macron  a annoncé mercredi 28 octobre à 20h00 dans une allocution officielle retransmise depuis l’Elysée qu’il allait y avoir un reconfinement dès le lendemain à minuit pour faire face à la deuxième vague de Covid 19 qui sévit en France. Ce deuxième confinement durera au minimum du 30 octobre jusqu’au 1er décembre dans un premier temps en attendant de constater les effets de ces mesures.

Les cas de personnes contaminées ont été multipliés en seulement quelques semaines. En effet, Emmanuel Macron a annoncé lors de son intervention 36 437 cas en 24h et 35 785 décès depuis le début de l’ épidémie.

La deuxième vague de Coronavirus frappe l’Europe et la France de plein fouet. Dès les premiers jours de novembre, plusieurs laboratoires ont annoncé avoir mis au point un vaccin contre la Covid 19 pourrait commencer à être administré à partir de mars 2020.

Les marchés et les magasins vendant des « produits de première nécessité » restent ouverts. Dans ces hypermarchés, tous les produits dits non essentiels (livres, jouets, vêtements…) ne sont pas autorisés à la vente pour éviter d’exercer une concurrence déloyale par rapport aux petits commerces qui eux restent fermés. Néanmoins, ils protestent contre les plateformes en ligne qui tirent profit de la fermeture des commerces de proximité.

Les français sont autorisés à sortir de chez eux pour aller travailler, pour faire les courses de première nécessité, pour se promener ou faire du sport dans la limite d’une heure par jour et dans un rayon d’un kilomètre autour de leur domicile. Les personnes qui seront contrôlées sans leur attestation de sortie ou leur masque recevront une amende de 135€.

Durant le premier confinement, on a pu observer des effets positifs sur la pollution. Or, cette fois-ci, la pollution a baissé seulement de 20% après une semaine de confinement alors qu’au mois de mars elle avait chuté de 70% en seulement une semaine.

Emmanuel Macron doit s’adresser aux français demain mardi 24 novembre pour annoncer un allégement des règles sanitaires, il devrait annoncer la reprise des activités sportives pour les clubs et la réouverture des petits commerces. Pour tout savoir des nouvelles règles qui vont entrer en vigueur, soyez au rendez-vous devant votre télé à 20h !

Sources : France info

Source image media-presse.info

                                                                                                                      Charlie et Thomas    

Le Harcèlement sur les réseaux sociaux

Le harcèlement en ligne appelé Cyber harcèlement est de plus en plus répandu. Il existe depuis l’apparition d’internet mais s’est nettement aggravé avec les réseaux sociaux. Selon l’institut Statista, en 2019 plus de 40 % des moins de 50 ans ont déjà subi des attaques répétées sur les plateformes sociales en ligne, dont 22 % des jeunes âgés de 18 à 24 ans.

Ce harcèlement est puni par la loi française, dans l’article 222 du code pénal  : « Le fait de harceler autrui par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende. »

Les termes « harcèlement sur les réseaux » ou « harcèlement à l’école » ne sont pas utilisés avant l’année 2011. Auparavant, soit on ne parlait pas de ce sujet sensible, soit on utilisait d’autres mots pour en parler.

La loi est claire, la victime a le droit de porter plainte et le harcèlement doit être puni. Il y a  plusieurs formes de harcèlement sur internet :

  • les intimidations, insultes, moqueries ou menaces en ligne
  • la propagation de rumeurs
  • le piratage de comptes et l’usurpation d’identité numérique
  • la création d’un sujet de discussion, d’un groupe ou d’une page sur un réseau social à l’encontre d’un camarade de classe
  • la publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en mauvaise posture

Si vous êtes victime de harcèlement, n’hésitez pas a en parler, à vos parents/profs/ami(es), Pour que ceci s’arrête. Vous n’êtes pas seul(e) !

Un numéro gratuit est disponible au 30 20 et n’hésitez pas à consulter le site Non au harcèlement

Sources : Education.gouv.fr, Statistita.com

Crime Images - Téléchargez des images gratuites - Pixabay
Source image Pixabay

Annaëlle et Elliot B.

Cessez les violences conjugales !

La violence conjugale est la violence exercée par un des membres du couple sur l’autre lorsqu’il essaye de dominer, d’humilier ou maltraiter son conjoint.

Quelle sont les types de violence conjugale ?

Il a plusieurs types de violences conjugales :

  • psychologiques (harcèlement moral, insultes, menaces)
  • physiques (coups et blessures)
  • sexuelles (viol, attouchements, il peut y avoir viol même en cas de mariage ou de Pacs)
  • économiques (privation de ressources financières et maintien dans la dépendance). 

Comment pouvons nous reconnaître une femme victime de violence conjugale ?

Pendant le confinement du mois de mars, les femmes victimes de maltraitance étaient encore plus la proie de leurs conjoints car enfermées avec eux donc pour faire face à toutes ces agressions,  le code “ Masque 19” a été mis en place. Il permet aux victimes de signaler dans les pharmacies les plus proches de chez elles, les violences dont elles sont victimes. En entendant ces quelques mots, le pharmacien ou la pharmacienne doit comprendre que la personne en face de lui est victime de violence conjugale et doit directement prendre l’adresse de la victime puis appeler les forces de l’ordre.

Un autre moyen a été créé en 2015 par une femme en Angleterre. Il s’agit de se faire un point noir dans le creux de la main quand nous sommes victimes de violence conjugale afin de les dénoncer de manière discrète lorsqu’on ne parvient pas à échapper à la surveillance de son agresseur.

Quelle sont les numéros à appeler si nous somme victimes de violence conjugale ?

Deux numéros d’urgence ont été mis en place, le 3919 ou le 114 qui sont totalement gratuits.

Quelle sont les peines pour les auteurs de violence conjugale ?

  • Pour la violence psychologique, l’auteur encourt jusqu’à 3ans prison et 45 000 euros d’amende.
  • Pour la violence sexuelle, l’auteur encourt jusqu’à 20 ans de prison en cas de viol, 7ans de prison pour agression sexuelle et 100 000 euros d’amende.

Sources : service-public.fr, apers13.com, francebleu.fr, ecoute violences conjugales, sosfemmes.com, jurifiable.com

 

Alicia & Camille

Un carnage dans nos champs !

Depuis le mois de février 2020, les cas de mutilation de chevaux se multiplient. Des enquêtes de police ont été ouvertes dans plus de la moitié des départements de la France comme le Lot, la Loire et le Jura.

La mutilation de bétail est un phénomène où des animaux (généralement des vaches, des moutons ou des chevaux) sont retrouvés morts et mutilés dans des circonstances anormales.

Un homme de 50 ans, interpellé lundi matin dans le Haut-Rhin, dans l’affaire des nombreux chevaux mutilés et tués en France ces dernières semaines, a été libéré et mis hors de cause. Il était soupçonné d’avoir participé à la mutilation de deux poneys dans un centre équestre de l’Yonne. Si son dossier comportait des antécédents judiciaires en Allemagne, en lien avec des sévices sur animaux, les perquisitions effectuées et les saisies de son matériel informatique n’avaient rien donné de concret, d’après les informations recueillies par France Inter.

Suite à la stagnation de l’enquête les éleveurs sécurisent leurs installations.

Les mutilations d’équidés sont devenues l’une des priorités des gendarmes depuis la rentrée. Les patrouilles se multiplient partout en France. Un numéro vert, le 0 800 738 908, a été ouvert au début du mois pour les propriétaires de chevaux avec déjà près d’un millier d’appels. Il est géré par l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE). Des éleveurs qui ont pour consigne de sécuriser leurs installations. 

Témoignage d’un éleveur :

Sébastien gère une pension de 13 chevaux dans le Doubs, près de Besançon. Il vient d’acheter plusieurs petites caméras de chasse pour surveiller ses 15 hectares de terrain.

« J’en ai mis plusieurs et ça me permet de couvrir une grande partie du pré. C’est assez efficace, même de nuit, ça fait de belles photos. Ça m’envoie une alerte sur mon téléphone en cas d’intrusion. »

 

source d’image: Libération.fr

 

 

Tout le monde espère qu’il n’y aura plus de mutilation d’animaux et que les éleveurs pourront retrouver leur sérénité

 

Sources : Le Choix franceinter, wikipedia, science et avenir, libération  Le temps, France Inter 

Célia et Paul M.

COVID-19 : enquête au collège !

© Collège Corrèze

L’Épidémie de Covid 19 a bouleversé le quotidien de millions de personnes dans le monde mais également au sein de notre collège. Nous avons donc décidé de poser des questions aux élèves, aux professeurs, à une surveillante et une cantinière pour connaitre leur avis sur les transformations du quotidien induites par le virus.

 Juliette, surveillante au collège, dit avoir bien vécu le confinement du mois de mars car sa famille était restée proche d’elle. Selon elle la situation actuelle est encore anxiogène. Elle trouve que les gestes barrières sont suffisamment respectés au sein du collège même si certains élèves ne les respectent pas beaucoup. Elle pense également que les gestes barrières sont mal respectés à l’extérieur notamment  dans les magasins.

M. Nouaille, enseignant au collège, lui, dit n’avoir pas trop souffert du confinement car il à la chance d’habiter à la campagne. Il pense que la situation actuelle est un cycle (bon, pas bon,bon…) Il espère qu’il y aura un remède bientôt. Il pense qu’il y a assez de règles au collège afin de protéger les élèves et le personnel mais il faut que chacun les respecte.

Arthur élève en classe de 5eme dit avoir facilement supporté le confinement car il avait beaucoup de place pour faire des activités. Il trouve que la situation actuelle est encore difficile car le Covid progresse de plus en plus vite.  Pour lui, on gère bien  le Covid au collège car tout le monde porte des masques et respecte les gestes barrière.

D’après les trois personnes interrogées, on peut en déduire que la situation actuelle semble toujours anxiogène. Néanmoins, chacun a l’impression que la gestion de l’épidémie au collège est bien prise en main. Il faut donc que tous restent vigilants et respectueux des gestes barrières.

Paul C.

Cette semaine c’est aussi la semaine de la presse à l’école !

Du 23 au 27 mars c’est la semaine de la presse et des médias à l’école qui  a pour objectif d’aider les élèves à comprendre le système des médias, former leur jugement critique, développer leur goût pour l’actualité et se forger leur identité de citoyen.

A cette occasion, découvrez la production d’un journal télévisé : dans les coulisses du journal de 13h de France Télévision

 

Et aussi, petit rappel des fondamentaux : La vérification de l’info à l’ère du numérique !

Coronavirus : Attention au fake-news !

De fausses informations circulent sur le  Coronavirus et il est plus que jamais important de bien vérifier les sources des informations que l’on consulte. Voici plusieurs outils qui permettent de débusquer les fake news sur ce sujet.

Les décodeurs du journal Le Monde ont préparé un guide pour distinguer les fausses rumeurs des vrais conseils.

Cliquer sur l’image pour accéder au guide :

source : lemonde.fr

A noter aussi l’Oeil du 20heures de France2 du mercredi 18/03/2020.

Source : Francetvinfo

Ainsi que Factuel proposé par l’AFP (Agence France Presse).

Source : AFP

La vérification des faits fait partie intégrante de l’AFP depuis sa création.

Le blog dédié au fact-checking est une réponse à la multiplication des fausses informations et de la désinformation en ligne.

*****

Infos complémentaires sur le site du Ministère de la Santé

Et pour lutter contre la propagation de rumeurs, la première règle c’est de ne rien partager qui n’ai pas été vérifié.

Portez-vous bien !