Le Haut-Savoyard Kilian Bron a remporté en 2018 l’édition de la «Mountain of hell » dont le départ était donné sur le glacier des deux Alpes.
La Mountain of Hell est une des étapes reines d’enduro de VTT. Elle rassemble de nombreux vététistes amateurs et professionnels. En 2018, ils étaient 764 hommes et 19 femmes inscrits, pour 17 nations représentées.
C’est donc le Haut-Savoyard, Kilian Bron (3ème en 2017) qui s’est imposé en 29 minutes et 34 secondes, suivi de (très) près par Jérôme Clementz et Nicolas Quéré. La vitesse maximale atteinte lors de cette édition a été l’oeuvre de Tim Bratschi, mesurée à 127 km/h.
Chez les femmes, Emilie Serre, est parvenue à s’imposer, elle qui avait pris la deuxième place de l’épreuve en 2016 et 2017. Une victoire obtenue devant la Canadienne Christina Chiappetta et Hessens Liesbeth.
Les deux classes de 5e et une élève de 3e ont participé cette année au concours de contes organisé par la médiathèque de Corrèze. Il s’agissait pour les élèves de rédiger un conte commençant par « Il était une fois un drôle de voyage… », toute une aventure pour nos élèves qui se sont tous vus récompenser d’un bon achat à la librairie Chantepages de Tulle.
Deux contes ont été primés par le jury. Les voici en exclusivité !
Dans le cadre d’une séquence consacrée à la guerre civile espagnole, les élèves de 3e se sont rendus au mois de février au Camp de Judes situé dans le Tarn et Garonne, qui est un des six camps d’internement ouverts durant l’hiver 1939 afin d’y regrouper une partie des 500.000 réfugiés espagnols républicains.
Voici certains travaux d’élèves autour de la guerre civile et du camps de Judes.
Zélie nous explique dans cet extrait sonore (en espagnol) pourquoi il est important de se souvenir.
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Léna, Margaux, Lou, Davy et Adrian expliquent la guerre civile espagnole
La guerra civil de España empezó el 18 de Julio de 1936 y terminó el 1 de abril de 1939. El bando nacionalista se enfrentó con el bando republicano. Por una parte, el bando nacionalista fue encabezado por Francisco Franco y estaba compuesto de la iglesia Católica, de los monárquicos, de los aristócratas, de los falangistas y de los partidos conservadores. Por otra parte, el bando republicano estaba compuesto de partidos de izquierda, de la clase obrera y de la pequeña burguesía.
El bando nacionalista ganó la guerra civil y Francisco Franco tomó el poder hasta 1975, fecha de su muerte.
La guerre civile d’Espagne commença le 18 juillet 1936 et se termina le 1er avril 1939. Elle opposait le camp des républicains au camp des nationalistes. Le parti nationaliste était composé de l’église catholique ainsi que des monarchistes, des aristocrates, des phalangistes et des partis conservateurs. Les républicains comprenaient les partis de gauche, la classe ouvrière et la petite bourgeoisie.
D’autre part, ces deux camps ont reçu des aides d’autres pays comme l’Allemagne d’Hitler, l’Italie de Mussolini et le Portugal de Salazar pour les nationalistes. Les républicains se sont alliés à l’Union Soviétique et au Mexique ainsi qu’aux brigades internationales (des volontaires de la France et de l’Angleterre).
Après 3 ans de guerre, c’est finalement Francisco Franco qui gagna la guerre, il prit le pouvoir jusqu’en 1975, date de sa mort.
Los refugiados españoles huyeron los bombardeos de la guerra civil y la represión franquista en 1939. El viaje fue muy peligroso debido al clima (el frío, la nieve…) y muchísimos españoles fueron separados de su familia. Los autoridades francesas decidieron construir varios campamentos y establecer un campamento en Septfonds para los refugiados. En septfonds los refugiados eran 350 (trescientos cincuenta) por cuartel. Las condiciones de vida eran miserables y la higiene deplorable, lo que provocaba enfermedades.La Mounières es una antigua fábrica de sombreros transformada en museo. Se encuentra en el pueblo de Septfonds y permite tener informaciones sobre el campamento de Judes y sobre la guerra civil. También menciona a Dieudonné COSTES, el primer hombre en cruzar el Atlántico en avión sin escalas y un antiguo residente de Septfonds.
Des républicains espagnols ont dû fuir l’Espagne à cause des bombardements durant la guerre civile et en 1939 après la chute de Barcelone. Les conditions de vie du voyage étaient misérables car il faisait froid et il neigeait. Les réfugiés étaient aussi séparés de leur famille. Du fait de l’arrivée massive d’étrangers, la police française a décidé d’implanter un camps dans un champ à Septfonds mais il y avait aussi des camps sur les plages et ailleurs en France.
L’hygiène était déplorable et par conséquent des maladies se propageaient rapidement. De plus, les réfugiés étaient 350 par baraque et ils manquaient de nourriture.
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Pour finir, voici leur analyse du tableau El paso de los refugiados por Septfonds de Josep Ponti :
El documento es una pintura que se titula « El paso de los refugiados por Septfonds ». Este cuadro fue realizado en 1939 (mil novecientos treinta y nueve) por Josep Ponti y está expuesto en Montalzat. Finalmente, la pintura representa la llegada de los refugiados españoles a Septfonds.
La pintura tiene una forma tríptica : en efecto, a la izquierda observamos a soldados españoles, a la derecha, a los aldeanos franceses y en el centro el encuentro entre dos personas. Estas dos personas son una mujer francesa que da pan a un refugiado español.
Además, hay dos planos distintos : en el primer plano, observamos a los personajes y en el segundo plano, divisamos el pueblo de Septfonds en invierno.
A la izquierda, los españoles están cansados, flacos porque tienen hambre yla piel de su cara, gris. Además no tienen la ropa adecuada para el invierno.
A continuación, los franceses pertenecen a clases sociales diferentes. El hecho de que los franceses ofrezcan pan muestra que son generosos y solidarios.
Merci aux élèves pour leurs travaux ainsi qu’à leur enseignante Mme Salman
La confiance en soi est très importante pour nous car elle va nous permettre de croire en nous et nos rêves.
Ceci est d’autant plus important à notre époque où on est jugés pour ce que l’on est et ce que l’on n’est pas sans compter toutes ces bêtises sur le corps “parfait” et des sottises pareilles. On voit une fille ou un garçon avec un corps “parfait” et on va se mettre à complexer sur tout et n’importe quoi mais c’est bête car on ne pourra jamais être comme elle car on est tous uniques ou différents.
On a cette part de nous unique que jamais personne pourra nous enlever, c’est comme ça qu’on peut voir notre propre perfection et non en se comparant à d’autres personnes. Si vous vous dites que vous êtes moche, vous allez vous voir moche alors que si vous vous dites que vous êtes belle ou beau, vous allez vous voir beau ou belle et ne faites pas attention aux remarques négatives qu’on pourra vous faire car du moment que vous vous plaisez à vous-même c’est l’important.
Si vous n’avez pas confiance en vous et que vous trouvez moche ou horrible je vous conseille de vous regarder et prendre la partie de votre corps que vous trouvez la plus belle et vous allez vous complimenter. Après tous ces compliments, tous les jours vous allez vous dire “je t’aime”. Quand j’ai réussi à me dire “je t’aime” je me suis sentie libérée malgré toute ces chaines et ce mal être toujours présent en moi, ça m’a fait du bien. Chaque chose en nous est unique, on se complète mutuellement et si une personne ne vous aime pas pour ce que vous êtes c’est qu’elle ne vous mérite pas.
Le monde d’après… Un bien vaste projet qui s’offre à nos élèves. A l’initiative de l’écrivain corrézien Franck Bouysse, ce projet vise à donner du sens à ce que nous vivons actuellement tout en favorisant l’expression des élèves.
Dans la lettre ouverte qu’il adresse aux élèves de l’académie de Limoges, Franck Bouysse s’exprime ainsi :
« En tant que romancier, je suis habitué au confinement intérieur, mais il est vrai que se retrouver face à ce temps immobile peut être une expérience désarmante, un temps sans durée, puisqu’il n’est plus balisé par un travail « normalisé », les cours, les événements sociaux, culturels, ou autre, ce temps vide que les humains se doivent de combler au risque de sombrer dans le désœuvrement.
Peut-être avez-vous trouvé une manière singulière d’échapper au temps, en regardant des films, en écoutant de la musique, en dessinant, en peignant, en écrivant, en traquant la beauté dans de petites choses que nous ne remarquions pas avant. Peut-être que cette longue période d’isolement a fait surgir des réflexions nourries de conversations virtuelles avec des amis, des parents…
Peut-être avez-vous envie de vous exprimer, non sur le jour d’après, mais sur le monde d’après, tel que vous l’imaginez, l’idéalisez. Votre monde d’après. »
Ainsi nos élèves ont relevé ce défi et voici quelques-unes de leurs productions :
Féminicide
Une larme, une seule larme pour définir l’horreur qu’elle avait vécue. Je ne m’exprimerais pas au présent car dans quelques minutes, cette femme sera morte, rouée de coups par un homme fort et cruel. Une mort n’est peut-être rien aux yeux du monde, mais personne ne devrait mourir de la sorte, dans la douleur et la peur.
Elle savait que ses jours étaient comptés mais la femme n’a pas fuit ne pouvant être entendue ; elle n’a pas osé s’exprimer.
Cette nouvelle victime avait trop peur de dire quoi que ce soit car par ses paroles elle aurait très bien pu avancer l’heure de sa mort.
Cet endroit mystérieux pour l’être humain, une terreur pour certains. Cette femme avait-elle plus peur de son mari que de la mort ?
A-t-elle senti que la fin approchait, que c’était l’heure pour elle de partir ? S’est-elle réjouit d’être enfin libérée de cet homme violent, de ne plus sentir son sang couler à chacun de ses coups ?
Nous ne le saurons jamais car elle sera bientôt enterrée avec ses secrets. Cette larme qui coulait sur son visage fut le dernier souvenir qu’elle laissa à son enfant, caché derrière la porte. Puis ce fut le coup fatal et le silence se fit à nouveau.
Entre 122 et 149 femmes sont mortes tuées par leur conjoint en France en 2019.
Battons-nous contre les violences conjugales et apprenons de nos erreurs pour construire un monde meilleur.
Zélie
Notre monde est précieux
Sommes-nous injustes, malveillants ou complètement débiles ?
C’est une question que je me pose actuellement, mais pas de réponse convaincante.
Pff… De toute façon on est tous les mêmes ! Vous devez vous demander pourquoi je dis ça ? Saviez-vous que pendant le confinement on nous a confié des règles (ha ha ha…) que la moitié d’entre nous n’a pas respectées ? Eh oui, vous pensez que ce sont les chinois qui ont propagé le virus en France… Décidément, nous ne sommes pas du même avis vous et moi. Bien-sûr des gens sont morts car des voyageurs sont venus dans notre pays sans savoir qu’ils étaient atteints par cette maladie. Mais les autres, sont morts à cause de nous. Je parle précisément de ceux qui n’ont même pas respecté les règles. Vous voulez sûrement savoir qui nous sommes en ce moment. Eh bien, pas de réponse ! Ne vous inquiétez pas, moi je vais vous le dire : nous sommes des petits abrutis arrogants et insouciants. Ok, ok, vous devez vous dire “Tu ne pourrais pas dire un truc positif ?” Attendez, j’y viens. Des gens ont travaillé et se sont sacrifiés au risque de mourir de cette affreuse maladie. Vous devez encore vous demander pourquoi je ne nomme pas cette maladie par son nom “le Covid 19”.
Eh bien, cette maladie me dégoûte, tellement de haine en une si petite chose. C’est terrifiant. Les autres pourtant s’en foutent ! Ils font la fête, pendant que des gens sauvent des vies. De toute façon, on ne pense qu’à notre gueule et pas aux gens qui se sacrifient pour nos vies. C’est dégueulasse ! Ok, ok, j’arrête les grossièretés.
Parlons maintenant de la nature. Je trouve que tous les humains ont fait un grand pas en avant même si trop de personnes jettent encore leurs masques au sol. Mais un petit point négatif (non, j’en n’ai pas marre), les forêts sont détruites petit à petit, comment les animaux vont vivre, dites-le moi ?
Pour les animaux, pas grand chose à dire à part qu’il n’y avait plus de chasse pendant ce confinement (bon passons, j’ai d’autres choses à vous dire).
Pour le monde de demain, soyez pour nous tous forts, disciplinés et respectueux envers les personnes qui nous aident chaque jour et envers la nature. S’il vous plaît, les animaux comptent sur vous et moi aussi.
J’admirerais nos progrès et nos échecs.
Merci pour votre bienveillance au service de notre planète et votre empathie. Notre monde est précieux.
Emily S.
Un monde meilleur
Que dire sur le monde d’aujourd’hui ? Cette question n’a pas de réponse simple et courte, car on ne peut pas dire que c’est le meilleur ni le pire, ne sachant pas ce que le futur nous réserve. Mais nous pouvons entendre les plaintes des uns et des autres. Malheureusement il n’y a qu’une minorité de personnes qui réalisent et qui savent comment agir pour faire changer les choses.
Pour nos propres usages, quitte à détruire la planète qui nous abrite, nous la polluons, avec le plastique ainsi que les usines, sans oublier les centrales nucléaires. A cause de ces énergies fossiles que nous utilisons dès que nous branchons un appareil à une prise électrique, la température dans le monde augmente. On prévoit une hausse des températures de 7°C d’ici la fin du siècle, liée à la pollution. Dans certaines villes, la pollution est tellement forte qu’elles deviennent invisibles depuis le ciel. Chaque année, d’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), sept millions de personnes meurent en raison de cette pollution. Les gens inspirent les gaz à haute dose. Ils ne respirent plus de l’air pur !
En parlant de respirer, George Floyd, lui, ne respire plus. Les discriminations et violences entre « races » ont assez duré ! Nous sommes tous égaux, que nous venions d’Afrique, de Moscou, d’Australie, du Japon… Ne soyons pas aussi cruels et injustes avec nos égaux, nos amis.
En parlant de cruauté, nous devons aussi améliorer la manière avec laquelle nous traitons les animaux. Déjà que nous élevons des vaches, des cochons, des volailles pour pouvoir les mener à la mort, il ne faut pas les maltraiter lors de l’abattage. Je suis la première à manger de la viande, mais en y réfléchissant bien, il me semble que nous pouvons diminuer notre consommation. Notre corps n’a pas besoin de protéines animales tous les jours. Alors ne consommons pas plus que ce dont nous avons besoin et arrêtons les violences contre les animaux sur leurs lits de mort.
En parlant de consommation, encore une cause de la pollution. Notre société, aujourd’hui, est appelée société de consommation. Et quand on voit tous les objets jetés dans la nature ou à la poubelle alors qu’ils pourraient être encore utilisés, on comprend d’où vient ce nom. Des personnes n’ont pas les moyens d’acheter la moitié de ce que nous avons dans nos maisons alors, au lieux de toujours vouloir plus sans en avoir besoin, n’achetons pas en excès. Ne coupons pas les ponts avec nos besoins réels mais débarrassons-nous des besoins créés par la société de consommation.
En parlant de couper, nous avons besoin des arbres pour vivre car ceux-ci rejettent de l’oxygène, qui nous est vital. La nature est trop belle pour que nous la détruisions. Les arbres d’Amazonie ne doivent pas être déracinés pour gagner du terrain pour la production de soja et d’huile de palme. Les forêts sont les poumons de la Terre alors respectons l’équilibre nécessaire pour respirer durablement. De plus, elles fournissent un habitat pour des quantités d’espèces animales, donc respectons les écosystèmes et ne gaspillons pas notre planète.
Que dire sur le monde d’aujourd’hui ? Il m’est toujours impossible de répondre correctement à cette question. En revanche, je peux répondre à une autre : quel est le monde idéal selon moi ? Mon monde idéal, c’est un monde sans tous ces problèmes. Et j’espère de tout cœur qu’il sera l’avenir. Notre lendemain, c’est à nous tous de le créer. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses et façonner la planète sur laquelle nous vivons pour construire un futur meilleur.
Chloé L.
Ce que j’aimerais pour le monde d’après
J’aimerais que le monde “d’après” soit différent. J’espère que les violences envers les femmes, les enfants, les hommes et les animaux cesseront d’exister.
Je voudrais aussi qu’on respecte la planète, ne plus voir de sacs plastiques dans les rues, les mers, les montagnes et autres. Je voudrais qu’en Chine on puisse voir le ciel, je voudrais que la population mondiale cesse de s’accroître chaque de façon démesurée en fournissant des protections aux pays défavorisés, je voudrais pouvoir faire comprendre au monde de ne pas gâcher. Je voudrais qu’au lieu de jeter n’importe quoi, on prenne conscience des personnes qui souffrent de la misère et de la faim.
Je voudrais qu’on se raisonne, qu’on se remette en question (pour une fois) et qu’on se dise qu’on n’est pas seuls ! Par exemple, le pays de la démesure Dubaï. Franchement, construire une ville au milieu du désert ! Si c’est un désert, c’est que les conditions ne nous permettent pas d’y vivre. Par ailleurs, la déforestation galopante continue de ravager nos forêts pour l’activité humaine mais on ne peut pas vivre sans arbres. C’est simple, on se tire une balle dans le pied !
D’autre part, on vit dans la surconsommation, on mange, on bouffe, on ne savoure plus. On consomme des produits industriels ou de la viande issue d’animaux qui n’ont été respecté ni avant ni après leur mort.
Les hommes, les rois de la Terre, on ne respecte rien : les plaisirs font les lois.
Je sais que ce changement n’est qu’un rêve mais l’espoir fait vivre…
Au début du confinement, nous avions lancé un concours photo auprès des élèves pour illustrer de manière créative leur confinement. Nous avons reçu de nombreuses photos originales, amusantes et parfois déconcertantes. Les élèves ont voté et voici les résultats :
La photo plébiscitée par les élèves est …..
Le soleil fait la joie du vélode Théo L.
Et dans la catégorie Photo la plus originale nous avons deux exæquo :
A la suite de l’article A musée vous!consacré à l’Histoire de l’art version ludique, certains élèves se sont essayés au détournement d’oeuvre d’art.
Voici les productions de nos artistes en herbe, n’hésitez pas à proposer les vôtres.
Mattias a décidé de s’amuser avec notre célébrissime Joconde
Clara quant à elle, s’est inspirée de l’univers de l’artiste de Street ArtBanksy pour réaliser ce joli dessin. Si vous voulez en savoir plus sur cet artiste rendez-vous sur son site internet et son instagram.
Et pour en savoir plus sur le Street Art, c’est ici !
La chaine Arte propose la mini série A musée vous, A musée moi qui revisite avec humour les tableaux les plus célèbres du monde entier. Les personnages de ces toiles de maîtres s’animent au travers de sketchs loufoques et décalés, dans des décors et costumes scrupuleusement reconstitués.
Aujourd’hui redécouvrez La Jocondede Léonard de Vincicomme vous ne l’avez jamais vue, mais aussi La jeune fille à la perle de Vermeer, Le tricheur à l’as de carreaux de Georges de La Tour, Les amants III de René Magritt. Cliquez sur les images pour visionner les vidéos.
Pour continuer sur votre lancée, de nombreux musées français et étrangers vous ouvrent leurs portes pour des visites virtuelles.
Pour s’occuper pendant le confinement tout en découvrant de grandes pièces de théâtre, la Comédie Française met à disposition une partie de son répertoire. France 5 propose, à partir du dimanche 29 mars, en prime time, une soirée théâtre, « Au théâtre chez soi », pour voir et revoir les plus grands classiques du théâtre français interprétés par la troupe de la Comédie-Française.
Prochaine séance, dimanche 5 avril à 20h50 avec L’avare de Molière mis en scène par Catherine Hiegel sur France 5 et dès le lendemain disponible sur le site de France TV
Le programme à venir :
5 avril : L’Avare, de Molière – Mise en scène de Catherine Hiegel (2009)
12 avril : Un fil à la patte, de Georges Feydeau – Mise en scène de Jérôme Deschamps (2011)
19 avril : Le Misanthrope, de Molière – Mise en scène de Clément Hervieu-Léger (2016, captation 2019)
26 avril : Fanny, de Marcel Pagnol – Mise en scène d’Irène Bonnaud (2008)
3 mai : Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand – Mise en scène de Denis Podalydès (2006, captation 2019)
10 mai : Le Petit maître corrigé, de Marivaux – Mise en scène de Clément Hervieu-Léger (2019)
17 mai : Les Fourberies de Scapin, de Molière [sous réserve] – Mise en scène de Denis Podalydès (2017)
24 mai : Roméo et Juliette, de William Shakespeare – Mise en scène d’Éric Ruf (2017)
Du 23 au 27 mars c’est la semaine de la presse et des médias à l’école qui a pour objectif d’aider les élèves à comprendre le système des médias, former leur jugement critique, développer leur goût pour l’actualité et se forger leur identité de citoyen.
A cette occasion, découvrez la production d’un journal télévisé : dans les coulisses du journal de 13h de France Télévision
Et aussi, petit rappel des fondamentaux : La vérification de l’info à l’ère du numérique !