Journaliste sportif, presque un sport!

Ce jeudi 21 mars, nous avons pu rencontrer Frédéric Rabiller et il a pu nous parler de sa profession de journaliste sportif.

Pour devenir journaliste, on doit avoir une très bonne culture générale, une trentaine d’écoles existe et seulement dix environ sont connues du grand public. Après n’importe quel bac, il faut passer des concours d’entrée dans des écoles spécifiques, qui sont très difficiles, nécessitent d’être très bon en anglais, par exemple.

Etre journaliste régional permet de suivre l’actualité et la progression de plusieurs sports. Il faut accepter de travailler les jours fériées, les week-ends, mais tout est intéressant, et on peut parfois parvenir à se spécialiser dans un sport. Il faut bien entendu maîtriser très bien les règles et l’histoire du ou des sports, et rester curieux.

Journaliste sportif est un métier exigent, mais qui permet d’apprendre sans cesse et de ne jamais s’ennuyer.

Ninon et Maya

Les JO de football commencent

Le tirage au sort des Jeux Olympiques de football a été effectué, ce mercredi 20 mars 2024. Pour les hommes les poules sont les suivantes :

  • A : la France, les Etats-Unis, ICP (barrage entre une équipe d’Asie et la Guinée) et la Nouvelle Zélande
  • B : l’Argentine, le Maroc, l’AFC3 et l’Ukraine.
  • C : AFC2, Espagne, Egypte et la République Dominicaine.
  • D : AFC1, Paraguay, Mali et l’Israël.

Pour la poule de la France il n’y a pas de grande menace ils devraient passer sans grande difficulté en compagnie des Etats-Unis pour se qualifier en quart de final.

La poule B est le « groupe de la mort » cela veut dire que ce groupe est le plus difficile mais malgré ca le Maroc et l’Argentine devraient réussir a passer les phase de poules.

La poule C l’Espagne est un groupe plutôt hétérogène l’Espagne et l’Egypte de Mohamed Salah devraient se qualifier tranquillement.

La poule D est un groupe avec seulement des « petites équipes » mais le Mali et le Paraguay devraient sortir vainqueurs de cette poule.

Les phases de poule risquent d’être sans surprise sachant que les grandes équipes sont dans des poules différentes, mais le sport et les JO sont toujours plein de surprises !

Antoine

 

 

 

 

Infirmier et formateur : le parcours atypique de Rémi Robert


Nous avons rencontré Rémi Robert, infirmier et formateur à l’IFSI de Tulle , qui nous a expliqué que pour être en bonne santé il faut bouger et manger sainement.

Avant d’exercer au sein de l’IFSI, Rémi Robert a mené une carrière mouvementée, basée sur la reconversion : au départ, il était au sein de l’armée. Ensuite, il a été environ 8 ans technicien en téléphonie, pour ensuite suivre une formation en soins infirmiers dans l’armée. Rémi Robert a été réformé de l’armée car il a eu un accident et est parti dans la société civile avant d’intégrer l’hôpital. Il nous a dit beaucoup aimer son métier car cela il l’oblige à se remettre en question. Il aime aussi les interactions avec ses élèves infirmiers qui lui permettent d’améliorer le contenu de ses cours , un apport important pour lui. Lorsqu’on lui demande comment se maintenir en forme aujourd’hui , il explique qu’on entretient sa santé en bougeant et mangeant sainement. Il nous alerte également sur les dangers représentés par le fait de manger régulièrement au fastfood : cela peut par exemple engendrer des problèmes au cœur …

Grâce à ces diverses expériences, il a réussi à trouver sa voie, et aide aujourd’hui les autres à trouver la leur.

Chloé Mazeaud & Juliette Boudy

 

Animatrice de santé publique : un métier complexe


Aujourd’hui nous nous intéressons au métier d’animatrice de santé publique.  Catherine Vieillefont nous a parlé de ce métier qu’elle exerce depuis plusieurs années.

En quoi consiste le métier d’animatrice de santé publique ?

Dans notre métier, nous organisons beaucoup d’évènements  et des actions de santé publique.  Je fais souvent venir des médecins qui travaillent à l’hôpital de Brive, ils nous parle de la maladie de Parkinson. Ces médecins vont informer,  soit le personnel de santé de l’hôpital de Tulle qui en ressentent le besoin,  soit le public.

Qu’est-ce que la maladie de Parkinson ?

C’est une maladie, qui atteinte plus souvent les femmes, notamment celles qui ont eu des enfants.

Quels sont les symptômes de cette maladie ?

Il y a des femmes qui ont du mal à attraper un objet à une vitesse normale, donc qui l’attraperont plus lentement ou qui ressentent des vibrations ou tremblements assez forts dans leur corps.

Est-ce que cette maladie se soigne ?

Malheureusement cette maladie ne peut pas se soigner mais elle n’est pas mortelle c’est-à-dire que les personnes qui l’attrapent ne peuvent pas en mourir.

Si la maladie ne se soigne pas a t-elle un vaccin pour ne pas la contracter?

Malheureusement aussi il n’existe pas de vaccin pour ne pas attraper cette maladie.

Nous avons rencontré une personne investie, qui cherche des solutions pour mieux vivre avec la maladie et accompagne les soignants et le public.

Kayliah

 

 

 

Découverte de la formation STAPS

Ce jeudi 21 mars, nous avons fait la rencontre de Béatrice Ferry qui est directrice du STAPS et d’un formateur, professeur d’EPS pour découvrir la formation.

Ils nous ont parlé plus clairement de deux sites, celui de Limoges qui s’étend jusqu’à Brive. Sur le site de Limoges, on peut retrouver environ vingt-quatre enseignants et sur celui de Brive 5 seulement. Mais ces établissements font aussi venir des intervenants. Pour rentrer en STAPS, il faut le BAC.

Après le BAC                                                                                                                                    Pour rentrer en STAPS, il faut avoir une bonne moyenne en terminale car il y a une sélection . Avoir fait une section sportive ou participer à UNSS, permet d’avoir un bonus pour intégrer la filière STAPS.

Les études en STAPS                                                                                                               La licence dure 3 ans, après on peut enchainer avec un master qui lui dure 2 ans. Rien qu’avec ça on a un bac+5. Mais on peut terminer avec un doctorat qui dure 3 ans de plus.

Et après …                                                                                                                                         Après des études de STAPS, on peut devenir coach, éducateur sportif, manager sportif, professeur des écoles, animateur sportif, chef de rayon sport, ergothérapeute, nageur sauveteur, médiateur sportif ou professeur d’EPS.

Pour en savoir plus 

Ninon, Maya et Fynley

 

 

Le STAPS, une formation pour devenir professeur d’EPS

La formation dispensée au STAPS permet aux étudiants de se préparer au concours de l’enseignement (Capes) dans la discipline de l’EPS (éducation physique et sportive).

Après un bac, il faut obtenir un master en cinq mentions.

Durant les trois premières années, les étudiants pratiquent et apprennent à connaître plusieurs types de sports (sports de combat,  de raquette etc..). Les étudiants sont formés de manière à ce qu’ils puissent former à leur tour des élèves. Ils doivent effectuer des recherches sur le sport et les sciences humaines. Des animateurs font faire aux étudiants des activités différentes (une par mois) pour qu’ils les enseignent plus tard.

On remarque que les quinze premiers jours, tous les étudiants sont motivés. Ils font de la théorie à travers plusieurs champs disciplinaires : science, culture sportive et humaniste, etc. Ils essaient de se surpasser.

Pour finir,  les études sont compliquées donc beaucoup se découragent parce qu’ils se rendent compte que ce ne sont pas ce qu’ils veulent faire.

A. M.; Enzo et Santiago.

Lucas Pasteau : le rugby, son handicap et ses projets


Son handicap, son adaptation et son sport : on vous raconte tout sur Lucas Pasteau

A 16 ans, Lucas Pasteau très grand sportif au rugby (espoir) plein d’ambition subit un accident dans l’exercice de son sport. C’est un énorme chamboulement dans le train de sa vie. Il a dû réadapter une très grande partie de son environnement : son appartement, sa voiture ainsi que redessiner son parcours scolaire.  Cela n’a pas été facile et cela a surtout coûté beaucoup d’argent, une somme extrêmement conséquente malgré toutes les aides financières de la sécurité sociale ainsi que de la mutuelle.

Le rugby ne l’a jamais quitté et l’a beaucoup aidé, car il s’est redirigé vers le rugby-fauteuil. Le rugby-fauteuil est très différent du rugby car on joue avec un ballon de volley pour faciliter les prises en main, on ne peut pas plaquer et il n’y a que deux postes : celui d’attaquant et celui de défenseur. Tirer le bras de son adversaire est sévèrement sanctionné. Le rugby-fauteuil sera présent aux Jeux Paralympiques de Paris en 2024. Ce sport est un booster pour Lucas Pasteau car il lui apporte cette cohésion et cette convivialité dont il a besoin.

Habitant Brive, Lucas Pasteau a pour projet de créer un club de rugby-fauteuil dans sa ville car  il en fait à Limoges.  C’est aussi pour permettre à plus de personnes dans sa situation de pouvoir faire ce sport et s’épanouir dedans car il y a peu de clubs, seulement vingt-deux en France. Il a aussi pour projet de rénover un bâtiment pour en faire des logements adaptés aux fauteuils roulants car il en existe peu  pour beaucoup de demandes. Ces projets lui prennent énormément de temps.

Lucas Pasteau a réussi à affronter son handicap et le regard des gens, il a de nombreux projets malgré tout !

Alice, Laura et Alice.

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Lucas Pasteau un sportif hors normes

 

Lucas Pasteau est devenu tétraplégique à la suite de son accident, le 22 mai 2011, en jouant dans son club de rugby, le CAB. Le choc au niveau des vertèbres cervicales a fait bouger la moelle épinière qui permet la communication entre le cerveau et les membres inférieurs. Contrairement à la paraplégie qui rend incapable de mouvements, la tétraplégie empêche quelques mouvements. Avant que Lucas ait son accident, il était sélectionné en équipe de France de rugby de moins de 16 ans ; cela a compromis son avenir dans le rugby.

Malgré son handicap, Lucas a persévéré durant les séances de rééducation pendant un an et demi, pour ensuite commencer le rugby-fauteuil. Après sa rééducation, il a fallu qu’il se réadapte grâce à un kinésithérapeute, un ergothérapeute et un professeur de sport. Ses proches lui ont apporté du soutien. Lucas a réussi à remarcher avec un déambulateur, même s’il lui reste des progrès à faire .

Le rugby fauteuil a deux façons de se jouer, celle que Lucas  pratique se joue à 4 vs 4, sur un terrain de basketball, avec un ballon de volley Ball ; sur le terrain, il y a deux  postes, les attaquants et les défenseurs. Les essais comptent pour un point, il n’y a pas de jeu au pied. Contrairement au rugby classique qui se joue en extérieur avec les pieds et les mains et à 15 personnes par équipe (il existe aussi le rugby à 7 et à 13) .

Lucas est aussi très impliqué pour défendre son handicap, en allant dans les écoles pour en parler aux élèves. Par exemple, il explique quelles difficultés financières engendre le handicap en raison de l’achat de matériel spécifique. Néanmoins, Lucas n’a pas le sentiment de se priver à cause de son handicap, il continue en effet à profiter et à s’amuser. Il s’investit aussi pour les autres et a notamment été le parrain du téléthon cette année.

Antoine, Clément et Emile

Voyage au ski en 5è

Un voyage au ski est prévu pour les 5eme, supervisé par les professeurs qui ont récolté de l’argent grâce à une tombola. Suivez la suite de l’ aventure ci- dessous.

Entre le 18 et 23 mars les élèves de 5eme partiront à Plas d’Adet dans les Pyrénées pour une petite semaine de ski. Le lundi matin ils partiront avec les professeurs M. Domont, Mme Falgon, M. Hible, M. Delpas et Mme Chaumeil. L’après-midi ils pique niqueront. Le soir, une fois arrivés au chalet, ils établiront des tests de niveau pour des groupes : il y aura 4 groupes de 10.

Ils feront du ski tous les jours de 9 heures à midi, puis reprendront 15 heures jusqu’à 19 heures. Chaque groupe aura des moniteurs et les professeurs les aideront. Chaque soir ils feront une activité comme une soirée jeux, libre, et une boom. Le vendredi, ils finiront leur dernière matinée sur les pistes puis rentreront à Lubersac sur les coups de 13 heures.

Fynley et Clément

Regard sur l’exposition « histoire sportive et citoyenneté »

Aujourd’hui nous avons voulu vous parler de l’exposition autour des Jeux Olympiques réalisée par la Casden et exposée dans les locaux où se déroulait E-reporter. Trois thèmes nous ont marqués : l’engagement, le courage et la paix.

Engagement:

Au collège, nous avons déjà l’exposition sur les Jeux Olympiques,qui a été réalisée par Pascal Blanchard le 14 octobre 2021 à Paris.  Nous avons voulu étudier le sujet des JO car cela nous touche et dans seulement deux ans ils se dérouleront à Paris. On a aimé plusieurs de ces panneaux dont celui sur l’engagement. En effet, on y trouve Alfred Hajós qui a participé aux Jeux Olympiques de 1924 et dans deux ans cela fera cent ans que celui-ci les aura faits. Il termine deuxième sur la marche du podium des JO en 1924. Il remporte donc plusieurs médailles.

Courage:

Nous avons également choisi le panneau sur le courage car nous avons pensé que tout le monde en a besoin pour réussir. Mohamed Ali est un boxeur, qui symbolise cette valeur. Champion olympique en 1960, il a fait une apparition émouvante aux JO d’Atlanta en 1996, en allumant la flamme olympique malgré sa maladie. Il est décédé de la maladie de « Parkinson » en 2016. Toute sa vie, il a fait preuve de courage car en plus de sa maladie, il a été victime très jeune de racisme.

La paix:

Emil Zatopek, coureur de fond tchécoslovaque, a remporté sa première médaille olympique sur 10.000 mètres aux jeux de Londres, en 1948. Le « coup de Prague » faisait basculer son pays dans le bloc communiste. À Helsinki, en 1952, il accomplit une performance jamais égalée en remportant les courses de 5.000 mètres, du 10.000 et le marathon. Il défend la paix dans son pays.

Ainsi ces trois valeurs nous ont touchés mais quelles sont donc toutes les autres valeurs défendues par les sportifs aux JO ? 

Qu’est-ce que les athlètes veulent-ils montrer aux JO ?

Groupe E-L-A-L