Les cuicuis, ce n’est pas si simple !

La sortie a été soigneusement préparée par quelques-uns d’entre nous et était encadrée par Véronique Jorland, experte en la matière.

Et en effet, on s’est rendu compte que l’identification visuelle et acoustique des oiseaux nécessite non seulement une bonne connaissance des milieux fréquentés, mais également une attention appliquée pour repérer les marques et les vocalises spécifiques qui permettent de les différencier et d’en savoir plus sur ces populations.

La balade était des plus agréables puisque que nous avons déambulé dans une mosaïque paysagère assez riche entre le lycée et Pénacorn, en faisant plusieurs stops pour observer, écouter, et répertorier les espèces des parcs et jardins, des forêts et des prairies (= Protocole STOC : Suivi temporaire des oiseaux communs.).

Cependant, si on n’a pas manqué de sujets à observer et/ou à entendre, tous les nicheurs ne sont pas encore arrivés chez nous et la plupart des espèces connaissent malheureusement une forte baisse d’effectifs.

À ce rendez-vous, on peut citer, entre autres, une présence remarquée de la sitelle torchepot, du pinson des arbres, du rougequeue à front blanc, du pic épeiche, de la mésange bleue, et de la grive musicienne.

Gâtés par le temps clément, mais frais de cette matinée d’avril, ces riches observations nous incitent à nous promener davantage avec cet univers en tête.

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