Neil Armstrong faisait partie de la NASA et a réussi son premier pas sur la lune le 20 juillet 1969.
Selon les conspirationnistes, il ne pouvait pas « flotter » car il n’y a pas d’atmosphère sur la Lune. C’est vrai. La bannière étoilée bouge en raison de l’absence d’inertie, qui amplifie les mouvements du tissu. Sur toute une série de photos, le drapeau américain reste immobile.
Toujours selon ces théories du complot, les traces des missions Apollo sur la Lune ne sont pas visibles. Car aucun satellite n’est assez puissant pour observer depuis la Terre les empreintes de pas américaines sur le sol lunaire. En revanche, des sondes spatiales envoyées par d’autres agences que la Nasa ont pu voir les vestiges des missions américaines.
Bien que l’objectif scientifique d’Apollo 11 ait été limité par la durée du séjour sur la lune et par la capacité d’emport réduite due à la version des vaisseaux spatiaux utilisés, la mission a fourni des résultats substantiels. Son déroulement et, en particulier les premiers pas sur la lune, filmés et retransmis en direct par une caméra vidéo, constituent un événement qui a été suivi sur toute la planète par des centaines de millions de personnes.
Durant le déroulement de la mission, une équipe installée au centre de contrôle des vols habités à HOUSTON, maintient le contact avec l’équipage en transmettant les instructions des techniciens et des scientifiques au sol et en répondant aux demandes des astronautes d’Apollo 11.
Les hommes qui forment cette équipe, baptisés CAPCOM (Capsule Communicator interlocuteur vaisseau), sont des astronautes qui se relaient pour assurer une couverture permanente 24 heures sur 24.
Bastien D.