Simone Veil est née le 13 Juillet 1927 à Nice, et morte le 30 Juin 2017 à Paris. Elle est née d’une famille juive aux origines lorraines. En 1943, à l’âge de ses 16 ans, elle est déportée à Auschwitz durant la Shoah (signifie « catastrophe » en Hébreu ). Elle y perdra son père, son frère et sa mère.
Après avoir vu le film : » Simone, le voyage d’un vie » et de son livre « Une vie « , j’ai pu comprendre que Simone Veil, suite à sa déportation c’est en quelque sorte forgé un caractère, une personnalité qui lui a permis de ne rien lâcher en politique, notamment avec la loi Veil, sur l’avortement.
Simone Veil, a travaillé sur le devoir de mémoire à travers son livre, puisque elle a décidé de raconter cette terrible période de sa vie qui l’a profondément marquée. Et d’une façon qui est propre à elle-même, elle a su transformer cette expérience tragique en quelque chose positif, grâce à son livre et également à son parcours politique. C’est ce qui fait d’elle aujourd’hui le symbole qu’elle est devenue aujourd’hui.
Frania Eisenbach Haverland est née en 1926 en Pologne. C’est une ancienne rescapée de la Shoah. Comme Simone Veil, Frania a également travailler sur le devoir de mémoire à travers son livre » Tant que je vivrai » mais aussi grâce à ses conférences qu’elle organise en France.
Son but étant de sensibiliser les jeunes à l’horreur qu’était la seconde guerre mondiale mais aussi que chacun garde en mémoire toute l’atrocité de cette horrible période et que l’histoire ne se répète pas.
Ce que l’on peut conclure de ces deux femmes, c’est que malgré le fait qu’elles soient des femmes différentes par rapport à leur statut et leur parcours, elles ont toutes les deux le même passé avec la déportation et elles se sont montrées résilientes suite à ça.
Ana Freyssinet, 3E.