Émilie Rosso

Émilie Rosso est journaliste pour France 3 Rhône-Alpes. Depuis mai 2022, elle est chargée d’une vaste enquête sur la pollution aux PFAS détectée au sud de Lyon.

Ses articles en lice pour le prix Albert Londres portent tous sur cette pollution aux perfluorés et sur ses conséquences sur la population de la zone de Pierre-Bénite. La journaliste est allée à la rencontre d’habitants et de salariés de l’industrie chimique contaminés par ces polluants. Elle a également suivi leur lutte contre les industriels et pour la reconnaissance de cette pollution par les pouvoirs publics malgré le poids des lobbies. Son dernier article est consacré aux conséquences de ces polluants sur la santé avec le témoignage d’une médecin italienne.

1 Commentaire

    • Thibault LMB Felletin on 15 février 2024 at 10 h 44 min
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    Cet article intitulé « polluants éternels » a été écrit par Emilie ROSSO. Il est publié le 05/06/2023, cette journaliste est partie au sud-ouest de LYON dans la zone de Pierre-Bénite pour enquêter sur les polluants éternels, qui sont aussi appelés les perfluorés il en existe des milliers en France. Emilie ROSSO a rencontré d’abord Daniel, un travailleur de la zone Pierre-Bénite qui a été exposé aux perfluorés. Il a maintenant de graves soucis de santé (troubles respiratoires) qui lui valent une incapacité totale de travailler (ITT). Daniel était aussi un boxeur de haut niveau, il ne pourra jamais remonter sur le ring. Emilie Rosso a également interviewé Olivier qui travaillait sur la zone de Pierre-Bénite lui aussi a été exposé aux perfluorés. Emilie Rosso a ensuite contacté la direction de Daikin, une entreprise de Perre-Benite mais celle-ci a refusé tout entretien. Elle a toutefois pu interroger Sabine Sabouraud, médecin du travail employée par l’entreprise. Cette dernière a refusé de partager l’intégralité des analyses qu’elle a réalisées sur les employés, répondant par mail à la journaliste « sachez que les médecins sont soumis au secret médical ».
    Emilie Rosso a rédigé son article de telle façon que l’on est intrigué par le sujet et que l’on a envie de continuer à lire car il y a du suspens. De plus, on est touché par ce qui est arrivé aux victimes interrogées car on peut s’identifier à elles.
    J’ai trouvé le texte facile à lire dans les passages où les mots scientifiques ne sont pas utilisés car l’utilisation de mots scientifiques rend le texte difficile à lire. Grâce à cet article j’ai appris l’existence de ces molécules dangereuses.

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