Ce reportage a été tourné et réalisé par Bryan Carter en 2019 puis publié en 2020. Il dure 1h02 et parle de la vie des camionneurs et les changements dans leur travail. L’enquête du journaliste débute après la mort de deux polonais dans un entrepôt belge en 2012. Les difficultés commencent à l’ouverture des frontières au moment de l’agrandissement de l’Union Européenne, qui contribue aux dégradations de la vie des camionneurs. En effet, les chauffeurs bulgares et les chauffeurs roumains gagnent entre 280 à 300 euros par mois, contrairement aux chauffeurs italiens ou luxembourgeois qui gagnent entre 1500 à 2000 euros par mois. Cet écart produit des injustices des deux côtés : l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest. Pour l’Europe de l’Est, les chauffeurs bulgares et les chauffeurs roumains se plaignent de leurs salaires bas. Les camionneurs des pays de l’Europe de l’Ouest eux se plaignent que les camionneurs des pays de l’Europe de l’Est volent leur travail car les employeurs les embauchent pour des prix plus compétitifs. On appelle ça le dumping social.
Dans ce reportage, on rencontre plusieurs chauffeurs comme Srdjan Grujic, il a quatre enfants et une femme. Il explique que dans ce métier, on est seul et que contrairement à ce que les gens pensent, ils n’ont pas le temps de visiter. Il est passé plusieurs fois à Paris mais pas une fois il a pu passer voir la Tour Eiffel.
Manuela Meyhuber est une patronne d’une petite entreprise qui a diminué leur nombre de camions à cause des bas prix proposés par les employeurs, elle ne peut pas payer ses salariés. Son entreprise a par la suite fermé.
Ce reportage était instructif et passionnant. Le fait de raconter au monde les faces cachées du métier de camionneur, les inconvénients et le mode de vie de ce métier est très intéressant. Bryan Carter ne prend pas parti, pour que le spectateur puisse se faire sa propre opinion.
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Ce reportage a été tourné et réalisé par Bryan Carter en 2019 puis publié en 2020. Il dure 1h02 et parle de la vie des camionneurs et les changements dans leur travail. L’enquête du journaliste débute après la mort de deux polonais dans un entrepôt belge en 2012. Les difficultés commencent à l’ouverture des frontières au moment de l’agrandissement de l’Union Européenne, qui contribue aux dégradations de la vie des camionneurs. En effet, les chauffeurs bulgares et les chauffeurs roumains gagnent entre 280 à 300 euros par mois, contrairement aux chauffeurs italiens ou luxembourgeois qui gagnent entre 1500 à 2000 euros par mois. Cet écart produit des injustices des deux côtés : l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest. Pour l’Europe de l’Est, les chauffeurs bulgares et les chauffeurs roumains se plaignent de leurs salaires bas. Les camionneurs des pays de l’Europe de l’Ouest eux se plaignent que les camionneurs des pays de l’Europe de l’Est volent leur travail car les employeurs les embauchent pour des prix plus compétitifs. On appelle ça le dumping social.
Dans ce reportage, on rencontre plusieurs chauffeurs comme Srdjan Grujic, il a quatre enfants et une femme. Il explique que dans ce métier, on est seul et que contrairement à ce que les gens pensent, ils n’ont pas le temps de visiter. Il est passé plusieurs fois à Paris mais pas une fois il a pu passer voir la Tour Eiffel.
Manuela Meyhuber est une patronne d’une petite entreprise qui a diminué leur nombre de camions à cause des bas prix proposés par les employeurs, elle ne peut pas payer ses salariés. Son entreprise a par la suite fermé.
Ce reportage était instructif et passionnant. Le fait de raconter au monde les faces cachées du métier de camionneur, les inconvénients et le mode de vie de ce métier est très intéressant. Bryan Carter ne prend pas parti, pour que le spectateur puisse se faire sa propre opinion.