Alors qu’il était au bord de l’eau pour dessiner, Hikari dit ‘‘Picasso’’ meurt avec son amie Chiaki lors d’un regrettable accident. Mais grâce au voeu désespéré de sa comparse, il revient à la vie. En échange de ce miracle, il doit s’acquitter d’une mission, sauver les gens dans le besoin. Et pour cela, il a acquis une capacité extraordinaire : celle de dessiner le coeur des gens et de rentrer dans cette image pour intervenir.
Nov 29
24 Commentaires
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Ce manga ne m’a pas particulièrement enthousiasmé. Malgré un fond d’histoire intéressant, qui explore des sujets divers traitant du mal être et de l’incompréhension entre les personnages que Picasso doit aider. Les dessins qui crée lorsqu’il entre en contact avec une personne sont assez particuliers (dans le sens où ils montrent des environnements perturbés et morbides), donnant aprés les avoir aidés un contraste important entre avant/aprés comme aux pages: 50-51/74 ou encore aux pages: 102-103/129. Le contraste est également frappant entre leurs états d’esprit. Les personnages sont assez profonds certainement à cause du mal être dont ils ont été victimes, cependant leur représentation peut parfois être spéciale. En voyant Picasso on peut se demander si c’est une fille ou un garçon, on ne connait la réponse qu’en lisant puisque les différents protagonistes le désignent par le masculin. Tout cela donne un atmosphère spéciale avec des débuts toujours glauques. Mais son scénario est original. Par ailleurs, après un accident comme dans beaucoup d’autres Picasso reste vivant et doit aider les autres avec comme allié la personne qui n’a pas survécu, cette trame de base est assez répandue mais pas la manière dont elle est traitée qui elle, n’est pas commune. Tout cela confère à ce manga le mérite d’être lu gràce à cette tournure étonnante. Vous l’avez compris je pense ce ne sera pas mon manga préféré.
Ce manga ne m’a pas trop plu car les noms et les dessins sont originaux d’accord mais l’histoire est trop répétitive a mon goût ….
« Gengaku Picasso » ne m’a pas particulièrement plu. Le début m’a attristée car le héros perd sa seule amie dans un accident qui n’est pas banal. Ce qui m’a un peu perturbé, ce sont les dessins de Picasso, très bien réalisés mais franchement… space ?!!…
La petite soeur, à la fin, est très belle avec la chanteuse, mais il faut aimer ce style, et le personnage principal me fait un peu pitié car tout le monde le prend pour quelqu’un de bizarre alors que nous, nous savons ce qui se passe. Ses amis ont du courage de rester avec lui alors qu’il a une si « mauvaise » réputation » !
En bref, ce n’est pas mon manga préféré…
Je dois avouer que lorsque j’ai lu le titre : « Picasso », je n’ai pas été très enthousiasmé mais après quelque pages lues plus par obligation que par plaisir j’ai subitement plongé dans un univers totalement inattendu avec des personnages assez intéressants et un dessin plutôt attrayant. J’ai particulièrement aimé les scènes où l’on voyait Chiaki et Picasso dans les dessins de ce dernier. Il est vrai que les dessins « montrent des environnements perturbés et morbides » mais ce n’est pas un mal pour montrer la frustration et le désespoir dans les cœurs des protagonistes. Le scénario est plutôt bien fondé malgré le fait que les épisodes ont tendance à se répéter (c’est toujours plus ou moins le même scénario). Ce manga est bien dans l’ensemble même si il n’est pas très cohérent que des personnes arrivent à changer du tout au tout en entendant une seul phrase et sans essayer de comprendre quoi que ce soit.
Et pour finir les œuvres dessinées par Hikari n’ont aucun rapport avec celles du véritable peintre Picasso.
Ce manga m’a assez plu. C’est un peu répétitif : il y a toujours un moment où tous les personnages, à l’exception de Chiaki, ressentent un mal être. Les dessins de Picasso ne ressemblent pas aux problèmes des personnages, notamment quand les personnages n’arrivent pas exprimer ce qu’ils veulent et que Picasso les dessine sous forme de « monstres ». Par exemple, Manba et Kotoné sont attachés à des cordes, du coup on peut penser à une sensation de haine l’un envers l’autre, alors que c’est tout le contraire.
En parlant de l’accident, Picasso n’a pas l’air inquiet que son amie soit partie, quand elle surgit de sa poche Picasso n’y croit pas, il ne prend qu’un instant pour essayer de comprendre avant qu’elle ne lui explique… Il devrait plutôt penser qu’il est devenu fou ! En outre,il n’est pas très reconnaissant envers son amie qui l’a sauvé, il est toujours en train de lui crier dessus et de jouer avec ses nerfs …
Les personnages masculins ressemblent à des filles : on ne peut pas savoir au début qui est une fille ou qui est un garçon. De plus, le bras de Picasso qui pourrit, cela ressemble plutôt à un tatouage.
Vu que c’est le premier manga de la sélection que je lis je doute qu’il sera mon préféré mais je n’ai pas encore lu les autres.
Que les puristes passent leur chemin, voici venu Genkaku Picasso !
Loins sont les combats acharnés, les pouvoirs super-puissants et les ennemis mégalos; dans Picasso, place aux batailles psychologiques, au crayon 2B et au carnet à croquis !
Si le début de l’intrigue reste des plus banals et quelque peu tiré par les cheveux (un avion s’écrasant sur notre héros et son amie, avant que le dit héros ne soit doté d’un quelconque pouvoir), la suite reste par contre des plus surprenante. Hikari, notre Picasso en herbe, se voit en effet pourrir s’il n’aide pas les personnes autour de lui… et quoi de mieux pour cela que de plonger dans leur cœur à l’aide d’un croquis ?
Genkaku Picasso offre un déroulement sympathique centré sur la psychologie de divers personnages; nous apprenons alors les secrets les plus intimes, les plus étranges, les plus inavouables de chacun et chacune à travers les dessins du héros, et là est tout l’intérêt.
Ce manga ne fera pas l’unanimité en raison de sa dimension plus philosophique et psychologique, bien plus marquée quand dans d’autres mangas, mais ravira bon nombre de lecteurs. Découvrir les tourments des personnages, les comprendre, les résoudre est un vrai régal; et si l’ambiance peut paraitre bon enfant, ce sont au contraire des scènes remplies de sombres secrets que nous révèle l’auteur, nuancées par l’humour apporté.
Les graphismes peuvent être un point faible comme un point fort. Le chara-design surprend d’abord, proche de celui des shojos avec son héros très féminisé, et pourra séduire comme dérouter. Pourtant, les dessins aux crayons représentant le cœur des personnages laissent pantois par leur beauté et leur aspect onirique.
Venant d’un manga nommé « Picasso » on ne pouvait s’attendre à mieux.
Pour ma part, la dimension plus psychologique des personnages m’a tout de suite fait oublier les graphismes auxquels je me suis vite habituée. Le héros n’a pour le moment pas de personnalité attachante pourtant, et je ne peux qu’espérer qu’il nous révèle autre chose que son âme d’artiste !
C’est un manga qui m’a vraiment plu. L’histoire est bien pensée et assez prenante car tout part d’un simple jeune lycéen passionné de dessin mais qui n’est apprécié de personne. Le fait que Picasso doit aider son prochain, grâce à son don pour le dessin, est ce qui m’a vraiment plu. On retrouve par ailleurs certains artistes cités comme De Vinci, ou encore suggérés comme Munch avec certaines mimiques de Picasso rappelant Le Cri de Munch (p.220). Ces petits clins d’œil sont assez marrant à voir. Le fait d’aider les autres lui permettra de les aborder et de sympathiser avec eux (de toute façon il n’a pas d’autre possibilité car il en va de sa survie). Ce manga est satisfaisant au niveau graphique notamment avec les dessins réalisés par Picasso qui ont un caractère et une certaine réflexion artistique sur leur signification (avis aux historiens des arts et aux plasticiens). Il manque cependant de diversité en ce qui concerne les problèmes des personnes que Picasso doit aider car en effet cela peut être un peu rébarbatif. Mais ceci n’empêche pas ce manga d’être vraiment intéressant à lire.
Je conseille donc aux amateurs d’art et de dessin, ainsi qu’à beaucoup d’autres, de vite lire la série de ce manga.
Picasso est un manga que j’ai adoré, les dessins sont géniaux et j’aime beaucoup l’histoire.
Picasso je voudrais beaucoup lire la suite et savoir ce qui se passe…
Picasso est le meilleur manga de cette édition, le premier argument est la couverture, elle est attirante et pleine de couleurs… L’histoire me passionne et j’aime l’idée de « l’ange gardien » qui suit partout « Picasso ».
Ces dessins sont très touchants personnellement et j’ai hâte de lire le second.
J’ai bien aimé ce manga, mais je l’ai trouvé assez répétitif. Disons qu’on s’attend déjà à l’histoire du 2: le héros dessinera une personne, et il finira par régler le problème. Sans compter sur cela, j’ai trouvé l’histoire originale, surtout le fait que le bras de Picasso pourrisse à chaque fois qu’il doit aider quelqu’un. Son amie transformée en ange à sa mort, ça aussi était très original ! Mais Picasso n’a pas l’air d’être beaucoup touché par sa mort. On ne sait pas combien de temps se passe entre l’accident et sa découverte de l’ange. Les histoires sont très bonnes, et j’adore ce concept philosophique de régler les problèmes par la pensée et le dessin.
Tu as dit que l’on sait déjà ce qui va se passer dans le tome 2, mais je crois qu’on pourrait (pour ceux en tout cas qui liront la suite) être surpris. Picasso changera peut-être ? Il pourrait même s’ouvrir aux autres!
C’est vrai ! Et il pourrait très bien y avoir un moment où il ne trouve pas le problème de son prochain ! Mais c’est vrai que vu comme ça, ça peut être répétitif…
Au début, comme beaucoup à ce que je vois, je n’avais pas vraiment envie de lire ce manga. D’ailleurs j’avais un doute sur le héros car je ne savais pas s’ il était une fille ou un garçon. Bref, en le lisant, j’ai vite changé d’avis et j’ai trouvé ce manga tout simplement génial! L’idée est très originale bien que Hikari m’agace un peu parfois et que l’histoire avec l’hélicoptère est un peu tiré par les cheveux…
Au fil de l’histoire on peut remarquer que le Club du Bord de l’eau s’agrandit discrètement.
Niveau graphisme, ce manga est très bien malgré le fait que parfois, les garçons ont l’air de filles…un autre point négatif : l’auteur met des trames sur les lèvres de ses personnages et je n’ai jamais vraiment aimé ça…
Mais malgré quelques petits détails à améliorer, Genkaku Picasso reste un bon manga que je conseille vivement!
Je trouve ce manga absolument super ! Le principe de l’histoire est intéressant, les dessins (notamment les dessins de Picasso) sont bien réussis, le scénario est intéressant et les personnages sont bien travaillés ! Je trouve que l’idée d’exprimer les souffrances humaines par des dessins est bien imaginée et je trouve Picasso attachant bien que parfois légèrement agaçant.
Les trames et les dessins sont bien travaillés, les détails aussi, bref je trouve ce manga très bien fait !
« Genkaku Picasso » est un manga assez surprenant au premier abord. La trame de fond est originale : Picasso, amoureux d’un fantôme et sauvé par ce même fantôme, condamné à aider les personnes en détresse, est un personnage intéressant… bien que pas particulièrement le héros type. Un amour impossible rend le lecteur curieux quant à la suite et à la capacité du personnage principal à surmonter cette épreuve.
L’auteur retranscrit un rêve qu’on a tous eu un jour : le fait de rentrer dans les pensées des gens qui nous entourent.Toutefois, dans ce livre, ce rêve est matérialisé de manière totalement imprévisible. Les pensées et les cauchemars, représentés par les dessins, nous amènent à nous demander ce qu’il y a dans notre cerveau…
Ce manga est un manga non pas d’action mais plus psychologique et philosophique. Les amateurs de manga à l’eau de rose, de super-héros surpuissants et hyper-charismatiques et de combats fantastiques dans les airs risquent d’être déçus ! Question aventure, le lieu de l’action est originale : le cerveau des élèves ! Et question pouvoirs, ceux qui aiment les éclairs devront s’en tenir à des conflits psychologiques.
Le mystère de Picasso rend le shojo plus encore plus original. Son secret ? Il devrait être mort ! Pour ne pas littéralement se décomposer, il est condamné à rentrer dans l’univers des dessins à la mine de plomb qu’il fait sur les rêves et cauchemars les plus intimes des gens. Bien sur, interdiction d’en parler, même à ses amis les plus proches…
Un procédé intéressant m’a très vite attirée : l’auteur nous fait lui aussi rentrer dans ses graphismes, puis dans les dessins à l’intérieur des graphismes. Il nous promène, en quelque sorte, dans son univers d’art.
Ajoutez à cela un graphisme vraiment bien recherché, et vous aurez un manga de qualité !
Un point pour moi espéré est que Picasso se retrouve un jour lui-même dans les peurs de quelqu’un, pour voir comment ce personnage solitaire s’en sortira alors. Solitaire ? Peut-être pas car on se rend compte au fil du livre que Picasso est de plus en plus entouré, et qu’il semble l’apprécier.
Toutefois, je reproche à ce livre les liens trop faibles entre les chapitres. Il y en a, bien sûr, mais pas assez à mon goût.
Pour conclure, « Genkaku Picasso » est un shojo à lire, riche en détails de graphismes et en péripéties psychologiques !
L’histoire est assez originale et le dessin est pas mal mais c’est un peu répétitif.
Comme Enma, il est vrai que cette histoire est répétitive. J’ose espérer cependant qu’il arrivera d’autres évènements qui sortiront Hamura de ce «quotidien».
Le graphisme est assez spécial, travaillé mais certaines notions ne sont pas acquises, notamment de perspective, et rendent la lecture quelque peu difficile. Néanmoins, j’ai bien aimé ce manga, pour le caractère des personnages, et la suite que j’espère.
Le graphisme est particulièrement original grâce à sa finesse. Cependant, on a du mal à s’attacher à ce personnage de Picasso, un brin trop grincheux et peut être même égoïste.
Son empressement à vouloir boucler ses missions est un peu lassant et son manque de discernement pour y arriver est parfois stupéfiant !! Par ailleurs, le récit est répétitif à souhait et il faut beaucoup d’effort pour achever la lecture !
Il n’y a aucune transition intéressante entre les sauvetages, et le personnage n’interagis pas avec son environnement.
Je trouve ce manga trop long pour un scénario certes original, l’accident dès les premières pages et la mort de la jeune camarade annonçant des péripéties plus distrayantes !
Le tout est donc exploité de façon superficielle et trop peu surprenante alors que la trame laissait entrevoir nombre de possibilités alléchantes !
J’ai beaucoup aimé « Genkaku Picasso » car je trouve le concept de l’histoire très intéressant. Aimant moi même dessiner, je me suis rapidement senti très intéressé par ce manga. Il est certes un peu répétitif mais les histoires se complètent.
Le graphisme, quant à lui, est à la fois magnifique et très réaliste mais parfois également trop simplifié voir bâclé comme le personnage d’Hikari. En effet, on se demande au début si il s’agit d’une fille ou d’un garçon et cela gène la lecture et l’immersion dans l’histoire. Le reste des personnages est dessiné de manière plutôt réaliste, mais étrangement, pas autant que les dessins fait par Hikari. Je les trouve tellement beaux que je le ai regardé même après avoir fini de lire le livre.
« Genkaku Picasso » est donc un manga que je trouve vraiment très agréable à lire. J’aime beaucoup la relation entre Hikari et Chiaki car ils sont très complémentaires et j’aime également le changement de caractère chez les personnes que Hikari a aidé. Ce manga est vraiment un manga très intéressant qui correspond bien aux caractères des lycéens. Je le recommande à tous, mais surtout à ceux qui aiment tout ce qui est artistique.
J’ai bien aimé ce manga : j’ai été plongé dans l’histoire de Hikari Hamura surnommé « Picasso » pour son talent pour les dessins. Son destin va être chamboulé lorsque lui et son amie Chiaki seront victimes d’un accident ; avant de mourir Chiaki pria pour que Picasso reste en vie pour réaliser son rêve mais il y a un prix à payer. Pour rester il devra aider les gens, qui sont noyés dans la peine. Ce mangas a de superbes illustrations, par contre le scénario est trop simple mais nous plonge bien dans l’histoire .
L’idée est bien trouvée, un jeune homme qui ressuscite avec le devoir d’aider son prochain, avec le don de lire dans la tête des gens… Ou plutôt de dessiner ce qui se trouve dans leur tête devrais je dire. C’est d’ailleurs le point fort de ce manga : Hikari dessine comme un maitre !! Pour les amateurs d’art et de dessin, je conseille ce manga !!
Néanmoins ne parle-t-on pas d’un garçon dans l’hisoire ? En effet, la tête du héros prête parfois à confusion, fille ou garçon telle est la question ! Hikari est bien un garçon… mais pourquoi lui mettre du rouge à lèvres dans ce cas ?! J’imagine bien que ce n’est pas du maquillage et l’auteur a simplement voulu dissocier la couleur de lèvres et celle de la peau mais ce petit détail m’a dérangé dans les premières pages dans ce manga.
Toutefois, si l’on fait abstraction de cela, la singularité de l’histoire et les analyses que demandent les dessins de « Picasso » sont là pour nous entraîner dans cet univers graphique incroyable !
Manga assez bien. L’histoire est étrange, un garçon qui ressuscite les personnes dans un monde parallèle, c’est un peu bizarre. Par contre les dessins sont très bien réussis, même si au début on se demande si Hikari est un garçon ou une fille…
Cette histoire est intéressante car elle nous dit que l’art est une représentation du coeur. Je n’ai pas aimé le graphisme car je l’ai trouvé trop sombre, trop noir. Les histoires des personnes sont glauques mais elles sont bien pensées.
J’ai bien aimé car il y a un bon scénario : surtout la peau qui sèche. Le graphisme est bon sauf les personnages. Il est difficile de les distinguer.