Enma est la fille du roi des enfers. Alors que la place vient à manquer aux Enfers, le Roi décide d’envoyer Enma à travers les époques pour exécuter les meurtriers. Sa technique est impressionnante : elle retire tous les os du corps de ses victimes ! Elle les avait pourtant prévenus…
Nov 29
37 Commentaires
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Enma est assez particulier mais j’aime bien. Tout y est particulier. L’histoire : une fille envoyée des enfers par l’un des juges qui retire les os! Charmant non? Compatissant en plus puisqu’elle laisse le nombre d’os correspondant au nombre de personnes qui aimait cette personne! Avec un ordre (voulu?) première histoire un os, 2ème deux os, puis trois et enfin trente os pour la quatrième histoire mais je me pose la question s’il y avait 206 personnes qui l’aimaient est ce que Enma pourrait le ou la tuer? Ou a force de rencontres, Enma ne serait elle pas en train de s’humaniser. Des graphismes intéressants et particuliers dans le style des personnages tous différents mais surtout Enma en décalage. Son personnage en est d’ailleurs intéressant et on peut voir son parcours, son évolution. L’atmosphère n’a rien à envier à la bizarrerie générale. Âme sensible s’apstenir si vous n’aimez pas les squelettes et autres. Mais sinon lisez-le les histoires bien que trés différentes sont instructives, que seriez-vous prêt à faire pour libérer vos parents, sauver votre enfant et bien d’autre questions…
Au fait pour ceux qui se demanderaient pourquoi 206 personnes, c’est parce que 206 est le nombre d’os présents dans le corps humain, et donc si autant de gens l’aiment vraiment Enma ne pourrait enlever aucun os, est ce que cette personne mourrait ou non ?
Oh bien pensé ! Mais je pense qu’une personne aimée d’autant de personnes est rare, et si elle existe, elle ne commettrait pas de crimes (enfin il me semble !) et donc Enma n’aurait pas de raison de la tuer…
J’ai lu les tomes 2 et 3, et je crois que c’est dans le tome 2 qu’Enma a pour mission d’éliminer une victime aimée de plus de 206 personnes. Je te laisse découvrir par toi même ce qu’il va se passer au final =)
Ce MANGA est trop répétitif , pour la 1° histoire ça va mais la 2° et la 3° elles sont pareille pour la 4° en revanche l’histoire change à la fin . Mais si non il est bien fait il y a de bonnes illustrations et j’ai bien aimé le thème de ce MANGA !!!
Je n’ai pas trop aimé Enma car je trouve le scénario un peu trop répétitif. Même si les histoires sont différentes à chaque fois, cela se finit toujours de la même façon : Enma retire les os à ses cibles. Ce qui m’intrigue quand même, c’est qu’au fur et à mesure que l’histoire avance, le nombre d’os qu’il reste augmente et je me demande si, au final, elle pourra encore retirer les os à ses victimes… Sinon, je trouve le graphisme bien réalisé et l’idée originale.
Je me suis posée la même question, tu pencherais plus pour quelle hypothèse : elle pourra ou elle ne pourra pas ? Au bout de 206 personnes qui l’aimerait.
ENMA
Pour commencer on reconnait tout de suite le style de DARK KANA, toujours dans cet univers qui ressemble au nôtre (en changeant d’époque) puis en rajoutant une touche de paranormal (comme Death note). Malgré le fait que l’héroïne soit la fille du roi des enfers, elle est quand même attachante tout comme les personnes qu’elle doit désosser. La qualité technique des personnages est travaillée et agréable à voir. On se retrouve avec des personnages attachants malgré leurs mauvaises actions. Bref ce manga est de mon point de vue entrainant avec l’envie de savoir ce qui va advenir des désossés.
Simon Marmottant
collège Guy de Maupassant
« Malgré le fait que l’héroïne soit la fille du roi des enfers, elle est quand même attachante […] »
J’aimerais faire une remarque là-dessus : à la fin du deuxième chapitre (celui de Jack l’éventreur), Enma pose une question qui, par la réponse, nous révèle un élément sur Enma.
En effet elle pose la question : « Est-ce que j’ai une mère moi aussi ? » Et le roi Enma répond qu’elle ne peut pas avoir de mère, que c’est une feuille de papier.
Elle a été « créée » par le roi Enma, mais ce n’est pas sa fille…
Je ne veux contrarier personne, juste profiter de ce commentaire pour en faire un autre.
Moi aussi, j’ai envie de savoir ce que vont devenir les dessossés, et j’ai envie d’en savoir un peu plus sur la dessosseuse…
C’est un peu sa fille quand même, c’est lui qui l’a créee et puis le fait qu’elle pose cette question cela veut bien dire qu’elle n’est pas tout à fait insensible. Et donc si elle a des comportements de compassion ou des attitudes plus ou moins humaines ça signifierait qu’on peut la comparer à une enfant et comme c’est lui qui lui a donné la vie (et même son nom) on peut la considérer comme sa fille, je pense.
Le scénario de ce manga est particulier quoi qu’un peu glauque et légèrement répétitif. Mais je trouve bien l’idée de voir différents endroits (Londres, Chine …) dans différentes époques ( XXe siècle, antiquité …), le tout agrémenté d’un coup de crayon très intéressant. De plus l’idée qu’un démon des Enfers puisse devenir sensible à la condition humaine me semble drôle car ils ne doivent pas avoir la même sensiblerie que nous.
Le scénario est assez bien, il manque peut-être un peu d’action. Les dessins sont bien faits mais il manque de la couleur. Les traits sont très précis. Le portrait des personnages n’est pas assez détaillé. Quand Enma prend les os de ses victimes, il n’y a pas assez de violence et ils n’ont pas le temps de se défendre. La lecture ne dure pas assez longtemps.
Enma est un manga composé de petites histoires mais on suit l’héroïne du début à la fin dans chacune de ses missions.
J’aime bien le concept de l’histoire et surtout l’idée… Une fille envoyée des enfers c’est très particulier pour un manga mais j’aime bien.
je le conseille à tous ceux qui ne l’on pas lu…..
Ce manga du genre drame et horreur (dessosser des personnes meutrières sont pour moi signe d’horreur en tout cas) est vraiment plaisant à lire. Chaque chapitre a un début et une fin. C’est-à-dire qu’ils ne se suivent pas forcément. Une personne commençant par le premier chapitre aurait très bien pu commencer par le troisième.
Enma est une dessosseuse envoyée de l’enfer pour arrêter les guerres en court de commencement car le dieu Enma, l’un des Dieu de l’enfer se retrouve déborder et ne peut accomplir son devoir de juge comme il se doit. Enma doit donc faire en sorte que ces guerres ne s’accomplissent pas, et pourra même aller jusqu’à tuer.
Tout celà est écrit à chaque chapitre.
L’introduction de ces chapitres est toujours la même (je ne m’en souviens plus très bien : « Pour les bons et les mauvais, pour les vieux et jeunes, et pour accomplir se destinée de juge, fut envoyée la fille des Enfers ». Cette introduction me rappelle beaucoup le manga : « La fille des enfers ». Et je l’aime beaucoup (l’introduction autant que le manga).
Enma ne laisse pas trop de suspens mais on comprend bien les morales de fin de chapitre. J’adore ce manga et achèterai bien les prochains tomes…
Il est vrai que ce n’est pas essentiel de commencer par le premier chapitre pour comprendre mais tout de même l’ordre des chapitres montre bien le chemin que parcourt Enma et son humanisation. Je pense que si ça ne dérange pas pour comprendre la trame secondaire ou le scénario du chapitre, ce ne doit pas être commode de voir Enma dans un ordre différent de son chemin, car c’est, je touve, la trame principal du manga puisqu’elle reste tout au long des chapitres.
Le concept sur lequel se base Enma, à savoir une suite de petites histoires, est à la base très intéressant et semble pouvoir être très bien exploité et mis en valeur. De plus, l’idée est aussi pour le moins originale : des enfers débordés et une fille envoyée sur terre pour désosser les criminels.
Le problème réside par contre dans le scénario. Ce livre est extrêmement répétitif. Chaque chapitre constitue une petite histoire basée sur le même principe à chaque fois : un début commençant par la même phrase et systématiquement la même fin. Certes, le nombres d’os enlevés change… ça fait tout de même peu comme variation de dénouement. Le point fort de l’histoire réside donc dans l’exposition de différents milieux et décors mis en scène.
Je n’irai pas non plus jusqu’à dire que ce manga n’a aucun intérêt.
Du point de vue du dessin, les fonds sont assez banals. Ils auraient pu être davantage développés puisque c’est l’un des principaux facteurs de changements du livre. Les graphismes des personnages sont intéressants, ils varient selon les époques auxquels ils appartiennent. Par exemple la femme japonaise d’avant sera dessinée dans le style de son époque tandis que l’histoire qui se déroule en Occident verra des traits plus proches de ceux de la bande dessinée actuelle pour ses personnages. Enma a aussi un graphisme à part entière, à elle toute seule, qui permet de la distinguer des autres quelle que soit l’époque dans laquelle elle évolue. Ce graphisme fait vaguement penser à de la science fiction.
D’un point de vue des personnages principaux, l’histoire ne permet pas de les approfondir au niveau caractère ou histoire personnelle. Au contraire, à côté, les personnages secondaires sont plutôt approfondis, surtout les tortionnaires et leur raison d’agir. Cependant, au final, on ne retient qu’Enma de ces différentes histoires. Celle-ci porte un regard grand ouvert sur le monde et essai de comprendre les humains. En dépit de son travail plutôt salissant, elle semble innocente et cela la rend attachante. Elle permet d’avoir ainsi un point de vue extérieur sur la cruauté, la tendresse et la barbarie des hommes.
Histoire trop répétitive. Si au bout de la troisième partie on ne sait toujours pas que Enma est la fille des enfers chargée de punir, c’est qu’il y a un problème. Par contre les dessins sont bien faits et j’ai bien aimé.
« Emna » est un manga vraiment sympa à lire !!
Malgré le fait qu’il ressemble beaucoup à « La Fille des Enfers », l’auteur nous plonge rapidement et efficacement dans les univers de différentes époques, sans perturber le lecteur pour autant.
L’idée de voir les os s’envoler comme ça m’a un peu repoussée mais ensuite, quand survient l’histoire des os qui manquent pour les personnes qui aiment, je trouve que cela est bien trouvé.
Les dessins sont vraiment beaux et expressifs, nous sommes très vite happés par l’histoire.
Vivement la suite, même si les histoires finissent toutes de la même manière !!
Tu as peut-être un avis plus précis sur la question qu’on est plusieurs a se poser je crois, à savoir si elle pourra retirer les os si plus de personne aime la « victime » d’Enma qu’il n’y a d’os.
Oh je ne trouve pas qu’elle ressemble à la Fille des Enfers…c’est vrai que ça peut y faire penser mais ce n’est pas la même façon de tuer ni les mêmes raisons. Dans la Fille des Enfers, elle utilise ses aides alors que là Enma tue d’elle même. Et la Fille des Enfers fait ça sur demande des humains pour les venger même si c’est pour un ‘crime’ mineur, alors que là c’est sur ordre du dieu qu’elle tue des personnes ayant tué beaucoup d’humains…mais c’est vrai qu’au début quand j’ai entendu le résumé j’ai aussitôt songé à la Fille des Enfers.
Le shojo « Enma » est sujet à diverses critiques. Avec des graphismes originaux et inhabituels dans des shojo, on rentre assez vite dans l’histoire… Si histoire il y a vraiment. Dans cette dernière, on regrette en effet un « schéma historique » assez haché et sans suspens ni continuité véritable. Chaque chapitre n’a pas véritablement de lien avec le précédent, mis à part la présence du principal protagoniste. Aux premières pages, le lecteur est attiré par la trame de fond : il cherche à découvrir le monde mis en place mais celui-ci est rapidement évincé. L’intérêt retombe vite lorsqu’on commence à comprendre la probable fin de l’histoire.
Enma est attirante par ses yeux étranges, son stoïcisme et son apparente insensibilité devant les personnes qu’elle rend éplorées en tuant leur proches. Au cours de l’histoire, elle commence petit à petit à poser des questions au maître des enfers et à avoir des doutes sur ce qui est « bien » ou « mal ». On comprend alors sans grande difficulté qu’Enma finira par se retrouver à aider les humains qu’elle sanctionne. On regrette un manque de réflexion poussée de l’auteur pour maquiller le scénario systématique.
Pour moi, deux autres points sont assez décevant.
J’étais au départ assez enthousiasmée par le fait qu’Enma enlève les squelettes, mais j’ai été assez déçue par les moyens graphiques utilisés pour représenter cela : je m’attendais à quelque chose de plus spectaculaire, comme des explosions, des infections, des dégradations visibles, des évaporations… Il n’y a pour moi pas assez d’action ni d’intérêt dans ces scènes pourtant importantes.
L’autre point dépréciatif est une ressemblance troublante avec le shojo Lla fille des Enfers » de Etô Miyuki, qui est pour moi de bien meilleure qualité. Dans ce manga, la fille des enfers punit aussi des humains mais la fin n’est pas devinable et le suspens est autrement plus intéressant.
En conclusion, grâce à un attachement à l’héroïne, on a la curiosité de lire la suite pour la retrouver. Toutefois on déplore beaucoup la prévisibilité de ce livre. Mais peut être sera-t on surpris par un tome 2 ?
je trouve cette histoire beaucoup trop répétitive, et c’est lassant de lire toujours la même chose !!!
Manga intéressant ! Même si l’histoire est « répétitive ». On s’aperçoit tout de même qu’Enma change petit à petit. en effet, elle en vient tout de même à essayer de sauver ses cibles ! Le personnage est plutôt attachant, même si elle retire les os… Je le trouve classe ! Les dessins très réussis, j’affectionne beaucoup les moments où elle sort les os ! J’ai beaucoup aimé le moment Jack l’éventreur ! L’histoire était vraiment touchante, même si la mère était devenue folle, elle continuait à croire corps et âme que son mari allait ressusciter leur fille ! Il y a aussi l’histoire avec l’allemand (Je crois, ça fait un bail que je l’ai lu…), et qu’Enma essaye de le faire devenir gentil. Elle y arrive certes, mais il faut un imbécile pour tout gâcher, et cet imbécile aurait dû mourir à sa place. enfin c’est mon avis.
La question que l’ont peut tous se poser c’est, non seulement « Va-t-elle un jour échouer à le tuer car trop de personnes aimaient la victime ? » mais aussi « Va-t-elle un jour refuser de tuer la cible ? ». Deux questions qui me donnent envie de savoir la suiiiiite !
Manga donc agréable à lire. Que je conseille vivement !
C’est vrai, je n’avais pas vu que son humanité grandissante pourrait l’amener à se rebeller contre son père le roi Enma et la tâche qu’il lui confie. A ton avis lequel des événements aura lieu en 1er ? sa rébellion ? l’impossibilité de retirer les os ? ou les deux simultanément, sur le même « cas » ?
J’ain pour ma part trouvé que ce manga était bien trop long pour un scénario si peu surprenant ! le graphisme est intéressant et apporte une note moderne au personnage principal, en décalage avec les différents contextes historiques accueillant les missions. Toutefois, ces dernières sont très répétitives, sans surprise. Le mélange d’époques et de mœurs divers et variés, a tendance à déstabiliser à la lecture, voire même à lasser. En effet, Enma devient de plus en plus compatissante au fils de ses collecte, et on imagine sans mal l’avenir où la jeune fille décidera d’aider les humains à réparer leurs erreurs. Il n’y a pas assez de suspens, je n’attends donc pas la suite avec impatience.
Je trouve que les histoires sont très bien mais elles sont trop répétitives.
Le dessin est assez bien.
Enma est un manga plutôt intéressant. L’héroïne est attachante avec son incompréhension du monde des humains. Chaque histoire est marquante mais la répétition du même procédé est assez ennuyant. Pour ma part j’attends de lire la suite qui, je l’espère, n’est pas répétitive.
Très particulier comme manga, même si au début l’histoire semble répétitive. Heureusement que la jeune fille évolue, on attend beaucoup de la suite.
Les dessins sont intéressants, travaillés tout en restant simples. L’histoire aussi semble plus compliquée qu’elle ne pourrait l’être au début. Plus compliquée, plus passionnante. Je crois qu’il faut se détacher de l’apparence première de cette histoire pour y voir le fond et l’intérêt.
C’est l’un des mangas que j’ai bien aimé.
Enma est le titre du manga mais également celui du personnage principal. Il s’agit d’une jeune fille envoyée par le roi des enfers qui a trop de personnes à juger sur terre afin de punir ceux qui tuent inutilement. En effet, elle réclame les os de criminels pour lesquels elle est envoyée. Dans les quatre histoires du tome 1, elle rencontre successivement Onimasa Kurobe, Jack l’éventreur, Nayotake Kaguya et Günther « le Boucher ». Ces quatres personnages, malgré leur nature de tueurs, possèdent tous une motivation souvent d’ordre sentimentale et considéré comme sincère. Ils font ainsi l’objet du scepticisme d’Enma qui se pose des questions sur sa condition et sur celle des humains. Concernant l’intrigue de chaque histoire, au moins deux d’entre elles sont inspirées de récits célèbres. En effet, Jack l’éventreur est connu et la princesse Kaguya est présente dans la légende célèbre du « Coupeur de bambous », d’ailleurs, il y a une référence où les deux parents de Kaguya regardent la lune, d’où elle est sensée venir dans la légende. J’ai bien aimé ce manga car il parle de fantastique et de la fonction de la fille des enfers. personnellement, j’ai adoré Enma (la fille) et j’ai hâte de lire la suite. De plus, son attitude envers les humains, qu’elle commence à envier et à essayer de comprendre, change et promet d’être intéressante.
Enma est un manga au concept plutôt intéressant, en effet il se compose de quatre histoires indépendantes les unes des autres. Enma, le personnage principal se trouve être la fille du roi des Enfers; elle est envoyée sur terre pour arracher le squelette des criminels.
Si le scénario se révèle être itératif, à quelques exceptions près, il est néanmoins original du point de vue de l’histoire en elle-même ainsi que du contexte historico-culturel. Ainsi, l’action se passe à des époques différentes et dans des lieux divers.
Cependant, très vite, on présage la fin de l’histoire ce qui peut à la longue paraître lassant.
Malgré tout, Enma possède quand même des points positifs notamment au niveau du personnage et plus précisément du caractère de l’héroïne, où derrière une apparence de petite fille tendre et maladroite se cache une tueuse qui ne se soucie pas des excuses des criminels. Les personnages secondaires sont tout aussi bien creusés.
Finalement, Enma est un manga plaisant mais dont le concept d’écriture pourrait varier; ce qui laisserait sans doute au lecteur un peu de suspens quant à la fin de l’histoire.
j’ai bien aimé ce manga par rapport aux illustrations : les couleurs de l’héroïne étaient plus sombres que les autres personnages . L’histoire m’a également plu : c’est l’histoire d’une fille envoyée par le roi des enfers pour l’aider à juger les âmes des personnes tuées inutilement (à cause de la guerre ). Par contre je ne trouve pas le scénario très simple ; il manque une certaine continuité dans la compréhension globale de l’histoire. Cette succession de tueries m’a dérangé, malgré tout, c’est un manga assez bien si vous aimez ce genre là. .
Enma est un manga plutôt intéressant. Enma est une fille envoyée par le Roi des Enfers, chargée d’éviter les guerres meurtrières ou des meurtres sanglants . Pour cela, elle se rend dans chaque époque pour tuer les personnes qui peuvent être la cause de ces guerres ou de ces meurtres.
Le concept est assez bien pensé mais le problème vient du fait qu’à force ça devient trop répétitif. D’autre part, il est dommage de ne pas en savoir plus sur le monde des enfers et des problèmes qui le concernent.
Les émotions éprouvées par Enma à chaque fin de chapitre s’avèrent intéressantes car elle découvre différentes choses de la vie qu’elle ne connaît pas et souhaiterait découvrir.
Côté graphisme c’est bien mais un peu plus de détails serait mieux.
Donc en général, c’est un manga assez bien par son principe mais qui serait un peu mieux avec des épisodes ayant une fin différente, ainsi qu’avec plus de détails au niveau des dessins.
Je n’ai pas trouvé ce manga très intéressant mais j’ai trouvé que le concept du livre était plutôt bien trouvé. Tout d’abord, je reproche au scénario trop de répétitions, ce qui se montre vite lassant, notamment la page « générique » au début de chaque nouvelle histoire. De plus, la suite est trop logique : sans même lire la totalité de l’histoire, on peut deviner très facilement que Enma va extraire les os du malfaiteur. Les dessins sont également très simplistes, même si je trouve que l’auteur a bien accentué ses efforts sur les dessins des squelettes qui sont très réalistes. Cependant, Enma reste un personnage intéressant car elle essaye de comprendre les sentiments humains et que cela initie à la pensée philosophique notamment avec le Dieu de la Mort. Malgré cela, Enma n’est pas un manga que je recommanderais.
Enma est un manga que j’ai beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l’histoire ou des dessins. L’histoire est originale, intéressante et pas difficile à comprendre : Enma est la fille d’un des dix rois des enfers et est envoyée sur Terre par ce dernier afin d’éliminer certains meurtriers. Pour cela, elle possède un pouvoir particulier, elle retire les os de ses victimes. Toutefois, certains os restant dans le corps de ses victimes correspondent au nombre de personnes qui aimaient la victime d’Enma.
J’ai beaucoup aimé le fait que ce manga soit une succession de plusieurs histoires, permettant ainsi de changer à chaque fois de lieu et d’époque. Enma est un personnage qui devient attachante au fil de ses aventures. Elle se pose toujours des questions concernant les humains, et tente de comprendre les raisons qui les ont amené à faire ce qu’ils ont fait. Et même si la fin peut se deviner, on peut prévoir en effet qu’Enma va réussir sa mission et rentrer auprès de son père, le déroulement reste agréable à suivre et j’ai pris autant de plaisir à lire la 4ème histoire avec Günther que la 1ère avec Onimasa Kurobe.
J’ai également apprécié les dessins. Les squelettes des victimes d’Enma sont très bien représentés.
En résumé, Enma est un manga que j’ai beaucoup apprécié à lire. J’attends de voir ce que réserve la suite, tout en espérant que l’auteur développe un peu plus le personnage d’Enma, son caractère, …
Tout d’abord, je trouve que l’histoire pourrait passer pour originale si l’on ne connaissait pas le manga « Jogoku Shojo », la Fille des enfers de Eô Miyuki.
Tout comme dans ce manga, le personnage principal s’appelle Enma et est surnommée « La Fille des Enfers ». Néanmoins, une différence de taille met d’après moi « Enma » hors course : la Ai Enma de Miyuki est plus raffinée, plus froide, plus sérieuse et presque plus crédible.
La parution de la Fille des enfers date du 04/06/2008, et était donc une première. D’après moi, Enma s’inspire de cet autre manga. Quelques détails font pourtant de l’ombre à ce manga rival : comme dans l’autre, les histoires sont sous forme de petites nouvelles, mais ici, elles racontent des histoires et des mythes réels. De plus, chaque chapitre se passe à une époque différente : un voyage dans le temps en quelque sorte… Les dessins sont plus bruts mais également plus variés, réalistes et fluides.
Même si j’ai pu paraître négative, je trouve néanmoins le manga « Enma » intéressant car le personnage principal Enma aborde la mort de façon plutôt innocente. Elle exécute les ordres et semble n’être parfois qu’une jeune fille pleine de questions, chaque voyage dans notre monde lui apportant plus de connaissances sur nous, êtres mortels.
Ce manga aborde le côté « bon/méchant » des personnages, aucun n’étant vraiment l’un ou l’autre.
Pour conclure, cette histoire a son charme et ne m’a pas été difficile à lire, mais ce n’est pas un manga que je suivrai.
C’est une histoire un peu trop répétitive, les histoires se ressemblent toutes. Sinon, j’ai quand même bien aimé les scénarios et les dessins sont bien réalisés. Le concept du manga est bien trouvé.
Bien que le thème soit très bien choisi et originale je trouve que cette histoire est trop répétitive. Toujours le même scénario : le méchant au début qui devient gentil mais qui évolue à nouveau en méchant. Même si l’on voit la transformation d’Enma qui devient de plus en plus humaine pour un bout de papier, le caractère du texte reste très itératif.
Personnellement, je pense que ce livre mériterait de rester un « one shot ».