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#récit historique #révolte #secret de famille |
Séraphine
Marie Desplechin (Scénario) et Édith (Dessin)
Rue de Sèvres (octobre 2022)
110 p. – 16,00 €
9782810215270
BD commune aux sélections CM2-6e et 5e/4e
Que faire de sa vie quand on a treize ans et qu’on est une fille pauvre, pas laide, sachant lire, sans autre protection que celle d’un vieux curé, d’une tante prostituée et d’une veuve ronchon ? Nonne ? Jamais. Séraphine est trop insolente. Couturière ? Non plus. Elle a trop envie de parler et de voir du monde. Peut-être qu’un jour les femmes pourront devenir juges, gendarmes ou avocats et faire de la politique… Peut-être même qu’un jour Dieu Lui-même sera une femme. Mais, pour l’instant, nous sommes en 1885, à Paris, ou plutôt à Montmartre. Le souvenir de la Commune est encore vif chez les uns. Les autres s’occupent de l’enterrer définitivement en bâtissant, là-haut sur la butte, le Sacré-Coeur. Et Séraphine ne voit qu’une solution pour mener la vie libre et sans misère dont elle rêve : s’en remettre à sainte Rita, la patronne des causes désespérées…
6 Commentaires
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….. Je ne suis pas fan de ce livre on dirait clairement que je suis en cours d’histoire (c’est pas mon genre).
Je ne comprends pas de quoi ça parle. Les dessins alors encore ça va.
Que peut-on faire de son existence, à 13 ans quand on est pauvre ?
Je vous recommande cette bande dessinée car elle est géniale. Elle est tellement bien qu’on a l’impression de rentrer dans l’ histoire, comme si on la vivait.
Les dessins sont bien faits, les couleurs correspondent bien à l’ histoire. On comprend que c’est l’ histoire d’une petite fille qui s’appelle Séraphine, qui est orpheline et pauvre, qu’elle a 13 ans. Sa mère est morte en lui donnant naissance…
Ce livre est formidable !
Ce livre est génial. Quand on voit la couverture, on n’imagine pas l’histoire. Il y a des images qui font peur tellement c’est réaliste et très bien fait ! Il y a par contre des bulles que je n’arrive pas à lire. Le début est triste puis fait peur et enfin, c’est joyeux ! Cette petite a une enfance malheureuse mais elle a pu s’épanouir un peu plus à la fin. Je vois bien la suite à ce livre. Ce qui est dommage, c’est que l’auteur ne dit pas : dans une minute, 3 heures après… On a du mal à se repérer dans le temps.
J’aime beaucoup ce livre parce qu’il raconte vraiment ce qui s’est passé pendant les Révolutions du 19ème siècle. J’aimerais beaucoup pouvoir voir vraiment à quoi cela ressemble. J’aime beaucoup les dessins. La couverture, c’est comme un aperçu de ce qui va se passer. On voit plein de détails, comme le drapeau et les nœuds de l’arbre de sainte Rita. Séraphine, l’héroïne, est un peu rouge : on dirait qu’elle a attrapé un rhume. Ses cheveux noirs et courts représentent bien les coupes de l’époque. L’histoire est très bien écrite, on comprend très bien. Par contre, je n’ai pas bien compris la fin.
Séraphine est un livre incroyable. Je n’ai qu’une réflexion à faire et pleins de compliments ! Le seul petit point que je n’aime pas, c’est que le livre est très très long. Pourquoi faire un livre aussi long ? Les tomes, ça existe, et pourtant l’autrice n’en a pas fait pour autant. Mais sinon, rien à dire ! Ah, si un petit de 7 ou 8 ans veut le lire, il va avoir du mal car il y a des mots compliqués à comprendre. La BD est magnifique. J’adore les dessins et l’histoire est triste mais heureuse à la fois. Vers la fin, elle retrouve son père : c’est trop mignon, mais son père est trop moche. Quand Séraphine quitte Jeanne, cela fait beaucoup de peine. Jeanne n’est pas bien, elle a des cernes et elle est toute fatiguée, la pauvre.
Bonjour, c’est l’histoire de Séraphine. Cette histoire se passe à Paris, plus précisément à Montmartre après la commune de Paris.
Marie Desplechin et Edith ont écrit cette histoire.
Tout d’abord la situation des personnages: Séraphine est une fille de 13 ans, orpheline et pauvre qui vit avec Jeanne; en parlant de Jeanne, c’est une vieille femme veuve qui n’a pas d’enfant et qui est couturière ; le père Sarault est un curé qui est bienveillant ; Marthe et Eugène sont un couple de barman et Charlotte, c’est une femme plutôt riche qui est la tante de Séraphine.
Ensuite les couleurs, elles sont ternes car c’est pour l’ambiance qui, on ne va pas se mentir, est plutôt maussade, à l’exception de Charlotte qui a des couleurs vives car elle est la « source de bonnes ondes ». Même si Séraphine est heureuse au milieu de la misère. J’aime bien les couleurs même si quelques fois cela peut rendre l’histoire ennuyeuse.
Je vous ai parlé des couleurs, des personnages, des autrices de ce livre, du lieu, de l’époque mais pas de l’histoire donc c’est de ça que je vais vous parler.
Donc l’histoire débute avec la mère de Séraphine qui meurt. Le père Sarault « donne » la garde de Séraphine à Jeanne ; Séraphine grandit et ne veut plus travailler pour Jeanne (faire de la couture) et doit trouver un nouveau travail. Elle en trouve chez Marthe et Eugène ; plus tard dans l’histoire elle trouva un enfant. La mère du garçon est très souffrante donc le père Sarault s’en occupe également.
Personnellement, j’ai bien aimé l’histoire car je lis des histoires de ce type mais je comprends que certains n’aiment pas car ce n’est pas très gai.