Ce que nous sommes

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Ce que nous sommes

Zep

Rue de Sèvres – 2022 – 20,00 €

9782810204984

 

Grâce au projet DataBrain, les humains disposent à la naissance d’un second cerveau numérique où sont directement uploadées des connaissances et des expériences virtuelles plus vraies que nature. Avec de simples programmes à télécharger, apprendre de nouvelles langues ou même assimiler la totalité du savoir de l’humanité n’a jamais été aussi simple et rapide. Du moins si, comme Constant, on en a les moyens.
Mais un jour, à la suite d’un piratage informatique, il s’évanouit et se réveille en forêt, loin de la ville protégée, en ayant perdu tout son savoir et ses souvenirs. Démuni, il est recueilli par Hazel, jeune femme vivant en marge de la société, qui va l’aider à se reconstruire et à retrouver son passé.
Constant va donc partir sur les traces de son identité réelle et découvrir au passage les facultés extraordinaires de son cerveau… humain.

 

 

 

8 Commentaires

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    • ABM1Dautry Mathilda A. on 2 mars 2023 at 11 h 58 min

    Ce que nous sommes

    La nouvelle bande dessinée de Zep, Ce que nous sommes, parue le 16 mars 2022 aux éditions Rue de Sèvres,
    m’a, je dois l’admettre, laissée dubitative.

    Au début, les dessins m’ont réellement séduite. Je dois dire, j’ai toujours été attirée par l’univers futuriste
    qu’un auteur peut nous apporter. Tant de possibilités s’offrent à notre imagination lorsqu’on pense « mais à quoi
    ressemblera le futur ? », alors pourquoi ne pas avoir le point de vue d’une autre personne ?

    MAIS, j’avais l’impression d’avoir été entraînée dans une espèce de train qui roulait à toute vitesse.
    Une fois lancée dans ma lecture, je ne pouvais plus m’arrêter. C’est un bon point, allez vous me dire.
    Et je suis d’accord. Sauf quand on a fini de lire au bout de 20 minutes.

    Les personnages sont, malheureusement, introduits très (trop) brièvement à mon goût, on entre dans des délires que
    seul l’auteur (ou des gens sous LSD) peut comprendre. Très honnêtement, j’adore le domaine de l’étrange mais dans ce livre ? J’étais vraiment perdue.

    Une histoire d’amour avec une personne qu’on a rencontrée 48 heures auparavant : sérieusement ? Zep, ça se passe pas comme ça dans la vraie vie. Et d’ailleurs, je n’ai pas bien compris l’intérêt d’amener de la romance dans cet univers.

    Ce qui m’a le plus déçue en fait, c’est à quel point l’histoire se finit vite. « Ils se marièrent et eurent beaucoup
    d’enfants. », c’est vraiment l’effet que ça m’a fait. J’ai eu l’impression que l’auteur voulait se débarrasser au plus vite de son histoire d’amour ennuyante avec 2-3 péripéties bâclées où le prince sauve la princesse.

    Si je n’avais qu’une chose à dire : L’auteur aurait clairement dû faire plusieurs tomes. Le pitch de base est
    super, l’univers futuriste aussi, alors pourquoi tout bâcler ?
    On n’en apprend même pas plus sur l’intrigue initiale !

    • Justine L. on 2 mars 2023 at 12 h 03 min

    Dans Ce que nous sommes, Zep nous amène en 2113 où nous découvrons Constant. Il fait partie de la première génération à être née avec des capacités augmentées grâce au projet DataBrain. Il possède un second cerveau numérique dans lequel il peut télécharger des programmes pour améliorer ses capacités en langues étrangères et devenir parfaitement polyglotte en quelques minutes ou devenir télépathe par exemple.
    Ces programmes lui permettent de vivre des expériences virtuelles qui lui paraissent réelles allant des sensations de goûts de texture et de chaleur lorsqu’il avale une gelée neutre lui offrant l’expérience d’un plat de lasagne à l’expérience de mort imminente mangé par un requin blanc.
    Tant qu’il possède l’argent nécessaire pour télécharger de nouveaux programmes et mettre à jour ses anciennes connaissances, il est un humain augmenté et peut tout vivre et tout apprendre.
    Tout bascule lorsqu’il perd l’accès à son cerveau numérique et qu’il se retrouve seul et amnésique.
    Mais hors du monde virtuel et aseptisé, se trouvent les derniers humains non augmentés, qui vont l’aider à retrouver sa mémoire et à utiliser son propre cerveau et ses capacités naturelles.
    Cette BD nous interroge sur la place du monde numérique dans nos vies et sur ses conséquences à long terme, mais également sur la différence entre inné et acquis. Ces questions ont déjà été posées de nombreuses fois dans des dystopies ou bien en philosophie mais Zep apporte également une notion d’écologie et l’histoire est facile à suivre malgré les dialogues en langues étrangères. Les personnages sont réalistes et évoluent dans peu de couleurs, ce qui permet de se concentrer sur le message et non sur sa forme.

    • ABM1Dautry Rachèle E. on 2 mars 2023 at 12 h 05 min

    Notre vie future

    Nous allons actuellement nous diriger vers notre avenir à travers des explosions de couleurs primaires. Réalité de l’avancement technologique au dépit de l’être humain, c’est ce que nous allons voir dans la bande dessinée nommée Ce que nous sommes écrite par Zep.

    Nous débutons la lecture de cette BD face à une rencontre entre un jeune homme et une baleine bleue, nous constatons tout de suite dans les yeux de la baleine qu’il y a un lien qui se crée entre elle et ce jeune homme dans ce vaste océan puis tout à coup il y a l’apparition du grand requin blanc et là c’est le drame : le jeune homme meurt sous les coups de mâchoire de ce grand prédateur. Nous sommes actuellement dans le vif du sujet car le lecteur comprend que c’était une réalité virtuelle très réaliste et que le jeune homme est bien vivant en train de parler de cette expérience à son ami Franz.
    Nous comprenons tout de suite que nous sommes dans le futur, plus précisément le 15 avril 2113, nous voyons alors tout au long de cette BD les différents aspects de la haute technologie comme les gelées qui permettent de manger, boire et le cerveau qui est connecté au data brain center permet un accès à toutes connaissances que ce soit historique ou même dans la littérature. Nous observons aussi de nombreuse couleurs primaires, les couleurs froides désignent la partie augmentée ou même les souvenirs liés à elle et les couleur chaudes montrent les discussions dans la vie sans technologie ou avec très peu.

    La morale de cette BD est que en faisant évoluer l’Homme, on a plutôt créé des êtres humains assistés qui oublient ce qui est vraiment important dans la vie comme être connecté à la nature. Tout cela montre que si l’Homme avait évolué sans toute cette technologie, il aurait développé de nouvelles parties de son cerveau, on peut donc dire que la haute technologie ne nous rend pas plus intelligent, au contraire elle nous rend dépendante à elle et incapable de nous débrouiller si un jour elle faillit.

    • ABM1Dautry Solenn T. on 2 mars 2023 at 12 h 52 min

    Une BD pleine de sagesse

    Ce que nous sommes est une bande dessinée qui vous fera faire un bond dans le temps. Elle vous fera découvrir l’un des futurs possibles qui attend l’humanité si on continue à innover et développer de nouvelles technologies.

    Cette BD aborde plusieurs sujets intéressants qui vous feront réfléchir sur la tournure que prend l’espèce humaine. Nous voulons toujours plus et être meilleurs dans tous les domaines.
    L’auteur a voulu dénoncer la bêtise de l’être humain et sa soif de pouvoir. En effet, Constant, personnage principal va en payer le prix fort. Vivant dans un monde où la technologie est souveraine, Constant et tout son entourage, habitant dans cette société, possèdent un implant appelé « DataBrain » qui donne un accès à un savoir illimité. Leur mode de vie repose sur la technologie. Or un jour, Constant se fait pirater et se retrouve de l’autre côté de la ville, parmi les gens ne possédant pas cet implant. Il se réveillera sans le sien et se retrouvera aussi perdu qu’un nouveau-né abandonné.
    Recueilli par une jeune femme, il va devoir apprendre et comprendre par lui-même en faisant fonctionner son propre cerveau.

    A travers cette histoire, on comprend que les intentions étaient bonnes au départ. Les nouvelles technologies permettent de simplifier la vie. Mais à trop vouloir créer des super-humains, ils sont devenus dépendants des technologies et sont donc finalement, à l’état naturel, des êtres humains diminués.
    De plus, le monde utopique n’existe pas. En effet le monde est devenu encore plus inégalitaire. Séparant les humains « naturels » des humains « augmentés ». Il y règne encore plus de danger comme nous le montre la BD. De manière la plus simple, votre vie entière peut être supprimée par un simple piratage. Les êtres humains sont encore plus vulnérables. Les scientifiques pensant pouvoir agir sur l’évolution de l’être humain n’ont créé qu’une façade et n’ont réussi qu’à provoquer l’inverse.
    Zep nous propose une histoire hors du temps qui vous fera prendre conscience de la facilité à nous déconnecter de ce qui nous entoure. Que les relations avec les uns et les autres sont notre plus grande richesse et notre plus belle source de savoir. Il n’y a qu’en restant connecté les uns aux autres que nous pouvons vivre dans la réalité. Zep nous offre une leçon de morale à travers son histoire visant toutes les générations.
    Du point de vue esthétique, les dessins sont réalisés avec finesse. L’auteur a choisi de raconter l’histoire avec des couleurs épurées et peu nombreuses en mettant en avant l’atmosphère de l’histoire en aidant le lecteur à saisir l’intensité de l’action. Des couleurs jaunes représenteront plus un moment calme avec des discussions alors que des cases bleues et rouges mettront plus en avant l’action que vivent les personnages.

    De mon point de vue, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette BD. Zep a su mettre en avant plusieurs sujets différents. Des sujets d’actualité sur notre dépendance aux technologies et sur les relations que nous entretenons les uns envers les autres. Cette BD est remplie de sagesse et nous laisse pensif sur notre mode de vie. La plus grande leçon à retenir de cette BD est qu’il faut rester connecté à la réalité et ne pas se laisser envahir par les technologies. Notre cerveau est capable de plein de choses et nous devons l’entretenir. La solution de facilité est envieuse mais ne nous rendra pas service comme nous l’a si bien démontré Zep. De plus, les dessins sont très agréables et le manque de couleur n’est absolument pas dérangeant.

    En bref, cette bande dessinée ne vous laissera pas de marbre mais au contraire, vous fera réfléchir à des questions sur notre espèce et de la direction que prend l’humanité. C’est plus qu’une BD mais un avertissement à l’humanité toute entière.

    • ABM1Dautry Hugo R-P. on 2 mars 2023 at 12 h 53 min

    Critique sur une question de société.

    I.Façon dont est construit le livre.

    Dans cette BD il y a assez peu de couleurs c’est vrai qu’au départ c’est un peu dérangeant mais on s’y habitue vite car les couleurs sont bien choisies par rapport aux émotions car elles correspondent aux émotions de l’acteur principal.

    C’est une BD qui est facile à lire et elle est facilement compréhensible et évidemment bien écrite, ce qui est intéressant c’est que les bulles sortent parfois de la case, ce qui va à l’encontre des règles de BD que j’ai pu apprendre quand j’étais petit.

    II.Avis sur le livre.

    Maintenant je vais vous donner mon avis sur la BD.

    Il y a une triste réalité de fond quand on lit cette BD et quand on aime lire des articles de sciences, la question de cette BD est : est-ce que la technologie ne finira pas par nous tuer un jour ?

    Cela soulève beaucoup d’interrogations car on pourrait se dire que c’est une histoire fictive d’avoir un implant dans le cerveau pour être plus performant, comme parler plusieurs langues, contrôler des réactions biochimiques naturels dans le corps etc.…

    Aujourd’hui on n’en est pas encore là heureusement mais actuellement l’entreprise Neuralink d’Elon Musk implante ou va très prochainement implanter des puces dans le cerveau des gens pour les rendre plus performants sur certains points. Ce qui pose évidemment des questions comme est-ce qu’on ne serait pas totalement dépendant de la technologie ?

    Je vois 2 aspects pour répondre à cette question dans une certaine mesure si on est dépendant de la technologie pour s’informer communiquer et même on commence à soigner à distance mais d’un autre côté c’est la technologie qui nous permet de vivre en société car sans elle on retombe dans les années 1920 avec un accès à l’information qui est bien plus limité qu’aujourd’hui , le divertissement y est également réduit comme les films en streaming, les jeux vidéos etc …. Et d’un autre côté on n’est pas dépendant de la technologie car on peut toujours utiliser le dictionnaire pour trouver la bonne orthographe d’un mot ou trouver des mots dans d’autres langues on a heureusement toujours le service postal même s’il se réduit et on peut se divertir sans internet comme avec le cinéma, les jeux de société etc.… Donc d’une certaine manière on est dépendant de la technologie mais pas encore totalement.

    Pour revenir à la première question, si on continue à développer des technologies de plus en plus performante mais qu’on les applique sur nous peut-être que oui car comme dans la BD l’acteur principal a une puce, ce qui lui confère des capacités extraordinaires comme parler beaucoup de langues, avoir la télépathie etc.… malheureusement un jour il y a eu un problème et il a tout perdu alors il n’est pas capable de faire quoi que ce soit sans la moindre aide, mais connaissant l’espèce humaine cela ne m’étonnerait pas que si un jour cela se produit et qu’il y a un bug comme dans la BD si on peut contrôler des réactions biochimiques vitales , le « bug » pourra nous tuer en faisant intervenir par exemple la boucle de régulation de la glycémie ce « bug » pourrait engendrer une grave hypoglycémie et donc donner la mort mais évidemment cela est à contextualiser avec la technologie actuelle.

    • ABM1Dautry Elina V. on 2 mars 2023 at 12 h 58 min

    Mon avis sur Ce Que Nous Sommes :

    Ma critique porte sur la bande dessinée Ce Que Nous Sommes écrite par Zep, l’auteur de «Titeuf», et publiée chez rue de Sèvres. Je n’ai pas aimé mais je n’ai pas non plus détesté cette lecture.

    J’ai apprécié le concept de cette BD concernant le fait que les humains aient un cerveau numérique conversé dans un secteur et surtout toutes les conséquences que cela entraîne sur la vie des humains au quotidien. Les conséquences sont par exemple qu’ils ne mangent plus d’aliment mais des pastilles qui font croire à leurs cerveaux qu’ils mangent un repas. Ce qui m’a surtout plu dans ce concept, c’est qu’il peut paraître réaliste pour l’avenir vu tous les progrès de la technologie de ses dernières années.

    En revanche, j’ai trouvé la fin et l’intrigue beaucoup trop simpliste et peu recherchée. Je pense qu’avec le concept imaginé nous aurions pu avoir une histoire plus complexe et beaucoup plus intrigante. Cette histoire m’aurais vraiment plu si ce n’était que le premier tome d’une saga entière mais puisque cette BD est un one shot, je suis un peu déçue.

    Concernant, le coté artistique de cette BD les couleurs des cases étaient souvent monochromes. Par exemple le début du livre des pages 8 à 10, quand l’on voit Franz et Constant prendre leur «repas», les cases étaient dans les tons mauves et roses pastel. Personnellement, je n’apprécie pas que les cases soient monochromes car je trouve que cela rendait l’histoire trop irréaliste. Mais les dessins étaient plutôt bien réalisés.

    De plus, la romance de cette lecture n’avait aucun intérêt selon moi puisqu’ elle n’apportait pas d’élément supplémentaire à cette histoire. Une simple amitié aurait largement suffi.

    Par contre, la morale à la fin de cette histoire était très bien formulée et j’ai beaucoup aimé la citation « nous vivons dans une hyper technologie que presque aucun individu n’est capable de comprendre ou de maîtriser… On voulait faire un humain augmenté, on a créé un humain assisté ». Je trouve que cette morale peut parfaitement s’appliquer à notre génération.

    Pour conclure, j’ai été très déçue par cette bande dessinée que je n’ai pas plus aimé que ça.

    • LP Dautry - Naïma on 17 mars 2023 at 10 h 46 min

    La BD « Ce que nous sommes »  a été écrite par ZEP et a été publiée en mars 2022. Cet ouvrage traite des rapports entre la réalité et le virtuel. L’histoire se passe à Data Brain Center. On a l’impression que Melvile parle du 21ème siècle comme du passé. Les personnages de cet ouvrage sont parfois trop dans l’incompréhension : par exemple, Melvile ne sait pas vraiment s’ il existe, mais Hazel est là pour l’aider.
    J’ai bien aimé l’ouvrage car il est intéressant dans les thèmes qu’il aborde.

    • LPCabanis-Alexis-Enzo on 28 avril 2023 at 8 h 16 min

    Le personnage principal, Constant a perdu la mémoire et veut la retrouver.
    Une femme, appelée Hazel, l’aidera pour retrouver sa mémoire.
    L’histoire est bien car le contexte n’est presque jamais présent dans d’autres histoires.
    Il y a de la romance.
    J’adore la manière dont il a découvert ses pouvoirs, les illusions, dues à son implant dans le cou, qui font perdre la tête au héros.
    Ce qui manque dans le livre, ce sont des couleurs.
    Alexis et Enzo 1ère MELEC – LP Cabanis

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