« L’entente des vergers » est née en 2009 de l’entente de 5 clubs: Chamberet, Auvézère Foot, Concèze, Entente Troche Vigeois, Uzerche. En chiffres : environ 200 jeunes de 6 à 17 ans, une vingtaine d’éducateurs, 17 équipes dont 3 féminines et des équipes garçons dans chaque catégorie. Les créateurs de l’Entente des vergers sont Jean-Jacques Loubriat et François Leclair.
C’est une équipe de football qui accueille des jeunes filles et garçons de tous âges. C’est aussi un club qui entraîne des équipes pour atteindre un bon niveau comme l’équipe féminine des séniors qui sont au niveau R2. Les entraîneurs font des stages pour que les jeunes puissent découvrir ce club et leur passion. Dès l’âge de 17 ans, ils peuvent par la suite accéder aux mêmes installations que les séniors de l’Entente des vergers.
Témoignage de Jade Besse, milieu défensif sur le terrain : « Depuis mon plus jeune âge je restais toujours avec des garçons ce qui m’a fait découvrir cette passion pour le foot. Puis je me suis inscrite dans ce club et grâce aux entraîneurs qui savent faire la part des choses : ils savent rigoler avec nous mais ils savent aussi rester très sérieux pour pouvoir s’adapter à n’importe quel niveau et nous aider à progresser ».
Ce club propose aussi des activités comme le foot en salle. Les jeunes s’initient, s’améliorent et s’amusent en débutant ou progressant dans ce sport. Ceci représente les engagements dans cette commune de Lubersac.
Lionel Laverdet, 49 ans, se lance dans un projet fou. Suite à la découverte d’un four à pain domestique gallo-romain aux Roubegeolles à Vayrac, l’homme prend contact avec une aquarelliste de Martel afin de réaliser un soldat gaulois à l’occasion de l’ouverture de sa ferme auberge sur le thème gaulois.
Le four gallo-romain domestique fut découvert en octobre 2018, celui-ci est daté de -50 a +200 années après Jésus-Christ. Lionel Laverdet annonce: “Nous allons faire des soirées gourmandes autour du thème des banquets gaulois”.
Lionel Laverdet a également créé une association qui se nomme « Les Gaulois de Roubegeolles ». Le président de cette association est François Moser. Cette association a été créée afin de proposer aux habitants de la région de contribuer à des week-end participatifs au vu d’un projet dans un futur proche, il consiste à la reconstitution de la vie gauloise et de la dernière bataille entre les gaulois et les romains. Cela n’est qu’un des nombreux projets envisagés par cette association.
Pour finir cette ferme auberge gauloise se situe à environ 3 kilomètres d’Uxellodunum (lieu reconnu pour être la dernière bataille entre les gaulois et les romains). D’octobre à décembre une opération de communication aura lieu auprès des écoles afin d’accueillir des classes découvertes de mars à juin 2022.
Aujourd’hui nous allons nous intéresser au métier de militaire qui est une profession avec un très fort engagement pour la société. Le rôle d’un militaire est de maintenir la paix dans le pays et le défendre contre les agressions extérieures et aussi de faire respecter l’ordre public et assurer la sécurité des personnes.
Pour vous engager vous devez avoir entre 17 ans et demi et 30 ans, avoir l’accord de vos parents si vous êtes mineurs, être de nationalité française, avoir effectué la Journée Défense et Citoyenneté et avoir de bonnes conditions sanitaires et physiques. L’armée de Terre recrute puis forme des soldats. Son but est de vous faire acquérir des compétences en vous préparant grâce à ses nombreux centres et écoles.
L’armée recrute environ 10000 soldats par an.
Maintenant, nous allons vous en parler mais à l’échelle locale. Pour cela nous avons interviewé deux militaires : Monsieur Eric Zavras qui est un ancien lieutenant colonel et réserviste opérationnel à la délégation militaire de Corrèze et Yves Lasvigne qui a la même fonction mais qui n’est pas encore retraité. Lors de cette interview, nous avons appris beaucoup de choses notamment le fait que la bonne entente entre les militaires est primordiale surtout dans les moments difficiles. Par ailleurs ils nous ont aussi informé qu’ aller présenter leur métier dans les écoles et les lycées était un plaisir.
Zoélie Nauche – Romain Sebal – Ahmed Demir – Victoire Roche et Théa Lissac
Alors que le moral des Français est en baisse une lueur d’espoir et un élan de solidarité émergent dans la ville de Brive. Plusieurs restaurateurs sont à l’origine d’un mouvement d’entraide envers le corps médical.
Infirmiers, médecins, pédiatres, sages-femmes, chirurgiens, puéricultrices, aides-soignants, agents d’entretien sont autant de métiers importants durant cette première crise. En effet ils ont tous été confrontés à des situations de stress, d’urgence liées à la première vague.
De nombreux restaurateurs, sensibles à leur effort ont su aussi se montrer présents à leur manière.
C’est le cas des restaurants L’avant Première, Dominos Pizza, Krill, A L’Amuse bouche. Ils n’ont pas hésité à exprimer leur reconnaissance en concoctant des paniers repas complets et gratuits composés de verrines, de pizzas, de viandes, de saumon, de crème brûlée, de bagels, de cookies ou encore de jus.
Des petits plats qui n’ont pas manqué de faire plaisir au personnel soignant.
D’ailleurs cette initiative n’est pas un acte isolé puisque d’autres commerçants et restaurateurs ont été mobilisés face à la crise tel que le 126 éme Régiment d’infanterie qui a livré des crudités. Ainsi que LIDL qui a livré des tulipes.
Bien que ces attentions ne permettent pas d’éradiquer la Covid, elles démontrent l’attachement le respect et la solidarité pour ces métiers essentiels au quotidien pour nous soigner.
Alors dés que les restaurants pourront rouvrir nous tous, personnel soignant ou non, nous nous hâterons de retourner manger leurs bons petits plats en guise de soutien et de remerciement. Car il y a bien une chose à retenir de cette crise c’est que les restaurants, et les commerçants ont été solidaires pour remercier nos soignants et que chaque profession est indispensable à la vie en communauté.
Guilhem Cledel né à Brive le 11 décembre 1992, habite à Montvalent, qui est la ville dans laquelle j’habite, c’est une ville située dans le lot qui est limitrophe de Rocamadour. Il intègre le lycée Bossuet à Brive et c’est dans ce lycée que son engagement et son envie de travailler pour la chose publique et l’intérêt commun sont nés. Il est devenu en 2020 le maire de Montvalent et par la même occasion le plus jeune maire du Lot, il est également vice-président de Cauvaldor qui est la Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne. L’envie de s’engager est liée à son grand-père qui a été également maire.
Le premier engagement de Guilhem Cledel est de créer pour la commune un transport à la demande pour permettre aux aînés de rester le plus longtemps à leur domicile. De plus, les personnes qui ne sont pas en situation de se déplacer pour diverses raisons pourront également s’en servir. Il lui tient également à cœur de mettre en place un conseil municipal jeune, pour donner aux enfants l’envie de s’investir dans le village et pour qu’ils prennent conscience qu’il y a une vie communale et beaucoup de choses à faire pour améliorer le cadre de vie de tout le monde, que ce soit avec le comité des fêtes ou l’association culture et patrimoine. Pour finir, Guilhem Cledel voudrait également créer un écoquartier avant la fin de son mandat mais il n’a pas encore développé cette idée, donc nous sommes impatients de voir de quoi il s’agit dans les années à venir.
Nous avons eu la chance de rencontrer M. Lescure pour lui poser quelques questions pour en apprendre plus sur lui et dresser le portrait d’une personne engagée. Vous pouvez écouter notre interview ci-dessous.
Non, il ne s’agit pas de remplacer l’équipe de M. Soulier ! La ville a simplement innové une idée participative proposée aux enfants. L’idée est un projet d’une création de Conseil municipal des enfants scolarisés en CM1, dont 14 écoles sur 17 ont participé dans la commune de Brive la Gaillarde.
En effet, voici quelques idées qu’ils ont proposées :
D’abord, une salle dédiée aux jeux de société et à la lecture de l’école.
Un skate parc réservé aux enfants de moins de 11 ans.
Des actions de nettoyage du quartier et de ramassage des déchets.
Enfin, des collectes de jouets et vêtements.
Pour cela, les enfants ont confectionné des bulletins de vote, fabriquer des isoloirs et enfin effectuer des dépouillements.
Enrevanche, d’autres idées sont en cours de réflexion.
C’est ainsi que les élus adultes, accompagneront ce projet dans le but de le concrétiser, certains points pourront être débattus au Conseil municipal des adultes.
Par ailleurs, si cela vous intéresse et que vous êtes élève en CM1, que vos parents donnent leur accord, que vous avez convaincu vos camarades de voter pour vous, alors vous pouvez contacter votre école et proposer votre candidature.
En dernier lieu, une belle initiative de coopération intergénérationnelle qui présente un intérêt à être diffusé.
Les substances chimiques qui sont déposées pour éliminer les parasites sur les plantes tels que les pucerons, vont également éliminer d’autres insectes primordiaux pour la nature et ce sont les abeilles qui subissent le plus les pesticides, en particulier les insecticides mais pas seulement le réchauffement climatique joue notamment un grand rôle dans la disparition de celles-ci.
En Europe, le taux de mortalité des abeilles dans certaines ruches peut atteindre jusqu’à 80%.
Un apiculteur aux petits soins avec ses abeilles.
C’est pour cela que Jacques Laugénie, un apiculteur, décide d’élever ses abeilles au plein cœur du Périgord Noir, à La Bachellerie, à proximité de grands lieux touristiques comme la Grotte de Lascaux (Montignac). C’est avec fierté et plaisir que cet apiculteur fait découvrir sa passion ainsi que la vie secrète de ces merveilleuses petites bêtes (pollinisation, élevage, production) dans un milieu calme, reposant et paisible, où tous les sens sont éveillés.
Le nom du hameau où se situe les ruches donne envie d’en savoir plus : Les Bois Sauvages… Ce producteur fait aussi la vente d’essaims d’abeilles. Une activité très ludique ainsi qu’instructive à partager en famille ou entre amis. Aucun souci pour garer les véhicules, un parking est à la disposition des visiteurs. Cet endroit est accessible aux personnes à mobilité réduite. La visite est gratuite, guidée et peut être pratiquée soit en français, soit en anglais. L’extraction du miel se passe le mardi et le jeudi en période estivale. La durée de cette activité est d’environ une heure, le point de départ est la Miellerie. En juillet/août une visite est proposée chaque jour de 10h à midi et de 14h30 à 19h. Hors période estivale, ce joli lieu pourra être visité seulement sur rendez-vous. Les excursionnistes ont l’honneur de pouvoir déguster des produits de la ruche pendant la visite. A la fin de cette excursion qui ravive tous les esprits, les touristes peuvent (pour les gourmands) rapporter des gourmandises puisqu’il y a un point de vente à la sortie (La Miellerie).
L’association « Loris enfant sourire« a été créée par monsieur et madame BOUCHET, les parents de Loris le 11 mars 2015 dans la commune de Sainte Féréole en Corrèze. Cette association a pour objectifs de collecter des fonds dans le but d’aider les familles des enfants atteints du Syndrome de Nicolaides-Baraitser, de participer aux rencontres nationales et/ou internationales dédiées à les informer sur l’évolution des recherches et de mettre en place les moyens pour leur permettre de s’intégrer dans la vie sociale. Elle a aussi pour but de recueillir toutes informations médicales sur le syndrome Nicolaides-Baraitser .
La présidentede l’association est Mme Aurélie BOUCHET, le secrétariat et la trésorerie sont gérés par M. Nicolas BOUCHET
Le syndrome Nicolaides-Baraitser est une combinaison de caractéristiques inhabituelles chez un enfant ou un adulte qui ont été décrites pour la toute première fois par la neurologue pédiatrique Paola NICOLAIDES, et le généticien Michael BARAITSER.
Actuellement, il y a seulement 100 enfants et adultes déclarés atteints de cette maladie dans le monde. En effet la maladie de Nicolaides-Baraitser fait partie des syndromes appartenant à ce que l’on nomme « les maladies orphelines« signifiant que c’est un trouble très rare.
Ce syndrome est dû à un changement ou une mutation du gène SMARCA2 qui se situe au niveau du bras long du chromosome 9. Dans certains cas très rares, il y a la présence d’une micro délétion c’est à dire que la totalité du gène est manquante. La raison de ce changement dans le gène reste jusqu’à aujourd’hui encore inconnue.
Il existe diverses caractéristiques du syndrome de Nicolaides-Baraitser notamment au niveau du développement psychomoteur, tous les enfants et adultes ont la présence d’une déficience intellectuelle. Certains apprentissages, comme la marche par exemple sont acquis plus tard que la normale. Ainsi que des difficultés de motricité très évidentes.
Mais aussi des crises d’épilepsie se produisent fréquemment, et des troubles de la croissance.
Les enfants avecce syndrome sont le plus souvent très sociables, et sont très affectifs, en effet ils n’aiment pas voir les autres pleurer ou tristes et ressentent le besoin d’aller les consoler.
L’association « Loris enfant sourire » a organisé de nombreux événements pour récolter des dons notamment des lotos et spectacles au sein de la commune, mais aussi des partenariats avec des marques. Pour ma part j’ai déjà participé, à un des spectacles de danse organisé par l’association « music on danse » qui a décidé de verser une part des bénéfices à l’association « Loris enfant sourire« , l’argent récolté lors du spectacle a servi à récolter des fonds dans le but d’aider les familles des enfants atteints du Syndrome de Nicolaides-Baraitser. Le spectacle était convivial d’après les spectateurs, pour nous les danseurs, c’était un spectacle où nous nous sommes amusés et étions heureux de pouvoir aider Loris et sa famille ainsi que les autres enfants atteints du syndrome de Nicolaides-Baraitser.
Il existe d’autres associations en Corrèze engagées pour venir en aide aux enfants malades ou atteints de handicap comme « Saramagbelle ».
La famille de Loris a découvert sa maladie quand il avait environ l’âge de 4 ans, ils l’ont découvert suite aux différentes difficultés qu’il a pu rencontrer en classe de maternelle, et de nombreux examens médicaux. En effet, il rencontra des difficultés pour s’exprimer correctement.
En grandissant Loris arrive malgré tout à suivre un encadrement scolaire «normal». La famille de Loris a été confrontée à quelques difficultés avec l’école pour réussir à établir un plan d’aménagement. Mais grâce à ses parents il peut continuer à étudier dans cette école avec ses autres petits camarades qui le soutiennent et l’aident à évoluer.
« Loris enfant sourire » c’est une maman, un papa, un grand frère qui sont prêts à tout pour accompagner Loris, ainsi que tous les enfants et leurs parents, qui sont atteints du syndrome de Nicolaides-Baraitser.
La commune de Masseret fait partie du département de la Corrèze dans la région de la Nouvelle-Aquitaine. Le code postal de cette commune est 19510. Au dernier recensement ses habitants forment une population de 682 habitants, sa superficie est de 1374,87km2.. Le nom du maire actuel est M. B. Roux.
Dans la commune de Masseret, après avoir connu plusieurs médecins en vain, une maison médicale s’est enfin installée dans laquelle exerce une gynécologue, un médecin généraliste, il y a également le cabinet des infirmiers libéraux et la commune recherche encore un dentiste. Auparavant, il y avait déjà un cabinet médical ainsi qu’un cabinet de médecin qui sont deux lieux différents. C’est suite au décès d’un médecin installé depuis longtemps que le désert médical a commencé ; en cherchant de nouveaux médecins la commune a donc décidé de recruter plus de personnels de santé afin d’ouvrir une maison médicale.
A Masseret comme dans beaucoup d’autres villages en Corrèze, cela devient de plus en plus compliqué de trouver des médecins et autres personnels de santé, pour cela, la France recrute des médecins d’autres pays. La plupart des personnels soignants admis en France sont des docteurs qui viennent de Roumanie a expliqué Marcel Lewin, président du conseil de l’ordre de la Corrèze «ces médecins participent de façon active et absolument nécessaire au bon fonctionnement des hôpitaux […] En Roumanie aussi ils ont des soucis de désert médical. Mais un généraliste roumain va davantage gagner d’argent en France, chez lui son salaire est inférieur à ce qu’il peut espérer ici.»
Près d’un médecin sur deux, qui s’est récemment installé dans le département, n’a pas obtenu son diplôme en France. (20 % dans l’UE contre 25 % hors UE)
Le gouvernement en avait déduit que la meilleure solution était l’obligation d’installation pour exercer, Marcel Lewis répond un NON à cette proposition. Lui propose de former différemment les étudiants en médecine ; leurs stages sont essentiellement réalisés en hôpital durant leur cursus, il faudrait faire découvrir à ces futurs praticiens la médecine de la ville et de la campagne «il faut sortir les étudiants des hôpitaux».
Pascal Coste, président du conseil départemental de la Corrèze, avait mis en forme une proposition, avec salaire chiffré de 5000€ mensuel net et d’autres avantages. L’objectif étant de recruter dix généralistes pour animer des nouveaux centres de santé.
Interview d’habitants de Masseret – paroles de Masserétois :
« Masseret a toujours été une commune très active et vivante. »
« Il fut une période dans laquelle la commune se voyait diminuer, mais grâce à l’ouverture d’un nouveau bar, d’une nouvelle boucherie et le soutient des autres commerçants déjà présents ; la commune est repartie de plus belle. »
« J’ai toujours habité dans cette commune, et depuis toujours je ne cesse de la voir évoluer, la maison médicale fait partie d’une avancée supplémentaire dans la progression, ainsi que l’ouverture de plusieurs commerces. »