Grendel raconte l’histoire de Camélia, une jeune chevalière condamnée à mort par le roi pour trahison. Ce dernier lui propose alors un marché : escorter le dernier dragon de son espèce dans un lieu sûr en traversant des contrées périlleuses. Parviendra-t-elle à assurer sa mission ?
Grendel est un manga que j’ai adoré parce qu’il est rempli d’actions avec de l’émotion du fait que l’héroïne, Camélia, protège un jeune dragon blanc au péril de sa vie. Le fait qu’elle persiste à le protéger alors qu’elle pourrait le laisser sans défense et partir tout en se faisant oublier du roi qui l’a condamnée, prouve qu’elle s’y est finalement attachée. Elle serait prête à sacrifier sa vie pour lui. Ce manga est tout aussi émouvant car, à chaque combat, Camélia ressent la peur de la mort éprouvée par l’adversaire qu’elle affronte contre son gré.
Les dessins sont réalisés avec une précision remarquable et presque irréalisable car ils nous communiquent les sentiments des personnages que l’on ne perçoit pas par le texte du manga. Certes, ce manga est triste mais, les images rendent le texte vivant et on peut s’identifier à l’héroïne tout au long de ce premier tome car Camélia nous montre sa personnalité assez étrange et mystérieuse. En effet, Camélia a comme une double personnalité : lors des combats, elle est hyper sensible alors que, dans la vie « normale », elle se montre téméraire envers ce qui l’entoure et elle est très attentive au petit dragon. Je recommande fortement ce manga qui a une fin totalement inattendue à ceux qui aiment les mangas surprenants.
Et, je vous dis à tous, bonne lecture aux fans !!!
La chaise est, non seulement un livre, mais aussi une pièce de théâtre. Une pièce de théâtre qui, grâce à une chaise, parcourt diverses époques dont la Préhistoire, l’Antiquité, le Moyen-Age ou encore de la Révolution française. Lors de la préhistoire, au début du livre, une chaise tombe du ciel. Comment cela se fait-il ?On ne le découvre seulement qu’à la fin du livre, après plusieurs péripéties pour la chaise qui est l’acteur ou plutôt l’objet principal car elle est présente dans chaque scène de chaque acte. Par exemple, la chaise a pour rôle d’être un nouvel objet inconnu au cours de la Préhistoire ou encore un trône pour le prince Ramsès, donc c’est la chaise qui nous permet de changer d’époque aussi facilement.
Comme c’est une pièce de théâtre, je peux vous dire qu’il y a seulement des mots simples à lire, à prononcer et à comprendre pour tous les âges, donc peu importe votre âge, ce livre est fait pour vous, pour vos ami(e)s ou encore pour votre famille. Cette pièce de théâtre est facilement réalisable avec ses ami(e)s et/ou sa famille et, c’est ce qui fait tout son charme car peut ainsi permettre de passer un bon moment entre ami(e)s / famille, tout en lisant un bon livre !
De plus, le fait que ce soit une pièce de théâtre nous encourage à lire autre chose que ce que l’on a l’habitude de lire. Pour conclure, j’ai adoré ce livre ! Cette pièce est accessible pour tous les âges, c’est agréable de pouvoir lire aux plus petits que soi, et lorsque le plaisir est partagé alors c’est deux fois plus agréable.
Mon avis :J’ai trouvé ce livre original car, cette pièce de théâtre traverse les différentes époques. Mais avant tout, j’ai trouvé cette pièce de théâtre amusante. Mais, à la fin de la pièce de théâtre, j’ai eu l’impression que l’histoire recommence à zéro car on a le pourquoi du comment la chaise tombe du ciel au début du livre, c’est-à-dire à l’époque de la préhistoire.
Aujourd’hui, dans la forêt de Sédières, 10 % des 150 hectares qui ont été plantés avec des « abies grandis » (nom scientifique des sapins de Vancouver) sont en train de mourir à une vitesse impressionnante et cela représente un danger pour ceux qui fréquentent les forêts corréziennes. Depuis plus de deux ans, les arbres meurent les uns après les autres au point que l’ONF (office national des forêts) est dans l’obligation de les couper pour pouvoir préserver la forêt et ses alentours.
Ces sapins là ont besoin de davantage d’eau que les autres arbres, au moins 300 millimètres d’eau pendant un été complet pour en avoir une quantité suffisante. Mais, lors de ces derniers étés, les sapins n’ont pas eu la quantité suffisante d’eau, à cause des sécheresses successives et donc, les sapins ont commencé à sécher et/ou à rougir puis, à mourir.
« On voit bien que dans les vallons, les sapins se portent mieux car l’eau tombée sur les hauteurs a ruisselé », dit Guillaume Muller, responsable de l’unité territoriale Corrèze à l’ONF. Comme je l’ai dit précédemment, ou plutôt écrit, les sapins représentent un danger s’ils sont touchés par la maladie car ils peuvent tomber et blesser des promeneurs et peuvent également contaminer les arbres aux alentours.
L’ONF procède actuellement, et pour environ deux semaines encore, à une coupe sanitaire exceptionnelle.« Cette zone n’était normalement pas concernée cette année par le plan de gestion », indique Guillaume Muller.« L’année dernière, nous avions été obligés de couper des sapins morts sur la parcelle d’en face. Nous avions exploité environ 300 m3 de bois sur 14 hectares. Cette année, l’ONF va couper environ 1.000 m3 de bois sur une vingtaine d’hectares ».« Nous coupons les arbres parce qu’ils sont morts et donc dangereux. Nous ne pouvons pas les laisser dans une forêt très touristique comme celle de Sédières. Le weekend, il y a beaucoup de visiteurs. On ne peut pas prendre de risque« .
Dans les zones de la forêt qui ne sont pas accessibles aux promeneurs, l’Office National des Forêts a choisi de couper seulement les arbres endommagés, chacun leur tour, afin de préserver au maximum la forêt. Aujourd’hui, l’ONF, qui vend le bois coupé pour des scieries locales, n’envisage aucune replantation pour redonner une nouvelle vie à la forêt de Sédières. Guillaume Muller annonce : « On verra d’ici 4-5 ans, s’il y a des repousses, si des feuillus repoussent, on les laissera. Dans le cas contraire, on plantera d’autres essences. On plantera, de préférence, des essences méditerranéennes comme le pin ou le cèdre, du fait qu’ils ont moins besoin d’eau. »
Dans tout les cas, il n’y aura plus de sapins de Vancouver en Corrèze si les sapins meurent aussi rapidement de maladies à cause des sécheresses, on peut d’ores et déjà certifier que d’ici 2 à 3 ans ils auront tous disparus du département.
Ecrit par Hélène MONTARDRE et paru aux éditions Rageot, ce livre est recommandé par le ministère de l’ éducation nationale et il traite du changement climatique tout en racontant l’histoire d’une adolescente, Flavia (16 ans). Flavia, élevée au bord de la mer par son grand-père qui est guetteur, a hérité d’un savoir ancestral : en lisant le vol des oiseaux, elle comprend la planète et ses évolutions.
Les changements climatiques ont fait leur oeuvre : la mer et les océans ont petit à petit englouti la terre et, bientôt, les côtes de l’Europe seront immergées sous les flots. A partir de l’instant où la vérité éclate, tout le monde essaie de s’enfuir vers les villes protégées, notamment New York qui est protégé par une immense digue grise.
Maintenant, pour sauver sa vie, son grand-père, Anatole, oblige Flavia à aller à New York avec un de ses amis pour pouvoir la protéger. Là-bas, elle a une chance de se mettre à l’abri et de se rendre utile grâce à son don.
Mais, est-ce que son don suffira pour l’aider à comprendre et à affronter ce monde nouveau et effrayant ?
Mon avis :
On s’attache facilement au personnage. On a l’impression d’être dans l’histoire, d’être avec Flavia. On vit ses aventures avec elle. C’est une héroïne unique dans ce livre car elle vit avec la peur d’aller au devant et elle sait le danger qui la menace. Cette histoire de science-fiction pourrait bel et bien devenir réelle dans les années à venir, tant les changements climatiques menacent l’avenir de la planète. Mais peu sont les personnes ayant les pouvoirs et l’intelligence de Flavia face à la situation. Flavia retient toute mon admiration dans Océania.
Ecrit par Nicolas MICHEL et paru aux éditions Talents Hauts, ce livre traite de la seconde guerre mondiale tout en racontant l’histoire d’une petite fille, Lucile qui est de caractère espiègle et insoumis.
Lucile se lie d’amitié avec ses nouveaux voisins, récemment installés, et apprend à lire en secret avec Elsa qu’elle considère comme une seconde maman.
Après le départ de leurs voisins, ses parents lui annoncent qu’elle aura prochainement un petit frère ou une petite sœur. Lucile le prend mal du fait qu’elle soit une fille unique. Elle a peur que cet enfant prenne sa place, et donc elle commence à l’appeler « le monstre » avant même sa naissance. Mais après, l’histoire prend un tournant totalement inattendu et vous fait découvrir une « nouvelle » vie pour Lucile car elle a un tout autre regard sur son entourage, et le monde en général.
Mon avis :
On s’attache facilement au personnage. On a l’impression d’être dans l’histoire, d’être avec Lucile. On ressent ses craintes, ses joies et avant tout sa façon de s’exprimer devant les adultes et avec ses camarades de classe. C’est une héroïne exceptionnelle dans ce livre car elle vit sans vraiment s’en rendre compte les événements de la guerre. Elle reste dans l’insouciance.