Le voilà enfin, le film documentaire des élèves de 6e A, sur l’alimentation au collège de Corrèze ! Nos apprentis reporters vous expliquent tout sur les circuits courts.
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Un grand merci à Pauline Vergne et Réjane Duhamel !
Notre bien-être passe aussi par l’alimentation. Cette année pour transmettre ce message, dans notre classe de 6 ème B, certains élèves ont travaillé sur un projet autour du photolangage tandis que d’autres ont construit un éco-score. Le photolangage est un moyen de communiquer et qui facilite la prise de parole dans un groupe. Lors d’une première séance, nous avons échangé sur des photos en rapport avec l’alimentation.
Voici le nuage de mots-clés que nous avons crée après cette séance à partir de l’observation de ces images.
Après ce travail d’introduction, Lundi 11 janvier, nous avons travaillé avec Pauline Vergne, vidéaste et Réjane Duhamel, chargée de projets jeunesse au conseil départemental afin de produire notre propre photolangage. Celui-ci sera ensuite exposé au collège et nous deviendrons les animateurs d’une activité auprès des autres élèves. Nous étions 8 à participer à ce projet : Ambre, Manon, Celya, Titouan, Lila, Valentin, Mathis et Solène.
Nous avons commencé par aborder les différentes notions auxquelles l’alimentation nous fait penser : le plaisir, la tristesse, la convivialité, le partage mais aussi les maladies ou les troubles alimentaires, l’image qu’on a de notre corps, le fait d’avoir une vie saine, de pratiquer du sport. Nous avons aussi parlé des personnes qui souffrent du manque de nourriture et des aspects liés à l’environnement comme le gaspillage alimentaire.
Pauline Vergne nous a appris les « notions de base en photographie »
les notions d’orientation
les points de vue
les valeurs de plans
la luminosité
Nous avons réfléchi sur des thèmes et des choses à photographier pour faire passer un message. Puis, nous nous sommes ensuite mis d’accord sur ces thèmes.
Nous avons ensuite commencé à prendre les photos dans différents lieux du collège. Nous avons tour à tour servi de modèle et de photographe en réfléchissant au point de vue en fonction du message que nous voulions délivrer.
On ne vous en dit pas plus… Patience, vous découvrirez bientôt sur le blog et au sein du collège le fruit de notre travail !
Dans le cadre du projet alimentation/bien-être conduit cette année avec 2 classes de 6eme du collège de Corrèze, nous sommes 8 élèves à avoir travaillé à la réalisation d’un film. Jeudi 17 décembre, Mme Duhamel, chargée de projet jeunesse au conseil départemental et Mme Pauline Vergne, vidéaste sont venues pour nous guider dans ce projet vidéo.
Ce projet vidéo a pour thème les circuits courts dans la restauration au collège. Un circuit court c’est quand le produit fait un court trajet entre le producteur et l’assiette du consommateur.
Auparavant, nous avions travaillé sur le scénario du reportage qui devait expliquer aux autres élèves du collège pourquoi l’établissement a choisi de travailler le plus possible en circuits courts et comment cela se met en place. Nous avons travaillé sur les différentes scènes du scénario et nous avons réparti les rôles de chacun. Certains élèves étaient chargés d’interviewer différentes personnes. Amandine a conduit l’interview avec M. Salman, notre principal, Bryan et Enzo R. ont interrogé Mme Lescure, adjoint technique en cuisine, chargée notamment de l’approvisionnement, Mathis et Enzo F. se sont entretenus avec M. Maugein, producteur de yaourts à Saint Chamant. Timothé était notre présentateur et a également interrogé Azoumi sur des saveurs qu’elle a découvertes à la cantine. Yoan était notre voix off et Mathis a joué le rôle de notre électricien. Tiens, un électricien !!! Mais pourquoi !? Suspense, vous le découvrirez en regardant notre film qui sera publié prochainement sur le blog !
Avant de commencer le tournage, Pauline nous a tout d’abord montré le matériel que nous allions utiliser. Nous avons pu nous familiariser avec les différents éléments avant de tourner. Elle nous a montré le fonctionnement de la caméra avec le trépied, la semelle, le micro-cravate… Elle nous a aussi montré les différents types de vidéos et leurs objectifs : des pubs pour vendre, des dessins animés, films de fiction ou clips vidéo pour nous divertir, des reportages, journaux télévisés pour informer la population…
Nous avons ensuite couru aux quatre coins du collège pour tourner les différentes scènes dans le temps imparti, au CDI, en cuisine, dans le self, dans le bureau de Monsieur le principal… En plus de nos rôles dans le film, nous avons chacun notre tour filmé les différentes scènes.
Pour finir, Pauline nous a expliqué son parcours et son métier. De quoi nous donner envie de faire comme elle plus tard !
Lundi 14 décembre, nous, les élèves éco-délégués du collège avons pu distribuer des jouets pour les enfants défavorisés.
Comment tout cela a commencé ?
Au mois de novembre, notre groupe d’éco-délégués s’est réuni pour discuter des projets que nous voulions mettre en place. A l’approche de Noël, certains d’entre nous ont proposé d’organiser une bourse aux jouets avec l’association EMMAÜS d’Egletons pour pouvoir offrir des jouets aux enfants qui n’ont pas la chance d’en posséder. De plus, en tant qu’éco-délégués, nous souhaitons une société plus responsable vis-à-vis de l’environnement, donc nous avons voulu offrir une seconde vie à ces objets que nous n’utilisions plus.
Comment avons-nous procéder ?
Nous avons tout d’abord contacté Monsieur Suau qui est le président de l’association EMMAÜS d’Egletons pour savoir s’il voulait bien mettre en place cette collecte avec nous. Afin de mener à bien ce projet, nous avons dû communiquer l’information à l’ensemble du collège, élèves, enseignants, personnels, parents d’élèves. Pour cela, nous avons créé des affiches que nous avons collées sur les murs du collège, envoyé des e-mails aux élèves et aux personnels et nous avons demandé à Clara, l’agent d’accueil, de diffuser le message sur l’écran de diffusion d’informations, visible depuis le préau du collège, que nous regardons a minima 1 fois par jour, à 13h.
Déroulement de l’opération.
Suite aux annonces que nous avons diffusées, on a laissé deux semaines aux élèves pour amener les jouets dont ils voulaient se séparer au profit d’autres enfants.
Ces deux semaines passées, nous avons accueilli le président d’EMMAÜS et ses collègues qui sont venus chercher les jouets. A cette occasion, un petit goûter avait été organisé pour permettre un temps d’échange entre les élèves et les bénévoles de l’association et nous féliciter pour notre engagement. Le président d’EMMAÜS a fait un discours qui témoignait de sa fierté. Il nous a félicités pour notre forte envie de faire plaisir et les efforts que nous avons fournis pour organiser cette bourse aux jouets.
Les retombées de cette collecte
D’ici quelques semaines, le président d’EMMAÜS reviendra vers nous pour nous montrer des photos d’enfants que nous avons rendus heureux grâce à nos dons.
Merci d’avoir relayé notre envie de partager et de faire plaisir, par ce tri, puis don de ces objets qui encombraient vos placards mais qui n’avaient plus lieu d’exister dans vos foyers !! Belle action de SOLIDARITE.
Parador, Parador ?! Ça vous dit quelque-chose ? Vous n’allez pas être déçus, « Là, tout n’est qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté… »*
Partez à la découverte de ces luxueux hôtels espagnols qui rivalisent de charmes et de beauté. Dans le cadre d’un projet mené en espagnol, les élèves de 3e vous présentent le Parador qu’ils choisiraient pour aller passer leurs vacances !
Les paradors choisis par nos élèves témoignent de l’héritage architectural et historique de l’Espagne.
En effet, parmi les 90 hôtels existants, certains sont situés dans des sites exceptionnels : anciens palais maures, châteaux médiévaux, forteresses, couvents, monastères… Autant de lieux uniques et majestueux qui présentent des styles architecturaux aussi variés que les époques couvertes par les différents monuments : art roman, gothique, Renaissance, mauresque.
Au-delà du luxe affiché par ces hôtels, l’intérêt de cette découverte était d’une part de faire découvrir aux élèves ces sites d’exception, les sensibiliser à la beauté architecturale espagnole et d’autre part, de leur montrer comment l’Etat espagnol a cherché à conserver son patrimoine historique, culturel et architectural en créant cette chaîne hôtelière dès 1928.
L’Épidémie de Covid 19 a bouleversé le quotidien de millions de personnes dans le monde mais également au sein de notre collège. Nous avons donc décidé de poser des questions aux élèves, aux professeurs, à une surveillante et une cantinière pour connaitre leur avis sur les transformations du quotidien induites par le virus.
Juliette, surveillante au collège, dit avoir bien vécu le confinement du mois de mars car sa famille était restée proche d’elle. Selon elle la situation actuelle est encore anxiogène. Elle trouve que les gestes barrières sont suffisamment respectés au sein du collège même si certains élèves ne les respectent pas beaucoup. Elle pense également que les gestes barrières sont mal respectés à l’extérieur notamment dans les magasins.
M. Nouaille, enseignant au collège, lui, dit n’avoir pas trop souffert du confinement car il à la chance d’habiter à la campagne. Il pense que la situation actuelle est un cycle (bon, pas bon,bon…) Il espère qu’il y aura un remède bientôt. Il pense qu’il y a assez de règles au collège afin de protéger les élèves et le personnel mais il faut que chacun les respecte.
Arthur élève en classe de 5eme dit avoir facilement supporté le confinement car il avait beaucoup de place pour faire des activités. Il trouve que la situation actuelle est encore difficile car le Covid progresse de plus en plus vite. Pour lui, on gère bien le Covid au collège car tout le monde porte des masques et respecte les gestes barrière.
D’après les trois personnes interrogées, on peut en déduire que la situation actuelle semble toujours anxiogène. Néanmoins, chacun a l’impression que la gestion de l’épidémie au collège est bien prise en main. Il faut donc que tous restent vigilants et respectueux des gestes barrières.
Les deux classes de 5e et une élève de 3e ont participé cette année au concours de contes organisé par la médiathèque de Corrèze. Il s’agissait pour les élèves de rédiger un conte commençant par « Il était une fois un drôle de voyage… », toute une aventure pour nos élèves qui se sont tous vus récompenser d’un bon achat à la librairie Chantepages de Tulle.
Deux contes ont été primés par le jury. Les voici en exclusivité !
Dans le cadre d’une séquence consacrée à la guerre civile espagnole, les élèves de 3e se sont rendus au mois de février au Camp de Judes situé dans le Tarn et Garonne, qui est un des six camps d’internement ouverts durant l’hiver 1939 afin d’y regrouper une partie des 500.000 réfugiés espagnols républicains.
Voici certains travaux d’élèves autour de la guerre civile et du camps de Judes.
Zélie nous explique dans cet extrait sonore (en espagnol) pourquoi il est important de se souvenir.
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Léna, Margaux, Lou, Davy et Adrian expliquent la guerre civile espagnole
La guerra civil de España empezó el 18 de Julio de 1936 y terminó el 1 de abril de 1939. El bando nacionalista se enfrentó con el bando republicano. Por una parte, el bando nacionalista fue encabezado por Francisco Franco y estaba compuesto de la iglesia Católica, de los monárquicos, de los aristócratas, de los falangistas y de los partidos conservadores. Por otra parte, el bando republicano estaba compuesto de partidos de izquierda, de la clase obrera y de la pequeña burguesía.
El bando nacionalista ganó la guerra civil y Francisco Franco tomó el poder hasta 1975, fecha de su muerte.
La guerre civile d’Espagne commença le 18 juillet 1936 et se termina le 1er avril 1939. Elle opposait le camp des républicains au camp des nationalistes. Le parti nationaliste était composé de l’église catholique ainsi que des monarchistes, des aristocrates, des phalangistes et des partis conservateurs. Les républicains comprenaient les partis de gauche, la classe ouvrière et la petite bourgeoisie.
D’autre part, ces deux camps ont reçu des aides d’autres pays comme l’Allemagne d’Hitler, l’Italie de Mussolini et le Portugal de Salazar pour les nationalistes. Les républicains se sont alliés à l’Union Soviétique et au Mexique ainsi qu’aux brigades internationales (des volontaires de la France et de l’Angleterre).
Après 3 ans de guerre, c’est finalement Francisco Franco qui gagna la guerre, il prit le pouvoir jusqu’en 1975, date de sa mort.
Los refugiados españoles huyeron los bombardeos de la guerra civil y la represión franquista en 1939. El viaje fue muy peligroso debido al clima (el frío, la nieve…) y muchísimos españoles fueron separados de su familia. Los autoridades francesas decidieron construir varios campamentos y establecer un campamento en Septfonds para los refugiados. En septfonds los refugiados eran 350 (trescientos cincuenta) por cuartel. Las condiciones de vida eran miserables y la higiene deplorable, lo que provocaba enfermedades.La Mounières es una antigua fábrica de sombreros transformada en museo. Se encuentra en el pueblo de Septfonds y permite tener informaciones sobre el campamento de Judes y sobre la guerra civil. También menciona a Dieudonné COSTES, el primer hombre en cruzar el Atlántico en avión sin escalas y un antiguo residente de Septfonds.
Des républicains espagnols ont dû fuir l’Espagne à cause des bombardements durant la guerre civile et en 1939 après la chute de Barcelone. Les conditions de vie du voyage étaient misérables car il faisait froid et il neigeait. Les réfugiés étaient aussi séparés de leur famille. Du fait de l’arrivée massive d’étrangers, la police française a décidé d’implanter un camps dans un champ à Septfonds mais il y avait aussi des camps sur les plages et ailleurs en France.
L’hygiène était déplorable et par conséquent des maladies se propageaient rapidement. De plus, les réfugiés étaient 350 par baraque et ils manquaient de nourriture.
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Pour finir, voici leur analyse du tableau El paso de los refugiados por Septfonds de Josep Ponti :
El documento es una pintura que se titula « El paso de los refugiados por Septfonds ». Este cuadro fue realizado en 1939 (mil novecientos treinta y nueve) por Josep Ponti y está expuesto en Montalzat. Finalmente, la pintura representa la llegada de los refugiados españoles a Septfonds.
La pintura tiene una forma tríptica : en efecto, a la izquierda observamos a soldados españoles, a la derecha, a los aldeanos franceses y en el centro el encuentro entre dos personas. Estas dos personas son una mujer francesa que da pan a un refugiado español.
Además, hay dos planos distintos : en el primer plano, observamos a los personajes y en el segundo plano, divisamos el pueblo de Septfonds en invierno.
A la izquierda, los españoles están cansados, flacos porque tienen hambre yla piel de su cara, gris. Además no tienen la ropa adecuada para el invierno.
A continuación, los franceses pertenecen a clases sociales diferentes. El hecho de que los franceses ofrezcan pan muestra que son generosos y solidarios.
Merci aux élèves pour leurs travaux ainsi qu’à leur enseignante Mme Salman
Le monde d’après… Un bien vaste projet qui s’offre à nos élèves. A l’initiative de l’écrivain corrézien Franck Bouysse, ce projet vise à donner du sens à ce que nous vivons actuellement tout en favorisant l’expression des élèves.
Dans la lettre ouverte qu’il adresse aux élèves de l’académie de Limoges, Franck Bouysse s’exprime ainsi :
« En tant que romancier, je suis habitué au confinement intérieur, mais il est vrai que se retrouver face à ce temps immobile peut être une expérience désarmante, un temps sans durée, puisqu’il n’est plus balisé par un travail « normalisé », les cours, les événements sociaux, culturels, ou autre, ce temps vide que les humains se doivent de combler au risque de sombrer dans le désœuvrement.
Peut-être avez-vous trouvé une manière singulière d’échapper au temps, en regardant des films, en écoutant de la musique, en dessinant, en peignant, en écrivant, en traquant la beauté dans de petites choses que nous ne remarquions pas avant. Peut-être que cette longue période d’isolement a fait surgir des réflexions nourries de conversations virtuelles avec des amis, des parents…
Peut-être avez-vous envie de vous exprimer, non sur le jour d’après, mais sur le monde d’après, tel que vous l’imaginez, l’idéalisez. Votre monde d’après. »
Ainsi nos élèves ont relevé ce défi et voici quelques-unes de leurs productions :
Féminicide
Une larme, une seule larme pour définir l’horreur qu’elle avait vécue. Je ne m’exprimerais pas au présent car dans quelques minutes, cette femme sera morte, rouée de coups par un homme fort et cruel. Une mort n’est peut-être rien aux yeux du monde, mais personne ne devrait mourir de la sorte, dans la douleur et la peur.
Elle savait que ses jours étaient comptés mais la femme n’a pas fuit ne pouvant être entendue ; elle n’a pas osé s’exprimer.
Cette nouvelle victime avait trop peur de dire quoi que ce soit car par ses paroles elle aurait très bien pu avancer l’heure de sa mort.
Cet endroit mystérieux pour l’être humain, une terreur pour certains. Cette femme avait-elle plus peur de son mari que de la mort ?
A-t-elle senti que la fin approchait, que c’était l’heure pour elle de partir ? S’est-elle réjouit d’être enfin libérée de cet homme violent, de ne plus sentir son sang couler à chacun de ses coups ?
Nous ne le saurons jamais car elle sera bientôt enterrée avec ses secrets. Cette larme qui coulait sur son visage fut le dernier souvenir qu’elle laissa à son enfant, caché derrière la porte. Puis ce fut le coup fatal et le silence se fit à nouveau.
Entre 122 et 149 femmes sont mortes tuées par leur conjoint en France en 2019.
Battons-nous contre les violences conjugales et apprenons de nos erreurs pour construire un monde meilleur.
Zélie
Notre monde est précieux
Sommes-nous injustes, malveillants ou complètement débiles ?
C’est une question que je me pose actuellement, mais pas de réponse convaincante.
Pff… De toute façon on est tous les mêmes ! Vous devez vous demander pourquoi je dis ça ? Saviez-vous que pendant le confinement on nous a confié des règles (ha ha ha…) que la moitié d’entre nous n’a pas respectées ? Eh oui, vous pensez que ce sont les chinois qui ont propagé le virus en France… Décidément, nous ne sommes pas du même avis vous et moi. Bien-sûr des gens sont morts car des voyageurs sont venus dans notre pays sans savoir qu’ils étaient atteints par cette maladie. Mais les autres, sont morts à cause de nous. Je parle précisément de ceux qui n’ont même pas respecté les règles. Vous voulez sûrement savoir qui nous sommes en ce moment. Eh bien, pas de réponse ! Ne vous inquiétez pas, moi je vais vous le dire : nous sommes des petits abrutis arrogants et insouciants. Ok, ok, vous devez vous dire “Tu ne pourrais pas dire un truc positif ?” Attendez, j’y viens. Des gens ont travaillé et se sont sacrifiés au risque de mourir de cette affreuse maladie. Vous devez encore vous demander pourquoi je ne nomme pas cette maladie par son nom “le Covid 19”.
Eh bien, cette maladie me dégoûte, tellement de haine en une si petite chose. C’est terrifiant. Les autres pourtant s’en foutent ! Ils font la fête, pendant que des gens sauvent des vies. De toute façon, on ne pense qu’à notre gueule et pas aux gens qui se sacrifient pour nos vies. C’est dégueulasse ! Ok, ok, j’arrête les grossièretés.
Parlons maintenant de la nature. Je trouve que tous les humains ont fait un grand pas en avant même si trop de personnes jettent encore leurs masques au sol. Mais un petit point négatif (non, j’en n’ai pas marre), les forêts sont détruites petit à petit, comment les animaux vont vivre, dites-le moi ?
Pour les animaux, pas grand chose à dire à part qu’il n’y avait plus de chasse pendant ce confinement (bon passons, j’ai d’autres choses à vous dire).
Pour le monde de demain, soyez pour nous tous forts, disciplinés et respectueux envers les personnes qui nous aident chaque jour et envers la nature. S’il vous plaît, les animaux comptent sur vous et moi aussi.
J’admirerais nos progrès et nos échecs.
Merci pour votre bienveillance au service de notre planète et votre empathie. Notre monde est précieux.
Emily S.
Un monde meilleur
Que dire sur le monde d’aujourd’hui ? Cette question n’a pas de réponse simple et courte, car on ne peut pas dire que c’est le meilleur ni le pire, ne sachant pas ce que le futur nous réserve. Mais nous pouvons entendre les plaintes des uns et des autres. Malheureusement il n’y a qu’une minorité de personnes qui réalisent et qui savent comment agir pour faire changer les choses.
Pour nos propres usages, quitte à détruire la planète qui nous abrite, nous la polluons, avec le plastique ainsi que les usines, sans oublier les centrales nucléaires. A cause de ces énergies fossiles que nous utilisons dès que nous branchons un appareil à une prise électrique, la température dans le monde augmente. On prévoit une hausse des températures de 7°C d’ici la fin du siècle, liée à la pollution. Dans certaines villes, la pollution est tellement forte qu’elles deviennent invisibles depuis le ciel. Chaque année, d’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), sept millions de personnes meurent en raison de cette pollution. Les gens inspirent les gaz à haute dose. Ils ne respirent plus de l’air pur !
En parlant de respirer, George Floyd, lui, ne respire plus. Les discriminations et violences entre « races » ont assez duré ! Nous sommes tous égaux, que nous venions d’Afrique, de Moscou, d’Australie, du Japon… Ne soyons pas aussi cruels et injustes avec nos égaux, nos amis.
En parlant de cruauté, nous devons aussi améliorer la manière avec laquelle nous traitons les animaux. Déjà que nous élevons des vaches, des cochons, des volailles pour pouvoir les mener à la mort, il ne faut pas les maltraiter lors de l’abattage. Je suis la première à manger de la viande, mais en y réfléchissant bien, il me semble que nous pouvons diminuer notre consommation. Notre corps n’a pas besoin de protéines animales tous les jours. Alors ne consommons pas plus que ce dont nous avons besoin et arrêtons les violences contre les animaux sur leurs lits de mort.
En parlant de consommation, encore une cause de la pollution. Notre société, aujourd’hui, est appelée société de consommation. Et quand on voit tous les objets jetés dans la nature ou à la poubelle alors qu’ils pourraient être encore utilisés, on comprend d’où vient ce nom. Des personnes n’ont pas les moyens d’acheter la moitié de ce que nous avons dans nos maisons alors, au lieux de toujours vouloir plus sans en avoir besoin, n’achetons pas en excès. Ne coupons pas les ponts avec nos besoins réels mais débarrassons-nous des besoins créés par la société de consommation.
En parlant de couper, nous avons besoin des arbres pour vivre car ceux-ci rejettent de l’oxygène, qui nous est vital. La nature est trop belle pour que nous la détruisions. Les arbres d’Amazonie ne doivent pas être déracinés pour gagner du terrain pour la production de soja et d’huile de palme. Les forêts sont les poumons de la Terre alors respectons l’équilibre nécessaire pour respirer durablement. De plus, elles fournissent un habitat pour des quantités d’espèces animales, donc respectons les écosystèmes et ne gaspillons pas notre planète.
Que dire sur le monde d’aujourd’hui ? Il m’est toujours impossible de répondre correctement à cette question. En revanche, je peux répondre à une autre : quel est le monde idéal selon moi ? Mon monde idéal, c’est un monde sans tous ces problèmes. Et j’espère de tout cœur qu’il sera l’avenir. Notre lendemain, c’est à nous tous de le créer. Ensemble, nous pouvons faire bouger les choses et façonner la planète sur laquelle nous vivons pour construire un futur meilleur.
Chloé L.
Ce que j’aimerais pour le monde d’après
J’aimerais que le monde “d’après” soit différent. J’espère que les violences envers les femmes, les enfants, les hommes et les animaux cesseront d’exister.
Je voudrais aussi qu’on respecte la planète, ne plus voir de sacs plastiques dans les rues, les mers, les montagnes et autres. Je voudrais qu’en Chine on puisse voir le ciel, je voudrais que la population mondiale cesse de s’accroître chaque de façon démesurée en fournissant des protections aux pays défavorisés, je voudrais pouvoir faire comprendre au monde de ne pas gâcher. Je voudrais qu’au lieu de jeter n’importe quoi, on prenne conscience des personnes qui souffrent de la misère et de la faim.
Je voudrais qu’on se raisonne, qu’on se remette en question (pour une fois) et qu’on se dise qu’on n’est pas seuls ! Par exemple, le pays de la démesure Dubaï. Franchement, construire une ville au milieu du désert ! Si c’est un désert, c’est que les conditions ne nous permettent pas d’y vivre. Par ailleurs, la déforestation galopante continue de ravager nos forêts pour l’activité humaine mais on ne peut pas vivre sans arbres. C’est simple, on se tire une balle dans le pied !
D’autre part, on vit dans la surconsommation, on mange, on bouffe, on ne savoure plus. On consomme des produits industriels ou de la viande issue d’animaux qui n’ont été respecté ni avant ni après leur mort.
Les hommes, les rois de la Terre, on ne respecte rien : les plaisirs font les lois.
Je sais que ce changement n’est qu’un rêve mais l’espoir fait vivre…
Au début du confinement, nous avions lancé un concours photo auprès des élèves pour illustrer de manière créative leur confinement. Nous avons reçu de nombreuses photos originales, amusantes et parfois déconcertantes. Les élèves ont voté et voici les résultats :
La photo plébiscitée par les élèves est …..
Le soleil fait la joie du vélode Théo L.
Et dans la catégorie Photo la plus originale nous avons deux exæquo :