Les élèves ont reçu leur prix vendredi 10 mai au collège en présence de Mme Fulminet de la DSDEN, Mme Albaret de Canopé et M. Dudez, délégué Départemental de la Corrèze à l’Éducation aux Médias et à l’Information.
Lilian recevant le Prix des mains de M. DudezCrédit photo Mme Albaret
Il y a plusieurs mois, Google Play a vu une trentaine d’applications infectées sur sa plateforme de téléchargement.
Comment ces virus ont-ils été découverts ?
Trend micro, entreprise de cybersécurité dédiée à trouver des virus / pirates a alerté Google Play à propos de 30 applications vérolées (infectées) sur cette dite plateforme.
Quelles applications ?
« Ainsi, ceux qui ont téléchargé des applications telles que Pro Camera Beauty, Cartoon Art Photo, Emoji Camera, Art Editor, Selfie Camera Pro, Super Camera, Art Filter Photo ou encore Cartoon Effect, ont certainement vu sur leur smartphone des publicités en plein écran »,selon le site Presse Citron qui a mené l’enquête. Cela veut dire que les personnes (plusieurs millions) ayant téléchargé ces applications, ont dû rencontrer des problèmes avec leur téléphone.
Pourquoi cela peut être problématique ? Ce ne sont que des publicités !
Imaginez : vous êtes en train de passer un appel important, ou de battre votre record sur votre jeux mobile préféré ! Quand soudain toutes vos applications se ferment et la seule chose qui reste affichée est une pub pour un site plus ou moins légal, cela peut être énervant, n’est-ce pas ? De plus, cela peut être gênant pour les âmes sensibles (mineurs, etc…) car la plupart du temps ces pubs sont pour des sites pornographiques.
Comment les éviter ?
Il n’y a pas vraiment de moyen d’être certain que cela ne soit pas un virus, car même si en général, le Google Play Store ne propose que des applications sûres, certains pirates arrivent à passer outre et à proposer leurs applications au grand public. Mais un moyen pour détecter les virus avant qu’il ne soit trop tard, c’est d’installer un antivirus, car certains d’entres eux sont gratuits et efficaces. Personnellement, j’utilise Avast Antivirus mobile, mais faites-vous votre propre avis là dessus !
Le visuel de la couverture est la propriété de l’éditeur Komikku
Grendel raconte l’histoire de Camélia, une jeune chevalière condamnée à mort par le roi pour trahison. Ce dernier lui propose alors un marché : escorter le dernier dragon de son espèce dans un lieu sûr en traversant des contrées périlleuses. Parviendra-t-elle à assurer sa mission ?
Grendel est un manga que j’ai adoré parce qu’il est rempli d’actions avec de l’émotion du fait que l’héroïne, Camélia, protège un jeune dragon blanc au péril de sa vie. Le fait qu’elle persiste à le protéger alors qu’elle pourrait le laisser sans défense et partir tout en se faisant oublier du roi qui l’a condamnée, prouve qu’elle s’y est finalement attachée. Elle serait prête à sacrifier sa vie pour lui. Ce manga est tout aussi émouvant car, à chaque combat, Camélia ressent la peur de la mort éprouvée par l’adversaire qu’elle affronte contre son gré.
Les dessins sont réalisés avec une précision remarquable et presque irréalisable car ils nous communiquent les sentiments des personnages que l’on ne perçoit pas par le texte du manga. Certes, ce manga est triste mais, les images rendent le texte vivant et on peut s’identifier à l’héroïne tout au long de ce premier tome car Camélia nous montre sa personnalité assez étrange et mystérieuse. En effet, Camélia a comme une double personnalité : lors des combats, elle est hyper sensible alors que, dans la vie « normale », elle se montre téméraire envers ce qui l’entoure et elle est très attentive au petit dragon. Je recommande fortement ce manga qui a une fin totalement inattendue à ceux qui aiment les mangas surprenants.
Et, je vous dis à tous, bonne lecture aux fans !!!
Le visuel de la couverture est la propriété de l’éditeur Kana
Ce manga écrit par Kaiu Shirai et dessiné par Posuka Demizu raconte l’histoire de plusieurs enfants élevés dans l’orphelinat de Grace Field House. Parmi eux, Emma, Norman et Ray sont des enfants espiègles à l’intelligence exceptionnelle. Une nourrice qu’ils appellent tous « maman » et qu’ils considèrent comme leur mère les élèvent dans un climat entouré de tendresse et de jeux. Ces enfants sont soumis à des test quotidiens pour évaluer leurs connaissances. Or, un jour, leur vie paisible est bouleversée par le départ de la petite Conny qui est l’occasion d’une découverte macabre pour Emma et Norman. Dès lors, ils vont devoir tenter par tous les moyens de s’enfuir. C’est une question de vie ou de mort !
Ce manga comporte 13 tomes publiés au Japon. En france, nous attendons la sortie du tome 7 prévue pour le 3 avril 2019.
Mon avis :
The promissed neverland est un manga génial ! Ce qui nous a beaucoup plu, c’est que même si le contexte est sordide (élevage de luxe d’enfants comme un élevage animalier), les personnages restent positifs car ils veulent changer ce fonctionnement. Les dessins sont agréables à observer ; à noter que ce manga a une double couverture, la version originale japonaise et une couverture française réalisée par Benjamin Lacombe. Pour découvrir son travail, rendez-vous sur son site :
Nous avons interviewé Philippe Van Assche, journaliste bénévole à la Trousse Corrézienne à propos des frontières et de la censure dans l’exercice de son travail de rédacteur à la Trousse.
En ce moment, le débat le plus populaire en France (après « pain au chocolat » ou « chocolatine ») est sans doute la consommation de la viande dans notre quotidien !
Entre les lobbies pro viande de l’agriculture, la boucherie et la grande distribution et le développement des mouvements végétariens voire Vegans, comment se faire une idée objective ?
Dessin de Mélodie R. Collège de Corrèze
Nous avons rencontré aujourd’hui plusieurs membres d’associations locales qui nous ont informées sur le sujet.
Un problème se pose, celui de la consommation excessive de viande dans les pays développés, notamment en France. Pour cela, Thibault Benaud, membre de l’association La Dépaysante*, nous a expliqué qu’il existait plusieurs solutions notamment, une limitation de la consommation de viande en en mangeant une à deux fois par semaine et non pas tous les jours et à chaque repas. Certains font aussi le choix, plus radical, de devenir végétarien.
Selon une étude de l’OMS (Organisation Mondial de la Santé) publiée par le journal Le Monde, la consommation de viande serait de 55 grammes par jour et par personne en France.
De toutes les solutions imaginables pour l’environnement, manger moins de viande nous permettra de moins polluer la planète, de faire des économies, d’épargner la vie des animaux, de préserver notre organisme et notre santé. Mais, pour ceux qui souhaitent continuer à manger de la viande tout en respectant l’environnement, on peut favoriser la consommation de viande locale issue d’un élevage raisonné comme nous l’ont conseillé les deux intervenants du lycée agricole de Voutezac.
Pour savoir si nous mangeons des produits locaux, il faut faire attention aux emballages des produits choisis et se renseigner le plus possible sur les éleveurs. Vous pouvez par exemple vous rapprocher de l’association Les récoltes locales. https://fr-fr.facebook.com/lesrecolteslocales
Enfin, voici une recette de cuisine végétarienne pour le printemps.
*La Dépaysante : association qui dépayse (= Faire rompre ses habitudes à quelqu’un en le mettant dans un pays, une région très différents de ceux où il habite par le décor, le climat, les habitudes.)
Voici un entretien avec plusieurs des intervenants d’aujourd’hui concernant leurs pratiques alimentaires.
Crédit photo Collège de Corrèze. De gauche à droite, E. Bardelot, P. Van Assche, C. Perrin, M. Brazeau
Nous avons rencontré aujourd’hui trois professionnels de l’information : Estelle Bardelot, journaliste à la Montagne, Mathilde Brazeau, rédactrice en chef de France 3 pays de Corrèze et Cyril Perrin, journaliste à la Trousse Corrézienne.
La question de la frontière dans l’information se pose aujourd’hui de façon évidente avec la profusion d’informations en ligne. Cela interroge les pratiques des journalistes et leur offre de nouvelles perspectives.
Les journalistes locaux ne sortent généralement pas du territoire qu’ils couvrent, en l’occurrence ici le département de La Corrèze. En revanche, les Corréziens, eux, sortent de la Corrèze. Mme Estelle Bardelot nous certifie que les réseaux sociaux aident énormément à la diffusion d’informations concernant le territoire de la Corrèze dans le monde entier. Les réseaux sociaux, Facebook, Twitter sont aussi utilisés par les organes de presse classiques pour diffuser l’information hors du département. Des corréziens expatriés à l’autre bout de la planète peuvent ainsi rester en contact avec l’info corrézienne.
D’autre part, les informations qui parviennent aux médias via les réactions sur les réseaux sociaux peuvent s’avérer utiles dans certains cas. Mme Bardelot nous donne l’exemple de personnes habitant à la Réunion, les journalistes utilisent les réseaux sociaux recueillir l’avis de cette personne sur le changement de climatique.
Il est important de savoir que même si les journalistes Corréziens ne sortent pas de la Corrèze, les informations elles n’ont plus de frontière et dépassent largement le département.
Après sa mort le 25 juin 2009, le roi de la pop fait encore parler de lui : il est une fois de plus au centre de l’attention pour cette nouvelle polémique. Michael Jackson a déjà fait l’objet de plaintes pour pédophilie en 1993 et 2005, mais il n’a pas éte condamné car il aurait offert des sommes d’argent conséquentes pour acheter le silence des victimes selon l’enquête menée par les journalistes de l’OBS.
Le reportage qui sera diffusé ce soir sur M6 à 21 heures dévoilera les témoignages de James Safechuck, un Australien âgé maintenant de 41 ans et de Wade Robson, un Américain âgé de 36 ans. Ce documentaire intitulé « Leaving Neverland » a été réalisé par Dan Reed. Les faits dont Michael Jackson est accusé sont des actes de pédophilie commis à plusieurs reprises. Ce reportage a déjà été présenté à Sundance le 25 janvier 2019 en avant première. Ce long documentaire, a été coupé pour sa diffusion française en deux fois 90 minutes pour pouvoir insérer des publicités, point décisif pour une chaine commerciale comme M6.
Ce reportage choc ne fait pas honneur à Michael Jackson ce qui déplait fortement à ses plus grands fans et à sa famille. Certains de ses plus fervents admirateurs ont formé des associations pour défendre la mémoire de leur idole, lynché dans le documentaire « Leaving Neverland ». Taj Jackson, son neveu affirme que ce ne sont que des mensonges, que ce film est de la propagande et qu’il est illégal de salir ainsi la réputation d’une personne disparue.
Pour vous faire votre propre avis, rendez-vous ce soir sur M6.
Le 15 mars 2019 à Christchurch en Nouvelle Zélande, un suprémaciste* blanc du nom de Brenton Harisson Tarrant de nationalité australienne âgé de 28 ans, inspiré du terroriste norvégien Anders Breivik, a fait une tuerie dans deux mosquées différentes de la plus grande ville de l’île du sud et a abattu cinquante fidèles musulmans et a fait des dizaines de victimes. Pendant cette fusillade, le terroriste retransmettait en direct sur le réseau social Facebook son acte de barbarie. L’homme était armé de deux fusils d’assaut, l’un automatique l’autre semi-automatique. C’est pourquoi le gouvernement néo-zélandais voudrait aujourd’hui interdire les armes de ce type. « C’est une bonne chose, pourquoi aurions nous besoin de telles armes dans nos maisons ? » a déclaré Kawthar Abulaban qui a survécu à la première attaque.
Sur les réseaux sociaux et dans des lieux publics, de nombreux hommages ont été rendus aux victimes de ces attaques, parmi les personnes rassemblées il y avait des musulmans mais aussi des personnes de plusieurs autre religions.
Cet attentat et sa retransmission en direct nous interrogent sur l’utilisation des réseaux sociaux et sur le fait de diffuser de telles images sur internet et notamment sur Facebook.
*Suprémaciste : Relatif au suprémacisme, soit l’idéologie raciste qui affirme qu’il existe une hiérarchie entre les êtres, que certaines races et civilisation sont supérieures à d’autres et doivent les dominer.
Ce dimanche 17 mars 2019, Pascal Coste, le président du conseil départemental de la Corrèze, opposé à la limitation de vitesse du 80km/h, a été flashé à 173km/h pour 130km/h sur l’A20. Le président du conseil départemental de la Corrèze assume sa « connerie » d’après les propos qu’il a tenus à la Montagne et affirme qu’ « en attendant, je vais sans doute rouler un peu avec une voiture sans permis. »
Que risque Pascal Coste ?
Pour cet excès d’environ 40km/h, Monsieur Coste risque une suppression de permis de conduire de 3 ans.
Le « nouveau monde » qui s’affiche sur tous nos panneaux de circulation peine visiblement à lever le pied !