L’épilepsie est une maladie chronique.L’épilepsie provoque des crises. 685 122 personnes épileptiques sont traitées en France dont une majorité de jeunes de moins de 20 ans.
1- Qu’est-ce que l’épilepsie ?
L’assurance maladie sur son site Ameli.fr définit l’épilepsie comme « une maladie chronique caractérisée par la survenue de crises épileptiques. Ces crises traduisent un dérèglement soudain et transitoire de l’activité électrique du cerveau. Elles apparaissent sans cause identifiée, ou sont liées à une autre affection. »
Le traitement pour la maladie de l’épilepsie est cher. Jusqu’à 70 % des personnes atteintes d’épilepsie pourraient vivre sans convulsions si elles prenaient des médicaments antiépileptiques.
2- Qu’est-ce qui provoque l’épilepsie ?
L’épilepsie peut être provoquée par :
un accident vasculaire cérébrale qui réduit la quantité d’oxygène dans le cerveau
une infection touchant le cerveau, comme une méningite (inflammation qui entoure le cerveau)
une encéphalite (inflammation du cerveau qui se produit lorsqu’un virus infecte directement le cerveau)
une neurocysticercose (lorsque des kystes se forment dans le cerveau)
certains syndromes génétiques
une tumeur cérébrale
Source image : ccnull.de
3- Comment se sentent les personnes atteintes d’épilepsie ?
Bien que la plupart des personnes épileptiques apprennent à vivre avec les troubles et symptômes provoqués par la maladie, certaines réagissent en devenant plus agressives, asociales, irritables ou introverties.
4- La scolarité pour un adolescent atteint d’épilepsie
Dans la plupart des cas, une scolarité normale est possible pour un enfant ou un adolescent épileptique. Toutefois, l’équipe éducative doit tenir compte de certains éléments (prises de médicaments antiépileptiques, risques liés aux activités physiques, etc…)
Les symptômes d’une crise d’épilepsie peuvent être des pertes de conscience, des secousses musculaires ou encore des comportements incohérents.
A Mayotte, un désastre s’abat sur les Mahorais : un terrible ouragan met Mayotte sans dessus dessous. Les ravages du cyclone Chido ont fait de considérables dégâts. Les habitants sont dévastés.
Vue satellite de l’ouragan Chido Source de l’image : vikidia
1. Que s’est t-il passé ?
Le cyclone Chido a traversé Mayotte le 14 décembre 2024. L’œil du cyclone Chido a d’abord touché le nord de Grande-Terre à 11h jusqu’à qu’il ressorte 30 minutes plus tard vers la côte nord-ouest.
2. Le cyclone Chido est-il exceptionnel pour Mayotte ?
Oui, car on peut comparer Chido seulement au cyclone Disseli qui est passé sur Mayotte le 18 Février 1934. En effet, ces deux cyclones étaient de la même puissance en terme d’impact.
3. La rentrée scolaire
La rentrée scolaire est prévue pour le 27 janvier 2025. Les écoles détruites par Chido seront rénovées et en attendant leur reconstruction, des tentes nommées » Tente-école » pourront être utilisées.
4. Quand et comment l’électricité sera t-elle rétablie ?
Pour que l’électricité soit rétablie à la date prévue, c’est à dire la dernière semaine de Janvier, l’État va envoyer 200 agents et 200 groupes électrogènes pour alimenter le matériel qui nécessite de l’électricité. Il y aura aussi de la main d’œuvre locale comme des artisans locaux. Pour l’heure, Il reste encore un millier de foyers à réalimenter en électricité.
5. Recensement des victimes
Le site de 20 Minutes estime qu’il y a 39 morts mais il précise aussi qu’il sera impossible d’avoir le nombre exacte de morts à cause de nombreuses personnes qui vivent clandestinement dans les bidonvilles de Mayotte. Il y a également des milliers de blessés, un peu plus de 4000.
6. La santé
Pour aider l’Hôpital de Mayotte, les Hôpitaux de la France Métropolitaine qui sont volontaires pourront faire des dons de matériel comme du matériel médical et envoyer du personnel.
7. Les logements
Pour refaire les toits, du matériel comme des pièces de charpente métallique et des tôles bac acier seront envoyées. En attendant leur reconstruction l’État donnera des bâches pour les utiliser comme abris.
Sources : L’Indépendant, 20 Minutes et Météo France
Pour tous les fans de VTT, tous ceux qui veulent se faire rêver, la Red Bull Rampage est l’une des courses de VTT la plus célèbre de l’année.
Source image : raenadavidb.blogspot.com
La red bull rampage s’est déroulée à Virgin en Utah aux Etats-Unis le 10 octobre 2024 pour les femmes et le 12 pour les hommes. C’est une première dans l’histoire de cette course jusqu’alors réservée aux hommes.
Cette compétition a accueilli les meilleures athlètes féminines de Freeride au monde, celles-ci se sont attaquées à un terrain emblématique du VTT.
La gagnante de cette première édition féminine est la néo-zélandaise Robin Goomes avec 85 points.
Le gagnant de la course masculine est Brandon Semenuk qui a remporté sa cinquième victoire.
Espérons que cette première épreuve féminine sera le début d’une longue séries.
Les classes de 5A et B conduisent un projet sur toute l’année sur les droits des femmes dans le monde avec Marie Mazas, autrice. Nous avons profité de cette occasion pour lui poser quelques questions sur son métier.
Merci à Mme Mazas d’avoir bien voulu répondre à nos questions.
Morgane Rivoal est une fille âgé de 13 ans disparue depuis le 25 novembre, l’adolescente a quitté son domicile de Pabu en Bretagne pour se rendre au collège. Mais elle n’est jamais arrivée jusqu’à son établissement…
Une enquête a été ouverte pour retrouver la jeune fille disparue alors qu’elle devait monter dans son bus pour ensuite se rendre au collège, mais ne l’aurait pas pris.
Image d’illustration. Source : Wikimedia commons
Ce mardi 10 décembre 2024, Morgane, qui avait disparu depuis deux semaines, a été retrouvée saine et sauve. Des moyens importants avaient été engagés par la gendarmerie afin de la localiser. Pendant deux semaines, 70 gendarmes ont été employés quotidiennement à la recherche de l’adolescente.
Elle a été retrouvée dans un foyer de jeunes travailleurs situé à Coutances dans la Manche. Après avoir été examinée par un médecin, elle sera entendue par les enquêteurs. Le jeune homme de 21 ans qui l’a hébergée risque des poursuites judiciaires.
L’association Dons solidaires dévoile les résultats de son sondage annuel concernant les fêtes de Noël, celui-ci révèle que près d’un tiers des français craint de ne pas pouvoir offrir de cadeaux pour Noël.
Un budget en baisse
La moitié des Français interrogés estime que le budget consacré aux cadeaux de Noël cette année sera revu à la baisse, en raison de l’inflation. L’inflation selon l’Insee est « la perte du pouvoir d’achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix.«
Chaque dépense est désormais comptée et réfléchie avant d’acheter les cadeaux de noël. Pour ne pas se ruiner, des familles songent à offrir peu de cadeaux par personne. Selon une étude récente, les Français on prévu de dépenser 497 euros pour leur achats de Noël, soit 10% de moins que l’an dernier. Certains privilégient les petits cadeaux ou même les moyens mais ça dépend de leur budget pour les fêtes ou même les anniversaires. « Pas plus de 20 euros par cadeau et si je peux faire moins, c’est mieux « , déclare une étudiante interrogée par France info dans un centre commercial.
Une alternative économique et écologique
Une autre solution qui apparait pour réduire les dépenses liées aux fêtes de fin d’année est de privilégier des jouets recyclés, qui sont remis en état et vendus 40% moins cher que le neuf. Cette alternative permet également d’éviter la surconsommation et réduit l’impact environnemental.
Mais pour noël, on peut aussi offrir des vêtements ou des chaussures de marque qui coûtent cher alors que les affaires de seconde main sont moins chères et de bonne qualité. Cette année 8 français sur 10 ont acheté au moins un jouet de seconde main et cette tendance devrait se poursuivre et augmenter.
Si vous voulez aider les personnes dans le besoin, vous pouvez agir vous aussi en vous rendant par exemple sur le site https://www.donsolidaires.fr/
Depuis plusieurs semaines, les agriculteurs français manifestent leur colère car ils travaillent énormément et leur rémunération n’est pas à la hauteur du travail fourni. Environ un tiers des agriculteurs touchent moins de 400€ par mois.
Un autre point cristallise également le mécontentement des agriculteurs, il s’agit du traité de libre-échange avec le Mercosur qui regroupe les pays d’Amérique latine.
Cette colère se traduit par des manifestations dans toute la France. Les agriculteurs vident par exemple des camions étrangers pour protester contre une concurrence qu’ils jugent déloyale car les autres pays n’ont pas les mêmes restrictions pour cultiver que les agriculteurs français (engrais, fertilisants, etc…)
Dans les dernières semaines, les agriculteurs ont manifesté dans la capitale : le « blocus de Paris » ou le « siège » de la capitale attire plus l’attention. D’autre part, de nombreuses actions ont aussi eu lieu dans plusieurs régions du pays, par exemple en Isère, en Savoie, dans le Vaucluse, dans la Drôme ou encore dans les Alpes du Sud. Certains produits commencent déjà à manquer du fait de ces blocus.
Source image Wikimedia commons
Sources : L’écho, La voix du nord, Ici (par France bleu), La Charente libre, France info
Une enquête réalisée auprès des élèves du collège Bernadette Chirac démontre que plus des deux tiers des élèves accèdent au quotidien aux réseaux sociaux.
70% des élèves interrogés ayant entre 10 et 15 ans possèdent un réseau social. La plupart des élèves ayant répondu ont 12 ans.
47.5 % des élèves ayant répondu passent 2 heures ou plus par jour sur les écrans, ce qui est beaucoup pour un adolescent.
Au collège, les réseaux sociaux deviennent un problème. La plupart des élèves qui sont harcelés au collège continuent à se faire harceler sur les réseaux sociaux. Cela devient du cyberharcèlement.
Ce cyberharcèlement peut avoir des conséquences graves comme des dépressions, des décrochages scolaires, des troubles psychologiques ou émotionnels, de la violence, un risque accru de suicide, perte de la faim.
25% des élèves interrogés accèdent à des réseaux sociaux en dessous de l’âge autorisé. Rappelons que les réseaux sociaux étaient jusqu’à présent autorisés à partir de 13 ans, mais la loi du 7 juillet 2023 visant à instaurer une majorité numérique et à lutter contre la haine en ligne repousse à 15 ans l’âge pour pouvoir s’inscrire seul sur un réseau social.
Cette enquête a été envoyée aux élèves le 7 novembre dernier et seulement 40 élèves ont répondu ce qui ne nous permet pas d’avoir un résultat très précis.
Merci à tous ceux qui ont répondu au questionnaire sans qui nous n’aurions pas pu écrire cet article.
Statistiques réalisées à partir des résultats de l’enquête
Le jeudi 21 novembre s’est déroulé le premier essai du club radio du collège, en compagnie de Philippe D’Hauteville, directeur d’antenne de la radio associative Bram Fm et de Serge Hulpusch, ancien journaliste du journal l’Echo, journal né en 1943 crée par la résistance communiste. Ce journal a cessé de paraitre en 2019. Le club radio du collège réunit 13 élèves de la 5e à la 3e.
Présentation du club radio par Philippe et Serge
Nous avons tout d’abord abordé la notion d’information et ce que cela signifie pour chacun d’entre nous. Pour nous, l’information est avant tout de savoir ce qui se passe dans le monde. Philippe nous a ensuite expliqué que l’information existe depuis la naissance de l’humanité, « la vie c’est l’information » qui permettait aux hommes d’accéder à la nourriture, de se protéger des dangers éventuels et de se reproduire donc de perpétuer l’espèce. Le terme information provient du latininformare qui signifier « mettre en forme », « façonner ». L’information est donc de la matière a façonner. S’informer, c’est essentiel pour avoir sa propre opinion et ne pas être soumis à la propagande.
Le collège ayant acheté l’année dernière du matériel de radio, nous avons pu « passer à l’antenne ». Nous avons d’abord écrit en groupe de 2 ou 3 des articles pour ensuite les lire devant un micro et une console (appareil électronique permettant d’enregistrer nos productions). Philippe nous a aidé a bien prononcer notre texte pour être audibles à la radio.
Travail d’écriture des articles
Julien,Léonce et Pablo ont travaillé sur la thématique de l’utilisation des réseaux sociaux par les collégiens, Mathis, Juliette et Capucine ont traité des agressions sexuelles sur mineurs. Les deux autres groupes ont choisi de travailler sur un sujet fictif, l’ouverture d’un parc d’attraction pour Gaïa et Léana ; la mort du cheval mascotte du collègepour Lina et Mélinda.
Vous découvrirez bientôt ici le résultat de nos réalisations.
Plus grande, je voudrais être artiste-peintre. Je voudrais suivre une école d’Art et je suis consciente que tous les artistes comme Picasso et Vincent Van Gogh n’ont connu « gloire et reconnaissance » qu’après leur mort ou ne les ont jamais connues.
J’envisage aussi d’avoir un deuxième travail dans l’art, ou pas, pour réellement parvenir à subvenir à mes besoins naturels comme payer les factures d’eau, la nourriture et le loyer.
Quand je dessine ou peins, de nombreuses heures peuvent s’écouler sans que je m’en rende compte. J’ai commencé à dessiner vers 10/11 ans, des mangas, de plus en plus difficile chaque fois mais je les décalquais car je trouvais que mes propres dessins n’étaient pas « parfaits » comme je l’aurais voulu.
Dessin Alycia S.
J’ai ensuite fini par prendre confiance en moi, alorsj’ai installé une application pour apprendre les bases du dessin. Je suis ensuite allée dans un centre de loisirs pendant mes vacances et on m’a proposé de participer à des séances pour dessiner des mangas. Un homme spécialisé dans les dessins de mangas est donc venu animer ces ateliers. Il avait une drôle de façon d’apprendre : on devait ouvrir un livre avec illustrations et en recopier une du mieux possible, ce qui m’a apporté enfin la technique pour dessiner comme une artiste. Cela m’a donné encore plus envie de dessiner.
A 11 ans, je suis parvenue à faire un dessin simplement en regardant une image. J’ai continué avec des dessins, chaque fois plus difficiles les uns que les autres tous les jours jusqu’à ce que je regarde des tutos de peinture et de tableaux. J’ai réussi à faire 5 magnifiques tableaux, d’une montagne, une falaise avec un arbre et la lune, une sorte de fleuve et un chemin dense. Enfin, j’ai fait mes premiers personnages de mangas, sans modèle, juste avec de l’inspiration.
Je suis très fière du résultat, c’est pour cela que je veux aller plus loin dans la peinture et le dessin de manga d’où l’idée d’être artiste peintre.