Hier, mercredi 22 février, au lycée privé de Saint-Thomas-d ’Aquin de Saint-Jean-de-Luz, une professeure d’espagnol s’est fait poignarder par un élève de 16 ans.
Le drame s’est produit quand Agnès Lassalle menait son cours, elle a succombé à ses blessures quelques minutes après l’agression. Le lycéen interpelé par la police et placé en garde à vue a déclaré être « en conflit intérieur avec un être malfaisant « . Les policiers s’orientent vers hypothèse de troubles psychiatriques qui devront être confirmés par une expertise. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’adolescent était bien noté dans toutes les matières sauf en espagnol. Des antidépresseurs ont été trouvés chez lui par des policiers.
D’après certains élèves interrogés après le drame par le journal Le Parisien cette professeur était très sympathique, certes un peu exigeante mais elle savait où elle emmenait ses élèves.
Une cellule psychologique a été mise en place au sein de l’établissement. Une minute de silence sera observée ce jeudi 23 février à 15h00 dans tous les collèges et lycées de France ouverts actuellement en hommage à cette enseignante assassinée.
La puff, nouvelle cigarette électronique, qui fait fureur chez les jeunes se retrouve de plus en plus dans les mains des enfants de moins de 16 ans.
S’agit-t-il d’une nouvelle alternative de la cigarette ou alors une nouvelle drogue qui rends très vite addict ? Mais est-elle nocive pour la santé ?
source: Technofaq.org
Que-ce qu’une puff ?
La « Puff » , qui peut se traduire par « bouffée », est une cigarette électronique jetable composée d’une résistance, d’une batterie et d’un e-liquide. Pré-remplie et pré-chargée, elle s’allume dès la première inhalation et diffuse des arômes sucrés ou fruités, tels que la fraise, la mangue, le raisin mais aussi le chocolat et certaines sortes de bonbons, c’est-à-dire des parfums destinés à attirer la clientèle adolescente ainsi qu’un marketing clairement orienté vers cette cible.
En général une puff coute 8.50€
Est-ce qu’il y a de la nicotine dans la Puff ?
La plupart des puffs contiennent de la nicotine, légalement jusqu’à 2% de nicotine soit 20mg/ml. « Le principal danger c’est l’addiction à la nicotine que ça va déclencher puisque ces dispositifs vont délivrer, dans la majorité des cas, une dose de nicotine non négligeable« , alerte Loïc Josserand, président de l’Alliance contre le tabac. « Si on ingurgite ce produit pendant plusieurs mois, on a 100% de chances de devenir dépendant à la nicotine. » confirme Amine Benyamina, chef de service de psychiatrie et d’addictologie.
Est-ce que la cigarette Puff est dangereuse pour la santé ?
La puff a des méfaits sur la santé puisqu’elle contient de la nicotine : « Le grand danger de ces produits est le risque que des non fumeurs se mettent à fumer, qu’ils deviennent dépendants à la nicotine, et qu’ils se mettent ensuite à fumer des vraies cigarettes par addiction » explique le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue. «
« Parmi les adolescents utilisant la Puff,28% d’entre eux ont commencé leur initiation à la nicotine à travers ce produit et 17% d’entre eux se sont ensuite tournés vers une autre forme de produit de la nicotine ou du tabac » indique l’Alliance contre le tabac (ACT). « Composé de sels de nicotine, l’utilisation de la Puff augmente les risques de développer une inflammation des voies respiratoires et impacte les acquisitions cognitives des plus jeunes » ajoute l’ACT. On sait que les jeunes sont particulièrement vulnérables à la nicotine, en raison de ses effets sur le développement de leur cerveau.
De plus « les cigarettes électroniques Puff sont aromatisées et que cela est utilisé comme argument marketing. Alors qu’on ne sait pas ce que contiennent ces arômes« . prévient d’emblée le Dr Frédéric Le Guillou, pneumologue. Ces dispositifs font l’objet d’un signalement à la Direction générale de la santé (DGS).
Un problème écologique ?
De plus, les puffs constituent un problème pour l’environnement. Les puffs doivent être jetées à la déchetterie ou dans les boîtes pour piles usagées ou déchets électroniques. C’est difficile de respecter ces consignes de tri ! Ces vapoteuses jetables sont une nouvelle source massive de déchets.
Sources : Journal du dimanche, Journal des femmes, Ameli.fr
Depuis plusieurs semaines, la France se révolte contre la réforme des retraites. Il y a eu pour l’instant cinq journées de mobilisation avec des grèves et des manifestations dans toute la France. Le gouvernement présente à l’assemblée un projet de réforme fixant l’âge légal de la retraite à 64 ans à partir de 2030, contre 62 ans aujourd’hui.Les citoyens sont sortis de chez eux pour manifester leur mécontentement dans les rues. La plupart des établissements scolaires ont été impactés par ces grèves, certains lycéens ce sont également révoltés contre cette réforme.
Toutes les villes de France étaient dans les rues pour manifester contre la réforme des retraites notamment le 19 et le 26 janvier.
Le 7 mars une nouvelle journée de mobilisation générale est annoncée.
Les transports en commun ont été fortement perturbés pendant les grèves. Certains chauffeurs se demandent s’ils pourront continuer leur travail, comme certains autres métiers. La majorité des français rejette cette réforme et refuse le décalage de l’âge de départ à la retraite. En effet, à compter du 1er septembre 2023, l’âge légal de départ à la retraite reculera de 3 mois par an.
Dans le cadre du projet pHARe de lutte contre le harcèlement scolaire, les collégiens « ambassadeurs » s’engagent dans la lutte contre le harcèlement.
Jeudi 12 janvier, une trentaine d’élèves de tout niveau, était rassemblée pour suivre la formation d’ambassadeur pHARe afin de pouvoir repérer les situations de harcèlement au sein du collège et alerter de ces situations.
Encadrés par Mme Bunisset, l’assistante sociale du collège, Mme Labousseix infirmière scolaire, M. Berthelet, professeur d’EPS et Mme Estrade, professeure documentaliste, les élèves ont pu au cours de cet après-midi se livrer à plusieurs activités pour découvrir leur rôle d’ambassadeurs. Ils étaient également soutenus par des ambassadeurs accomplis qui avaient déjà effectué cette mission l’année dernière.
Dans un premier temps, nous avons joué au jeu de la ficelle pour apprendre à nous connaître et découvrir les motivations de l’engagement de chacun. Les élèves se sont présentés en binôme, puis, réunis en cercle, chacun présentait son camarade une pelote de laine à la main avant de la lancer à un autre camarade. A la fin des présentations, se forme un filet tissé avec la laine qui symbolise la solidarité contre le harcèlement.
Dans un deuxième temps, nous nous sommes mis en groupe de deux en ne gardant pas les mêmes partenaires, l’un mettait un bandeaux et l’autre devait le guider sans le toucher seulement en lui parlant pour lui faire faire parcourir un tracé particulier et lui faire attraper une balle. Le but était de travailler la confiance en son partenaire et l’écoute active.
Enfin, nous nous sommes répartis en 4 groupes mixtes pour trouver des mots qui sont dans le nuage de mots ci-dessus pour définir les notions suivantes : incivilité / intimidation / harcèlement.
Puis, nous avons eu le droit à un petit goûter pour clore cet après-midi.
Hier , mercredi 11 Janvier, nous, les élèves de la classe de 5ème A du collège Bernadette Chirac, sommes allés au cinéma VEO de Tulle pour participer à un atelier et voir un programme de courts métragesaccompagné de certains membres du Centre Alice Guy
Dans un premier temps, nous avons participé à un atelier animé par Marie Courault, artiste membre des Grands espaces. Cet atelier, intitulé Le champ des femmes nous a permis de comprendre la place des femmes dans le cinéma. Il y a plus d’hommes que de femmes qui apparaissent à l’écran ainsi que derrière la caméra : il y a 60% d’acteurs pour 40% d’actrices en moyenne dans les films qui sortent chaque année, concernant la réalisation de films, sept personnes sur dix sont des hommes.
Mme Courault nous a tout d’abord diffusé des extraits de films pour nous faire comprendre la notion de point de vue. Elle a ensuite tourné un petit film avec nous dans la salle de cinéma pour que l’on perçoive la différence des points de vue au cinéma, nous avons tourné une même scène du point de vue d’une spectatrice puis du point de vue de Mme Courault. Nous avons pu ainsi comprendre en quoi il est important que le point de vue féminin apparaisse à l’écran.
Puis nous avons assisté à la diffusion de quatre courts-métrages qui font partie du programme Les audacieuses, quatre films consacrés à la vie des filles d’aujourd’hui parfois confrontés au sexisme et à l’incompréhension.
Burn out, de Yann gozlan. C’est un film d’animation qui raconte l’histoire d’une astronaute, seule sur une planète inconnue et dont le vaisseau ne peut plus décoller. Mais elle se souvient qu’enfant elle ne voulait pas lâcher ses rêves alors elle arrive à repartir.
Fuck les gars, de Anthony Coveney, un film québéquois dont l’action se déroule dans un collège. Anaïs, la jeune héroïne est d’abord quitté par son copain, se bat ensuite avec un garçon, fait une bataille de nourriture à la cantine, se rebelle contre son prof de sport qui veut qu’elle s’habille différemment pour ne pas perturber les garçons.
Pile poil, de Lauriane Escaffre et Yvonnick Muller, l’histoire d’Elodie qui doit passer son CAP esthéticienne tout en travaillant dans la boucherie de son père qui parfois ne comprend pas bien la vie de sa fille. L’examen approche mais Elodie ne trouve pas de modèle pour l’épreuve pratique de manucure, soin du corps et épilation. Son père va lui servir de modèle et il va finalement mieux comprendre sa fille.
Romance, abscisse et ordonnée, de Louise Condemi. Romane une jeune lycéenne, tombe amoureuse de Diego. Lors d’une soirée, Romane vit sa première fois avec Diego mais les jours qui suivent Diego ne la calcule pas. Elle finit par lui faire avouer qu’il ne voulait rien de plus avec elle.
Ces films sont une bonne base de réflexion pour nous car nous allons également tourner nos propres courts-métrages dans le cadre d’un projet mené en partenariat avec le Centre Alice Guy.
Rescapée des camps d’extermination nazis, Frania Eisenbach Haverland témoigne inlassablement pour que ce terrible pan de l’histoire ne soit jamais oublié…
Elle a survécu et elle doit à l’humanité de raconter ce qu’il s’est passé. C’est son devoir comme tous ceux qui ont assisté à un crime, affirme Frania Eisenbach Haverland. Le 28 novembre 2022, les élèves des alentours de Brive ont pu assister à un témoignage glaçant sur son histoire. Nous, les élèves de 3e du collège, étions présents à ce rendez-vous, fiers de recevoir sa parole.
Depuis plus de vingt-cinq ans, cette habitante de Margency témoigne inlassablement aux quatre coins de l’Hexagone de l’enfer de la Shoah pour que jamais ce terrible pan de l’histoire ne soit oublié.
« Je ne pourrai jamais tout dire »
Sa voix tremble fréquemment lorsqu’elle entame son récit. Le plus souvent devant des classes entières d’élèves très vite captivés et émus, elle raconte son parcours, de son enfance heureuse avec un père chef d’orchestre et une mère pianiste, jusqu’à l’invasion de la Pologne, son pays de naissance, par l’Allemagne en 1939. Puis bientôt les premières persécutions subies par sa famille parce qu’ils sont juifs, les arrestations, le ghetto, ses frères raflés… Frania a 13 ans quand elle se retrouve orpheline et que son atroce parcours de camp en camp, quatre au total, commence. Elle passe notamment plusieurs mois à Auschwitz avec Tusia sa « sœur de déportation ».
En 1945, quand le camp de Flossenburg en Allemagne où elle se trouve est enfin libéré, Frania a 19 ans. Elle est alors la seule survivante d’une famille de 60 personnes. Six ans d’une vie volée, meurtrie, qu’elle a en partie racontés fin 2007 dans son livre Tant que je vivrai.
« J’étais une migrante à Paris »
Après la guerre, la jeune femme choisit de rejoindre la France pour tenter de retrouver son père. « Je me disais que s’il avait survécu, il m’attendait à Paris. Il me disait toujours qu’il y dirigerait un jour un orchestre…», souligne-t-elle. Mais lui aussi a été emporté par la barbarie nazie, elle ne le reverra jamais. Frania, qui ne connaît alors personne en France et ne parle pas la langue, n’apprendra que bien plus tard l’histoire de Vichy et de la collaboration. Quelques années plus tard, cette grand-mère et arrière-mère rencontre Maurice, un ancien prisonnier de guerre, qui deviendra son mari. Un couple uni jusqu’à la mort de ce dernier en 2007.
Des années avant de témoigner
Si aujourd’hui cette « survivante » témoigne en public dès qu’elle y est invitée, il lui aura fallu attendre des années avant d’en être capable. Un passé lourd à porter, estime-t-elle. « On est tatoué, marqué. On est et sera toujours des déportés.» Mais aussi de trouver des oreilles prêtes à entendre son terrible récit. C’est en 1993 que des recherches menées avec la sortie du film la Liste de Schindler , se déroulant dans le camp de Płaszów (en Pologne) dans lequel elle est restée dix-huit mois, la décideront. « C’est de là que c’est parti », précise Frania
Protéger la jeunesse d’aujourd’hui
« J’ai la naïveté de penser que c’est mon devoir de témoigner pour tenter de protéger les jeunes d’aujourd’hui. À mes 13 ans, je ne savais pas que l’être humain pouvait être capable de telles horreurs et pourtant. Alors il faut le dire, il faut qu’ils sachent. Mais aussi crier haut et fort qu’il n’y a qu’une seule race, la race humaine », lance-t-elle.
Pourtant, Frania, les yeux souvent humides à force de réminiscences, ne le cache pas. Chaque intervention est douloureuse. Et puis pour cette femme de 96 ans, ses témoignages, mêmes difficiles, sont également des instants précieux, souligne notre chère Frania, qui croule sous les demandes d’intervention à l’heure où les dernières voix des témoins directs de la Shoah s’éteignent peu à peu.
Enfin et peut-être surtout, chaque intervention est aussi pour Frania un moyen de faire vivre quelques instants tous ses proches disparus.
En ce qui concerne la situation actuelle en Europe avec la guerre en Ukraine, Frania se déclare inquiète : « je ne pensais jamais revoir cette situation en Europe, les enfants ukrainiens seront marqués par ces souffrances pour toute leur vie. » C’est pourquoi, son message à la jeunesse est le suivant : « Vivez ensemble en bonne intelligence, aimez-vous. »
Jeudi 9 juin 2022, les élèves inscrits au Prix Manga’titudese sont rendus à Limoges pour participer à la journée finale du Prix en présence des élèves de toute l’académie. Entre atelier dessin avec une illustratrice, rencontre d’un éditeur manga et concours Cosplay, découvrez la journée de nos élèves grâce à l’enregistrement de Timothé et Emily.
Félicitation à Enola qui a remporté le Prix du concours Cosplay pour son incroyable cosplay d’Erza de Fairy Tail !
Les 13 et 14 mai a eu lieu le Trail des Myrtilles dans les Monédières. Amandine et Ambre ont interrogé Noémie qui faisait partie des bénévoles lors de cette manifestation.
Le manga est un type de dessin animé japonais ou de l’animation japonaise, il est adapté d’un livre au départ. Quand c’est une animation on appelle ça un « anime« .
Il y a différents types de mangas :
le Shonen qui est un manga d’action, d’aventure comme One-piece, Demon Slayer et bien d’autres
le Shojo qui retrace des romances tel que Blue Spring Ride
le Seinen qui est plutôt destiné aux adultes et traite des sujets sérieux comme par exemple Quartier lointain de Taniguchi
le Josei, vieux manga parus aux alentours de 1950 comme Dragon Ball, Nana, Astro Boy ou encore Détective Conan
le Yaoi qui met en scène des histoires d’amour entre garçons. Par exemple, Le garçon d’à côté; killing stalking
le Yuri qui met en scène des histoires d’amour entre filles comme Citrus
le Hentai, un genre de manga pornographique
Il y en a aussi en jeux vidéos. Les plus connus sont : Doki doki littérature club,Yandere simulator,Omori, Skullgirls
Le tout premier manga inventé est AstroBoy de OsamuTezuka en 1952. Cela fera le succès de l’animation japonaise et inventera le « manga ».
Découvrez le top 10 des mangas les plus célèbres :