Première séance (19/12/24) pour découvrir l’émission Le Dessous des images et en comprendre les enjeux et intérêts. Nous sommes jeudi matin, la semaine juste avant le début des vacances de Noël, et nous travaillons sur un épisode proposant d’explorer une photographie animalière intitulée L’homme et le gorille diffusé sur ARTE le 01/09/23. En cette fin de 1ᵉʳ trimestre, nous accueillons plutôt bien le fait d’entrer dans un projet qui questionne un thème cher à notre cœur : les relations entre l’homme et l’animal.
Écoute de la séance et visionnage de l’épisode L’homme et le gorille
La deuxième séance (08/01/25) porte sur un numéro du dessous des images qui n’est pas celui prévu au départ. Il s’agit d’un magazine récent diffusé pour la première fois le 05/12/24, soit après la rédaction de la fiche préparatoire du projet. Il revient sur un animal qu’on n’avait pas vu sur terre depuis 60 ans et qu’on croyait disparu, l’échinidé à long bec d’Attenborough, immortalisé la nuit grâce à un piège photographique. Nous ne connaissons pas « le drôle d’oiseau » sur la photo étudiée, et nous émettons donc des hypothèses. Le plus surprenant est que l’un d’entre nous, Quentin Chevalier, tape en plein dans le mille en proposant « l’échinidé » ; hélas, sans que son enseignante l’entende !
Preuve à l’appui dans cet enregistrement à une minute et trente-six secondes.
La troisième séance (06/02/25) est davantage axée sur le sens et l’analyse des choix faits par un artiste photographe. La photographie primée de Laurent Ballesta d’une limule sous l’eau s’y prête parfaitement.

Voici retranscrites quelques-unes de nos impressions avant le visionnage du numéro dédié du magazine du dessous des images :
Les éléments qui font la réussite de cette photo sont la rareté de l’animal, le fait qu’elle ait été photographiée juste après sa mue, et le rendu brillant de sa carapace.
Auguste Joly
La beauté de la photo la rend vraiment unique, cette photo permet de s’intéresser et d’apprendre sur un animal peu connu.
Lilian Bastien
J’éprouve un sentiment de soulagement, car se dire que des espèces aussi vieilles sont encore vivantes, ça veut dire qu’on a réussi à les conserver. Le photographe a dû aller en profondeur, avoir de l’éclairage et de la chance ! La réussite, c’est le bon angle, la belle lumière, et l’animal concerné rare et peu vu dans son habitat naturel.
Quentin Chevalier
Le photographe a surement dû faire face à plusieurs problèmes comme la luminosité, mais aussi la contrainte de l’eau et de la profondeur, et surtout, il a d’abord dû chercher et trouver l’animal. La photo est réussie grâce au jeu de lumières et aux petits poissons juste au-dessus de la limule.
Gabin Mas
La quatrième séance (13/02/25) ouvre notre réflexion à la représentation de paysages ; elle porte sur un magazine du dessous des images du 17/10/24 qui étudie la photographie d’un évènement et d’un spectacle naturels extraordinaires, « la superlune », une lune de grande taille du fait de sa proximité avec la terre. Nous sommes amenés à comparer cette photographie de superlune de Stanislas Misinas avec le très célèbre tableau de David Caspar Friedrich, Deux hommes contemplant la lune, réalisé par le peintre entre 1825 et 1830.

La cinquième séance (21/02/2025) se déroule au CDI du lycée avec nos professeurs documentalistes Mme Ventadour et Mme Bouchard qui nous ont aidés à choisir nos photographies. Chacun des binômes propose trois clichés soumis à un vote de l’ensemble, professeures comprises. La proposition d’images doit répondre à trois critères : être clairement identifiée (titre, auteur, source, date), avoir un lien avec la nature, posséder un certain potentiel médiatique. De plus, au moins une des trois photographies présentées, doit appartenir à la banque d’images réalisée par les enseignantes (lien ci-dessous).
À l’issue du suffrage, ont été retenus :

https://laurentballesta.com/tirage-darts/

https://www.ashleighscullyphotography.com/p754199892

https://www.davidchancellor.com/

https://anotreimage.fr/porfolio/silhouettes

World Nature Photography Awards 2024
https://www.nicolaslenaremy.com/-/galleries/themes

The 2023 underwater photographer of the year,
https://www.naturettl.com/alvaro-herrero-lopez/
Nous sommes maintenant engagés dans l’analyse de nos photographies. La classe a eu la chance d’interviewer Bastien Prévost, un des talentueux photographes animaliers de notre coin de Haute-Corrèze. On a longuement échangé sur le blaireau, son rapport aux hommes ; sur les compétences et qualité d’un photographe animalier ; sur ce qui fait la réussite ou non d’un cliché naturaliste, et évidemment sur l’intérêt et les atouts de cette photographie de silhouette de blaireau en sortie crépusculaire.
Rendez-vous fixé le mardi 20 mai à 19 h 30 en salle Méliès pour présenter le travail aux publics !






Bravo,
votre travail est super intéressant, merci de le partager.
Bravo très beau travail!
J’ai beaucoup aimé faire ça, c’était très amusant et intéressant.
Super agréable à réaliser ; bon travail de classe.
Bon travail de la classe.
Super intéressant.
C’était très ludique et instructif !
Super bien fait.
Bon travail d’équipe avec la classe.
J’ai adoré découvrir des animaux aussi insolites qu’extraordinaires. C’était vraiment intéressant. Hâte d’avancer dans ce projet. 😃
C’était très intéressant, nous avons appris plein de choses.