Gizmo, la nouvelle mascotte du collège

Peut-être avez vous remarqué qu’un petit chien se balade dans les couloirs du collège. Nous avons interrogé sa maîtresse Mme Hascher, professeure référente de l’ITEP (institut thérapeutique, éducatif et pédagogique ) .

Gizmo : Photo provenant de Mme Hascher

Voici l’interview de Mme Hascher :

Interview de Clémentine

Bientôt la fin de la galère !

Il y a des travaux devant le collège et sur la totalité de l’avenue Jules Ferry. Commencés en janvier 2024, ils doivent se terminer pour Noël. Une galère sans nom pour les riverains, car la route et les trottoirs sont difficiles d’accès… mais c’est pour la bonne cause, vous allez l’entendre ! Nous avons eu la chance de pouvoir interviewer monsieur Leroux, responsable des travaux au niveau de la commune d’Objat. Il a répondu à nos questions.

Projet des travaux en fin de réalisation, fourni par Monsieur Leroux de la mairie d’Objat.

M. Bordignon nous révèle sa vision du métier de prof

Je voulais avoir plus d’information sur le métier de professeur car on n’a pas toujours une vision exacte quand on est élève ou parent, c’est pour cela que je vais aujourd’hui recueillir le témoignage de M. Bordignon, un professeur de mathématiques.

Une salle de classe du collège. Photo eugène.com

Eugène.com : Bonjour M. Bordignon, selon vous, quelles sont les qualités à avoir pour devenir professeur?

M. Bordignon : Il est utile d’avoir des facilités dans la matière, pour moi ce sont les mathématiques, et il faut aimer le contact avec les enfants et bien entendu aimer transmettre des connaissances.

Eugène.com : Comment se faire respecter des élèves en rendant tout de même le cours agréable ?

M. Bordignon : Pour se faire respecter, il faut soi-même bien respecter les élèves, tout en étant juste. Il faut aussi essayer de travailler la confiance. Mais il n’y a pas de méthode miracle.

Eugène.com : Changez-vous les cours chaque année ? Pourquoi ?

M. Bordignon : Non, car je ne choisis pas le programme (ndlr : c’est le Ministère de l’Education nationale qui définit les programmes) mais je ne fais jamais mes cours de la même façon car j’adapte en fonction des questions et des réponses des élèves.

Eugène.com : Combien de temps passez-vous environ par semaine à corriger et préparer vos cours ?

M. Bordignon : Ça change en fonction des périodes de l’année et de la manière dont on arrive à avancer dans les différentes classes. Je ne peux donc pas répondre a cette question car c’est très variable.

Eugène.com : Selon vous, une semaine de professeur, c’est combien d’heures de travail ?

M. Bordignon : C’est variable bien entendu mais je vous donne la réponse de notre ministère : c’est 41 heures par semaine selon une étude menée par le ministère et que vous pouvez consulter (c’est ici : la note d’information du Ministère de l’Education nationale). En général je fais plus d’heures que ça et je ne compte pas.

Tableau tiré d’une étude faite par l’éducation nationale Source : educ.gouv .

Eugène.com : Quels niveaux préférez-vous avoir ? Pourquoi ?

M. Bordignon : Je préfère avoir des 4° et 3° car les programmes sont plus intéressants selon moi mais le mieux de manière générale, c’est tout de même des élèves qui participent et qui n’ont pas peur de répondre !

Source : Ministère de l’Education nationale

Interview d’Élodie

Sites marchands : l’envers du décor !

Certains sites marchands sont très appréciés des ados comme Temu ou Ali Express qui vendent de tout, ou encore Shein pour la mode vestimentaire… Sur ces sites, les prix sont peu chers et très attractifs avec des produits tentants qui suivent la mode. Pourtant, il faut se méfier de l’iceberg : beau à la surface, très dangereux en dessous. On vous explique pourquoi.

Source : Le jordana Hidalgo

Des sites qui séduisent

Au collège, beaucoup d’élèves font des achats sur les sites de Temu, Ali Express ou Shein car les produits sont séduisants et les prix très bas, pourtant on va vous expliquer en 3 points pourquoi il est préférable d’éviter ces sites.

  1. Des arnaques et de la mauvaise qualité

Le site testachats a fait part d’une étude des produits vendus sur Temu, le site chinois : Sur 28 produits achetés via l’application Temu, le site constate de manière générale une mauvaise qualité des articles, une sécurité financière menacée, un problème de non-conformité des produits, et des délais de remboursement trop longs, etc.

Toujours selon ce site, certains experts en cybersécurité ont dévoilé un inquiétant rapport sur Temu, accusant la plateforme d’escroquerie, de vol et revente de données personnelles sensibles et même, d’injection de logiciel espion sur les appareils de ses clients.

2. Des sites qui exploitent les enfants

Ce sont des sites dangereux car de nombreux enfants chinois ou Bangladais travaillent pour la fast fashion. Et faire travailler un enfant, c’est de la maltraitance ! Ils sont souvent payés un salaire de misère, avec une cadence infernale. Pourtant, ces sites sont mis en avant comme sur tiktok avec des placements de produits permanents sans tenir compte des conditions de production.

3. Des sites anti-écolos!

Selon le magazine Géo, Shein a presque doublé ses émissions de CO2 en 2023 et est devenu le plus grand pollueur du secteur de l’industrie du vêtement. Ce géant de la « fast fashion » faisait déjà polémique avec ce principe de la mode jetable, pas chère et de mauvaise qualité : « L’entreprise proposerait jusqu’à 600 000 articles à la vente à tout moment, avec un prix moyen d’environ 9 euros » peut-on lire dans cet article de Géo. Plusieurs articles montrent récemment qu’on ne peut plus recycler ces tonnes de vêtements depuis que la fast-fashion est installée.

Comment choisir ses sites d’achat ?

Pour faire un achat durable qui respecte la nature, les gens qui travaillent et qui ne vous arnaque pas au final, préférez les sites officiels des marques, la fabrication française, les labels éco-résponables.

Vérifiez l’identité du vendeur

Choisissez un site français ou européen

Vérifiez la e-réputation du site

Soyez très attentif à la description des produits

Faites attention au marketing trop agressif

Préférez toujours la qualité des produits et l’éthique de la marque

Et méfiez-vous des prix trop attractifs : cela cache toujours un secret maléfique !

Sources : Testachats / Le Figaro / Le Figaro / Géo / économie.gouv.fr / Binette / France bleu

Article d’Arthur

Elections US : Une victoire inquiétante ?

Avec la réélection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis, de nombreux médias américains et européens sont inquiets pour l’avenir. Je suis allée interroger deux professeurs pour essayer de comprendre pourquoi.

Donald Trump et Elon Musk, quels dangers ? Source de l’image : Challenges

Interview de Clémentine

Cross 2024 : des nouveautés qui ont séduit

Comme chaque année, le cross est un événement important dans notre collège ! Initialement prévu le 18 octobre, la météo pluvieuse a obligé les organisateurs à le repousser. Il s’est finalement déroulé le 15 novembre 2024 dans l’enceinte du collège, juste avant le cross départemental qui va avoir lieu demain, le mercredi 20 novembre. Ecoutez notre podcast pour en savoir plus !

Départ du cross garçons 5e. Photo Eugène.com

Interview réalisée par Eloise.

Les riders impatients !

A Objat, il y a beaucoup de changements en perspective pour les fans de BMX et trottinette freestyle!

Peut-être avez-vous remarqué : un pumptrack est en train de se construire à Objat. Il se situe exactement Avenue Henri de Jouvenel, c’est-à-dire à l’entrée d’Objat en venant de Brive.

Source de l’image : où rouler

Qu’est-ce qu’un pumptrack ?

Un pumptrack est un parcours de bosses bitumé que tu fais en BMX ou VTT ou encore en trottinette freestyle, skateboard ou roller, pas plus, pas moins ! Tout autre véhicule est interdit sur un pumptrack, surtout les véhicules motorisés.

Un Pumptrack permet, par des séries de compressions et d’extensions avec les bras et les jambes (pompage), de prendre de la vitesse sans donner un coup de pédale.

Combien y a t’il de pumptracks en Corrèze?

Il y en a six en tout pour le moment : Soursac, Brive-la-Gaillarde, Ussac, Pirelevade, Ussel et Egletons. Objat sera donc le septième ouvert au public.

Est-ce que le pumptrack va prendre la place du skatepark ?

Jusqu’à présent, il y avait un skatepark à Objat, situé au plan d’eau. Mais il a été démonté définitivement pour être remplacé par un circuit pour permettre aux plus petits de s’amuser tout en apprenant le code de la route.

Mais qui a eu l’idée de créer ce fameux pumptrack?

Nous avons contacté la mairie et avons eu confirmation : C’est la mairie d’Objat qui a décidé de créer le pumptrack et c’est l’entreprise Schneestern France qui est en train de créer cette installation.

Mais quel est la différence entre un pumptrack et un skatepark?

Le pumptrack est un parcours avec des bosses qui forment un seul parcours. Alors que le skatepark est constitué de plusieurs structures détachées qui forment plusieurs parcours au choix.

Les règle du pumptrack pour que les riders et les non-riders soient en sécurité :

Pour le règlement complet, cliquer ici

  1. Avoir un équipement complet ! Le casque est OBLIGATOIRE! Les coudières, les genouillères, les gants sont recommandés ainsi que les protections pour les poignets.
  2. Ne pas s’arrêter en plein milieu de la piste! Cette règle semble stupide mais moi j’ai vu des riders s’arrêter en plein parcours ! Ca peut être dangereux pour toi et les autres riders qui peuvent aller à grande vitesse.
  3. Respecter les pistes ! Exemple : si tu es un rider qui ne vas pas vite, ne va pas sur la grande piste mais plutôt sur les petites pistes. Mais si il n’y a pas de petite piste, essaye de prévenir les riders rapides.
  4. Piétons : restez à deux mètres de la piste !

Sources : Agence nationale du sport / Mairie d’Objat

Article écrit par Arthur Larguier.

Une nouvelle tête veille sur les Ulis

Une nouvelle professeure d’Ulis est arrivée cette année, Mme Creach. Nous l’avons interviewée pour la découvrir avec vous, avoir une idée plus approfondie de son métier et du dispositif Ulis en général. Vous savez quoi ? Elle a l’air drôlement sympa !

Mme Creach et ses élèves de la classe Ulis. Photo prise en classe par un élève de la classe.

Interview d’Élodie et Antonin Vaillé

Bien dans ses bask’, bien dans sa tête

Santé mentale… Quand on entend ce mot, on pense immédiatement psy et hôpital, mais je vais prouver qu’en réalité nous sommes tous concernés.

Source : Université Sorbonne

La santé mentale, une notion à bien définir

Pour bien définir ce qu’est la santé mentale, on va aller voir le site officiel de l’assurance maladie : « La santé mentale est un état de bien-être, indispensable pour se sentir en bonne santé. Elle ne se définit pas seulement par l’absence de trouble mental ou psychologique. La santé mentale fluctue en permanence parce qu’elle dépend de nombreux facteurs. Il est possible d’agir sur certains. »

Un pilier de notre existence

La santé mentale peut être considérée comme accessoire, mais pourtant elle peut influencer réellement la santé physique. Par exemple, l’anxiété peut déboucher sur des maladies cardiovasculaires ou sur des troubles musculosquelettiques et quand on souffre de dépression en plus de subir des souffrances mentales, on peut aussi avoir des maux de tête, un système immunitaire affaibli ou encore des troubles du sommeil. Et aussi et surtout, c’est beaucoup plus agréable de vivre en se sentant bien dans sa tête.

Un entretien régulier nécessaire

La santé mentale est très fragile et peut varier en fonction de beaucoup de facteurs comme le milieu de vie ou encore l’histoire personnelle et relationnelle. Parmi les conseils que l’on peut donner pour entretenir sa santé mentale, le développement personnel peut par exemple aider à se sentir mieux dans sa tête. On peut aussi pratiquer une activité sportive régulière, essayer de mieux dormir, s’exposer à la lumière naturelle en sortant davantage dehors, réduire la consommation d’excitants comme le café, l’alcool et le tabac.

N’oublions pas que notre santé mentale varie beaucoup avec l’arrivée de l’hiver, c’est donc normal si vous sentez une baisse de moral à cette période. Cependant, pour certains (moi par exemple !), l’hiver est une période favorable au bien-être quand on n’aime pas la chaleur.

Il ne faut pas oublier que tout le monde est concerné et on ne le dira jamais assez mais quand ça ne va pas, le mieux c’est d’en parler !

Sources : inrs /livi / santé.fr

Article d’Eloïse

Les fake news de Donald 🦆

Selon de nombreux médias, lors de ses meetings, Donald Trump aurait dit de très nombreux Fake news. On vous livre un petit florilège !

Lors de ses meetings, Donald Trump y va fort dans la Fake News , d’après les médias !

Par exemple, il a utilisé une vidéo montrant des immigrés haïtiens qui expliquent avoir obtenu la nationalité américaine après avoir voté pour Kamala Harris dans plusieurs états. Ce qui s’est avéré faux bien évidemment, car la vidéo est une mise en scène et cela a été prouvé. Mais comme la vidéo a été publiée sur le réseau social X de Elon Musk, qui soutient l’ancien président, beaucoup de gens l’ont cru.

Il a aussi déclaré que des migrants résidant dans l’état de l’Ohio mangeraient des chiens et des chats. Là aussi les médias ont prouvé que c’était faux.

Image fake issue d’une IA Source : le 7 info

Il a aussi affirmé que P. Diddy, le rappeur américain accusé de violences sexuelles, faisait partie du camp démocrate. Ce qui s’est encore avéré faux.

Si Donald Trump est élu, il sera compliqué pour les Américains de faire la différence entre la vérité et le mensonge. Nous aurons la réponse dans le courant de la semaine…

Source : RTL France info

Article de Clémentine.