La Dépaysante s’engage pour le BIO et le Local

Dessin de Jade

Manger sainement et respectueusement, et si c’était une des clés pour respecter notre planète ? Aujourd’hui, de plus en plus de gens s’engagent au quotidien, comme l’association corrézienne de la Dépaysante, qui est tenue par des bénévoles  et qui regroupe des producteurs, des cuisiniers et des artisans en Corrèze,  dans l’objectif de donner la priorité au bio, au local et aux produits frais. J’ai pu discuter avec Nicolas, qui travaille dans cette association, pour comprendre leur travail.

Nicolas m’a expliqué que La Dépaysante, c’est  une association de producteurs et productrices qui est née  il y a quatre ans. « Nous sommes environ une cinquantaine de personnes à produire des légumes,  du lait, des œufs… ,et quand on dit localement, c’est environ à une trentaine de km autour de chez nous ».

La plupart des personnes qui travaillent dans cette association sont bénévoles, c’est-à-dire qu’ils n’ont pas de salaire en retour, il n’y a qu’un seul employé qui a pour le moment un contrat court, mais il devrait être modifié en contrat long en avril.  L’association a acheté un local qui permet de vendre les produits et qui a permis d’ouvrir un restaurant. Chaque producteur ou productrice peut venir participer à des commissions dans lesquelles le groupe décide de faire par exemple des affiches. 

Les producteurs gagnent de l’argent sur les produits vendus mais pas sur le fait de tenir le local, ça c’est bénévole.

Nicolas a expliqué que c’était important de proposer des produits locaux, de saison et bio :  » C’est vraiment important de consommer local pour plusieurs raisons :  la première, c’est écologique, ça réduit l’impact écologique notamment lié au transport, lié à l’allongement des chaînes de production. Par exemple quand nous faisons venir des mangues d’Amérique  du Sud, il y a forcement plus d’impact que quand on mange des fruits comme des pastèques produites tout près. La deuxième raison est économique : quand on acheté localement  on contribue à faire vivre l’économie  locale, on fait vivre des gens qui vivent à proximité et ces gens qui reçoivent l’argent peuvent racheter des choses qui sont produites dans le coin.   Donc je peux racheter de la viande locale, je peux acheter un produit artisanal. Après je trouve qu’il y a un aspect humain qui est intéressant, parce que quand on va au marché ou quand on va au magasin de la Dépaysante, les clients peuvent rencontrer les personnes qui produisent, on discute, on met un visage sur celui qui produit. Le dernier argument est encore économique :  c’est qu’en ce moment, le prix du pétrole peux monter très haut, ça peut coûter cher et  si un jour les grandes chaines de distribution  se raccourcissent,  nous devrons nous débrouiller avec nos petits commerces ».

Sources à consulter : Le site de la Dépaysante

Article de Jade

Et si on arrêtait de manger n’importe quoi ?

Aujourd’hui, pour la journée e-reporter, nous avons réfléchi au rôle de l’alimentation pour le respect de la planète. A l’heure où on mange des avocats qui font des milliers de kilomètres, où on  élève des vaches dans de très mauvaise conditions,  où on mange des tomates en hiver et des fraises en automne, n’est-il pas urgent de remettre notre alimentation en question ? Certains le font, et nous avons eu la chance d’interroger Enora Mahe, qui est traiteur évènementielle éthique.  Traiteur quoi ??? Allez, elle vous explique !

Dessin de Léana

Léana pour Eugène.com : Pouvez-nous  vous expliquer votre métier ?

Enora Mahe :  je suis traiteur événementiel,  ça veut dire que je fais des repas pour des événements, comme des mariages, des anniversaires, Noël. . .  ou  pour des associations. Et pourquoi éthique ? Parce que je fais attention à ce que je propose à mes clients. Des  aliments frais, locaux, de saison et souvent BIO. Je fais aussi attention à mon empreinte carbone.

Léana pour Eugène.com : Depuis combien de temps exercez-vous ce métier ?

Enora Mahe : C’est une reconversion professionnelle. J’ai créé cette entreprise en septembre 2020, il y presque 3 ans.

Léana pour Eugène.com : Dans la logique d’une alimentation respectueuse de la planète,  réduisez-vous l’utilisation de viande dans la préparation de vos repas ?

Enora Mahe: J’essaie dès que je peux de demander aux clients s’ils veulent du végétarien, parce que je pense qu’ il est important de réduire sa consommation de viande et puis je trouve ça créatif de faire des plats sans viande ! Il y a de plus en plus de particuliers et de professionnels qui demandent de la nourriture végétarienne. Et concernant mes sources d’approvisionnement, je suis heureuse de pouvoir dire que je ne travaille qu’en direct avec des producteurs locaux qui respectent leurs animaux, qui les traitent bien et pour qui c’est important.

Léana pour Eugène.com : Et c’est pareil pour tous vos producteurs ? Vous n’achetez que du bio ?

Enora Mahé : Presque tous mes aliments viennent de producteurs locaux (les légumes, les fruits, les fromages, les yaourts, le beurre, les œufs , la farine. . .) et sont  généralement BIO. Les aliments qui ne sont pas locaux sont toujours BIO.

Léana pour Eugène.com : Vos repas sont-ils accessibles pour des personnes qui ont de petits revenus ?

Enora Mahé : Oui, car je m’adapte au budget de mes clients. Pour les personnes qui ont un petit budget,  je leur prépose d’enlever la viande car, comme je cuisine de la viande de qualité, elle coûte très cher, de ce fait je leur propose donc de la nourriture végétarienne.

Léana pour Eugène.com : Merci d’avoir pris le temps de répondre à nos questions !

Interview de Léana

Comment manger bio et local à Objat ?

Manger bio c’est bien mais où en trouver ? A Objat il avait déjà 3 supermarchés traditionnels et le marché du dimanche, où on peut trouver des producteurs du coin qui vendent leurs légumes. Mais depuis deux ans, un magasin bio à ouvert ses portes ! J’ai interviewé Élisa, la fille du gérant, qui est  élève de sixième au collège.

Source : Eugène.com

 Interview d’Eloise

Les pouvoirs publics ont-ils du pouvoir pour protéger la planète ?

Se nourrir et préserver la planète, comment concilier les deux ? Les mairies, les régions peuvent-elles changer quelque chose et ont-elles le pouvoir d’améliorer la qualité de la vie ? Clémentine et moi avons interrogé Stéphanie Perrier, adjointe au maire de la ville de Tulle en charge de l’environnement, pour vous en dire plus.

dessin de Lucie

Lucie et Clémentine pour Eugène.com : Que fait la mairie de Tulle en général pour préserver la planète ?

Stéphanie Perrier : Premièrement  on a éteint les lumières des  villes à  23 heures. Ce qui permet d’économiser de l’argent et de laisser les animaux dormir en paix (hiboux; chauves-souris …)

Lucie et Clémentine pour Eugène.com  :  Ah c’est super : Mais pour ceux qui rentrent tard chez eux, comment peuvent-ils voir quand la nuit est tombée ?

Stéphanie Perrier : Normalement ils ont leur téléphones pour éclairer la route  !!!

Lucie et Clémentine pour Eugène.com: Pour l’alimentation, quels sont les domaines sur lesquels vous pouvez agir ?

Stéphanie Perrier : Alors sur l’alimentation, on n’a pas beaucoup d’axes puisque tout ce qui va être zones agricoles et agriculture, ça dépend essentiellement de l’agglo, et pas de la ville. Au niveau de la ville cependant,  elle peut agir sur les cantines d’écoles. Il y a une loi qui exige d’avoir une certaine quantité de légumes BIO ou Local en circuit court dans toutes les cantines. Déjà ça c’est un choix. On soutient aussi les gens qui ont besoin d’aide. Par exemple, on soutient les associations qui viennent en aide aux gens en grand besoin. On a mis par exemple des jardins et des potagers qui sont à disposition des Restaurants du Cœur.

Lucie et Clémentine pour Eugène.com:  Quel budget la mairie consacre-t-elle à l’environnement?

Stéphanie Perrier : Alors en fait… il n’y a pas de budget !!!  L’environnement en soi touche un peu tout, par exemple, quand on fait des travaux dans une rue, on va essayer de ne pas polluer et surtout de ne pas tout goudronner. Quand on va renouveler un quartier nous allons faire en sorte de rester en harmonie avec la nature. Quand un projet voit le jour, notre travail est de convaincre  nos collègues de prendre en compte les aspects liés à l’environnement.

Lucie et Clémentine pour Eugène.com: Merci madame et au revoir !

Article de Lucie avec l’aide de Clémentine

Tous en vert pour la Saint-Patrick !!!

Aujourd’hui , vendredi 17 mars nous avons fêté la Saint-Patrick au collège. Nous devions tous être habillés en vert aux couleurs de l’Irlande. J’ai interviewé Mme Roubertie, qui est à l’origine de ce projet rigolo.

Nos profs d’anglais ont bien joué le jeu ! Photo Eugène.com

Source: Pop mag

 

De nombreux élèves étaient donc habillés en vert, certains portaient des chapeaux ou des accessoires de Leprechaun, personnage phare de l’Irlande. Ce personnage attend avec son seau plein d’or au pied d’un arc-en-ciel, une personne qui viendrait  à passer par là.

Le vert, qui est une couleur essentielle du drapeau de l’ Irlande, a donc été partout dans le collège.

 

 

Photo eugène.com

Voici notre interview de Mme Roubertie, professeur d’anglais, qui nous explique le projet :

Source:dreamstime

article de Clémentine

Imaginez un bateau !

Je vais vous présenter un projet réalisé en arts plastiques cette année par les classes de 6e, à la demande de  M. Pechméjac, le professeur. Il s’agissait de réaliser un bateau en trois dimensions !

 

Source photo Eugène.com

Nous avons réalisé ce projet pendant 3 séances de cours d’arts plastiques. Nous avons fait des bateaux par groupes de 4 . Pour cela,  nous avons dû piocher un petit papier pour savoir le nom de notre bateau.

Certains ont ainsi pioché le mot « sous-marin » d’autres une  « barque » ,  d’autres un « bateau-pirate » , d’autres encore une « corvette » … Mes 3 coéquipiers et moi,  nous avons pioché le mot « embarcation ».

En classe nous avons travaillé très dur pendant 3 jours . On avait plein de matériel à disposition : de la colle forte, des petites chutes de papier, des  cutters, des cartons … bien sûr on pouvait ramener des choses de chez nous, ce que l ‘on voulait . Par exemple, nous, nous avons ramené des bouchons, des bâtonnets de glace et des tissus.

Je vais poser quelques questions à Jade, qui était dans mon groupe, pour réaliser ce projet :

Lucie : qu’est-ce que tu as trouvé d’intéressant dans ce projet ?

jade : j’ai trouvé intéressant d’utiliser plusieurs matériaux recyclés pour en faire une oeuvre.

Lucie : qu’est-ce que le mot « embarcation vous a évoqué et qu’avez-vous réalisé ?

Jade : on a pensé que embarcation, ça signifiait un gros bateau comme le Titanic. On a cherché à reproduire des éléments de ce type de bateau, comme les cheminées, les fenêtres.

Lucie : as-tu une remarque à faire pour améliorer ce projet ?

 Jade : oui j’aurais aimé plus de temps ! Trois séances c’était trop court, à la fin, il fallait courir dans tous les sens et on a un peu bâclé la fin du travail.

   article  de Lucie

Collège au cinéma : un film historique pour les 3ème

Ce vendredi 9 mars 2023,  les troisièmes se sont rendus à Brive pour voir un film réalisé par Jerry Schatzberg sorti en salles en 1989 . Pour en savoir plus,  j’ai interviewé Isabelle qui est en troisième et qui est allée voir ce film.

Source: Première

Clémentine pour Eugène.com : Bonjour Isabelle quel film êtes vous allés voir ce matin ?

Isabelle: Nous sommes allés voir L’ami retrouvé.

Clémentine pour Eugène.com : Et dans quel cinéma ?

Isabelle:  Nous sommes allés au Rex qui est un petit cinéma au centre de Brive, qui propose plutôt des films qui font réfléchir. C’est un cinéma d’art et d’essai.

Clémentine pour Eugène.com: Ça racontait quelle histoire ?

Isabelle: Ça racontait l’histoire de jeunes adolescents qui se sont rencontrés à l’école et qui sont devenus très proches mais l’un d’eux est Juif et l’autre non. Sauf que cette amitié se déroule avant la Seconde Guerre mondiale au moment où Hitler  prend le pouvoir et commence à discriminer les Juifs et à les enfermer dans les camps de concentration.  Conrad, d’un côté, est un jeune Allemand de bonne famille, ses parents vont vite adhérer aux idées nazies et on voit qu’ils détestent les Juifs. Conrad cache d’ailleurs son amitié à ses parents et finalement délaisse peu à peu son ami. De l’autre côté, Hans, qui est Juif lui-même, subit les persécutions, aussi il va être envoyé chez ses grands parents en Amérique  pour éviter le sort réservé aux Juifs ; les deux amis vont être séparés par les kilomètres, mais surtout par  leurs idées. Ils ne vont jamais se retrouver physiquement. Pourtant, la fin laisse comprendre qu’ils se retrouvent quand même, mais autrement.

Clémentine pour Eugène.com: Qu’est ce que tu as pensé de ce film ?

Isabelle: J’ai trouvé ce film très intéressant, et la fin était très inattendue !

Clémentine pour Eugène.com: Et bien merci Isabelle de nous avoir raconté le film et à bientôt.

Source: Première 

Article de Clémentine

Une grande écrivaine à deux pas de chez nous !

Vous êtes déjà sûrement allé aux jardins de Colette à Varetz, c’est un lieu très agréable à visiter… mais savez vous qui était Colette ?

Source image : delavalleedesgresidogs.chiens-de-france.com

Qui était Colette ?

Sidonie-Gabriel Colette dite « Colette » est née en  1873 dans l’Yonne. Elle est une très grande écrivaine française, elle écrit surtout des romans d’auto-fiction, c’est-à-dire qu’elle écrivait des romans basés sur sa propre vie. Elle a écrit des romans comme Claudine à l’école en 1900, Dialogue de bêtes en 1904, Chérie en 1920, La maison de Claudine en 1922, le Blé en herbe en 1923, Sido  en 1929 ou encore Histoire pour Bel Gazou en 1930. Vous trouverez quelques uns de ces romans au CDI du collège si vous souhaitez découvrir cet auteur ! (Claudine à l’école, La maison de Claudine, Sido, les vrilles de la vigne et histoire pour Bel Gazou).

Colette et la Corrèze

Source image : jardins de France

En 1912, Colette se marie à Henri de Jouvenel, son deuxième mari, celui-ci est rédacteur en chef du journal Le Matin (un journal très connu à l’époque) et un homme politique (vous avez peut-être remarqué que beaucoup de rues portent son nom en Corrèze) . Ils s’installent au château de Castel Novel à Varetz.

L’écrivaine tombe instantanément amoureuse du lieu. Entre 1911 et 1923, Colette vient beaucoup en Corrèze dans ce château, qu’elle surnomme « La grande baraque ». C’est là, à Varetz, que grandit sa fille surnommée Bel-Gazou.

Les jardins de Colette

Pour rendre hommage à la romancière qui a tant aimé la nature, la commune de Brive et la mairie de Varetz décident de fonder les jardins de Colette et les ouvrent au public en 2008. Là-bas, vous trouverez des jeux éducatifs en plein air, des jardins contemporains, un labyrinthe de 5000 m² et bien d’autres choses.  Et les jardins organisent plein d’évènements en fonction des périodes, comme des jeux pour Halloween ou des chasses aux oeufs pour Pâques.

Sources :france tv info / les jardins de colette / wikipedia /brive tourisme

Article d’Eloise

L’atelier théâtre a ré-ouvert ses portes au collège !

 Cette année le collège d’Objat à ré-ouvert les portes du théâtre ! Vous souhaitez découvrir cette atelier ? Alors lisez cela !

Depuis le Covid, il n’y avait plus d’atelier théâtre.

Et puis, cette année, ça y est ! Bon, cela a commencé un peu tardivement, début janvier pour être précises ! Mais c’est relancé pour de bon !

Il se passe tous les mardis de 13 heures à 14 heures.

En tout nous sommes huit à nous rejoindre chaque semaine : Sarah, Clémentine, Gaston, Mathys, Chloé, Jehanne, Pauline et Emma. Nous sommes encadrés par Madame Marrou (documentaliste du collège) et Madame Watremez (professeur de Français et de Latin).

Celles-ci nous ont distribué à chacun des rôles qu’il va falloir apprendre au fur et à mesure sans trop tarder quand-même car une représentation approche à grands pas, d’ici la fin d’année si tout se passe bien ! Durant chaque séance nous nous rejoignons en salle d’internat pour répéter. Les premières séances ont été d’abord consacrées à voir comment chacun se débrouillait avec divers exercices et un rôle quelconque. Mais maintenant on est vraiment dans la création de la pièce !

Notre pièce a pour sujet le harcèlement, elle montre tous les mécanismes de ce problème.

A ce jour, nous avons déjà bien travaillé et la pièce avance petit à petit dans une ambiance bienveillante et sans juger, même lorsqu’il s’agit de se mettre le doigts dans le nez… On ne dévoile pas tout, vous en saurez plus quand vous viendrez nous voir !

Pauline et Emma.

Un entrainement primordial pour les 3ème

Le 2 et le 3 mars 2023,  les 3 ème ont passé le Brevet Blanc pour faire un essai du vrai Brevet des Collège en fin d’année,  alors j’ai interrogé Emma pour savoir ce qu’elle en pense.

Source image : Eugène.com

Sarah pour Eugène .com :  Bonjour Emma, en quoi a consisté le brevet blanc ?

Emma :  Ce sont des épreuves  pour s’entrainer au Brevet de fin d’année, en français, mathématiques, histoire géo EMC et en sciences, SVT, techno et physique-chimie. Sur deux jours, on a 8 heures d’examen.

Sarah pour Eugène .com :  Est-ce que tu as été impressionnée et stressée ? Pourquoi ?

Emma : J’étais un peu stressée parce que je n’avais pas vraiment  d’idée de ce que c’était. Je pense que j’aborderai le vrai examen plus sereinement !

Sarah pour Eugène .com :  Pourquoi faut-il réussir cet examen ?

Emma :  A vrai dire, ce diplôme n’est pas nécessaire pour plus tard mais c’est le premier vrai examen, alors c’est important, ça valide notre niveau en fin de collège.

Sarah pour Eugène .com :  Que faut-il faire selon toi pour être bien préparé ?

Emma :  Je pense qu’il faut relire ses leçons régulièrement en plus de faire ses devoirs.

Sarah pour Eugène .com :  Sur quoi mises-tu ta réussite ?

Emma : Sur l’épreuve d’Histoire Géo et d’ EMC ! C’est mon point fort !

Interview de Sarah