Un menu vraiment appétissant !

Aujourd’hui, nous allons parler d’un projet organisé par Mme Chabrier, la professeur de français des 6e A. La classe a travaillé sur Halloween depuis la rentrée et voici le travail réalisé.

Cosmopolitan

Mme Chabrier a organisé un projet pour ses élève de 6ème ; après avoir fait lire le roman « Sacrées sorcières » de Roald Dahl, que les classes étudieront ensuite, elle a demandé à tous les élèves de 6ème d’écrire sur un (joli) papier une recette de Halloween avec une entrée, un plat, un désert et une boisson.

Je vous présente un menu appétissant  parmi ceux qui ont été inventés :

En entrée :

Bave d’escargot accompagnée d une sauce de cervelle d’humain

Plat :

Vessie de cheval et sa garniture de cœur de cochon

En dessert :

Petit oeil de pigeon flottant dans un cocktail au sang de vampire

ou

Cookies aux mues de serpent

Boisson :

Jus de crapaud écrasé et de pieds de sorcière mal lavés

 

source image : source image : Le tour de mes idées : canalblog

 

Pour cela il faux décorer la carte avec des  fantômes et des citrouilles.

On pouvait  : coller, imprimer, dessiner, découper ( on peut faire ce que l ‘on veut du temps que l’on respecte le thème Halloween.

Puis on a dû réciter notre recette devant toute la classe.  Moi je suis en 6e A et il y a 28 personnes dans ma classe.  Après Mme  Chabrier va noter sur 20 notre recette. Elle note le ton, s’il y a pas trop d’erreurs ,si c’est bien réussi et si la personne change de voix quand elle cite des différente choses.

Voici l’avis de quelques élèves que j’ai interrogés :

Lucie, pour Eugène.com : comment as tu trouvé le projet de Mme Chabrier ?

Clémence : j ai trouvé que quand on récitait devant tout le monde, c’était stressant !

Lola : j ai trouvé ça trop cool, c’ était bien organisé.

Oscar : j ai trouvé ça plutôt pas mal  !

Arthur : c était un bon concept, j’ai bien aimé.

Noa : moi j ai adoré cette idée mais ça a duré un peux trop longtemps parce qu’on a fait trop de choses en même temps, c’est dommage..

Mathis : moi j ai adoré,  j’ai juste trouvé que quand j ai fait recette il fallait  avoir des idées, c’était pas facile !

Article de Lucie

A la rencontre des auteurs de la foire du livre. 3 : Malika Ferdjoukh

 Ils nous font voyager à travers leur imagination et leurs histoires, qu’elles soient fantastiques, merveilleuses, réalistes, romantiques ou drôles, car les auteurs sont tous différents. Je suis partie à la rencontre de quelques auteurs de la Foire jeunesse du livre de Brive pour leur poser quelques questions, je vous laisse découvrir leur réponses.

https://www.lanouvellerepublique.fr/tours/rencontre-avec-l-auteure-malika-ferdjoukh

Le dernier échange a eu lieu samedi 5 novembre avec Malika Ferdjoukh. Vous la connaissez sûrement grâce à sa saga Les quatre sœurs, son ouvrage Portrait au couteau  ou encore Minuit -cinq qui sont au CDI, avec bien d’autres. Je vous laisse donc découvrir au fil de mes questions, ses réponses

Eugène.com : À quel avez vous commencé à écrire ?

Malika Ferdoukh : Dans mon coin, petite fille, en CM1. Et on va dire sérieusement, professionnellement, publiée, à 33 ans.

Eugène.com : Quel est votre premier livre publié ?

Malika Ferdoukh : Mon premier livre publié, c’était Embrouille à minuit chez Syros jeunesse.  Qui n’est pas là mais, qui existe toujours.

Eugène.com : Et celui dont vous êtes le plus fière ? 

Malika Ferdoukh : Alors, il est pas là non plu, c’est minuit-cinq. Ce n’était pas un livre très attendu, je n’avais pas le projet de l’écrire, je ne sais pas pourquoi je l’ai fait,  mais en fait, c’est le plus « rond », j’ai l’impression que je ne pourrais pas faire mieux si je le retouchais.

Eugène.com : Pourquoi Minuit-Cinq vous rend-il si fière ?

Malika Ferdoukh :  Parce qu’il me semble que vraiment, si tu me donnes tous mes bouquins, je sais qu’on peut toujours faire mieux. On peut toujours faire plus concis, on écrit toujours de trop. Donc ça, j’en suis persuadée et je pense qu’on peut toujours tout à fait alléger un livre sans qu’il perde son âme, au contraire. Minuit-Cinq, j’ai l’impression qu’on ne pourrait pas le faire. Donc ça veut dire que quelque part, il a cette espèce de « rondeur » ou de « carré » (!!!) que je conçois pour la littérature.

Quatre soeurs, un best seller. Photo Eugène.com

Eugène.com : Et celui qui a été le plus vendu ?

Malika Ferdoukh : Celui qui a été le plus vendu, c’est Les quatre soeurs.

Euguène.com : Oui, il y a beaucoup de versions !

Malika Ferdjoukh :  Oui ! Il y a plein de versions des quatre soeurs. Il y a les bd, il y a l’intégrale, il y a les tomes séparés…

Eugène.com : Et par rapport à vos conditions de travail, vous faites combien d’heures par jour ou par semaine ?

Malika Ferdoukh :  J’aimerais te dire que je suis quelqu’un d’assez dur, qui travaille tous les jours, il y a des auteurs qui sont comme ça. Je les envie beaucoup parce que c’est bien de travailler régulièrement, d’avoir une discipline ;  mais moi, je ne suis pas du tout comme ça. Je suis du genre à ne pas travailler pendant quatre jours et après, le cinquième jour, je vais travailler le jour et la nuit. Je suis un peu anarchique de ce côté là, et un peu chaotique. Mais j’aimerais bien avoir de la discipline, seulement je n’y arrive pas.

Eugène.com : Le revenu de vos ouvrages vous permet-t-il de vivre convenablement?

Malika Ferdoukh : Maintenant oui, au tout début non. Au tout début, j’ai des souvenirs de droits d’auteurs de l’ordre de 95€ dans l’année ce qui n’est pas énorme pour vivre !!! Heureusement j’avais un deuxième métier. Mais  maintenant j’ai à peu près les revenus, disons, d’un prof, au bout de 15 ans de carrière. Mais ce n’est pas par mois : un auteur, il touche ses droits d’auteurs une fois par an. En général, moi, c’est en juillet. Une fois par an, donc tu le divises par douze pour savoir comment tu vas vivre à l’année.

Eugène.com : Et quelles sont vos conditions idéales pour écrire ?

Malika Ferdoukh :  J’aime bien être dans mon bureau, ou disons  un endroit familier : je ne peux pas travailler par exemple chez quelqu’un que je ne connais pas. Il y a souvent comme ça des amis qui me proposent de me prêter leur maison de vacances, ils me disent : « tu seras tranquille, tu verras ! » Mais en fait, non, je ne peux pas. Il me faut vraiment un endroit pas grand, même plutôt petit, mon bureau, perché, j’aime bien avoir le ciel sous les yeux, et calme. Familier, perché, et calme : voilà, ce sont les trois adjectifs qu’il me faut.

Eugène.com : Et au niveau du support, vous êtes plutôt ordinateur ou papier stylo ?

Malika Ferjoukh : J’adore le crayon à papier, bien taillé pour que ça glisse bien, 4B parce que c’est une mine grasse, donc c’est très très précis. Tu vois, par exemple,  là, il y avait un crayon noir qui été offert par le salon du Livre dans la chambre d’hôtel. Je sais très bien que je ne pourrai pas écrire avec cette mine-là, parce que c’est une mine très dure, donc qui troue le papier, alors que le 4B, il est très doux et il glisse sur le papier donc il me faut ça. Mais une fois que je suis bien lancée avec mon crayon à papier  je continue à l’ordinateur, parfois.

Eugène.com : Quel est votre auteur ou votre livre préféré, celui qui vous a marqué le plus, dont vous vous souvenez encore ?

Malika Ferdoukh : On va dire que dans les grands auteurs célèbres et incontournables, c’est quand même Francis Scott Fitzgerald. Il a écrit un roman qui est très connu qui est Gatsby Le Magnifique ;  mais bizarrement c’est pas tellement ses romans qui m’intéressent j’aime beaucoup ses nouvelles. Il a des nouvelles où on souffre avec élégance, où on est désespéré avec de l’humour, moi j’adore ça !

Eugène. com : Pourquoi écrire pour des adolescents ? 

Malika Ferdoukh : Je ne le fais pas exprès, c’est juste que c’est ça que j’ai envie d’écrire. J’aurais pu écrire pour les adultes depuis belle lurette mais les bouquins les plus pressés, ceux qui arrivent là, dans mon esprit, sont destinés aux ados. J’ai envie en tout cas qu’ils soient lus par des ados. Je pense qu’il y a des bouquins que j’aurais pu proposer à des éditeurs de littérature générale, mais j’ai vraiment envie d’être lue par les ados. Sans doute parce que j’ai dû m’arrêter quelque part entre 13 et 15 ans, mentalement  !

Eugène.com : Merci beaucoup pour ces réponses !

Interview menée par Pauline,

En direct de la Foire du Livre de Brive

Disneyland à pile ou face

Aujourd’hui je vais vous parler de Disneyland Paris, et pour ça, je me suis rendue sur le terrain pendant les vacances d’automne 2022 ! Je vais donc vous présenter le plus grand parc d’attraction de France du côté fantastique mais aussi l’ envers du décor, beaucoup moins magique.

 

Côté pile : Un monde magique et des attractions pour tous les goûts

Source: Pompons et macarons

En ce moment Disneyland Paris fête ses 30 ans. Cet immense parc d’attraction a ouvert le 12 avril 1992 et reprend les mondes des films de Disney de manière fantastique et sous forme d’attractions.

Ce parc excelle dans l’art des attractions incroyables, mais aussi des files d’attente, car il y a énormément de visiteurs !

Pour ceux qui aiment les sensations fortes, il y a Space mountain, un manège à sensation que j’ai trouvé tout simplement abominable ! On est dans une petite navette, on part à toute vitesse, ça pile, ça repart, on a la tête en bas, puis on est dans le noir, et ainsi de suite ! Je ne recommencerai pas !

Pour ceux qui aiment  les attractions tranquilles,  il faut aller absolument  à  Fantasyland, pour rencontrer les personnages de Disney comme Dumbo, Blanche Neige ou encore la Reine de Coeur. C’est la partie la plus magique.

Si vous aimez les univers d’aventures, vous pouvez visiter Adventureland : vous découvrirez le décor de Pirates des caraïbes, les manoirs hantés…

Pour ceux qui aiment les attractions à sensation gentilles,  il faut absolument visiter Discoveryland : il y a Buzz l’ éclair ou encore Autopia ainsi que le mystère du Nautilus, mais cette attraction était fermée quand j’y suis allée.

Disneyland est un véritable univers de féérie pour les enfants et même pour les adultes ! Et à l’approche de Noël, ça fait briller les yeux  !  En ce moment, la parade a été remplacée par le spectacle d’illuminations, c’est tout simplement magnifique !

Côté face : une machine à faire de l’argent, pas toujours respectueuse de ses travailleurs

Main street à Disneyland. source image : parcdeparis.com

Mais maintenant je vais vous présenter les coulisses, certes très bien organisées, de cette machine à production.

Si on veut voir les choses de manière lucide, Disneyland Paris n’est qu’une gigantesque pub pour les films et l’application Disney +…  Oui, ce parc est une énorme machine financière où le client est roi et où le visiteur est invité à toujours dépenser son argent. Par exemple, l’allée de Main street est une allée composée de boutiques ou on trouve de tout comme par exemple des assiettes pour les enfants à côté des gamelles pour les chiens !

Et derrière ce côté magique se cache un côté nettement plus obscur, notamment lorsque on parle des conditions de travail des centaines d’employés qui y triment dans des conditions pas toujours agréables. D’ailleurs, il y a eu récemment une grande grève des travailleurs qui a noirci l’image de Disney ;  cette grève s’est déroulée le 22 septembre  et les grévistes dénonçaient  un rythme de travail invivable.

 

Alors à vous de voir si vous êtes emballé par la féérie de Disneyland ou si vous n’y voyez qu’une machine à consommer ! Vous pouvez témoigner avec un commentaire !

Sources : mon reportage sur le terrain et le journal Le parisien

Article de Clémentine

Noël en fête au collège : vous êtes attendus sur le dancefloor !

Une boum à Noël ?  Eh bien oui ! L’UNSS du collège en organise une très bientôt ! Nous allons tout vous expliquer!

Source image : Mairie de Saché

En fin d’année,  juste avant les vacances de Noël, vous pourrez, si vous êtes inscrits, participer à la boum du collège  !

Nous interrogeons Mme. Bourdu, professeur d’EPS et de l’AS,  pour qu’elle nous explique  l’organisation !

A la rencontre des auteurs de la Foire du Livre. 2 : Susie Morgenstern

 Ils nous font voyager à travers leur imagination et leurs histoires, qu’elles soient fantastiques, merveilleuses, réalistes, romantiques ou drôles, car les auteurs sont tous différents. Je suis partie à la rencontre de quelques auteurs de la Foire jeunesse du livre de Brive pour leur poser quelques questions, je vous laisse découvrir leur réponses. Découvrez ici Susie Morgenstern !

Susie Morgenstern est une autrice jeunesse qui, du haut de ses 160 livres , nous partage son expérience avec son charmant accent américain à travers cette interview que j’ai pu mener à la Foire du Livre. Et elle a gentiment accepté d’être prise en photo  ! Lisez mon interview et vous découvrirez une autrice espiègle et drôle !

Photo de Mme Jeanneau

 

Eugène.com : Bonjour ! A quel âge avez-vous commencé à écrire ?

Susie Morgenstern : A Sept ans !  Dans mon journal intime.

Eugène.com : Quel est votre premier livre publié ?

Susie Morgenstern : C’était La grosse patate. Ce livre, c’est mon histoire.

Eugène.com : Et celui qui a été le plus vendu ?

Susie Morgenstern : C’est le livre La sixième. Il a été vendu à un million d’exemplaires !

Eugène.com : Quel a été le livre dont vous avez été la plus fière ?

Susie Morgenstern : Alors… Celui dont je suis la plus fière,  c’est le Joker.

Eugène.com : Et par rapport à vos conditions de travail :  vous faites combien d’heures par jour ou par semaine ?

Susie Morgenstern : je travaille tous les jours !  Je me lève tôt, je m’assois et j’écris. Jusqu’à midi. Puis je fais une sieste ! C’est nécessaire à mon âge !  Je parle de mon âge maintenant !!! [rires]  Avant j’étais prof mais maintenant j’écris toute la journée.

Eugène.com : Le revenu de vos ouvrages vous permet-t-il d’en vivre ?

Susie Morgenstern : Maintenant oui, mais avant quand j’étais plus jeune, j’étais prof. J’aime manger, et il faut de l’argent pour manger ! [rires]

Eugène.com : Et combien de livres au total avez-vous vendus ?

Susie Morgenstern :  J’ai écrit environ 160 livres au total ! Mais le nombre d’exemplaires, je ne sais pas.

Eugène.com : Quel est votre auteur ou votre livre préféré celui qui vous a marqué le plus, dont vous vous souvenez encore ?

Susie Morgenstern  (qui se retourne): Mon auteur préféré ??? Ah, mais il est parti ! C’est Thaï Marc Le Thanh, mon voisin dans cette foire !

Eugène.com : J’ai lu, après quelques recherches sur vous, que vous étiez « amoureuse » de la France  : pour quelles raisons ?

Susie Morgenstern : Je suis venue en France grâce à l’amour pour un Français et j’ai aimé la France ! Mais en vrai, c’est surtout parce que j’ai été très malade ici et que la France m’a très bien soignée !  [rires]

Eugène.com : À votre avis, que faut-il pour « séduire » un adolescent dans une lecture ?

Susie Morgenstern : Tout mon travail c’est pour ça !  Pour vous amuser, pour vous faire aimer lire, pour vous faire tourner les pages.

Eugène.com :  Mais vous ne savez pas ce qui est spécial dans vos livres ?

Susie Morgenstern : L’humour, peut-être ?

Eugène.com : Merci beaucoup !

Pauline Jeanneau

A la rencontre des auteurs de la Foire du Livre : Didier Jean et Zad

 Ils nous font voyager à travers leur imagination et leurs histoires, qu’elles soient fantastiques, merveilleuses, réalistes, romantiques ou drôles, car les auteurs sont tous différents. Je suis partie à la rencontre de quelques auteurs de la Foire jeunesse du livre de Brive pour leur poser quelques questions, je vous laisse découvrir leurs réponses.

https://www.didierjean-zad.com/maikisai

Didier Jean et Zad sont deux auteurs jeunesse mais aussi éditeurs de la maison Utopique, qui aborde les thèmes liés à la différence et à la tolérance, avec par exemple Deux Mains Pour Le Dire qui nous parle de la surdité. Leurs éditions s’intéressent également aux sentiments (le deuil, l’amour parental, l’amitié…).

Ce sont deux personnes charmantes ! Voilà leurs réponses à mes questions :

Eugène.com : A quel âge avez-vous commencé à écrire ?

Didier Jean :  Au collège, sans ambition d’être auteur, ça me faisait du bien, ça me permettait de vider le stress et le mal-être que j’avais.

Zad : Et moi, j’ai écrit un livre en sixième mais c’était surtout pour l’illustrer.

Eugène.com : Quel est votre premier livre publié ?

Zad : C’est le « Parcours Santé », qui est sorti chez Casterman et « Simon et Agathe », chez Hachette. Ils sont sortis à six mois de décalage !

Eugène.com : Quel est le livre dont vous êtes le plus fier ?

Zad :  On en a plusieurs dont on est assez fier, le premier était : « L’agneau qui ne voulait pas être un mouton« , qui est sorti chez Syros. D’autant plus qu’on a eu beaucoup de mal à le publier et qu’après ça a été un énorme succès et que c’en est encore un !

-Didier Jean : Il est sorti en 2003, il y a presque 20 ans !

Zad :  Il se vend toujours, ce qui est rare pour un livre ! Et il y en a un deuxième, aussi. Oui, il y en a beaucoup dont on est fiers ! [rires]. « C’était écrit comme ça« , c’est aussi un livre qui est né grâce à notre maison d’édition : Utopique, mais je pense que l’on aurait réussi à le publier ailleurs. Et toi Didier ?

Didier Jean : Je ne sais pas, il y en a plein que j’aime beaucoup : « N’oublie jamais que je t’aime« , il est chouette, mais bon, il a tellement de succès… J’aime beaucoup : « La Musique de Rose« , en tant qu’auteur, je trouve que c’est bien écrit, avec du recul j’en suis content.

Eugène.com :  Et le plus vendu ?

Zad :  « N’oublie jamais que je t’aime » et « Deux mains pour le dire« , qui est sorti en 1999 et qui marche bien et sur la longueur.

Didier Jean : Et « L’agneau qui ne voulait pas être un mouton« .

Eugène.com : Et par rapport au conditions de travail, c’est combien d’heures par jour ou même par semaine ?

Zad :  On ne les compte pas ! Et on en fait beaucoup, beaucoup plus que le quota, parce que nous travaillons chez nous et cela depuis toujours, donc on a jamais coupé nos journées. On commence en général vers 9 heures, 9 heures et demi mais par contre, vers 20 heures, 21 heures on peut y être encore. On peut aussi décider d’aller faire une promenade et on va aller marcher dans la forêt pendant une heure mais on travaille aussi le dimanche. Mardi c’était un jour férié mais on travaillé. Donc voilà, on ne compte pas nos heures.

Eugène.com : Le revenu de vos ouvrages vous permet-il d’en vivre ?

Zad : On vit depuis 30 ans de nos droits d’auteus et maintenant on est aussi salariés en tant qu’éditeurs donc ça facilité aussi les choses ;  mais on en vit parce qu’on fait beaucoup de choses et qu’on travaille beaucoup  !  C’est pas facile de vivre juste de ses droits d’auteur. Il n’y a pas beaucoup d’auteurs qui peuvent vraiment prétendre en vivre.

Didier Jean : En fait, pour vivre de ses droits d’auteur, il faut avoir une série qui fonctionne bien et il faut sortir des livres régulièrement. Non, c’est très difficile d’en vivre, sincèrement.

Zad : Avant d’être éditeurs, moi, je faisais de la peinture et je vendais mes tableaux. Didier est aussi compositeur donc il a des droits d’auteur en tant que musicien. En diversifiant et en travaillant beaucoup, on s’en sort mais c’est pas facile.

 Eugène.com : Quelles sont vos conditions idéales pour écrire :  l’environnement, le support…  ?

Zad : Le téléphone coupé déjà ! Au niveau du support, un papier et un stylo et après à l’ordinateur mais d’abord un papier un stylo, du calme et du chocolat… très important le chocolat !!!

Didier Jean : 70 % minimum.

Zad : 80% !!!

Eugène.com : Quels sont vos auteurs ou vos dessinateurs de livre préférés ou des livres qui vous ont inspirés, qui vous ont marqués ?

 Zad: Il y en a plein ! Nous, on adore lire et on lit beaucoup. Un auteur dont je pense qu’il m’a marqué quand j’était plus jeune, c’est Robert Merle, puis plus tard Romain Gary. Et en illustrateur, celui qui m’a le plus marqué quand j’étais petite, c’est Georges Lemoine, qui maintenant a un peu disparu des radars : c’est un vieux vieux monsieur, il a illustré notamment un livre de Henri Bosco, j’étais vraiment fasciné et à ton âge tu vois j’ai encore acheté des livres illustrés juste pour le plaisir des illustrations.

Didier Jean : Moi, Corto Maltese. Quand j’étais jeune, Corto Maltese, oui. Tu ne dois pas connaître.

Zad : C’est une série de BD d’Hugo Pratt.

 Eugène.com : Quand avez vous commencé à travailler ensemble ?

Zad : En tant qu’auteurs, il y a 30 ans, mais on se connait depuis 40 ans. Plus de 40 ans même !!!

Eugène.com : Avez vous déjà publié des livres séparément ?

Zad : Oui, j’ai commencé comme illustratrice avant qu’on soit auteurs tous les deux. J’ai eu des livres publiés à partir de 1990 mais très vite j’ai proposé à Didier de m’aider à écrire des histoires, parce que ça me plaisait bien qu’on travaille ensemble. Et avant, ensemble, on a écrit beaucoup de chansons tous les trois avec sa sœur. Didier a par exemple écrit La musique de Rose, travail auquel je n’ai pas participé…

Eugène.com : Pour quelle tranche d’âge écrivez-vous ?

Zad : À partir de tout petit ! Maintenant, on a des albums pour les bébés jusqu’au collège / lycée et même pour adulte ! On a des albums qui plaisent autant aux adultes qu’aux enfants.  À chaque fois qu’on choisit un sujet, on se pose la question : à partir de quel âge on peut le lire ? Mais franchement, il n’y a pas de limite parce que même un livre pour les petits, c’est un adulte qui va le lire à l’enfant donc on s’adresse aussi aux parents !

Eugène.com : Et bien merci beaucoup pour cet échange !

Pauline Jeanneau

En direct de la Foire du livre de Brive

Les fanatiques Cheer 19, un club de cheerleading fantastique

Nous allons parler du cheerleading, c’est un sport qui n’est pas très connu mais il y a quand même 61 licenciés à Brive !

 

Cheerleading ! Source image : le point

 

Très important : Il ne faut pas confondre le cheerleading avec les pompom girls  !!!

C’est à vrai dire complètement différent : ce sport se pratique sans les pompons et on ne réalise pas des petites  figures mais de véritables acrobaties ! On peut aller jusqu’à 4  mètres de haut . On peut nous apprendre à faire la roulade, la roue, la roue avec Ellen, la rondade, le salto…

Dans le cheerleading, il y a des filles et des garçons.  Moi je fais partie des Fanatiques cheer 19 à Brive. Il y a un seul garçon dans notre équipe, qui est divisée en deux groupes en fonction de l’âge : les grandes à partir de 12 ans et les petites de 3 ans a 12 ans.

Cette année en 2022 nous avons 6 coachs, alors qu’il n’y en avait que 3  en 2021.

Nous faisons des compétitions régulièrement, à Brive la Gaillarde (aux Trois Provinces), mais aussi plus loin comme à à Sury le comtal …  C’est grâce à Delphine et Jean, les deux principaux coachs qui nous fabriquent nos chorégraphies ; mais aussi à nos 6 coachs qui nous entrainent  et nous encouragent , elles sont là tout le temps pour nous .

Lucie Chadeyron

Un club de bridge au collège !

Le savais-tu? Le bridge est un sport qui a été reconnu comme tel en 1999.  Et au collège, de 13 h à 14 h le jeudi, quinze élèves de 5ème se réunissent pour jouer à ce jeu intéressant mais difficile. Nous avons décidé de poser des questions à monsieur Pallot, le CPE, qui est à l’initiative de ce club de Bridge dans le collège, mais aussi à la présidente.

 

Eugène.com: M. Pallot, pourquoi avait-vous mis en place cette activité?

Monsieur Pallot: Je l’ai mis en place car je trouve que c’est un jeu passionnant et qui peut permettre aux élèves de progresser en maths.

 

Eugène.com: Bonjour madame, qui êtes-vous?

La présidente : Je me nomme Isabelle Trinquier-Beumer. Je suis la présidente du club du Bridge d’Objat et dans le collège d’Objat j’enseigne le Bridge aux élèves de 5ème.

Eugène.com: Pouvez-vous nous expliquer rapidement en quoi consiste le Bridge?

La présidente: C’est un jeu qui se joue à 4, deux équipes de deux joueurs. L’ objectif est de marquer le plus de points possible. Ce jeu se fait en 2 étapes :  au départ il y a les enchères,  et en deuxième étape, il faut jouer la carte.

Eugène.com:  Est-ce un jeu accessible à tous et a-t-on besoin de matériel particulier pour le pratiquer ?

La présidente: Le bridge est ouvert à tous à partir de 10 ans jusqu’à 99ans ! Et pour jouer nous avons juste besoin d’ une table, de chaises et  surtout de 52 cartes !

Léana et Lana

 

A Chabrignac, la citrouille est reine !!!

La fête de la citrouille a eu lieu le week-end du 22 au 23 octobre 2022 à Chabrignac. Et oui, depuis plusieurs années, ce village célèbre la cucurbitacée de l’automne !

La fête de la citrouille a eu lieu à Chabrignac, à 10 minutes d’Objat ! Si on célèbre la citrouille à Chabrignac, c’est que la région en produit beaucoup et qu’Halloween est célébré justement à cette période, ça attire du monde. Il parait même que la commune elle-même produit ses propres citrouilles à l’occasion de la fête !

source image : corrèze television

 

En effet, ce légume symbolique de l’automne est mis à l’honneur à Chabrignac chaque année : entre repas autour du fameux légume et animations originales,les petits et les grands y trouvent leur compte : le samedi il y a eu des animations et un spectacle gratuit pour les enfants. Et le dimanche, la pesée de la plus grosse citrouille ! Mais aussi un repas. Toute la journée il y avait des exposants, la banda d’Objat et de Juillac, plein d’animations et des démonstrations et de fabrication de pain à l’ancienne.

Cette année, c’était la 26ème fête de la citrouille. Elle avait été  créée à l’origine par Christian Bouzon, qui était à l’époque l’instituteur de Chabrignac ; le but au départ était de financer des voyages scolaires. Mais aujourd’hui elle a beaucoup changé ! Découvrez cette fête avec la vidéo de Corrèze Télévision !

Alors si vous n’y êtes pas allé cette année, n’hésitez pas à vous y rendre l’année prochaine !

Source : brive-tourisme.com/

  Eloïse BOUQUET-VALADE

Un cross bien organisé !

Ce vendredi 21 Octobre  2022 il y a eu le cross du collège. C’était un super moment, joyeux et plein d’énergie ! Même si le parcours était difficile ! (je peux en parler, je l’ai fait aussi, même si j’avais des reportages à faire !)

Source image : Paul

Il y avait beaucoup de participants : tous les élèves de 6e et de 5e du collège mais aussi  les CM1 et CM2 de cinq écoles des environs. Ces futurs collégiens en ont profité pour visiter le collège et partager une activité avec les « Grands ».

C’était une belle journée, il faisait beau et pas trop chaud, bref le bon temps pour courir ! Les garçons de 5ème devaient courir 2 tours et demi, les filles 5ème  et les garçons de 6e devaient courir 2 tours, et les filles de 6e 1 tour et demi. Quant aux élèves du primaire, ils devaient faire un tour.

Capture d’écran à partir d’une vidéo de Paul.

C’était un cross très bien organisé  ! Nous sommes allés en reportage sur le terrain et avons interrogé plusieurs personnes pour vous permettre d’en savoir plus : les organisateurs, les responsables, les participants.

Ecoutons d’abord Mme Bourdu, professeur d’EPS et co-organisatrice, nous parler de l’organisation :

Mme Bourdu a évoqué la participation des 4e dans l’organisation, alors  nous avons cherché à connaître leur travail. Nous avons interrogé Aubane et Eugénie pour en savoir plus :

Nous avons également interrogé Mme Hilaire, la principale adjointe, pour avoir son opinion sur cette manifestation :

Nous sommes allés à la rencontre des gagnants de ce cross. Voilà les impressions de Paul et d’Axel :

Enfin, nous sommes allés demander aux élèves de primaire ce qu’ils ont aimé dans ce cross :

Et pour terminer sur une anecdote, nous avons aussi interrogé Maëlys en 5èmeB :

 

Photo de Paul.

Toutes les photos dans ce lien google drive : Google Drive

 

Article de Paul