David Bowie et Queen vont rythmer la vie du collège

Mercredi  25 novembre,  on a eu un aperçu de la nouvelle sonnerie qui va rythmer la vie du collège. Plus de précisions dans cet article, grâce aux infos recueillies auprès de Mme Hilaire et  de certains élèves;

David Bowie. Source image : rtbf.be

Vous l’avez tous remarqué, mercredi 25 novembre, ce n’est pas la sonnerie habituelle qui a retenti. D’habitude, ça fait : Driiiiiiiiing…. Et c’est assez pénible !  C’est pourquoi le principal, en concertation avec Mme Hilaire, les CPE, certains professeurs et des agents ont réfléchi pour nous proposer une nouvelle sonnerie. Mme Hilaire nous a expliqué que la nouvelle sonnerie serait opérationnelle d’ici un mois, sans doute pour la rentrée de janvier.

Et ça va changer :  Au lieu de nous casser les oreilles, la sonnerie nous permettra de danser, ou du moins d’en avoir envie !  Car ce sont des musiques qui vont remplacer la sonnerie. Les artistes choisis sont Queen et David Bowie avec la chanson « Under pressure » qu’ils ont interprétée ensemble. (Ecouter ici)

Bowie et Freddie Mercury, du groupe Queen. Image France Inter.

Mme Hilaire nous a expliqué que ça avait un coût important mais que c’était réfléchi :  « ça s’inscrit dans une démarche de modernisation des sonneries, c’est-à-dire qu’on a demandé à ce qu’il y ait davantage de haut-parleurs  pour que les sonneries s’entendent un petit  peu partout et ça rentre dans la projet  PPMS (plan particulier de mise en sûreté). »

Quant aux élèves, ils ont forcément un avis là-dessus.  Romane trouve ça super. Erin, elle, trouve que « c’est bien mais il fraudait qu’ils la changent souvent, sinon au bout d’un moment on va en avoir marre d’écouter la même chanson ! ».

Les surveillants ont aussi leur opinion. Camille trouve « qu’elle est bien, ça change  des sonneries habituelles !  Bon, je trouve qu’elle est un peu trop douce pour réveiller  les élèves mais sinon elle est très bien ! ».                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       écrit par Maxence

Tik tok : super appli pour les ados ?

Aujourd’hui je vais vous parler des dangers de Tik tok, un réseau social  qui existe depuis septembre 2016  et que beaucoup de gens utilisent, particulièrement les ados. J’ai posé des questions à un ami, R., qui a 23 ans et qui utilise Tik Tok. Il a peut-être plus de recul que les collégiens sur le sujet.

Les dangers de Tik Tok. Source image : 20 minutes.

TikTok est une appli mobile de partage de vidéo et un réseau social qui existe depuis 4 ans . C’est une entreprise chinoise qui l’a développée. Aujourd’hui elle est en train de devenir un des réseaux sociaux les plus utilisés par les ados avec Instagram et Snapchat.

L’application nous permet de créer des vidéos courtes accompagnées de musique, de 3 à 60 secondes.  On publie des vidéos où on danse sur une chanson.

En théorie, ça parait inoffensif. Mais en fait, c’est quand même dangereux. Selon R., « l’accès à des contenus que des mineurs ne devraient pas pouvoir regarder est trop simple. Tout comme sur Facebook ou Instagram, n’importe quel contenu peut être publié et vu avant que les modérateurs ne décèlent les anomalies ou les problèmes. »

Et on risque des formes de harcèlement sur cette appli, comme sur les autres. R.  explique qu’il est assez courant que « quelqu’un vous harcèle, vous demande de faire des choses dont vous n’avez pas envie. Mais parfois, on se sent obligé, par le groupe, par la pression des autres utilisateurs qui nous observent. »

Il faut dire que Tik Tok est très utilisé chez les 9-13 ans et qu’à cet âge-là, on n’a pas forcément conscience des dangers. On a envie de plaire aux autres, sans bien comprendre qu’on fait des choses qui ne sont pas toujours de notre âge. Dans un article de la rtbf (un média d’information belge), on nous dit qu’il y a « une course aux like et une forme de narcissisme exacerbé. Le but est vraiment de se mettre en scène et de récolter des commentaires, des like, en imitant les personnalités connues, très jeunes elles aussi. Plus les jeunes se mettent en avant, plus ils ont de like, ce qui entraîne une hyper-sexualisation des contenus. Des enfants très jeunes, de 9 ou 10 ans, y prennent la pose, alors que théoriquement, ils n’ont même pas le droit de s’inscrire sur la plateforme… »

Il y a beaucoup de commentaires déplacés sur Tik Tok, parfois de garçons qu’on connaît, parfois d’adultes mal intentionnés qui se font passer pour des plus jeunes.

Alors attention à vous ! Soyez toujours vigilants !

Sources : Une vidéo :  Chaîne youtubehttp://wannsee l’horreur animée

Des liens vers des articles : Wikipedia / rtbf

Article écrit par Krysta

M. Buisson, double prof !

Au collège nous avons un prof de maths qui est aussi entraîneur de foot ! On est allées rencontrer M. Buisson pour en savoir plus sur ce mystère !

M. Buisson ! Source image : club sportif Allassac

Eugène.com : Bonjour, nous savons que vous êtes prof de maths et aussi entraîneur de foot. Depuis quand êtes-vous entraîneur de foot ?

M. Buisson : Depuis 1999, donc depuis 21 ans !

Eugène.com : Ah oui, quand même ! Pourquoi continuez-vous ?

M. Buisson :  Parce que j’aime ça et que j’aime m’occuper des jeunes.

Eugène.com : Que préférez-vous entre le foot et les maths ?

M. Buisson (qui hésite à peine) : Le foot !

Eugène.com : Oh ! C’est pas gentil !

M. Buisson : Les maths j’aime aussi, mais le foot c’est plus ludique !

Eugène.com : Où faites-vous du foot ?

M. Buisson : Alors je m’occupe  des enfants d’une entente dans laquelle il y a les jeunes de Voutezac, de Vignols, d’Allassac, de St Viance,  de Vars et de Saint Robert. Donc je bouge sur tous les terrains.

Eugène.com : Ah oui quand même ! Avez-vous des élèves en cours de maths et qui font aussi du foot avec vous ? C’est difficile ?

M. Buisson :Oui j’ai des élèves en maths, c’est un peu délicat mais ça va. C’est un peu délicat  pour les élèves qui me tutoient en dehors sur le terrain, et qui doivent me vouvoyer en cours par exemple.

Eugène.com : Oui, il faut s’adapter !  Et qu’aimez vous dans les maths ?

M. Buisson : A peu près tout, j’aime la géométrie, les calculs, la réflexion et la logique.

Eugène.com : …et qu’aimez vous dans le foot ?!!

M. Buisson : Déjà, le fait d’être dans une association, de voir du monde, et c’est un sport, un jeu, donc ça permet de se changer les idées.

Eugène.com : Trouvez vous un point commun entre ces deux activités ?

M. Buisson : Ah ! ça, c’est une bonne question, je ne m’y attendais pas ! Non, je n’en vois pas.

Eugène.com : Si vous deviez arrêter l’un de ces deux métiers, vous arrêteriez quoi ?

M. Buisson :Je ne sais pas, c’est une question difficile pour moi. Ca me ferait très bizarre d’arrêter l’un des deux! J’aurais du mal à vivre sans l’un des deux à vrai dire !

Eugène.com : Depuis quand êtes vous prof de maths ?

M. Buisson : Depuis dix-sept ans.

Eugène.com : Ah, donc ça fait moins longtemps que le foot !

M. Buisson : Oui un peu moins longtemps, mais j’ai commencé le foot très jeune !

Eugène.com : Ok merci de nous avoir répondu et au revoir !

M. Buisson : Au revoir !

Interview faite  par : Paoline et Maelly

La langue des signes, une langue comme les autres

La langue des signes française est une langue gestuelle mais avec des interprétations différentes. Qui l’ utilise, depuis quand et surtout comment et pourquoi ?

la dactylologie (alphabet des sourds)

La langue des signes française (LSF) est une langue utilisée en France et en Suisse par une majorité de sourds. Mais pas par tous les sourds et loin de là !

Il y a quatre niveaux de surdité : elle peut être légère, moyenne, sévère, ou profonde. En fait, normalement nous devons dire « sourds » seulement quand la personne est atteinte de surdité profonde. Sinon elle est « malentendante ».

La surdité longtemps considérée comme une tare

Les sourds utilisent les signes depuis longtemps déjà mais ce n’est qu’au 18e siècle que cette langue a été acceptée comme une langue à part entière.  Avant, les sourds étaient considérés comme des handicapés incapables de faire quoi que ce soit. Ils ne pouvaient donc pas trouver de travail et leurs capacités financières étaient pour certains très faibles. Mais ils se débrouillaient avec ce qu’ils avaient, et moi, je considère ça comme une vraie force !

Une langue au service des sourds

Ils utilisent la langue des signes pour leur quotidien. Elle leur vient naturellement si c’est génétique car ils voient leurs parents s’en servir ; quelquefois, ils ont des maladies qui les rendent sourds et ils doivent donc apprendre à parler leurs nouvelle langue un peu tard. Certains sourds apprennent à parler mais ça nécessite beaucoup d’entraînement (je le rappelle : un sourd n’est pas forcément muet mais ils ne peut pas parler car il n’a jamais entendu de son ou alors parce qu’il ne s’entend pas, et imaginez-vous parler et ne pas vous entendre ! ). Il y a aussi des entendants qui apprennent la LSF ! Ça aussi c’est très fatigant. Mais ça en vaut la peine car ça nous apprend à communiquer différemment et ça nous ouvre l’esprit sur le monde extérieur.

La langue des signes est une langue gestuelle qui est composée de mimes, d’expressions corporelles, mais bien sûr aussi des mots qui ne ressemblent à rien. Il y a des mots qui se ressemblent beaucoup, c’est pour ça qu’il faut être attentif, et ça, ça s’apprend ! Par exemple dans l’alphabet, le T et le F se ressemblent beaucoup. Ou encore : pour dire bonjour et merci, c’est le même mot ! C’est une langue complexe pour laquelle il faut se tromper et se fatiguer pour réussir à la signer ! Et en plus, elle nous apprend beaucoup de choses !

Quelques petits conseils : ne pas crier pour appeler un sourd, ça ne sert à rien : il est sourd ! Pour l’appeler, tu peux taper du pied, il sentira les vibrations, faire des signaux lumineux (éteindre, rallumer, éteindre, rallumer…), ou le tapoter sur l’épaule, ne pas lui parler la bouche pleine ou la main devant la bouche et articuler ‘s’il lit sur tes lèvres, et surtout ne lui dis pas que la surdité est un handicap car ça vexe la plupart des sourds . Il y a une autre chose qui n’est pas un conseil mais une information : les sous-titres ne servent à rien pour la plupart des sourds car ils ne comprennent pas une phrase complète. Ils peuvent saisirent un mot par ci par là mais ne comprennent pas la phrase. C’est pour ça que les interprètes  sont là.

Sources : C’est pas sorcier, Wikipédia.

Comment bien porter le MASQUE ?!!

Depuis quelques temps, ça s’améliore. Mais ce n’est pas encore  ça ! Certains élèves ont tendance à  mettre encore leur masque sous le nez ! Je vais vous expliquer comment bien le porter pour lutter contre le virus.

Source image : gouvernement.fr

Il y a des élèves qui ne sont pas encore très sérieux. Aujourd’hui tout le monde porte un masque, mais certains ont tendance à le porter sous le nez, ce qui ne sert à rien !!

Le masque permet de se protéger et de protéger les autres, mais il faut bien le porter.

Sans masque, le risque de propagation du virus est très important. Il faut que tout le monde en porte un : si nous portons un masque et que notre copain, porteur du virus, n’en a pas, nous sommes mal protégés. Mais si le malade est masqué, et que nous non, le risque qu’on attrape le virus est faible. La protection est maximum quand le malade et nous-même en portons un.

La propagation du virus n’est pas la même en milieu fermé ou à l’air libre. Et nous, on est en classe, donc il faut faire encore plus attention !

Comment bien le porter ?

Il ne faut pas l’avoir sous le nez, ni au-dessus du menton, ni sous le menton, ni le porter uniquement sur l’oreille ! Car ça ne protège pas du tout !!!

La seule manière de bien le porter est sur le nez et sous le menton de façon à ce que tout le bas du visage soit couvert comme sur la photo au-dessus.

Sources : lci

Ecrit par Sasha

Cultivez-vous sur l’art pendant le confinement !

Il est important de se cultiver mais malheureusement les musées sont fermés encore jusqu’au 15 décembre. Je vais vous expliquer toute l’organisation des musées pendant le confinement.

Source image : very road trip

Il faut garder le lien avec les musées !

Le ministre de la Culture a lancé l’opération #culturecheznous. Ca veut dire que de nombreux musées vont pouvoir être visités de manière numérique.  Cette plateforme restera active après le confinement.

Par exemple, quand le confinement à commencé, le musée d’Aquitaine avait annoncé sur son site internet que ses collections allaient  être restaurées et qu’il serait possible de visiter ce musée numériquement. Le château de Versailles invitait lui aussi à visiter virtuellement le domaine. Et beaucoup d’autres musées aussi.

Le marché de l’art : retour au virtuel

Du côté des galeries d’art, qui vendent des oeuvres, c’est aussi difficile. Les salles des ventes et d’exposition sont aussi malheureusement fermées, Tout ce qui avait été mis en place au premier confinement est réactivé aussi :  visite virtuelle d’exposition, interview d’artistes etc…

Comment se cultiver sur l’art au CDI ?

Au CDI on peut trouver plein de livres et de magazines pour se cultiver. Par exemple il y a Le Petit Léonard, un magazine d’initiation à l’art. Dans le dernier numéro de novembre 2020, on peut trouver un article sur l’artiste Michel-Ange, qui a été l’un des plus grands artistes de la Renaissance italienne. Il était à la fois peintre, sculpteur, architecte et poète, mais c’est en peinture et en sculpteur qu’il a surtout montré son génie !

Dans le Petit Léonard d’octobre 2020, on peut aussi trouver un article sur l’artiste Matisse, un peintre et un sculpteur français du 20ème siècle qui faisait beaucoup de tableaux avec de la couleur.

Vous pouvez aussi aller voir sur e-sidoc. Vous trouverez beaucoup de livres sur l’art !

Sources : Connaissance des arts

La Provence

Sources 2 : Garder le lien avec les publics pendant le confinement

Encore trop d’homophobie…

L’homophobie est un rejet envers les personnes  homosexuelles ou une désapprobation des préférences sexuelles de la communauté LGBT (Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres).  

Facebook

L’homophobie est une attitude envers les homosexuels et plus largement envers la communauté LGBT. Cette attitude se traduit souvent par des réactions d’exclusion. Les victimes sont les homosexuels mais plus largement, les personnes dont l’apparence ou les attirances sexuelles sont différentes de l’hétérosexualité, c’est-à-dire quand un garçon et une fille sont ensemble.

Avant l’homosexualité était considérée comme une maladie et était passible  d’emprisonnement  ou même  de mort dans certains pays. Et c’est encore le cas dans certaines dictatures ou dans certains pays qui sont intolérants.

Mais aujourd’hui, la société a évolué et accepte de plus en plus les différences. C’est plus facile pour un jeune en France d’avouer son homosexualité.

Pourtant, beaucoup de gens encore supportent assez mal l’homosexualité. A la campagne c’est encore plus difficile d’être homosexuel qu’en ville. Et dans les petites villes, comme à Objat,  c’est plus difficile  que dans une grande ville, comme à Paris.

Parfois  ce sont les parents qui sont homophobes.  Ils rejettent leur enfant qui a fait son « Coming out » (c’est le fait de dire publiquement son homosexualité, ce qui peut être très difficile quand l’entourage est homophobe).  Quand il y a un rejet de l’enfant homosexuel, le jeune peut se sentir très seul. L’homophobie peur entraîner une dépression, de l’isolement, de la précarité (quand les parents rejettent leur enfant et le mettent à la porte) et parfois le suicide.

Mais pour aider les jeunes, il y a une association, le Refuge,  qui les aide à trouver un travail et un logement ou qui propose une aide psychologique.

On est comme on est, et il faut accepter qui on est pour être heureux. Mais ce n’est pas toujours facile.

Sources:  SOS homophobie , LE refuge ,wikipedialiberation

Ecrit par Maxence

Lecture : Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire

J’ai lu un livre qui s’intitule les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Tout commence mal et tout finit mal. Ce n’est pas très attractif dit comme ça, mais pourtant, il faut le lire !

Un livre à lire ! ©Eugène.com

Un terrible incendie ravage la maison des Baudelaire. Les parents y perdent la vie, laissant orphelins leurs trois enfants, Klaus, Violette et Prunille, qui jouaient sur la plage. M. Poe, l’exécuteur testamentaire des parents Baudelaire, place alors les orphelins chez vont  le comte Olaf, qui compte bien tout mettre en œuvre pour récupérer leur fortune.

J’ai dévoré ce livre ! J’avais déjà vu la série sur Netflix avec mes cousines et j’avais adoré. En roman, c’est encore mieux : il n’arrive que des catastrophes : leur maison qui brûle, leurs parents qui meurent, le comte Olaf qui leur « fait la misère »,  il veut ensuite se marier avec Violette qui n’a que 14 ans !  La soeur de Violette qui est enfermée dans une cage  en haut d’une tour ! On ne peut pas s’arrêter  ! Il se termine en 13 tomes exactement et le premier est maintenant au CDI. J’espère que ce livre vous plaira, et surtout  ne le regardez pas, c’est mieux de le lire !

Ecrit par Amel

La chorale du collège version covid !

Comme chaque année il y a une chorale, animée par les professeurs de musique ;  mais cette année elle ne sera pas comme les autres . Je suis allé interroger des élèves qui y participent pour savoir comment ça se passe.

Chanter masqué… Source image : nousvousils.fr

Eugène.com: Est-ce-que les élèves peuvent retirer leur masque pendant la chorale ?

Emma et Elsa: non, c’est comme partout dans le collège, on doit le garder tout le temps, même pour chanter !

Eugène.com: Combien il y a t’il d’élèves participant à la chorale ?

Emma et Elsa: il y en a 20 environ.

Eugène.com: Où a lieu la chorale ?

Emma et Elsa: La chorale a lieu en salle de musique, pour avoir une bonne acoustique  et des instruments et tout ce dont la professeur a besoin pour travailler.

Eugène.com :  Comment est organisée la chorale cette année vis-à-vis des règles sanitaires ?

Emma et Elsa : La chorale est divisée en deux groupes , qui viennent un mardi sur deux et du coup  il y 10 personnes environ dans chaque groupe : un mardi il y a les voix 1qui chantent dans les aigus  et les voix 2  viennent le second mardi, elles sont dans les graves. Exceptionnellement, un jour de décembre, on ne sait plus lequel exactement,  toutes les voix seront réunies pour chanter ensemble.(On est aller vérifier, le rassemblement va avoir lieu le 1ere décembre).

Interview menée par Sasha, avec l’aide d’Artur

Petits bobos, gros chagrins, Covid… l’infirmière est là

Nous sommes allée à la rencontre de Mme Planade, l’infirmière de notre collège, qui a accepté qu’on lui pose des questions sur son travail. Elle nous a expliqué en quoi il consiste et son rôle dans la situation sanitaire actuelle.

Mme Planade, infirmière.© Eugène.com

Eugène.com : Avez vous beaucoup d’élèves qui viennent vous voir ?

Mme Planade : Dans la journée, j’ai à peu près 30 personnes. Cela dépend. Des fois je ne suis pas là et ce n’est pas important et on ne revient pas. Et quand je suis là on passe me voir !

Eugène.com : On peut venir vous voir pour les petites  blessures seulement ?

Mme Planade : Alors on peut passer me voir pour les blessures, les maux de tête, les maux de ventre, on peut venir me voir si on a envie de discuter un peu. L’infirmerie est un lieu neutre où on ne peut pas donner de sanction, moi je ne suis ni professeur ni CPE ni surveillante et surtout je suis tenue au secret professionnel.

Eugène. com : Qu’est ce que c’est le secret professionnel ?

Mme Planade : ça veut dire que, sauf si vous êtes en danger et là le secret professionnel peut être rompu, ce que vous me dites, je le garde pour moi.

Eugène.com : Qu’est-ce que c’est le dépistage infirmier ?

Mme Planade : On inspecte chaque sixième pour voir  le poids, la taille, on regarde si il y voit bien, si il entend bien. On parle ensemble, on regarde les vaccins. Tout les sixièmes vont passer.

Eugène. com : Vous avez des mesures plus strictes concernant l’infirmerie ?

Mme Planade : Alors ici c’est plus des mesures d’hygiène, c’est-à-dire qu’il faut faire attention, il faut que l’infirmerie soit toujours propre.

Eugène.com : Quel est votre rôle dans la gestion de la  crise sanitaire ?

Mme Planade : Mon rôle est de m’assurer que sont mis en place les gestes barrières et les règles sanitaires pour lutter contre le virus, c’est-à-dire : veiller à ce que les élèves mettent du  gel hydroalcoolique, voir comment on peut faire pour répertorier les personnes qui sont en cas contact, déclarer les personnes qui sont positives au covid19, rassurer les gens… Mais en même temps faire passer le message pour prendre des précautions : il faut porter comme il faut  le masque, il faut se laver les mains et respecter la distanciation physique de 1 mètre. C’est très important, parce que les cas augmentent.

Je remercie l’infirmière d’avoir répondu à nos questions et de nous avoir donné des information sur son travail.

Article écrit par Camille et Olivia