Fini le téléphone au collège

Le téléphone est interdit cette rentrée dans 200 collèges français, dont le nôtre ! Pourquoi ?

Fini le téléphone en cachette. Photo eugène.com

Fausse annonce ou vraie info ?

Certains pensent que c’est une fausse annonce, car le téléphone portable était déjà interdit, non ?

En fait, c’était l’utilisation du téléphone portable qui était interdite dans les établissements scolaires depuis le 3 août 2018. Mais dans les faits, de nombreux élèves apportaient leur téléphone au collège.

Les élèves les utilisaient en cachette dans les toilettes notamment, ils l’utilisaient aussi en cachette pendant les heures de cours ou d’étude alors que les téléphones devait être éteints et dans nos sacs.

Beaucoup d’élèves ont subi du cyberharcèlement sur les réseaux sociaux ( Snapchat, tiktok, Instagram… ), et certains font aussi n’importe quoi avec leur téléphone : vidéos, photos des profs…

Résultat, maintenant, il est complètement interdit, c’est-à-dire que l’on ne doit pas l’amener au collège du tout ! C’est une expérimentation au niveau national sur 200 collèges décidé par le précédent ministre de l’Education nationale. Et notre principal, M. Pouzet, a décidé d’en faire partie.

L’objectif est de proposer aux élèves une pause numérique sur la durée de la journée de classe, c’est-à-dire un moment sans écran. Même si, bon, en classe, on est souvent devant un écran… En technologie, et même dans les autres cours avec les vidéoprojecteurs, ou encore quand on consulte Pronote au CDI … ou quand on rédige un article pour le journal !

Quel est l’objectif de la « pause numérique » au collège ?

  • Pas de téléphone au collège, ça augmente la concentration des élèves ; : ils sont moins tentés de consulter un like, un commentaire, ou même de lancer un jeu ou pire, de tricher en contrôle.
  • Pas de téléphone au collège, ça permet de lutter contre le cyberharcèlement : au moins le temps des cours, on ne risque plus de recevoir une insulte ou de se retrouver en photo sur les réseaux.
  • Pas de téléphone au collège, on est moins victime de vol !

Des sanctions pour les délinquants du téléphone

Donc c’est officiel, plus de téléphone au collège… Pourtant en ce début d’année, plusieurs élèves de 6eme se sont fait punir pour s’être filmées dans les vestiaires avant d’aller en EPS. Visiblement le message n’est pas encore bien passé, alors que M. Pouzet s’était fâché fort à la rentrée… Résultat : Les sanctions tombent !!!

Sources : Le Parisien

Un article rédigé par Lucie et Arthur

Remise des prix e-reporters et Médiatiks

Vendredi 7 juin, Kevin Labarsouque, chargé de mission pour l’EMI dans l’académie de Limoges, est venu remettre le prix Médiatiks académique et le prix e-reporters aux élèves de l’atelier journal !

Photo eugène.com

Les élèves ont été félicités pour leur travail et ont reçu de nombreux cadeaux collectifs : des livres documentaires sur le journalisme, l’intelligence artificielle, une bande dessinée, des jeux de société sur les médias, et un nouveau « zoom » pour les enregistrements audio ! Bravo à tous pour votre investissement et votre enthousiasme et à l’année prochaine pour la suite !!!

Mme Marrou

Vous saurez tout sur le volcan !!!

L’atelier théâtre s’est décidé : son spectacle « La Vraie Fille du Volcan » aura lieu le Mardi 18 juin à 19 h à la salle des Congrès d’Objat. Cet atelier est animé par deux professeurs, Mme Watremez et Mme Marrou et une comédienne, Sophie Artur, est venue sur plusieurs séances donner des conseils.

Un atelier sur l’année

Depuis le mois d’octobre, les élèves se réunissent tous les lundis de 12h 30 à 13h 30 pour jouer ensemble. Ils piquent niquent en même temps qu’ils jouent !

Ce qu’il faut connaître de cette pièce :

Elle raconte que des festivités se préparent sur une île lointain et que cette île possède un volcan dont tout le monde a peur : cette fête serait un mariage! Mais un mariage très particulier! L’arrivée d’une étrangère va perturber cet événement… On ne vous en dit pas plus !

Qui sont les comédiens ?

Ce sont des élèves de la 6e à la 3e, qui se sont inscrits volontairement à cet atelier. Vous verrez sur scène Xylis Marlin dans le rôle de l’étrangère, Chloé Freire et Margot Feuilloley Hardy dans le rôle de la mère et du père, Olivia Moyen, Elisa Drahonnet, Jehanne Josse, Eloise Bouquet-Valade et Cléméntine Paillet dans le rôle des 5 soeurs, Léana Vaillé, Célian Verwilghen Echirard, Louane Peauger et Gaston Massiaen dans le rôle des 4 consuls, Sarah Commeny et Cyrielle Deplace dans le rôle des valets et vous aurez même l’occasion d’apercevoir Adèle, qui n’est pas dans notre collège, dans un rôle de figuration !

Qui est invité ?

La représentation aura lieu la semaine prochaine, les comédiens attendent leurs invités : leur famille bien sûr mais aussi les amis de leur choix (invitation sur présentation du carton) et les professeurs du collège.

Il ne reste plus qu’à leur souhaiter bonne chance !!!

Lana Willay

Un concert dionysiaque !

Vendredi 31 mai, la chorale du collège d’Objat a participé à un grand concert avec un chœur de 1400 enfants et le groupe Dionysos au Zénith de Limoges. Retour sur cet événement hors normes !

source image : francetv

Durant l’année, les nombreux collèges participants ont appris un répertoire de 12 musiques, dont la plupart étaient des chansons du groupe Dionysos, mais aussi de Cali (Giuseppe et Maria). Une répétition avec les collèges de Corrèze avait eu lieu au gymnase du collège Rollinat et la répétition générale s’est faite au Zénith le 31 mai après-midi.

Le concert a eu lieu le vendredi soir devant 4000 personnes.

Les chansons qui ont été interprétés sont les suivantes : Wet, I Love You, Mc Enroe’s Poetry, Coccinelle, Giant Jack, La métamorphose de Mister Chat, Song for Jedi, Paris brille-t-il ?

Pour mettre de l’effet au spectacle, les enfants devaient faire des mouvements , ils avaient aussi des lampes et des feuilles rouges.

J’ai relevé le témoignage de plusieurs jeunes choristes qui ont eu le courage de participer à ce grand projet :

Léana m’a dit : « Moi , je trouve que ça a été une très bonne expérience , je ne suis pas prête d’oublier ce moment, le fait que l’on ait été énormément d’enfants à participer à ce projet à rendu la chose magique ! »

Juliette , quant à elle, a dit : « C’était un super projet que j’ai adoré , je suis vraiment contente d’y avoir participé. »

De sont coté , Charline pense que : « ce concert était très impressionnant et gigantesque, j’ai adoré , ce moment était inoubliable. »

Élise dit : »J’ai travaillé toute l’année sur ce projet et mes efforts ont été récompensés car j’ai passé un merveilleux moment , c’était génial. »

Élodie. aillé

Sources : France 3

Animaleries : quelle vie pour les animaux ?

Peut être avez-vous ou souhaitez-vous acquérir un animal ? Dans ces cas-là, la question de prendre votre nouveau compagnon en animalerie s’est forcément posée. Je me suis rendue à Villa Verde, à Brive, qui possède un beau rayon d’animaux de compagnie, pour vous en dire plus sur leurs conditions de vie. Cet article propose une interview d’une vendeuse en animalerie mais aussi des informations pour nuancer ses propos et peut-être votre jugement.

Source image : jardiland

Des animaux bien traités selon une vendeuse de Villa Verde

Je suis d’abord allée poser mes questions à l’équipe de l’animalerie de Villa Verde. La personne que j’ai interrogé n’a pas souhaité donner son nom, nous l’appellerons Anna. Selon elle, tout va bien pour les animaux en animalerie.

Eugène.com : Quels types d’animaux proposez-vous ?

Anna : Nous avons une grande variété d’animaux : des poissons, des lapins, des hamsters, des rats, des octodons, des cochons d’Inde, des poules,des oiseaux (perruches,colombes,…), des gerbilles.

Eugène.com : D’où viennent les animaux ?

Anna : Les lapins, les hamsters, les octodons, les oiseaux et les poules viennent de Nancy et les poissons de Paris. Aucun prélèvement n’est fait dans la nature et tous les animaux viennent d’élevages français certifiés.

Eugène.com: Quel type de nourriture leur donnez-vous ?

Anna : Les rongeurs ont des mélanges de graines et les oiseaux et les poissons des mélanges adaptés. Les oiseaux et les rongeurs ont des fruits 2 à 3 fois par semaine.

Eugène.com: Avez-vous des moments de contact avec eux ?

Anna : Nous essayons d’avoir des moments de contact chaque jour avec les lapins mais ce n’est pas facile car c’est compliqué dans le milieu du commerce de trouver du temps !

Eugène.com: Que se passe t’il quand l’animalerie est fermée ?

Anna : L’animalerie est toujours ouverte sauf le jour de Noël et le jour de l’An.

Eugène.com : Combien d’animaux mettez-vous par cage ?

Anna :Nous mettons jusqu’à 6 lapins par cage, les hamsters sont au maximum 10 par cage et nous pouvons mettre jusqu’à 300 néons par aquarium.

Eugène.com : A partir de quel âge les animaux arrivent ils à l’animalerie?

Anna :Ils arrivent quand ils sont sevrés.

Eugène.com: Que se passe t’il pour les animaux invendus ?

Anna : Les animaux qui ne sont pas vendus restent en animalerie jusqu’à leur mort et il n’y a aucune euthanasie.

Eugène.com: Les animaux malades sont ils soignés ?

Anna : Oui car il a un suivi vétérinaire à l’animalerie.

Eugène.com: Et bien merci de nous avoir renseignés sur le sort des animaux en animalerie !

Des animaux si bien considérés ?

Cette interview est plutôt rassurante, cependant on peut nuancer notre point de vue à l’aide de quelques observations.

Les animaux seraient bien traités dans les animaleries. Mais sont-ils bien considérés ? On peut se poser la question de savoir s’ils ne sont pas considérés comme des objets. Par exemple le mot « lot »revient pour la vente des rats dont le prix et parfois moins cher qu’un simple jouet en plastique. On peut également se demander si des animaux, qui sont des êtres vivants, doivent être exposés comme de vulgaires objets, avec un prix de vente.

Omlet

Concernant le suivi de soins, on peut aussi se demander si le passage du vétérinaire est fréquent car ayant un cochon d’Inde je sais que le coût d’une simple visite de routine s’élève à 20 euros et devient beaucoup plus cher quand l’animal nécessite d’avoir des médicaments.

Concernant les conditions de vie en cage, si le nombre d’octodons par cage m’a semblé correct, le nombre de poules en revanche m’a semblé excessif car elles étaient 17 pour une enclos réduit.

Bref, choisir un animal de compagnie nécessite aussi de réfléchir à tout cela : ce sont plein de questions que vous devez vous poser avant de choisir le lieu d’adoption de votre nouveau compagnon.

petit compagnon

Article de Clémentine

Un art contesté mais surtout contestataire

Peut être avez vous déjà entendu parler de Banksy, Inkie ou encore de Jody ou Andy Council ? Si ces noms vous sont étrangers, ce sont des Street artistes ayant tous « graffé » dans la ville de Bristol. Je suis allée en reportage sur place pour vous !

Pour mieux connaître le street art et en particulier le graff, je me suis rendue à Bristol, la capitale du street art. J’ai assisté à une visite guidée dans la ville qui m’a permis de tout savoir sur ce courant artistique.

Bristol. Photo personnelle de Clémentine

Qu’est-ce que le Street Art ?

Le Street Art est un mouvement artistique et aussi un moyen d’expression qui consiste à peindre dans la rue de façon interdite sur les murs. Il existe différents techniques comme le pochoir ou encore le spray paint, leur point commun est de s’appuieer sur le paysage urbain.

Bristol étant considéré comme la ville du street art, c’est aussi le berceau de nombreux graffeurs. Un quartier de Bristol est particulièrement marqué par le street art, il s’agit de Stockes Croft, un quartier rempli de graffs et notamment plusieurs du célèbre Banksy et plein d’autres graffeurs.

Bristol. Photo personnelle de Clémentine.

Un art célèbre qui reste illégal

Cette culture du graff est très contradictoire à Bristol : il faut savoir que, même si Bristol est considérée comme la ville du graff, le Street art y est fermement interdit et est puni par des années de prison ou/et de grosses amendes ! Plusieurs graffeurs se sont d’ailleurs révoltés contre la mairie de Bristol car elle protège les graffs faits par Banksy mais punit et efface le travail des autres graffeurs qui sont parfois aussi beaux voire plus beaux que ceux du célèbre artiste.

Cependant chaque année, la mairie de Bristol prête des murs pour que de jeunes artistes puissent être reconnus. D’ailleurs certains artistes comme Banksy ou Inkie graffent dans le monde entier et sont mondialement reconnus.

Bristol. Photo personnelle de Clémentine

Mon guide dans Bristol : le célèbre John Nation

Pour mon reportage, j’ai eu la chance d’être guidé par un grand nom de l’histoire du graff : John Nation. Le Street Art n’est pas originaire de Bristol et ne serait pas arrivé à Bristol sans que quelqu’un apprenne aux jeunes à graffer. Les jeunes ont donc eu besoin « d’éducateurs » comme John Nation. C’est lui qui a formé Banksy et Inky au Street Art. Maintenant guide pour les touristes, il anime le « Street Art tour » de Bristol. Pendant la visite guidée qu’il anime, il fait découvrir la ville des quartiers des plus touristiques au petites ruelles les plus cachées. Lors de cette visite guidée, il nous a expliqué qu’il faisait le lien entre tous les graffeurs de Bristol ( il connait l’identité de Banksy mais ne l’a jamais révélée). Cela lui a même coûté plusieurs passages au poste de police. Sa maison a même été surveillée et perquisitionnée !!

John Nation, un guide incroyable ! Source : Bristol Archive Records

Qui est Banksy l’icône de Street Art ?

Banksy est un grapheur qui a débuté à Bristol et qui maintenant graphe un peu partout dans le monde. Son identité est secrète et n’a toujours pas été révélée. Actif depuis 1990, il n’est par revenu graffer à Bristol depuis 2009. Ses graffs ont une teneur politique remettant en cause l’ordre établi lorsqu’il lui semble injuste. Par exemple, le mild mild west qui représente un ours en peluche qui tient un cocktail Molotov s’apprêtant à le jeter sur trois policiers anti-émeutes. Ce graff représente la violence des policiers face à la non-violence des habitants de Bristol. Ses graffs sont souvent anti-guerre, anti-capitalistes et contre la bien pensance des classes dominantes. Banksy est l’un des artistes le plus recherchés et protégés par la communauté des grapheurs. Lors de la visite guidée, j’ai posé la question à John Nation pour connaître son identité mais il n’a pas voulu me répondre ! Il m’a dit que, bien qu’ayant travaillé avec Banksy plus jeune, il ne révélerait jamais son identité ! Banksy souhaite garder l’anonymat car il estime que les œuvres parlent par elles- mêmes et que connaître son identité détournerait leur message.

Source : Le JDD

La jeune fille à la perle est une œuvre de Banksy inspirée de la jeune fille à la perle de Vermeer. Ici la perle est représentée par un bouton d’alarme à incendie.

En conclusion le Street Art est un art illégal mai l’art doit il être réduit aux œuvres des grands maîtres d’autrefois que l’on trouve dans les musées ? Le street art est un moyen d’expression qui vient bousculer nos certitudes et remettre en cause notre vision du monde. N’est-ce pas ça, le rôle de l’art ?

Sources : Le Robert/ Banksy explained / Banksy blog / Wikipédia

Article de Clémentine

Eugène.com en vidéo : gagner ou participer, telle est la question

Dans notre journal, alors que nous attendons les JO de Paris avec impatience, nous posons la question de la performance ou de la simple participation en sport.

 

 

La prévention, un outil essentiel pour la santé

Être en bonne santé en 2024, cela passe par une bonne hygiène de vie afin d’éviter de tomber malade. Nous avons interrogé Catherine Vieillefont qui est animatrice de santé publique hospitalier à Tulle pour savoir quelle sont les actions de prévention organisées à l’hôpital de Tulle.

Mme Vieillefont, une arme contre les maladies ! Dessin de Léana, notre illustratrice du jour

C’est quoi un animateur santé publique ?

Un animateur de santé publique a pour mission de développer des actions de prévention et de promotion de  la santé par l’établissement de santé à partir des besoins prioritaires des habitants du territoire.

Mme Vieillefont nous a expliqué que son travail consistait au quotidien à faire des actions de santé publique auprès du grand public. Elle nous a précisé que la prévention, c’est permettre de diffuser des messages pour dire par exemple que c’est important de se vacciner, de se laver les mains, de faire des dépistages de cancer quand c’est nécessaire est qu’on a l’âge, que c’est important de ne pas fumer, de ne pas boire… La prévention, c’est prévenir et donner de l’information pour que les gens puissent dire : « si je ne veux pas devenir diabétique, il ne faut pas  trop que je mange trop de sucre, si je ne veux pas faire un problème cardiaque, il faut que je mange moins de graisses » etc…

Son travail à l’hôpital de Tulle, c’est être en relation permanente avec les professionnels des services de cardiologie, de médecine,  de  gastroentérologie, de chirurgie. Ces professionnels ont peut être des attentes  sur des thématiques particulières et elle les aide à avoir accès à des informations, par exemple aller trouver un professeur qui exerce dans un autre hôpital pour qu’il vienne faire une conférence à Tulle.  Son travail, c’est aussi mettre  en avant les spécialités  : faire un focus sur la pathologie cardiaque en faisant un  stand  dans le hall avec  de la documentation,   on va écouter les gens qui vont venir nous voir et puis on va répondre à leurs questions.

Pourquoi la prévention est-elle importante pour maintenir les gens en bonne santé ?

Quand on est dans le milieu médical, on a de l’information, on sait ce que c’est une maladie, on sait ce que c’est un virus,  en revanche quand on est un simple citoyen, on n’a pas toujours accès aux informations de santé : Mme Vieillefont explique : « On peut ne pas être informé sur comment va se développer un cancer, quels sont les signes qui peuvent m’alerter si jamais je développe un diabète, quels sont les signes qui vont m’alerter si j’ai mal dans la poitrine…. Il faut donner ces messages là parce que les gens ne savent pas forcément à quoi s’attendre et c’est important qu’ils le sachent. »

Quel est le profil de santé des corréziens ?

Mme Vieillefont nous a très bien expliqué : En Corrèze il y a la caisse primaire d’assurance maladie qui fait des statistiques sur les pathologies sur le territoire de la Corrèze.

Ces statistiques montrent que les quatre plus grosses pathologies dans notre département sont : le diabète, qui arrive en premier, puis les pathologies cardiaques, en troisième les pathologies psychiatriques et en quatrième le cancer. On se fie à ces statistiques pour orienter les messages de préventions envoyés aux Corréziens.

Quels sont les gros problèmes de prévention actuellement  ? Y-a-t-il  un domaine sur lequel il faut progresser ?

Il faut progresser sur les dépistages de cancer et il faut réussir à ce que les gens adhèrent à ces dépistages, nous a révélé Mme Vieillefont, car ils permettraient de réduire considérablement les taux de cancers graves.

Le domaine de la santé mentale a besoin également de progresser : en Corrèze, on a un fort taux de suicide et une grosse consommation de médicaments liés à ces pathologies.

Quelles sont les solutions pour améliorer la prévention ?

Il faut développer le nombre d’animateurs de santé publique, conclut Mme Vieillefont.

 Source:  chnds.fr

Article de Perle et Lana

Se former aux métiers du sport en respectant des valeurs

Le sport incite-t-il à la compétition ou à la coopération ? L’essentiel est-il de participer ou de gagner ? Nous sommes allés interviewer Béatrice Ferry la directrice du STAPS de Brive, pour savoir si cette formation suit les principes de Pierre de Coubertin !

Photo de Léana, notre photographe du jour

Podcast de Lilan, Mathys et Ethan

Journalistes de guerre : des héros invisibles

Dans le monde il y a plein de guerres : en ce moment deux guerres occupent l’actualité en particulier,  Ukraine/Russie, et Israël/Hamas…. On suit l’actualité grâce à des journalistes directement sur place. Ces journalistes prennent de gros risques pour récolter des informations pour informer le monde.

Journaliste de guerre, un métier dangereux. Dessin réalisé par Léana, notre journaliste dessinatrice.

Est-il dangereux d’être journaliste de guerre ?

En temps de guerre les journalistes risquent souvent leur vie. Ils peuvent être pris pour des traitres ou des espions, ils peuvent donc être pris en otage, torturés ou pire… ÊTRE TUES !!  Même si tuer un journaliste de guerre ou le blesser  grièvement est un crime de guerre. De nombreux journalistes sont morts pour donner des informations à leur population toute en exerçant leur métier.  Par exemple: Patrick Bourrat était journaliste de guerre français, il est mort en 2002 dans l’exercice de son métier de grand reporter pour TF1, lors d’un reportage sur les manœuvres de l’armée américaine au Koweit, renversé par un char.

Entre 2003 et 2022 il y a eu 1668 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions.

 

Il y a eu un pic en 2012 et 2013 à cause de la guerre au Mali puis en 2006 et 2007 en raison du conflit israélo/libanais.

Pourquoi les journalistes doivent-ils aller dans les pays en guerre?

Ils se rendent dans des pays en guerre pour voir se qu’il s’y passe et comprendre les intérêts des différents camps. Mais surtout pour faire part de ce qu’ils y ont vu et le montrer au monde.

Sont-ils bien signalés comme journalistes et pas comme soldats pour éviter les balles ?

Ces journalistes portent un casque, des caméras, un téléphone (pour appeler leur supérieur ou pour organiser leur fuite en dehors du pays en cas d’urgence) et un gilet pare-balle avec écrit  « PRESS » au dos, le gilet pèse entre 15 et 20 kg.  Mais cela ne suffit pas toujours a les maintenir en vie !

Quels études pour devenir journaliste de guerre ?

Si malgré cette description dangereuse du métier, vous souhaitez devenir reporter au  front, il faut suivre une formation Bac+3 à Bac+5 dans une école de  journalisme, mais surtout être courageux, aventureux et audacieux.

Toutes nos sources :

wikipedia conflit israélo libanais / wikipedia guerre mali / wikipedia / un jour une question / francebleu / TF1 info / Parliamentary Assembly of the Council of Europe /  iscpa / magazine phosphore n°550 du 15 mars 2023

Article de Lilian et Agathe