Les stars du manège !

 Passionnée d’équitation, j’aimerais vous présenter deux chevaux qui ont été célèbres dans les années 1980 et qui m’impressionnent beaucoup. Jappeloup et Secrétariat, ces deux-là ont fait le buzz à leur époque ! Ont-ils vraiment remporté autant de compétitions qu’on le croit ?  Où sont-ils nés ? Qui étaient  leurs entraineurs et surtout qui étaient leurs cavaliers ?

Source : Le JSL

Jappeloup, une détente incroyable :

Jappeloup  est né le 12 mars 1975 dans la ferme équestre d’Henry Delage à Saint Savin en Gironde d’un croisement entre Tyrol II, un trotteur   français (son père) et Vénérable, une vielle jument Pur-sang de course (sa mère).

L’entraîneur de Jappeloup était Henri Jean Delage, dit Henri Delage, qui était aussi sont naisseur, propriétaire et éleveur .  Sous la selle de Pierre Durand, Jappeloup fût un cheval merveilleux. Tout les deux formaient un duo formidable.

Jappeloup ne se destinait pas au saut d’obstacle du fait de sa relative   petite taille (1m58). Cependant  Pierre Durant a remarqué sa formidable détente et capacité de saut ce qui l’a poussé à le monter et l’entraîner malgré le fait que le cheval était  très fougueux et doté d’un fort  caractère.

Malgré sa petite taille, Jappeloup sautait des obstacles à 1m70, ce qui ne lui faisait pas peur ! Immense de courage, n’écoutant que son cœur et son cavalier, Jappeloup de Luze termine sa carrière sur un grand succès : il gagne les jeux Olympique de saut d’obstacle à Séoul en 1988 !

Jappeloup était en effet  un cheval de CSO (Concours de Saut d’Obstacle) qui  a gagné de nombreux prix avant cette consécration : champion de France en 1982, champion d’Europe en 1987, 11 médailles d’or en Grand Prix dont 5 en coupe du monde et 3 en coupe des Nations en saut d’obstacle !

Jappeloup a un film  ! C’est Guillaume Canet qui interprète Pierre Durand.

 

Secrétariat, cheval de l’année 1973 :

Secretariat  est né le 30 mars 1970  aux haras de Meadow Stud à Doswell en Virginie. Il est issue  de Bold Ruler ( son père ) et de  Somethingroyal (sa mère ). Il était surnommé « Big Red  » car il était alezan.

Son entraineur était Lucien Laurin , sa propriétaire était Penny Chenery , son palfrenier était Eddie Sweat et Charlie Davis le responsable de l’entrainement . Il était monté par Ron Turcotte, son jockey.

Si Secrétariat appartient à Penny Chenery, c’est seulement parce que le destin de Secrétariat est en partie lié à une histoire de pile ou face entre Ogden Phipps et Penny Chenery qui concluent un arrangement pour se partager les poulains issus de leurs poulinières et de l’étalon Bold Ruler. Le vainqueur pourra alors choisir le poulain qu’il veut tandis que l’autre gardera l’autre c’est ainsi que Penny Chenery  malheureuse à pile ou face deviendra la proprietaire comblée puisqu’elle récuperera un poulain à naitre au printemps suivant celui ci se nommera Secretariat.

C’était un cheval de course hippique . Il mesurait 1.68m.Il a été nommé « cheval de l’année » en 1972/1973. Il a remporté de nombreuses courses hippiques comme Hopeful Stakes, Laurel Futurity, Garden State Stakes, Kentucky Derby, Preakness Stakes, Belmont Stakes.

Secretariat a lui aussi un film à lui, réalisé par Rendall Wallace !!!

Article de Lola

 

Professeur remplaçant : nomade et adaptable

Notre professeur de français M. Lahorgue-Poulot est en arrêt maladie pour quelques temps. (Nous lui souhaitons d’ailleurs bon courage et nous pensons à lui). Il est remplacé par Madame Fredon. Nous aimerions savoir comment se passe le remplacement  du côté des professeurs quand l’année a déjà commencé et nous sommes allés poser quelques questions à Mme Fredon.

Mme Fredon répond à nos questions. Photo Eugène.com

Interview d’Eloise et Lilian

Visiter l’espace sans y être

Au mois de novembre et de décembre toutes les classes de 4e vont se rendre ou se sont rendues à la Cité de l’Espace à Toulouse pour faire des activités scientifiques autour de l’astronomie.

Source Image : Paul Maury Brigoux

Le 17 novembre, les 4ème A, B, C sont allées à la Cité de l’Espace à Toulouse,  j’y suis allé et franchement j’ai adoré !

Nous avons commencé par visiter le bâtiment principal où nous avons pu faire des expériences, être sur la lune, faire un bulletin météo, aller dans l’océan.

Nous avons aussi visité le Planétarium, c’est un cinéma dynamique ou vous devrez répondre à 2 ou 3 questions.

Puis après, nous avons pu  visiter une ancienne station nationale qui n’est pas allée dans l’espace car ce n’était qu’un prototype.

Bref c’est un endroit incroyable que j’ai adoré je vous recommande vraiment d’y aller !

Pour accéder aux photos

Article de Paul

Une marche pour la tolérance

Le mercredi 8 Novembre à Paris s’est déroulée une marche contre l’antisémitisme. Mais heu… Qu’est-ce que c’est,  l’antisémitisme ?

Paris le 12 Novembre 2023. Grande Marche citoyenne contre l’antisemitisme // Esplanade des Invalides. Source : Le Monde

Le mot antisémitisme a été forgé en Allemagne en 1879. Ce mot correspond à la doctrine disant que les Juifs nuiraient aux pays dans lesquels ils vivraient. On l’utilise maintenant pour désigner toute forme de racisme anti-juif alors qu’à l’époque il désignait seulement l’antisémitisme allemand.

Les Juifs sont un peuple qui a été longtemps persécuté : au Moyen Age, ils ont notamment été accusés d’être les porteurs de la Peste, régulièrement on organisait des pogroms (= massacre de Juifs). Ou plus récemment, au 20e siècle, les Nazis les ont  accusés d’être responsables de tous les problèmes et ont organisé le plus grand massacre de tous les temps : la Shoah. Depuis la création d’Israël,en Occident il y a une nouvelle forme d’antisémitisme qui est politique :  l’Occident accuse les Juifs d’être à l’origine des guerres avec les pays musulmans.

L’antisémitisme s’est ravivé ces derniers jours avec le retour de la guerre entre  Israël  et Palestine. De nombreux actes antisémites ont été recensés.  C’est pour ça qu’une marche a été organisée contre ces actes de discrimination.

Source : Universalis Junior en ligne (compte abonné) , Le Monde

Un article de Clémentine

Histoires au collège

Cette année, un nouveau cours voit le jour : le cours de lecture !!! Il n’est réservé qu’aux 6éme. Je vais vous expliquer en quoi il consiste !

Source : Magazine belles demeures

Dans ce cours, des professeurs de français nous lisent des livres. Pour ma classe, ce cours se déroule dans la salle 11, mais d’autres classes vont dans la petite salle de lecture qui a été aménagée près du foyer.

L’objectif, selon ma professeure, est d’inciter les enfants à avoir envie de lire. Pendant une heure, on écoute une histoire lue à voix haute.  C’est dommage que certains élèves ne soient pas sérieux car c’est un moment agréable.

Depuis le début de l’année, ma classe a pu s’entendre lire par Mme Dehan « Thésée et le minotaure » , « La création du monde selon les grecs » , « Prométhée » , « Vassilissa et la baba jaga » , « La belle au bois dormant » , « Blanche neige » . . .

J’aime bien ce cours qui nous permet de faire une petite pause dans les cours très sérieux. En plus , les livres lus sont vraiment intéressants et on est nombreux à attendre ce moment.

Élodie Vaillé

Le sondage spécial Noël 2023

Nous avons interrogé 100 élèves dans la cour pour savoir ce qu’ils aimeraient avoir comme cadeau  à Noël. Voici les tendances pour cette année, avec quelques surprises !

source:idboox

 

Les tendances 2023

Cela ne vous surprendra pas, ce qui arrive en tête,  c’est l’équipement connecté à Internet !  Sur 100 élèves interrogés, 38%  réclament… un équipement connecté ! Parmi les demandes, téléphone, ordi, tablette, montre sont des objets attendus.  C’est le téléphone qui reste en tête de liste des cadeaux les plus convoités avec 12%. Petite nouveauté, la montre avec 6%. 5% veulent des consoles de jeu vidéo,  5% un ordinateur et certaines personnes isolées veulent  un casque ou encore des écouteurs ou une tablette, un drone ou un MP3.

Deuxième tendance, la mode et l’apparence : 19% des personnes demandent des vêtements et des chaussures,  5% veulent des bijoux et du maquillage.

Troisième tendance : l’autonomie dans les achats. 12% demandent tout simplement de l’argent pour pouvoir acheter eux-mêmes leurs cadeaux.

Les jouets et les livres sont en perte de vitesse au collège, ça c’est très net ! 4 % souhaitent très fort un livre et 3 % seulement rêvent d’un jouet ( 1% un doudou  et 2% veulent des Lego).

Les surprises : certaines demandes révèlent un besoin d’amour et de partage !  Il y a 3% des élèves qui souhaitent avoir un animal (un chat, un chien, un cheval !) et  5% demandent carrément au Père Noël un amoureux  !!!

 

Les tendances par niveau :

On n’a pas les mêmes rêves à 11 ans qu’à 14 ! Mais enfin, ça se ressemble quand même un peu…

Les 6ème ne veulent pas d’argent, ils s’en moquent totalement, ils préfèrent encore jouer mais surtout se connecter  !

Les 5ème, eux,  commencent à s’intéresser à l’argent et toujours  au téléphone.

Les 4emes, eux, préfèrent tout ce qui est numérique (montres, tablettes, ordis, téléphones) et l’argent.

En 3ème,  ces « grandes personnes » veulent de l’argent, des PS5 et deux élèves rêvent d’une moto.

 

signé : Lana  & Eva

D’où vient la tradition du sapin de Noël ?

D’ici une semaine, chacun va préparer le sapin de Noël, une tradition que tout le monde respecte, quelle que soit sa religion. D’où vient cette habitude de faire entrer un arbre dans sa maison ?

Source image : Gamm Vert

C’est une tradition très ancienne

On retrouve des traces du sapin dès l’Antiquité. Entre 2000 et 1200 Avant Jésus Christ, ont parlait déjà de l’épicéa.C’était une tradition paiënne.

On considérait le 24 décembre comme la renaissance du soleil : les Celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires et on sait qu’à partir de Noël les jours rallongent. A chaque mois, un arbre était associé et l’épicéa fut celui du 24 décembre.

Une tradition qui s’associe à la religion chrétienne

Il faut attendre le Moyen Age pour que cet arbre soit associé à la religion : on raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint Boniface, voulait convaincre les druides germains, des environs de Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il fit donc abattre un chêne.  » En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage, à l’exception d’un jeune sapin « . A partir de là, il eut une légende. Elle raconte que Saint Boniface a qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication :  » Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus.  » Depuis, ce moment on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance de Jésus Christ.

Source photo : La Manche libre

 

Il faut quand même attendre le 12ème siècle pour voir la tradition du sapin réellement apparaitre en Europe, et plus précisément en Alsace. C’est en 1521 que pour la première fois dans cette région on appelle un sapin « sapin de noël ».  On ne le décorait pas encore de guirlandes mais de pommes,  de gâteaux, de confiseries.  Mais on n’oubliait pas de mettre l’étoile en haut du sapin car sa signifiait l’étoile de Bethléem, celle qui a guidé les Rois mages jusqu’à l’enfant Jésus.

Aujourd’hui, c’est juste une tradition festive

Enfin, aujourd’hui, presque tout le monde fait un sapin, sans l’associer à la religion. C’est un symbole de fête, de lumière et de cadeaux.

 

Sources : Noël vert / Histoire pour tous/TF1 Info

Signé : Perle 

La vie de jeune prof : M. Lacombe raconte son parcours

Cette année  nous avons un nouveau professeur, M. Lacombe. Nous l’avons interviewé et  lui avons posé des questions sur son parcours de professeur d’EPS. Il nous a dit comment devenir professeur d’EPS et nous a raconté ses expériences nouvelles avec les  élèves.

 

M. Lacombe. ©Eugène.com

Interview de Nellya

Un cross départemental dans la boue !

Ce mercredi 15 novembre  certains élèves du collège ont participé au cross départemental qui s’est déroulé dans l’hippodrome de Pompadour, la cité du cheval. C’était dur, c’était boueux mais tout le monde est content !

La gadoue ! Source image : La Montagne

Les dix premiers vainqueurs des cross de chaque collège de Corrèze et les volontaires se sont réunis pour ce cross départemental. En tout, ce sont 1400 collégiens qui se sont retrouvés à Pompadour.

Grande chance, il ne pleuvait pas, mais à cause des fortes pluies des derniers jours, le terrain était très boueux.

Des chevaux ouvraient les courses (dans notre collège, le 19 octobre, c’était des vélos !) et le parcours était très difficile : beaucoup de côtes et de descentes, beaucoup de gadoue, beaucoup de blessés. Entre les hypoglycémies, les départs trop rapides, le terrain glissant, les chutes, il y a eu moins d’arrivées que de départs !

Pour récompenser les coureurs, il y avait des chocolatines et du jus de pomme.

Nos camarades ont été vaillants, voici les résultats dans notre collège :

Benjamines

Elisa Drahonnet finit 18e  sur 194

Elodie Vaillé finit 100e

Maelie Gaucher 118e

Sophia Taidir finit 120 e

Kessya Agesilas 168e

 

Benjamins

Siméon Dayma finit 5e sur 284

Luigi Marcandella  23e

Raphaël Clemente 24e

Marcel Duteil 69e

Jules Lacroix 87e

Sacha Raimbault 115e

Fabio Genier 119e

Ugo Breuil 200e

Ethan Viez 226e

Lucas Chanel 255e

Timéo Genier 259e

Mathys Peauger 269e

Mathis Peuch 281e

Evan Fantou 283e

 

Minimes filles

Aubane Veyssiere a fini 16e sur 158

Alicia Lapeyre 36e

Marion Noaille 73e

Lina Puydebois Grigny 104e

Chloé Reysset 149e

Minimes garçons

Antoine Clemente a fini 8e  sur 211

Axel Compte 27e

Guewen Piet  54e

Louis Jammet 75e

Paul Gendrineau 77e

Gabin Delpas 78e

Gabiel Delage 89e

Elouan Leroux 107e

Nino Girin 195e

Article de Léana et Elisa

 

A quoi ça sert de donner un nom aux ouragans?

Ciaran et Domingo viennent de passer en France. Ce ne sont pas des amis en visite mais des ouragans ! Quelle drôle d’idée de donner des noms aux intempéries !

Source : Freepik

Au départ, les noms donnés aux ouragans étaient uniquement des prénoms de fille mais un nouveau       système a été mis en place  depuis 1979 : il se base maintenant sur 6 listes de prénoms de filles comme  de garçons. Ils sont rangés par ordre alphabétique, de A jusqu’à W, le Q et le U sont exclus .

Pourquoi donner des noms à ces ouragans ?

Pour une raison simple de communication. Donner un nom à ces phénomènes météorologiques permet de faciliter la tâche quand on en parle au grand public pour prévenir les risques et expliquer que ce ne sont pas les mêmes ouragans qui passent.

Ensuite, plusieurs études réalisées aux États-Unis ont prouvé que leur donner un nom avait une influence sur nos comportements. La population est plus attentive aux consignes de sécurité, mais elle est aussi beaucoup plus concernée par les appels aux dons en cas de dommages importants.

Source :gulli et world meteorological Organization

Article de Lana et Perle