Se former aux métiers du sport en respectant des valeurs

Le sport incite-t-il à la compétition ou à la coopération ? L’essentiel est-il de participer ou de gagner ? Nous sommes allés interviewer Béatrice Ferry la directrice du STAPS de Brive, pour savoir si cette formation suit les principes de Pierre de Coubertin !

Photo de Léana, notre photographe du jour

Podcast de Lilan, Mathys et Ethan

Journalistes de guerre : des héros invisibles

Dans le monde il y a plein de guerres : en ce moment deux guerres occupent l’actualité en particulier,  Ukraine/Russie, et Israël/Hamas…. On suit l’actualité grâce à des journalistes directement sur place. Ces journalistes prennent de gros risques pour récolter des informations pour informer le monde.

Journaliste de guerre, un métier dangereux. Dessin réalisé par Léana, notre journaliste dessinatrice.

Est-il dangereux d’être journaliste de guerre ?

En temps de guerre les journalistes risquent souvent leur vie. Ils peuvent être pris pour des traitres ou des espions, ils peuvent donc être pris en otage, torturés ou pire… ÊTRE TUES !!  Même si tuer un journaliste de guerre ou le blesser  grièvement est un crime de guerre. De nombreux journalistes sont morts pour donner des informations à leur population toute en exerçant leur métier.  Par exemple: Patrick Bourrat était journaliste de guerre français, il est mort en 2002 dans l’exercice de son métier de grand reporter pour TF1, lors d’un reportage sur les manœuvres de l’armée américaine au Koweit, renversé par un char.

Entre 2003 et 2022 il y a eu 1668 journalistes tués dans l’exercice de leurs fonctions.

 

Il y a eu un pic en 2012 et 2013 à cause de la guerre au Mali puis en 2006 et 2007 en raison du conflit israélo/libanais.

Pourquoi les journalistes doivent-ils aller dans les pays en guerre?

Ils se rendent dans des pays en guerre pour voir se qu’il s’y passe et comprendre les intérêts des différents camps. Mais surtout pour faire part de ce qu’ils y ont vu et le montrer au monde.

Sont-ils bien signalés comme journalistes et pas comme soldats pour éviter les balles ?

Ces journalistes portent un casque, des caméras, un téléphone (pour appeler leur supérieur ou pour organiser leur fuite en dehors du pays en cas d’urgence) et un gilet pare-balle avec écrit  « PRESS » au dos, le gilet pèse entre 15 et 20 kg.  Mais cela ne suffit pas toujours a les maintenir en vie !

Quels études pour devenir journaliste de guerre ?

Si malgré cette description dangereuse du métier, vous souhaitez devenir reporter au  front, il faut suivre une formation Bac+3 à Bac+5 dans une école de  journalisme, mais surtout être courageux, aventureux et audacieux.

Toutes nos sources :

wikipedia conflit israélo libanais / wikipedia guerre mali / wikipedia / un jour une question / francebleu / TF1 info / Parliamentary Assembly of the Council of Europe /  iscpa / magazine phosphore n°550 du 15 mars 2023

Article de Lilian et Agathe

Soigne-t-on bien en 2024 ?

En 2024, être en bonne santé, c’est aussi pouvoir bien se faire soigner lorsqu’on est malade. Est-ce le cas ?  Pour le savoir, nous avons interrogé Monsieur Rémi Robert, un infirmier-formateur à l’IFSI,  pour qu’il nous donne sa vision de la santé en France aujourd’hui.

Source de l’image : Linkedin

Eugène.com:Pouvez-vous vous présenter?

Rémi Robert : Je m’appelle Rémi Robert,J’ai eu une carrière en deux temps, j’ai d’abord fait l’armée où j’ai suivi la formation d’infirmier.J’ai exercé quelques temps dans l’armée mais j’ai eu un souci de santé, j’ai donc basculé dans le milieu civil où j’ai travaillé dans un hôpital en tant qu’infirmier. Je suis devenu formateur à l’IFSI en septembre, c’est l’Institut de Formation en Soins Infirmiers qui prépare les étudiants infirmiers à ce métier.

Eugène.com : Combien y -a-t-il de volontaires en 2024 pour devenir infirmiers ?

Rémi Robert : Je n’ai pas les chiffres exacts au niveau national mais c’est une profession très demandée. A l’IFSI de Tulle on a 60/65 étudiants en première année.

Eugène.com : pensez-vous que les infirmiers arrivent à soigner correctement tous leurs patients ?

Rémi Robert : J’espère ! C’est une question compliquée mais il y a un problème de temps et de moyens, les conditions de travail sont compliquées mais les équipes soignantes essaient de faire au mieux car il y a beaucoup de patients… mais ce qui est sûr, c’est qu’ils font de leur mieux.

Eugène.com : Quels sont aujourd’hui les grands objectifs de l’apprentissage du métier d’infirmier?

Rémi Robert : L’un des plus grands objectifs est de former le plus rapidement possible des futurs professionnels et de leur donner le niveau minimal pour qu’ils puissent travailler très vite en autonomie et de manière correcte. Au niveau de la formation, par exemple, les premières années ont réussi à valider la compétence de pouvoir assurer des soins d’hygiène et de confort en autonomie.

Photo de Léana (mallette de l’infirmière)

Eugène.com : Soigne-t-on mieux les gens en 2024 qu’avant ?

Rémi Robert : C’est très compliqué de vous le dire mais ce qui est sûr, c’est que la médecine a fait d’énormes progrès. Au niveau des traitements, on traite mieux les maladies, on a également élargi le champ d’action des infirmiers. Mais en 2024, l’état du système de santé français s’est dégradé et on a des problèmes de moyens pour prendre correctement en charge les patients.

Eugène.com : Quels sont les défis pour les hôpitaux au XXI e siècle?

Rémi Robert : Je dirais qu’il  y en a plusieurs. On doit s’adapter en terme de management aux nouvelles équipes qui vont rentrer, car il y a des chocs générationnels, les jeunes ont un autre regard. Il faut aussi qu’on soit plus efficient, c’est-à dire que l’on soit toujours aussi efficace, voire plus, mais en réduisant les dépenses de soins. Un des grands défis également sera d’axer davantage sur la prévention plutôt que sur le curatif, car la prévention coûte moins cher ; en réduisant les soins curatifs, on pourra davantage investir dans la prévention.

Eugène.com : Merci beaucoup de nous avoir répondu!

En conclusion, nous constatons qu’on peut mieux soigner, qu’on a de très bons infirmiers mais que ce sont les hôpitaux qui ne sont pas en bonne santé.

Interview d’Élodie et Agathe

Comment les médias traitent le réchauffement climatique ?

D’après le dernier rapport du GIEC, un organe scientifique reconnu pour son sérieux,  il est très important de prendre en compte le réchauffement climatique  car il risque de mettre en péril la vie des Hommes sur Terre dans les années qui viennent.  Comment les médias traitent ce sujet ? Nous avons profité de la venue de France 3 dans notre collège aujourd’hui (ils faisaient un reportage sur le self, l’aubaine !) pour leur demander comment ils abordent ce sujet.

Photo prise par Léana, notre illustratrice du jour

Nous sommes informés du réchauffement climatique par les médias. Ils ne traitent pas tous ce problème de la même façon.

Certains médias sont spécialisés dans la lutte pour l’écologie comme « Reporterre, le média de la terre » ou encore « Vert éco ».

D’autres médias  non spécialisés sur ce sujet comme les chaînes d’information en continu CNews ou BFM tv ne traitent pas toujours ce sujet suffisamment ou avec les bons interlocuteurs.

D’après Télérama n° 3867 qui consacrait un dossier sur ce sujet, CNews n’inviterait que des invités de droite voire d’extrême droite et en grande partie masculins.

Les journalistes d’Arrêt sur image, quant à eux, accusent CNews d’avoir consacré plus d’heures d’antennes au transfert de Messi qu’au réchauffement climatique !

Comment abordent-ils le sujet… quand il est abordé ?

Ces chaînes en continu ne traiteraient donc que très peu le sujet. Libération les accuse de confondre volontairement la météo et le réchauffement climatique. Un des présentateurs de CNews à jugé que comme il avait fait -30 en Suède la situation n’était pas si grave que ça. Et que les alertes contre le réchauffement climatique étaient trop exagérées selon lui.

Mais les chaînes telles que CNews ou BFMtv ne sont pas les seules à avoir ce genre de discours , plusieurs députés Rn ont aussi tenu ce discours.

Un reproche qui peut être fait à  CNews est une forme de désinformation :  cette chaîne n’affiche pas clairement les médias d’origine de ses intervenants. Les téléspectateurs ne peuvent donc pas savoir s’il s’agit toujours du même point de vue ou s’ils sont diversifiés

Aujourd’hui, 21 mars, une équipe de France 3 vient dans notre collège pour réaliser un reportage sur le self. Nous en avons profité pour les interroger sur la manière dont ils abordent le sujet du réchauffement climatique.

Sources : Arrêt sur images/Libération/ Télérama papier numéro 3867/ Libération\,

Et interview des journalistes de France 3 venus aujourd’hui 21 mars dans notre collège

Article de Clémentine

L’intelligence artificielle augmente-t-elle le risque de Fake news ?

L’intelligence artificielle est arrivée dans nos vies très récemment. Son pouvoir est immense ! Certains disent que c’est génial. Mais est-ce que ce n’est pas un peu dangereux quand même ? Surtout pour la production de l’information ?

Petit rappel : c’est quoi une IA ?

L’intelligence artificielle est un robot qui imite l’intelligence humaine. Son but est de permettre à des ordinateurs de penser et d’agir comme des êtres humains.

Que peut faire l’IA et quels sont les dangers ?

L’intelligence artificielle peut créer des textes et reproduire des voix à partir d’extraits de vidéo ou d’audio, elle peut aussi faire de fausses vidéos et de fausses photos de personnes existantes, compliquant encore plus le combat contre les « fausses nouvelles ».

Source de l'image : Marie France

Le pape en doudoune de rappeur : vrai ou faux ? Source image : Marie france

En récupérant et en créant des données, l’IA est donc capable de créer des textes entiers qui semblent écrits par des gens. Mais les possibilités ne s’arrêtent pas là.  Par exemple,  Midjourney (qui est un laboratoire de recherche) ou Dall-E sont des programmeurs d’IA permettant de créer une image sur une phrase que vous tapez sur votre clavier. Le risque de Fake news ne fait qu’augmenter au fur et à mesure que le développement des intelligences artificielles grandit.

Comment lutter contre les Fake news ?

Plus que jamais, il faut scruter l’information et essayer de démêler le vrai du faux ! Il existe un métier spécialisé dans la chasse  aux Fake News : fact-checkeur !

Leur travail est de vérifier les fausses informations qui circulent sur le Net.  Ils enquêtent pour donner des faits sur ces « Fakes News » pour que les gens puissent se créer leur propre opinion.

Ils s’occupent en priorité  des sujets liés à la santé car ça peut être un danger immédiat. Mais ils enquêtent aussi sur la politique, les guerres , et tout le reste de l’actu. Pour leurs équipements, ils ont : un logiciel qui les aide à vérifier la fiabilité des vidéos qui circulent sur les réseaux.

Pour les images, ils emploient des méthodes simples comme l’image inversée : clic droit sur la photo, puis d’aller sur « rechercher l’image avec Google » ; cela permet de voir si l’image à déjà été en ligne, quand et dans quel contexte.

Au final ces personnes luttent contre les Fakes news autant qu’il le peuvent pour la sécurité de tous et il ont aussi des IA qui les aident.

Pour ça, le Centre de recherche sur l’informatique en Allemagne a lancé le projet DeFaktS en coopération avec le ministère de l’Éducation et de la Recherche.

Comme quoi, les IA sont à la fois un danger et un outil pour l’information.

Sources utilisées pour mon article :

Les échos / La tribune / Le Figaro / Afis / Franceinfo / Magazine Le monde des ados n° 536 du 13 mars 2024

Article d’Ethan

Droit du sol, droit du sang : Mayotte au cœur du débat !

Comme vous le savez surement Mayotte a été au centre de l’actualité récemment, mais avez-vous compris pourquoi ? On revient avec vous sur la manière dont on acquiert la nationalité française et pourquoi cela a créé un débat au sujet de Mayotte.

Où se situe Mayotte ?

Mayotte est un petit archipel de l’océan indien situé à l’est de l’Afrique et au nord de Madagascar. Mayotte est un département d’Outre-mer français depuis 2011. Sa capitale est Mamoudzou.

Souce : Le club des voyages

 

Comment devient-on français ?

Pour devenir citoyen français dans tous les lieux appartenant à la République Française , c’est-à-dire : la métropole ; les Territoires d’Outre Mer ; les Départements d’Outre Mer, il existe deux processus de naturalisation :

  • Le droit du sang : Cela veut dire que l’enfant obtient en naissant la nationalité d’un de ses parents. Autrement dit, si l’un de ses parents est français, il obtient automatiquement la nationalité française.
  • Le droit du sol :  Cela veut dire que tout enfant né sur le territoire français peut accéder à la nationalité française au bout de 4 ans, quelle que soit la nationalité de ses parents.

 

Pourquoi parle-t-on de Mayotte sur ce point ?

Ce département français est confronté à l’augmentation du chômage et de la pauvreté. Le ressenti des Mahorais (c’est-à-dire les habitants de Mayotte) est que l’immigration clandestine, qui est forte à Mayotte, augmenterait ces deux problèmes (chômage et pauvreté) . Bien entendu cela est bien plus complexe. Néanmoins, le Ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, pour apaiser la population, a avancé une hypothèse d’une révision du droit du sol dans le cas de Mayotte : dans ce département d’Outre Mer, il a suggéré que seul le droit du sang s’applique.

Source du graphique : INSEE

Si cette remise en cause du droit du sol était sérieusement prise en compte, il faudrait passer par une modification de la Constitution : en effet le principe de l’indivisibilité du territoire suppose que les lois soient les mêmes en métropole que dans les territoires d’Outre Mer : autrement dit, si on supprimait le droit du sol à Mayotte, il faudrait le faire aussi en métropole.

D’après un article du Monde, cette possibilité n’a pas échappé aux partis d’extrêmes droite qui y semblent très favorables. Car ils préfèrent ne pas laisser la possibilité à des migrants d’accéder à la nationalité française.

Sources : l’encyclopédie Universalis /Le club des voyages / Le Monde /Le monde /L’Insee

Article de Clémentine

Entre étal et éventaire, le client se raréfie au marché d’Objat

Nous avons remarqué, en nous promenant entre les étals de notre joli marché dominical d’Objat, qu’il y a de moins en moins de personnes qui viennent sur le marché, exposants comme promeneurs, et les personnes qui restent fidèles à la tradition du marché  sont plutôt âgées. On a essayé de comprendre pourquoi.

Source : compte Facebook du marché d’Objat : le marché en hiver

 

Le marché d’Objat est en perte de vitesse, c’est très net. En effet, en nous promenant entre les étals un dimanche matin hivernal,  nous avons constaté que de moins en moins de personnes consacrent du temps pour aller au marché.

Les personnes âgées restent néanmoins fidèles à cette activité.

Nous avons aussi remarqué qu’en été, il y a beaucoup plus de personnes qui viennent sur le marché : ce sont en fait les touristes.

En effet aller au marché pour beaucoup de personnes est devenu synonyme de prendre son temps.

 

Ce qu’en disent les études

Premièrement, c’est une tendance générale :  la fréquentation des marchés baisse fortement et notamment en semaine. En clair les marchés ont perdu 60% de leur clientèle ces dernières années.

Deuxièmement : le vieillissement de la clientèle. Selon une étude de l’INSEE près d’un client sur deux a plus de 60 ans et seulement 4% de la clientèle a moins de 30 ans.  Cette étude démontre aussi que les habitants de l’agglomération parisienne vont plus volontiers faire leurs courses sur les marchés que ceux des villes moyennes.

sources:https://objat.stationverte.com/
Le marché d’Objat en été

Les raisons de cette lassitude

On peut avancer plusieurs raisons :

Sur le temps long : Il y a encore 50 ans,  les dépenses alimentaires représentaient une part importante du budget des familles, et chacun consacrait beaucoup de temps à acheter de quoi manger. Aujourd’hui ces dépenses représentent moins de 20 % .  Les loisirs ont pris une place importante et les gens préfèrent consacrer du temps à des activités de loisirs, et faire les courses en une seule fois au supermarché, où on peut tout acheter, viande, poisson, fruits, légumes et épicerie.

Sur les dernières années : D’après le journal du Monde, on peut dire que la baisse récente de fréquentation des marchés serait due à l’inflation et à la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs. Même si les produits au marché restent compétitifs, cela  a un coût de remplir son panier de produits frais.

3 bonnes raisons de revenir au marché

Et pourtant aller au marché est une véritable source de bien-être ! En effet il est riche en échanges et permet de consolider les liens sociaux ! On discute facilement au marché, on prend son temps.

C’est aussi une alternative au temps passé sur les écrans. Le fléau de notre époque ! Même les adultes passent trop de temps sur leur téléphone.

C’est également un bon moyen de découvrir des fruits et légumes de saison et les producteur locaux : au marché, on apprend à savoir que les tomates ne poussent pas en hiver, car il n’y en a pas  sur les étals.  On peut manger sain, bio et local, donc contribuer à sa santé et à la santé de la planète !

 

Sources :Résidentiel / FCGA / la finance pour tous / Le Monde

Article de Lola et Elisa

A quoi ça sert un délégué ? Un prof principal nous répond

A quoi sert la présence d’un délégué dans un conseil de classe ? Pour y répondre, je vais interroger M.Buisson, mon professeur principal, pour qu’il nous donne son avis là-dessus !

Source dessin : franceinfo

Interview d’Elodie

La rage, une maladie redoutable

Début janvier 2024, un chiot importé du Maroc à été diagnostiqué par le Laboratoire national de référence de la rage de Nancy : il avait la rage ! C’est donc l’occasion pour moi de vous en apprendre plus sur cette terrible maladie, qui a pourtant presque disparu en France.

Source image : mon quotidien

La rage, qu’est-ce que c’est ?

La rage est une encéphalite virale, c’est une inflammation du cerveau souvent d’origine infectieuse, ça veut dire soit bactérienne, parasitaire, mycosique, virale.

Qui concerne-t-elle ?

Cette maladie est très grave et ne touche que les mammifères, elle se transmet par la  morsure d’un animal atteint lui-même par la rage.   En France, ce sont essentiellement des chauves-souris, des chiens et des chats qui peuvent transmettre la rage.

Quelles sont symptômes ?

Après apparition des symptômes, elle est mortelle dans la quasi-totalité des cas !

 

On ne vaccine plus vraiment contre la rage

Depuis 2001, il n’y a plus de cas de rage en France. Sauf un cas de rage humaine identifié en 2008 hors de la métropole, en Guyane, après une morsure de chauve-souris.

Mais on peut être vacciné en prévention si on va dans un pays à risque.

source :  meurthe et moselle.gouvhttps://fr.   //  wikipedia.org phalite   //      fr.wikipedia.org Rage_(maladie)         sante.gouv

Article de Agathe

Les cuisiniers ont mis le Nouvel An chinois à l’honneur !

La semaine dernière, c’était le nouvel an chinois !  Il avait lieu samedi 10 Février mais nos merveilleux cuisiniers ont décidé de le fêter un peu en avance pour que cela tombe sur la semaine de classe, le Jeudi 8 Février. Ils nous ont préparé un menu asiatique !

Le self décoré pour le Nouvel An chinois. Photo de Lana.

En entrée, nous avons mangé des nems (il y avait aussi des samosa qui sont indiens et des accras qui sont créoles, pour l’exotisme !),  en plat principal il y avait un filet de poulet sauce soja  accompagné de riz cantonnais et nous avons fini avec le dessert  : une salade de fruit exotiques, comme le litchi.

Nous, journalistes, nous avons testé ce menu pour vous !  Nous avons trouvé ça très bon et on félicite les cuisiniers pour le repas !

Perle et Lana