Le petit Volt' : pour se tenir au courant

Bonjour à toi mon lecteur favori ! Oui je parle bien de toi, mon mélomane avide de découvrir des artistes méconnus mais ô combien talentueux. Aujourd’hui j’ai envie de te présenter un groupe qui risque de ne pas plaire à tout le monde mais je suis sûre que tu sauras l’apprécier à sa juste valeur. Pour ce faire, laisse-moi te plonger dans l’ambiance : ferme les yeux et imagine-toi les vastes plaines volcaniques de ce pays que l’on nomme Islande. Représente-toi la brume basse et opaque du petit matin lorsque la luminosité est encore faible. Tu vois les contours flous des branches nues des arbres ? Et la lumière paraissant si lointaine derrière les fenêtres des foyers dispersés aux alentours ? Tu sens le souffle du vent glacial venant te brûler le visage et cette sensation peut-être un petit peu angoissante de penser que tu es seul au monde et pourtant paradoxalement le maître de ce-dernier ? C’est bon tu y es ? Alors ma chronique peut enfin débuter.

C’est dans le paysage que je viens de te décrire que les Islandais du groupe de métal Sólstafir évoluent quotidiennement. Et l’atmosphère de leur pays natal est toujours présente dans leurs morceaux, tout en longueur, où planent le froid et la brume. Ce n’est pas pour rien qu’ils s’appellent les « rayons crépusculaires » en français. Mais comme je te l’ai déjà énoncé un peu plus haut, ce groupe ne fait pas l’unanimité. Pour commencer, ils font du rock métal et ça, ce n’est pas la tasse de thé de n’importe qui. Mais il y a également la voix du chanteur Aðalbjörn Tryggvason qui ne laisse pas indifférent. Et là c’est quitte ou double : soit on adore et c’est ce qui fait qu’on dévore (des oreilles bien sûr) tous les titres de leurs six albums, soit on déteste cette voix empreinte de nonchalance au timbre un peu rauque.

En tout cas tu sais ce que j’en pense et c’est l’esprit léger que je retourne dans ma Corrèze après cet article où j’ai enfin pu vous faire découvrir ce groupe qui accompagne tous mes trajets depuis plusieurs mois maintenant.

Voilà, ce fut un long voyage mais, à présent, tu peux enfin t’allonger sur ton lit douillet et te reposer au son énigmatique mais apaisant des scandinaves de Sólstafir.

NB : si tu ne t’es pas encore jeté corps et âme dans l’écoute du nouveau groupe que je viens de te présenter, tu peux laisser un commentaire pour donner tes impressions sur cet article ou me donner le nom d’un artiste ou d’un groupe avec toutes les informations nécessaires afin que je puisse les sortir de l’ombre.

Pour écouter c’est par ici : https://www.solstafir.net/

Sources images : http://www.noisemag.net et https://solstafir.bandcamp.com 

Madeline

Barns Courtney est un chanteur, compositeur et musicien anglais. Son style musical est défini comme étant du Pop-Folk, Blues-Rock mais je vais vous épargner ces termes un peu trop poussés auxquels je ne comprends pas grand chose en vous disant que c’est du bon rock. Ça au moins ça parle à tout le monde.

Avec sa voix traînante, Barns Courtney nous plonge dans l’univers de l’âge d’or du rock britannique. Son premier album, « The Attractions of Youth », est sorti en 2017. Et oui, c’est un petit nouveau de la scène. Enfin, nouveau… pas tant que ça : il a commencé à se faire connaître en 2015 lorsqu’il a sorti son premier single « Glitter and Gold ». A partir de là, il a enchaîné les succès : une de ses chansons a été incluse à la bande son de jeu vidéo FIFA 17, une autre dans un film, d’autres dans des publicités…

 

Il émane de lui un mélange entre le charme à l’anglaise et le cliché du rocker dépravé, ce qui n’est pas pour déplaire au public. Il s’est d’ailleurs produit à de nombreux festivals comme celui de BottleRock Napa Valley en Californie après avoir fait les premières parties d’artistes comme The Who ou Ed Sheeran pour ne citer qu’eux.

Mais c’est étrange, malgré tout ça je n’ai entendu personne au collège dire par exemple : « Non, je n’ai pas appris mes leçons, j’ai écouté l’album de Barns Courtney en boucle ». Je trouve cela bien dommage car c’est une excuse on ne peut plus recevable.

 

NB : Vous pouvez toujours, cher lecteur, si vous connaissez de la bonne musique injustement méconnue, laisser en commentaire de cet article les informations nécessaires pour que je puisse la sortir de l’ombre.

Pour écouter c’est par ici : http://www.barnscourtney.com/

Sources images : http://concerts.eventful.com et https://www.universalmusic.fr/artiste/18174-barns-courtney/disco

Madeline

Chaque année le F.S.E récolte de moins en moins d’adhésions.  Elles sont en chute libre depuis maintenant 2 ans.  Pourtant il y a pleins d’avantages à adhérer au F.S.E.

Premièrement,  il peut  vous donner des réductions dans certains magasins de la ville d’Ussel.

Deuxièmement , il propose de nombreux ateliers qui peuvent plaire à une grande partie d’ entre vous.

Enfin, il finance une certaine partie des concours Kangourou des mathématiques et  Big challenge en anglais. Grâce au F.S.E on peut financer et organiser de nombreuses sorties.

Donc l’an prochain on espère que vous puissiez contribuer à la vie du collège

Voici donc ci-joint la liste des ateliers proposée par le F.S.E :

• le club journal avec M. Meynard le lundi
• l’atelier dessin manga avec M. Adoh le lundi
• le défi lecture avec M.  Meynard le mardi
• l’ atelier chorale avec Mme.  Cuq le mardi
• l’atelier calligraphie japonaise avec M. Adoh le mardi
• le prix mangatitude le jeudi avec M Meynard
• l’ atelier mix calligraphie le vendredi avec M Adoh

Lucas