J’ai aimé cette histoire parce que c’est très romantique. L’amour des deux héros est très compliqué. Ayama est amoureuse d’Hirocki mais Kabuki est également amoureux de Ayama. Quant à Ayama, son coeur penche pour Hirocki.
Cette histoire étant un peu complexe, j’ai eu un peu de mal à la comprendre mais l’histoire d’amour reste captivante.
Je n’ai pas aimé le graphisme parce qu’il colle mal à l’histoire, ce qui nuit à la compréhension.
Les personnages masculins sont complexes. J’ai eu du mal à m’attacher à eux, notamment Kabuki qui a un comportement trouble. Ce qui le rend difficile à cerner. En revanche, je trouve l’héroïne touchante car elle éprouve des sentiments forts et sincères que l’on ressent au fil des pages.
Il émane de ce manga une atmosphère pénible parce que l’on aimerait que les choses se passent plus simplement.
Cette histoire tourne autour du kabuki et d’un triangle amoureux formé de Ayama, Hirocki et Kyônosuke. Les deux garçons sont amoureux d’Ayama, amie d’enfance de Hirocki et la première personne (à part sa famille) à avoir dit à Kyônosuke ce qu’elle pensait vraiment de sa façon de jouer (kabuki), sans sentiments.
Kyônosuke pense que, même s’il joue mal, le public viendra le voir car il fait partie d’une grande famille et qu’il est beau. Alors quand Ayama lui dit que ses représentations ne l’intéressent pas ça blesse sa fierté mais il ne peut s’empêcher d’être intéressé par cette fille.
Hirocki, quant à lui, met toute son énergie dans le kabuki pour tenir sa promesse envers Ayama. Même s’il est plus doué (parce qu’il travaille plus) que Kyônosuke, il a des rôles moins importants. C’est pour cela que, quand son maître lui propose la main de sa fille, il serait prêt à accepter pour porter son nom, alors qu’il aime Ayama. C’est une personne très calme.
Ayama est pauvre, elle travaille dur pour se nourrir en tant que femme de ménage ainsi qu à l’école pour conserver sa bourse. Elle est impressionnante.
J’aime beaucoup ce manga, surtout la confrontation des caractères opposés des deux garçons qui convoitent la même fille.
arsonvalsebastien on 26 janvier 2013 at 11 h 52 min
« Le chemin des fleurs » est une histoire que j’ai tout particulièrement appréciée. C’est une histoire qui tient le lecteur par son romantisme et son humour. Le thème tourne autour d’un art, le kabuki, et d’intrigues comme celle de l’enfance des personnages, les deux jeunes hommes tombés amoureux d’Ayame, une passionnée de kabuki. Le premier jeune homme est issu d’une famille relié à l’art du kabuki, il est célèbre par sa beauté mais médiocre dans ce domaine. Il se nomme Kyônosuke. Le deuxième connait depuis longtemps Ayame, il est doué au Kabuki, il se nomme Ichiya.
Le scenario est très original, les trois personnages principaux tiennent l’intrigue. Leur humour est simple mais superbe. L’histoire en elle-même est parfaite, c’est la première fois que j’entends parler de cet art, le kabuki.
Les graphismes sont bien faits, ils sont détaillés, structurés. Les bulles sont assez bien complétés pour que l’on comprenne suffisamment l’histoire.
Ayame est une étudiante brillante, qui avait un père riche, mais celui-ci a fait faillite. Dorénavant elle enchaîne des petits jobs pour vivre (et plante des radis blancs dans les parterres de fleurs municipaux). Kyônosuke issu d’une famille spécialiste du kabuki est un enfant gâté, qui ne se soucie de personne ormis lui. Il est amoureux « de son reflet » avant de rencontrer Ayame qui lui dit ses cinq vérités. Comme dit le proverbe, « il n’y a que la vérité qui blesse ! ». Le troisième personnage connait depuis l’enfance Ayame, ils sont même, apparemment, amoureux. Il s’appelle Ichiya, il est brillant dans l’art de faire du kabuki, il est d’ailleurs meilleur que Kyônosuke.
L’atmosphère général est plaisante, comique, romantique et tient en éveil tout lecteur qui lira ce manga, « Le chemin des fleurs ».
Le chemin des fleurs est plus un manga pour les filles. C’est une histoire à l’eau de rose, il faut vraiment aimer ce genre d’histoire pour lire le livre.
Le scénario est bien. Il est plein de rebondissements. Ce qui rend la lecture un peut moins ennuyeuse et plus intéressante.
Les graphisme sont pas mal. J’aime bien les décors qui sont stylés. On se laisse facilement plonger dans le Japon du 20eme siècle même si le jardin traditionnel de la maison d’un des personnage principaux de l’histoire est bien présent.
Les personnages sont bien dessinés et ont chacun une personnalité qui est super bien intégrée au manga.
Le manga nous propose une histoire d’amour à suivre…
C’est un roman plutôt romantique mais pas à mon goût.
L’histoire n’est pas du tout passionnante ni inspirante. C’est un scénario pas trop crédible à mon avis. Par contre, j’ai pas mal apprécié les dessins et les graphismes qui sont plutôt réussis.
Je les trouve merveilleux : ils sont bien détaillés.
J’ai hâte de découvrir voir la couverture du prochain tome parce que j’ai trop kiffé la présentation et la pochette de ce manga qui est plutôt bien représenté.
Ce manga est pas mal. Bien que je n’aime pas beaucoup les histoires d’amour,celle-ci est touchante… Les dessins sont bien, surtout les détails sur les vêtements. Cela m’a fait découvrir une autre facette du Japon : jusqu’à maintenant je ne connaissais pas les kabuki et je ne savais qu’il y avait ce genre de spectacle au Japon. Maintenant j’aimerais bien en voir un.
Même si le kabuki peut mettre une touche assez originale et intéressante, c’est un shojo comme les autres, et je trouve l’histoire niaise. Je pensais que ce serait un manga sur le kabuki mais c’est juste un triangle amoureux avec des personnages qui font du kabuki.
Les personnalité des personnages ne sont pas originales et reprennent les codes d’un shojo de base: «un beau gosse qui tombe amoureux d’une fille sans histoire + un rival pour le beau gosse».
Les dessins ne sont pas trop à mon goût. Je trouve que les yeux de Ayame sont trop grand (même si c’est un shojo).
Je pensais qu’un manga qui parlerait d’une tradition culturelle japonaise, comme le kabuki, me donnerait envie de mieux connaître cette tradition, mais elle n’est pas bien mise en valeur.
Assez… Inattendu !
Voir des hommes se travestir et danser, je trouve que cela a un côté plutôt comique !! (D’accord, ce n’est pas classe !…)
Le graphisme est un peu décevant au niveau des personnages -surtout les visages- mais j’adore les dessins des costumes traditionnels !!
Le scénario est assez fleur bleue ; oui, assez typique du livre pour filles. Il est vrai que le Kabuki n’est peu être pas autant mis sur le devant comme on peut le penser en voyons le synopsis ou la couverture, mais on fait avec.
La suite, je l’attends surtout pour savoir avec qui va finir Ayame (comme beaucoup peut-être ?!!), vivement le prochain tome alors !!…
Ce manga est assez bien mais ce n’est pas trop mon style de manga.
Sur la première de couverture, il y a des katanas mais dans l’histoire il n’y en a pas et comme j’aime les mangas où il y a de l’action et des combats, en voyant l’illustration j’avais espéré qu’il y aurait des combats avec ces katanas. J’ai été assez déçu. Mais sinon le scénario m’a plu mais ce n’est pas un manga que je lirais tout le temps. Mis à part les histoire de cœur, les graphismes sont très bien.
Kyônosuke est un jeune garçon pratiquant le Kabuki. Un jour en sortant d’une de ses représentations il rencontre un fille, Ayame, dont il tombe amoureux. Mais elle le rejette car elle en aime un autre. L’histoire tourne autour de ce triangle amoureux entre Kyôsuke et Ichiya tous deux amoureux d’Ayame, le suspense s’installe et donne envie de lire la suite.
Ce manga est bien mais je ne lui trouve rien d’exceptionnel, les graphismes et les personnages sont réussis mais en voyant la couverture je m’attendais à plus d’action, notamment à l’intervention des deux sabres.
Bien que je sois une fille, je n’ai pas vraiment aimé ce manga. Il n’est pas vraiment exceptionnel.
Ce manga nous permet de découvrir l’univers des Kabuki et il semble bien que ce soit la seule chose intéressante de ce Shôjo. L’histoire est plate et sans réel intérêt, malgré quelques petits suspenses qu’on peine à trouver. On retrouve aussi le traditionnel trio amoureux, devenu un classique dans les Shôjo.
Un point positif quand même, les dessins sont plutôt réussis.
Dans ce shôjo, les dessins traditionnels sont magnifiques et l’histoire sur le kabuki est originale. On découvre une autre culture. Les personnages sont touchants et Ayame est un personnage très critique : elle donne du piquant à l’histoire. Tout au long de ce premier tome, le mystère demeure mais il y en a un peu trop. Ensuite, on dirait qu’ Ayame n’a pratiquement pas d’émotions et les personnages, en général, sont très naïfs.
Malgré les dessins représentant le kabuki qui sont incroyables, le reste de l’histoire est très naïf.
J’ai bien aimé ce manga. Tout d’abord, parce qu’il parle d’un sujet peu commun dans les mangas : le kabuki. Ensuite, parce que c’est une comédie romantique. Mais la première chose qui m’a plu, ce sont les dessins : ils sont vraiment magnifiques, surtout lors des scènes où il y a du kabuki. Malheureusement, je trouve qu’il n’y a pas assez de ces scènes, ce qui est relativement dommage .
Comme l’a dit arsonvalthimote le manga n’a rien d’exceptionnel et plus d’action aurait été bienvenue.
arsonvalcollelina on 26 février 2013 at 12 h 29 min
Je n’ai pas trop apprécié ce manga car je l’ai trouvé un peu trop « mignon » au sens qu’il suffit à Ayama d’être franche avec Kyônosuke pour que celui-ci se mette à l’aimer. De plus je trouve que tous les personnages se ressemblent au niveau du graphisme et c’est dommage car je me suis facilement perdue dans l’histoire. Mais sinon dans l’ensemble, le scénario autour de l’art du kabuki est plutôt intéressant mais pas forcément très cohérent tout le temps. Je mettrais à ce manga la note de 6 sur 10 pour son incohérence et pour le physique des personnages un peu trop similaire à celui des autres.
Ce manga m’a très peu plus, je trouve qu’il fait vieux jeu. L’histoire d’amour : Hirocki et Kabuki aiment Ayama, mais le coeur d’Ayama a « choisi » Hirocki. Kabuki le riche, célèbre acteur de théatre, alors qu’il n’y met aucune volonté et aucun amour, adoré de toutes les filles (ou presque), jeune homme populaire et capricieux à qui tout est accordé, exepté l’attention de son père et l’amour d’Ayama.
A l’opposé se trouve Hirocki, ami d’enfance d’Ayama, qui, lui, met tout son coeur dans l’art du kabuki qui et en quelque sorte son rêve. Il espère pouvoir devenir lui aussi un acteur de kabuki renommé mais cet art est réservé aux personnes de classes riches.
Leur amour pour Ayama est l’unique chose qu’ils ont en commun.
De plus, le graphisme est basique et habituel (non original). La couverture et ses couleurs ne donnent à aucun moment envie de le lire et le titre n’aide pas lui non plus.
Je termine quand même sur une note positive: ce manga a permis à moi et à d’autres de découvrir le kabuki (théatre pratiqué au Japon par des hommes qui se travestissent).
Avoue Romane qu’il y a quand même des moments où on rigole beaucoup! car justement le fait que le héros qui a tout dès qu’il le veut se fasse rejeter lui fait comprendre la vie … Enfin je sais pas si tu comprends!
J’ai beacoup aimé ce manga ! Il est très amusant, le graphisme est assez joli et le scénario se tient.
Le seul point qui m’a déçue : la couverture qui n’est pas vraiment « raccord » avec l’histoire (même si elle est très belle ! ). En la voyant, on s’attend a plus d’action et à des passages plus approfondis sur le kabuki.
L’histoire est un shojo assez classique, mais le kabuki tisse une toile de fond originale.
J’attend donc la suite avec impatience !
Une romance comme d’autres, un trio amoureux tournant autour du kabuki, un sujet tout de même intéressant^^
Je m’attendais à mieux, les dessin sont simples. Je ne m’attarderais pas sur ce manga que je ne trouve pas exceptionnel mais qui pourrait sûrement plaire a certain….
Je trouve que c’est un bon shojo et le fait qu’il y ai du kabuki rend l’histoire plus originale et moins rébarbative. On sent dans le premier tome que l’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît. En effet ce n’est pas une banale histoire de triangle amoureux où l’amour entre deux personne est impossible. On voit avec l’apparition d’une mystérieuse dame à laquelle Ichiya est lié que l’histoire peut avoir plein de rebondissements. De plus les dessins sont bons et l’histoire est agréable a lire. Les textes et les expressions des personnages sont marrantes.
Je trouve donc que c’est un bon shojo et j’ai hâte de lire la suite.
« Le chemin des fleurs » est un shojo. Kyônosuke est issu d’une grand famille de kabuki, le théâtre japonais, mais il ne met aucune motivation dans son travail. Il est arrogant et il a une grande opinion de lui même : « Les types mieux que moi, c’est des dieux ! » Je l’ai trouvé quelquefois horripilant. Mais son évolution est intéressante.
Bien que tout le monde soit à ses pieds, une jeune fille lui tient tête : » Tu étais satisfait de ta prestation, toi ? C’était vraiment minable… » Bien sur, il tombe amoureux d’elle. Là encore, elle ne cède pas à ses avances : « J’en aime un autre ». L’histoire d’amour est assez banale, selon moi. Mais à partir du moment où Kyônosuke découvre que son rival, pourtant sans aucun lien avec le théâtre traditionnel japonais, brille par son talent dans le domaine du kabuki, il va tout faire pour s’améliorer et va enfin mettre du cœur dans son jeu. Il va essayer de conquérir sa bien-aimée.
On s’attache progressivement au personnage lorsqu’on découvre son passé et les sentiments qui l’habitent.
Je pense que l’auteur n’a pas suffisamment insisté sur le théâtre japonais : le manga présente finalement une histoire d’amour habituelle et classique. Je m’attendais pourtant à découvrir une planète inconnue. Une reconstitution historique ou traditionnelle du kabuki, des représentations, des explications techniques… J’ai été déçue et je n’ai pas envie de lire la suite.
Moi je l’ai trouvé assez bien. L’idée du kabuki est originale et l’histoire d’amour est bien fondée. Je ne connaissais pas le kabuki avant ce manga et j’avoue que ça a piqué ma curiosité.
Les dessins sont un peu étranges par contre… Enfin, on passe bien vite à autre chose. Ce shojo est assez poétique aussi. Tous les termes qu’on retrouve dans ce manga nous instruit, c’est sympa.
Un manga didactique, poétique, et avec une histoire d’amour simple mais agréable à lire.
Le Chemin des Fleurs parle d’un jeune homme qui pratique le Kabuki (théâtre japonnais traditionnel). Un jour, il rencontre une jeune fille, Ayame, dont il tombe amoureux. Il va essayer différentes solutions pour se rapprocher d’elle, comme lui acheter une place pour aller voir un spectacle de Kabuki.
Le scénario est très bien choisi car l’idée est originale.
Les personnages sont intéressants. D’un côté Kyônosuke, un garçons spécialiste dans le Kabuki, et Ayame une fan de Kabuki.
Les dessins son bien faits.
Ce manga est original mais le scénario se finit trop directement.
Je le conseillerais pour tout le monde car, il est facile à comprendre.
L’histoire est assez bien mais alors c’est ennuyeux à souhait. On est plongé dans l’histoire d’amour qui tiraille 2 jeunes hommes et une jeune fille, un vrai Shojo pur et dur. Néanmoins les graphismes rattrapent un peu le tout malgré des personnages pas très attachants et très nian-nian.
J’ai bien aimé ce manga. L’histoire est originale, je n’avais encore jamais lu de manga dont le thème est le Kabuki. Je trouve le scénario très bien.
Bien que Kyônosuke soit le descendant d’une prestigieuse école de Kabuki, il a perdu sa passion à cause de son père qui lui en demandait toujours plus. J’aime beaucoup le caractère de ce personnage, plus complexe que ce que l’on pourrait penser au premier abord.
Le trio amoureux est aussi intéressant. Ayame est très drôle.
De plus les graphismes de ce manga son très agréables à regarder.
Donc j’ai bien aimé lire ce manga et je le conseille à ceux qui cherchent une histoire originale.
Un manga sur le kabuki, voilà qui est intéressant ! Un manga avec un triangle amoureux ! Que c’est innovant ! (La première phrase est sérieuse, la dernière non…!)
Les dessins traditionnels sont superbes, mais ne valent pas Bride Stories (Oh qu’ils étaient beaux !).
Après, les personnages sont tous…. Touchants & naïfs. Trop naïfs en fait. Ayame donne l’impression d’être sans coeur, et elle a un côté critique qui permet de donner une touche pimentée à cette histoire très mystérieuse…
Trop mystérieuse…
Mais bon, les dessins compensent un peu le scénario, mais pas assez.
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J’ai aimé cette histoire parce que c’est très romantique. L’amour des deux héros est très compliqué. Ayama est amoureuse d’Hirocki mais Kabuki est également amoureux de Ayama. Quant à Ayama, son coeur penche pour Hirocki.
Cette histoire étant un peu complexe, j’ai eu un peu de mal à la comprendre mais l’histoire d’amour reste captivante.
Je n’ai pas aimé le graphisme parce qu’il colle mal à l’histoire, ce qui nuit à la compréhension.
Les personnages masculins sont complexes. J’ai eu du mal à m’attacher à eux, notamment Kabuki qui a un comportement trouble. Ce qui le rend difficile à cerner. En revanche, je trouve l’héroïne touchante car elle éprouve des sentiments forts et sincères que l’on ressent au fil des pages.
Il émane de ce manga une atmosphère pénible parce que l’on aimerait que les choses se passent plus simplement.
Cette histoire tourne autour du kabuki et d’un triangle amoureux formé de Ayama, Hirocki et Kyônosuke. Les deux garçons sont amoureux d’Ayama, amie d’enfance de Hirocki et la première personne (à part sa famille) à avoir dit à Kyônosuke ce qu’elle pensait vraiment de sa façon de jouer (kabuki), sans sentiments.
Kyônosuke pense que, même s’il joue mal, le public viendra le voir car il fait partie d’une grande famille et qu’il est beau. Alors quand Ayama lui dit que ses représentations ne l’intéressent pas ça blesse sa fierté mais il ne peut s’empêcher d’être intéressé par cette fille.
Hirocki, quant à lui, met toute son énergie dans le kabuki pour tenir sa promesse envers Ayama. Même s’il est plus doué (parce qu’il travaille plus) que Kyônosuke, il a des rôles moins importants. C’est pour cela que, quand son maître lui propose la main de sa fille, il serait prêt à accepter pour porter son nom, alors qu’il aime Ayama. C’est une personne très calme.
Ayama est pauvre, elle travaille dur pour se nourrir en tant que femme de ménage ainsi qu à l’école pour conserver sa bourse. Elle est impressionnante.
J’aime beaucoup ce manga, surtout la confrontation des caractères opposés des deux garçons qui convoitent la même fille.
« Le chemin des fleurs » est une histoire que j’ai tout particulièrement appréciée. C’est une histoire qui tient le lecteur par son romantisme et son humour. Le thème tourne autour d’un art, le kabuki, et d’intrigues comme celle de l’enfance des personnages, les deux jeunes hommes tombés amoureux d’Ayame, une passionnée de kabuki. Le premier jeune homme est issu d’une famille relié à l’art du kabuki, il est célèbre par sa beauté mais médiocre dans ce domaine. Il se nomme Kyônosuke. Le deuxième connait depuis longtemps Ayame, il est doué au Kabuki, il se nomme Ichiya.
Le scenario est très original, les trois personnages principaux tiennent l’intrigue. Leur humour est simple mais superbe. L’histoire en elle-même est parfaite, c’est la première fois que j’entends parler de cet art, le kabuki.
Les graphismes sont bien faits, ils sont détaillés, structurés. Les bulles sont assez bien complétés pour que l’on comprenne suffisamment l’histoire.
Ayame est une étudiante brillante, qui avait un père riche, mais celui-ci a fait faillite. Dorénavant elle enchaîne des petits jobs pour vivre (et plante des radis blancs dans les parterres de fleurs municipaux). Kyônosuke issu d’une famille spécialiste du kabuki est un enfant gâté, qui ne se soucie de personne ormis lui. Il est amoureux « de son reflet » avant de rencontrer Ayame qui lui dit ses cinq vérités. Comme dit le proverbe, « il n’y a que la vérité qui blesse ! ». Le troisième personnage connait depuis l’enfance Ayame, ils sont même, apparemment, amoureux. Il s’appelle Ichiya, il est brillant dans l’art de faire du kabuki, il est d’ailleurs meilleur que Kyônosuke.
L’atmosphère général est plaisante, comique, romantique et tient en éveil tout lecteur qui lira ce manga, « Le chemin des fleurs ».
Le chemin des fleurs est plus un manga pour les filles. C’est une histoire à l’eau de rose, il faut vraiment aimer ce genre d’histoire pour lire le livre.
Le scénario est bien. Il est plein de rebondissements. Ce qui rend la lecture un peut moins ennuyeuse et plus intéressante.
Les graphisme sont pas mal. J’aime bien les décors qui sont stylés. On se laisse facilement plonger dans le Japon du 20eme siècle même si le jardin traditionnel de la maison d’un des personnage principaux de l’histoire est bien présent.
Les personnages sont bien dessinés et ont chacun une personnalité qui est super bien intégrée au manga.
Le manga nous propose une histoire d’amour à suivre…
C’est un roman plutôt romantique mais pas à mon goût.
L’histoire n’est pas du tout passionnante ni inspirante. C’est un scénario pas trop crédible à mon avis. Par contre, j’ai pas mal apprécié les dessins et les graphismes qui sont plutôt réussis.
Je les trouve merveilleux : ils sont bien détaillés.
J’ai hâte de découvrir voir la couverture du prochain tome parce que j’ai trop kiffé la présentation et la pochette de ce manga qui est plutôt bien représenté.
Ce manga est pas mal. Bien que je n’aime pas beaucoup les histoires d’amour,celle-ci est touchante… Les dessins sont bien, surtout les détails sur les vêtements. Cela m’a fait découvrir une autre facette du Japon : jusqu’à maintenant je ne connaissais pas les kabuki et je ne savais qu’il y avait ce genre de spectacle au Japon. Maintenant j’aimerais bien en voir un.
Même si le kabuki peut mettre une touche assez originale et intéressante, c’est un shojo comme les autres, et je trouve l’histoire niaise. Je pensais que ce serait un manga sur le kabuki mais c’est juste un triangle amoureux avec des personnages qui font du kabuki.
Les personnalité des personnages ne sont pas originales et reprennent les codes d’un shojo de base: «un beau gosse qui tombe amoureux d’une fille sans histoire + un rival pour le beau gosse».
Les dessins ne sont pas trop à mon goût. Je trouve que les yeux de Ayame sont trop grand (même si c’est un shojo).
Je pensais qu’un manga qui parlerait d’une tradition culturelle japonaise, comme le kabuki, me donnerait envie de mieux connaître cette tradition, mais elle n’est pas bien mise en valeur.
Assez… Inattendu !
Voir des hommes se travestir et danser, je trouve que cela a un côté plutôt comique !! (D’accord, ce n’est pas classe !…)
Le graphisme est un peu décevant au niveau des personnages -surtout les visages- mais j’adore les dessins des costumes traditionnels !!
Le scénario est assez fleur bleue ; oui, assez typique du livre pour filles. Il est vrai que le Kabuki n’est peu être pas autant mis sur le devant comme on peut le penser en voyons le synopsis ou la couverture, mais on fait avec.
La suite, je l’attends surtout pour savoir avec qui va finir Ayame (comme beaucoup peut-être ?!!), vivement le prochain tome alors !!…
Ce manga est assez bien mais ce n’est pas trop mon style de manga.
Sur la première de couverture, il y a des katanas mais dans l’histoire il n’y en a pas et comme j’aime les mangas où il y a de l’action et des combats, en voyant l’illustration j’avais espéré qu’il y aurait des combats avec ces katanas. J’ai été assez déçu. Mais sinon le scénario m’a plu mais ce n’est pas un manga que je lirais tout le temps. Mis à part les histoire de cœur, les graphismes sont très bien.
Kyônosuke est un jeune garçon pratiquant le Kabuki. Un jour en sortant d’une de ses représentations il rencontre un fille, Ayame, dont il tombe amoureux. Mais elle le rejette car elle en aime un autre. L’histoire tourne autour de ce triangle amoureux entre Kyôsuke et Ichiya tous deux amoureux d’Ayame, le suspense s’installe et donne envie de lire la suite.
Ce manga est bien mais je ne lui trouve rien d’exceptionnel, les graphismes et les personnages sont réussis mais en voyant la couverture je m’attendais à plus d’action, notamment à l’intervention des deux sabres.
Bien que je sois une fille, je n’ai pas vraiment aimé ce manga. Il n’est pas vraiment exceptionnel.
Ce manga nous permet de découvrir l’univers des Kabuki et il semble bien que ce soit la seule chose intéressante de ce Shôjo. L’histoire est plate et sans réel intérêt, malgré quelques petits suspenses qu’on peine à trouver. On retrouve aussi le traditionnel trio amoureux, devenu un classique dans les Shôjo.
Un point positif quand même, les dessins sont plutôt réussis.
Dans ce shôjo, les dessins traditionnels sont magnifiques et l’histoire sur le kabuki est originale. On découvre une autre culture. Les personnages sont touchants et Ayame est un personnage très critique : elle donne du piquant à l’histoire. Tout au long de ce premier tome, le mystère demeure mais il y en a un peu trop. Ensuite, on dirait qu’ Ayame n’a pratiquement pas d’émotions et les personnages, en général, sont très naïfs.
Malgré les dessins représentant le kabuki qui sont incroyables, le reste de l’histoire est très naïf.
J’ai bien aimé ce manga. Tout d’abord, parce qu’il parle d’un sujet peu commun dans les mangas : le kabuki. Ensuite, parce que c’est une comédie romantique. Mais la première chose qui m’a plu, ce sont les dessins : ils sont vraiment magnifiques, surtout lors des scènes où il y a du kabuki. Malheureusement, je trouve qu’il n’y a pas assez de ces scènes, ce qui est relativement dommage .
Comme l’a dit arsonvalthimote le manga n’a rien d’exceptionnel et plus d’action aurait été bienvenue.
Je n’ai pas trop apprécié ce manga car je l’ai trouvé un peu trop « mignon » au sens qu’il suffit à Ayama d’être franche avec Kyônosuke pour que celui-ci se mette à l’aimer. De plus je trouve que tous les personnages se ressemblent au niveau du graphisme et c’est dommage car je me suis facilement perdue dans l’histoire. Mais sinon dans l’ensemble, le scénario autour de l’art du kabuki est plutôt intéressant mais pas forcément très cohérent tout le temps. Je mettrais à ce manga la note de 6 sur 10 pour son incohérence et pour le physique des personnages un peu trop similaire à celui des autres.
Ce manga m’a très peu plus, je trouve qu’il fait vieux jeu. L’histoire d’amour : Hirocki et Kabuki aiment Ayama, mais le coeur d’Ayama a « choisi » Hirocki. Kabuki le riche, célèbre acteur de théatre, alors qu’il n’y met aucune volonté et aucun amour, adoré de toutes les filles (ou presque), jeune homme populaire et capricieux à qui tout est accordé, exepté l’attention de son père et l’amour d’Ayama.
A l’opposé se trouve Hirocki, ami d’enfance d’Ayama, qui, lui, met tout son coeur dans l’art du kabuki qui et en quelque sorte son rêve. Il espère pouvoir devenir lui aussi un acteur de kabuki renommé mais cet art est réservé aux personnes de classes riches.
Leur amour pour Ayama est l’unique chose qu’ils ont en commun.
De plus, le graphisme est basique et habituel (non original). La couverture et ses couleurs ne donnent à aucun moment envie de le lire et le titre n’aide pas lui non plus.
Je termine quand même sur une note positive: ce manga a permis à moi et à d’autres de découvrir le kabuki (théatre pratiqué au Japon par des hommes qui se travestissent).
Avoue Romane qu’il y a quand même des moments où on rigole beaucoup! car justement le fait que le héros qui a tout dès qu’il le veut se fasse rejeter lui fait comprendre la vie … Enfin je sais pas si tu comprends!
J’ai beacoup aimé ce manga ! Il est très amusant, le graphisme est assez joli et le scénario se tient.
Le seul point qui m’a déçue : la couverture qui n’est pas vraiment « raccord » avec l’histoire (même si elle est très belle ! ). En la voyant, on s’attend a plus d’action et à des passages plus approfondis sur le kabuki.
L’histoire est un shojo assez classique, mais le kabuki tisse une toile de fond originale.
J’attend donc la suite avec impatience !
Une romance comme d’autres, un trio amoureux tournant autour du kabuki, un sujet tout de même intéressant^^
Je m’attendais à mieux, les dessin sont simples. Je ne m’attarderais pas sur ce manga que je ne trouve pas exceptionnel mais qui pourrait sûrement plaire a certain….
Je trouve que c’est un bon shojo et le fait qu’il y ai du kabuki rend l’histoire plus originale et moins rébarbative. On sent dans le premier tome que l’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît. En effet ce n’est pas une banale histoire de triangle amoureux où l’amour entre deux personne est impossible. On voit avec l’apparition d’une mystérieuse dame à laquelle Ichiya est lié que l’histoire peut avoir plein de rebondissements. De plus les dessins sont bons et l’histoire est agréable a lire. Les textes et les expressions des personnages sont marrantes.
Je trouve donc que c’est un bon shojo et j’ai hâte de lire la suite.
« Le chemin des fleurs » est un shojo. Kyônosuke est issu d’une grand famille de kabuki, le théâtre japonais, mais il ne met aucune motivation dans son travail. Il est arrogant et il a une grande opinion de lui même : « Les types mieux que moi, c’est des dieux ! » Je l’ai trouvé quelquefois horripilant. Mais son évolution est intéressante.
Bien que tout le monde soit à ses pieds, une jeune fille lui tient tête : » Tu étais satisfait de ta prestation, toi ? C’était vraiment minable… » Bien sur, il tombe amoureux d’elle. Là encore, elle ne cède pas à ses avances : « J’en aime un autre ». L’histoire d’amour est assez banale, selon moi. Mais à partir du moment où Kyônosuke découvre que son rival, pourtant sans aucun lien avec le théâtre traditionnel japonais, brille par son talent dans le domaine du kabuki, il va tout faire pour s’améliorer et va enfin mettre du cœur dans son jeu. Il va essayer de conquérir sa bien-aimée.
On s’attache progressivement au personnage lorsqu’on découvre son passé et les sentiments qui l’habitent.
Je pense que l’auteur n’a pas suffisamment insisté sur le théâtre japonais : le manga présente finalement une histoire d’amour habituelle et classique. Je m’attendais pourtant à découvrir une planète inconnue. Une reconstitution historique ou traditionnelle du kabuki, des représentations, des explications techniques… J’ai été déçue et je n’ai pas envie de lire la suite.
Moi je l’ai trouvé assez bien. L’idée du kabuki est originale et l’histoire d’amour est bien fondée. Je ne connaissais pas le kabuki avant ce manga et j’avoue que ça a piqué ma curiosité.
Les dessins sont un peu étranges par contre… Enfin, on passe bien vite à autre chose. Ce shojo est assez poétique aussi. Tous les termes qu’on retrouve dans ce manga nous instruit, c’est sympa.
Un manga didactique, poétique, et avec une histoire d’amour simple mais agréable à lire.
Le Chemin des Fleurs parle d’un jeune homme qui pratique le Kabuki (théâtre japonnais traditionnel). Un jour, il rencontre une jeune fille, Ayame, dont il tombe amoureux. Il va essayer différentes solutions pour se rapprocher d’elle, comme lui acheter une place pour aller voir un spectacle de Kabuki.
Le scénario est très bien choisi car l’idée est originale.
Les personnages sont intéressants. D’un côté Kyônosuke, un garçons spécialiste dans le Kabuki, et Ayame une fan de Kabuki.
Les dessins son bien faits.
Ce manga est original mais le scénario se finit trop directement.
Je le conseillerais pour tout le monde car, il est facile à comprendre.
L’histoire est assez bien mais alors c’est ennuyeux à souhait. On est plongé dans l’histoire d’amour qui tiraille 2 jeunes hommes et une jeune fille, un vrai Shojo pur et dur. Néanmoins les graphismes rattrapent un peu le tout malgré des personnages pas très attachants et très nian-nian.
J’ai bien aimé ce manga. L’histoire est originale, je n’avais encore jamais lu de manga dont le thème est le Kabuki. Je trouve le scénario très bien.
Bien que Kyônosuke soit le descendant d’une prestigieuse école de Kabuki, il a perdu sa passion à cause de son père qui lui en demandait toujours plus. J’aime beaucoup le caractère de ce personnage, plus complexe que ce que l’on pourrait penser au premier abord.
Le trio amoureux est aussi intéressant. Ayame est très drôle.
De plus les graphismes de ce manga son très agréables à regarder.
Donc j’ai bien aimé lire ce manga et je le conseille à ceux qui cherchent une histoire originale.
Un manga sur le kabuki, voilà qui est intéressant ! Un manga avec un triangle amoureux ! Que c’est innovant ! (La première phrase est sérieuse, la dernière non…!)
Les dessins traditionnels sont superbes, mais ne valent pas Bride Stories (Oh qu’ils étaient beaux !).
Après, les personnages sont tous…. Touchants & naïfs. Trop naïfs en fait. Ayame donne l’impression d’être sans coeur, et elle a un côté critique qui permet de donner une touche pimentée à cette histoire très mystérieuse…
Trop mystérieuse…
Mais bon, les dessins compensent un peu le scénario, mais pas assez.