Seishu Handa, étoile montante de la calligraphie japonaise, collectionne les prix d’excellence pour son travail. Beau et jeune, mais surtout d’une arrogance sans bornes, il met sa carrière en péril le jour où, excédé, il assomme un éminent conservateur de musée qui juge son travail “formaté et sans saveur”… Sanction immédiate pour ce coup de sang : Seishu est puni et contraint d’aller expier son crime sur une petite île, au fin fond de la campagne nippone !
Le jeune citadin, qui espérait au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme, ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.
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Barakamon est un manga dans lequel l’auteur a voulu faire part de ses origines.
Ce manga parle d’un prodige de la calligraphie »Seishu Handa »,Collectionnant les compliments et les prix d’excellence jusqu’au jour ou il met sa carrière en péril en assommant un conservateur du musée qui jugeait sont travail »formaté est sans saveur ». Grâce à ceci Seishu doit expier son crime sur une petite île ou il fera la connaissance de plusieurs personnes qui changeront son quotidien.
Un manga que je recommande grandement.
Enfin un manga qui n’est pas un coup de cœur ! Je l’attendais assez impatiemment ! Ce manga est dans mon CDI depuis l’an dernier, et je n’ai jamais eu envie de le lire. Franchement, le thème ne m’inspirait pas, et ça avait l’air plus ennuyant qu’autre chose. Mais ce n’est pas parce qu’il n’est pas un coup de cœur que je ne l’ai pas apprécié !
J’ai beaucoup aimé les personnages, particulièrement Naru , avec son surplus d’énergie et son côté sans gêne. Néanmoins, elle est vite devenue lourde et énervante, à toujours débarquer au moment où on ne le souhaite pas. Mais sans cette attitude, il n’y aurait pas de manga. Après, Handa m’a beaucoup plu aussi, le seul bémol, est qu’il ressemble physiquement à tous les héros de manga de ce genre (Shônen qui tire vers la comédie.). Je veux dire par là, qu’il est canon, un peu bizarre, et qu’il réagit de manière très prévisible à chaque fois. Après, les autres personnages m’ont exaspérée avec leur côté gamin bien énervant.
L’histoire reste tout de même intéressante, avec un sujet peu, voire pas du tout, abordé : la calligraphie japonaise. Je savais que la calligraphie était un art à part entière au pays du soleil levant, mais je ne me suis jamais demandée si ce sujet était abordé. Et au final, j’en suis arrivée à la conclusion que tous les sujets pouvaient être abordés dans les mangas de manière à le rendre intéressant ! Bref, le thème principal de ce manga est intéressant, mais après, les histoires à côté ne sont absolument pas attrayantes. Comme dit plus haut, le côté « Coucou je sors du sol » ou « Heya, tu savais qu’il y avait un trou dans ton mur ? » de la gamine m’a vite énervée. Après, j’ai ri à certains moments, particulièrement avec la pancarte « SM » (fin de l’acte 4).
Après, les graphismes sont chouettes. J’ai beaucoup aimé le gars blond (Hiroshi) qui a la classe. (Moins que Yûji dans Bye bye, my Brother , mais quand même). Le physique de Handa ressemble étrangement à un gars d’un manga Yaoi que j’apprécie (Junjô Egoist … Je les aiiiiime ~). Après, rien d’exceptionnel vis-à-vis de ça… Les calligraphies de Handa sont cool, mais franchement ça ne m’a pas plus plu que ça… Ce que j’ai vraiment, mais vraiment détesté, c’est le surplus de textes sur certaines pages, comme le passage où il rencontre Miwa et Tama , ou encore parfois, quand Handa crie vraiment trop…
Bref, ce manga m’a, au final, pas plu des masses, vu que je peine à trouver des points positifs… Mais bon, je m’attends au pire…
Barakamon m’a bien plu, la simplicité de la couverture m’a attirée même si je n’ai pas tellement accroché à la quatrième de couverture, l’histoire ne me paraissait pas extraordinaire et pourtant, lorsque que je l’ai ouvert, le graphisme et le commencement de l’histoire m’ont tout de suite intriguée et j’ai tout de suite voulu savoir la suite de l’histoire. Le personnage principal, Seishu Handa, est attachant même s’il est un poil prétentieux, dés le commencement de l’histoire il nous paraît triste et très solitaire, il va faire la connaissance d’une petite fille qui n’a qu’un seul but : lui pourrir la vie ! Elle apporte une pointe d’humour et elle va devenir sa première amie. Au fur et à mesure que l’histoire avançait, d’autres personnages se sont ajoutés, plus attachants les uns que les autres, Seishu va enfin se faire des amis, avec qui, il va s’amuser et qui vont lui permettre de moins se renfermer sur lui-même et qui vont peut-être l’aider à atteindre son but ou alors d’en changer !
Bref, j’ai passé un bon moment en le lisant et je l’ai beaucoup aimé, je le recommande ! ^.^
J’ai beaucoup apprécié ce manga avec la petite Naru qui sort de partout et qui ne fait que gêner Seishû.
J’aime beaucoup la couverture car il y a de la calligraphie et Seishû est un maitre calligraphe.
Le graphisme de Barakamon est nettement mieux que Bye bye, My brother.
très bon manga, on peut dire que le héros est maltraité. Pour commencer on l’ insulte durant l’ exposition. Ensuite il doit déménager. Enfin une petite chipie vient chez lui grâce à des trous dans les murs et dans le parquet. Il n’a vraiment pas de chance ! Beaucoup d’humour avec la fillette et le thème de la calligraphie est aussi très original et nous permet d’apprendre des choses sur la culture japonaise.
Ce manga a assez d’humour, pas trop de sérieux.Il se caractérise par de beaux paysages .
C’est l’histoire d’un étudiant, jeune et beau garçon, Seishu Handa dont la passion pour la calligraphie japonaise lui a permis d’obtenir des prix pour son lycée.
Un jour, il assomme un conservateur qui juge son travail » formaté et sans saveur”.
A cause de cela, le jeune héros de ce manga est puni et expulsé dans une petite île au fin fond de la campagne.
Il espère au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme mais, entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, il devient de moins en moins patient …
J’ai aimé ce manga pour son humour et ses personnages qui relèvent bien de ce registre comique .
Le graphisme de ce manga m’a plu :les expressions des personnages sont bien rendues.
Manga étrange, quasi marginal, mais super bien. Tout comme « Silver Spoon », « Barakamon » est un manga au sujet peu abordé par les mangaka. Le scénario est bien, le graphisme est parfait, c’est un vrai dessin manga, un peu comme « Death Note »ou « Bakuman ». Seishu est vraiment prétentieux tandis que les habitants du village sont tout le contraire : simples et loin d’être prétentieux. L’atmosphère est un peu bizarre dans le sens où le comportement de Seishu change très facilement envers la petite Naru qui s’invite très souvent chez « Maître Handa ». Mais bon c’est quand même un super manga.
Je suis tout à fait d’accord avec toi sur le fait que c’est un manga dont le sujet est très peu abordé et je trouve que ça change !!!! Je commence à en avoir assez des mangas qui sont tous sur le même sujet… Enfin un peu de changement ça fait du bien !
L’histoire se déroule de nos jours, sur l’Archipel de Gotô, dans le département de Nagasaki (Japon).
Seishû Handa est un Maître de la calligraphie japonaise. Mais un jour, il commet un acte irréparable qui lui vaut d’être envoyé sur l’Archipel de Gotô. C’est un nouveau départ pour Seishû, mais aussi une occasion d’améliorer sa calligraphie. Ce qu’il ne savait pas, c’est qu’il allait faire la connaissance de Naru, une petite fille casse-cou et haute en couleur! Désormais, sa vie va prendre une tournure toute différente, et Naru va parvenir à lui faire découvrir et à lui faire apprécier les bonheurs simples de la vie à la campagne. La vie de Seishû va changer à tout jamais…
L’histoire poétique et entraînante est vraiment passionnante! Ce manga est un véritable chef-d’oeuvre, sans parler du graphisme à couper le souffle! Chaque dessin est emplit de douceur et de finesse , c’est un véritable plaisir pour les yeux!
Il y a 2 personnages principaux:
*Seihû Handa: Maître de la calligraphie japonaise, il est envoyé sur l’Archipel de Gotô après avoir commis une faute grave. Cela va lui permettre d’améliorer sa calligraphie et d’ouvrir son cœur aux autres.
*Naru: petite fille de l’Archipel de Gotô qui va se lier d’amitié avec Seishû. Elle va lui redonner le goût de vivre… et va lui faire vivre un enfer!
J’ai vraiment adoré le personnage de Naru! Cette petite fille est vraiment pétillante et incroyablement futée! Elle a plus d’un tour dans son sac pour surprendre Seishû, et chaque fois j’ai vraiment été surprise par ses capacités! C’est une petite fille qui a vraiment du cœur et qui n’hésite pas à venir en aide aux autres et à leur remonter le moral: Naru est une altruiste dans l’âme!
Je conseille ce manga à tous les sentimentaux qui adorent les amitiés incroyables. Les fans d’humour y trouveront aussi leur bonheur.
Je viens de prendre ce manga, je suis fan des dessins ! Et vos commentaires me donne envie de le lire ! C’est sûr qu’il a l’air différent des autres mangas, que j’ai pus lire avant !
J’ai lu le manga « Barakamon », le texte est bien écrit et il est drôle. J’ai apprécié la qualité des dessins . Mon personnage préféré dans ce manga est « Naru », je l’aime bien parce qu’elle est drôle et « pénible » à la fois. Ce que j’aime dans ce personnage qui m’a touché , c’est son réel courage car elle ose tenir tête au maître Handa .
J’ai lu Barakamon et je trouve ce manga génial, le scénario est super drôle, les graphismes sont bien faits et l’idée de mettre en première page de la calligraphie est une bonne idée. Les portraits des personnages sont époustouflants surtout la petite Naru ; c’est ma préférée car elle est comique et colle souvent Handa. Ce manga est pour moi un coup de cœur car il est divertissant.
Ce manga aborde un sujet que je n’avais encore jamais pu lire dans un manga et je suis contente de pouvoir le découvrir ! Les dessins sont juste incroyable et l’auteur(e) fait énormément de clin d’oeil à d’autres mangas déjà exisant et ça je trouve ça génial!
Personnellement je n’ai pas aimé. L’histoire traîne en longueur, et le scénario n’est pas accrocheur (à mon goût).
Même si les graphismes sont d’une fluidité étonnante, personnellement, je n’ai pas aimé.
Barakamon
Je pense que ce manga n’ est pas trop mal . Il a un défaut pour moi ce sont les répétitions de certains mots , je ne comprends pas leurs intérêts .Sinon , C’est une écriture bien visible et agréable. Concernant ,l’histoire, j’ai bien aimé la complicité entre une petite fille de 5, 6 ans et d’ un jeune homme de 23ans . J’ai trouvé cette amitié touchante. De plus , les images sont très belles. Je conseille ce manga car il est facile à lire .
Jonathan
Jeune prodige de la calligraphie japonaise, Seishù Handa est un garçon prétentieux, arrogant, sûr de lui et un brin susceptible. A la suite d’une critique virulente sur la qualité de ses œuvres, Seishù s’en prend directement au conservateur du musée en lui assenant un violent coup de poing. Geste stupide et irréfléchi qui l’oblige à l’exil dans un petit village isolé au fin fond du japon. Profitant de cette situation inattendue, il décide de se consacrer exclusivement à son art, mais c’est sans compter sur Naru, une petite chipie du village toute excitée par la venue de ce nouvel habitant. Peu à peu, Seishù va voir sa vie se transformer grâce à ses habitants à l’enthousiasme débordant.
Très drôle ,surtout quand la petite trouve toujours un moyen de rentrer dans la maison et qu’ en quelques minutes elle trouve son style de calligraphie alors que Seishu n’a pas encore trouvé le sien.
Barakamon est l’histoire d’un jeune calligraphe très doué qui, lors de la remise de son prix, va frapper le directeur de ce concours car il lui a dit que ses calligraphes manquaient de sentiments. Ce manga parle donc de ce jeune homme qui part sur une petite île pour se reposer. Il va faire pleins de rencontres. Cette histoire est intéressante et je l’ai beaucoup aimé. C’est drôle et les personnages, tant ils sont différents, forment des situations inattendues. Les dessins sont très beaux, surtout ceux des personnages. Cette histoire montre l’évolution du calligraphe sur cette île qu’il ne connaît pas. C’est un manga débordant d’émotions qui met de bonne humeur !
Ohohoho !! Quel super manga nous avons là !! Ohohohohoho… Humhum, pardon je m’égare…
Voici donc Barakamon. Alors, je ne sais pas vous, mais moi rien qu’au nom je pensais que ça parlait d’architecture (Baraka… Baraque… il ne faut pas chercher plus loin). Mais pas du tout ! Haha ! C’est une expression japonaise du coin où se passe l’histoire signifiant « avoir la pêche » ! Ça m’a bien amusée.
La couverture m’a assez séduite. En effet, la comparaison entre Naru et Maître Handa est adorable et très contrastante, on sent qu’il va y avoir de l’humour dans ce manga ! Et effectivement le paradoxe entre la petite Naru hyperactive et ce prétentieux, égocentrique et insupportable Seishu Handa.
Ah et puis, le principe que l’auteur, Satsuki Toshino (joli nom au passage), parle de ses origines à travers l’histoire inventée de ce manga est assez appréciable, ça rajoute un petit côté histoire vraie plutôt cool !
Donc, une fois arrivée chez moi, je me suis posée sur mon canapé et j’ai dévoré ce manga en précisément 34 minutes (Oui je me suis amusée à me chronométrer ! Où est le problème ?). C’est très agréable à lire, franchement. J’ai adoré ces 34 minutes de mon existence ! C’est bourré de positif partout ! Et pour une fois qu’il n’y a pas une seule histoire d’amour ou de fan service, j’aime !! (oui je sais, dans Bye Bye My Brother et l’Enquête du Limier y en a pas non plus, et c’est justement pour ça que j’ai adoré ces 2 mangas aussi !)
Donc, pour moi le scénario m’allait parfaitement et à tout pour séduire. En plus, la calligraphie c’est cool ! Et j’ai adoré le moment où Seishu s’amuse en mettant de l’encre partout. Le thème de la calligraphie est super bien abordé, bravo à l’auteur ! Pour moi, ce manga est avant tout positif, avec une histoire tranquille et bien montée. Il y a une morale superbe dans ce manga je trouve.
Petit résumé rapide à la Constance : Un type doué en calligraphie a frappé un juriste d’un concours qui lui a dit que ses calligraphies étaient fades, sans saveur. Il se retrouve catapulté (façon de parler) sur l’île de Goto vers la côte Ouest de Kyushu. On lui donne une annexe, on lui apporte ses repas, en bref il est logé comme un prince mais il est égoïste et arrogant comme pas possible, donc il va faire la connaissance de plein de gosses qui vont lui pourrir sa petite vie de prince mais qui vont l’empêcher de s’aigrir d’avantage en apportant la bonne humeur chez lui. Lui qui pensait se perfectionner tranquillement en calligraphie, c’est raté ! Adieu le calme !
Niveau graphisme, franchement je les ais trouvés sublimes. Tout simples, tout épurés, mais vraiment bien. Regardez, rien que la petite Naru, c’est une vraie petite chipie adorable et trop mignonne. Hé bien son chara-design est très bien rendu !! On voit parfaitement sa personnalité rien qu’au dessin ! Et puis… entre nous les filles (et les garçons, jamais je ne vous empêcherai d’avoir un avis sur ça héhé)… Il est beau gosse hein Seishu ? Hihihi !
Sinon les décors sont beaux, simples mais beaux, le bateau est très bien fait je trouve (celui d’où ils lancent des gâteaux !).
Après, je voudrais vous donner un peu mon opinion des personnages (vite fait hein !) :
– Seishu Handa : Que dire mis à part que c’est un égocentrique frimeur susceptible mais avec un bon fond ? C’est sans doutes mon personnage préféré après Naru car on voit une véritable évolution en lui. J’aime bien suivre les héros dans leurs changements.
– Naru : Une pile électrique. Pas besoin d’en dire plus. Ah si, c’est une gamine.
– Les deux collégiennes : Assez différentes, elles aussi on voit qu’elles on pour but d’embêter Seishu, je pense qu’elles vont devenir des personnages comiques dans les tomes suivants (enfin j’espère car j’aimerai les voir un peu plus, je trouve qu’elles manquant de présence ainsi que d’un peu plus de personnalité, la preuve, je ne me souviens plus de leurs prénoms hahaha !!)
– La meilleure amie de Naru : Elle est toute mignoooonne !! On a envie de la croquer avec sa timidité maladive ! Je ne me souviens plus de son prénom mais ça c’est juste à cause de ma mémoire de poisson rouge héhé ! En tous cas, j’aime ce personnage !
– Le prof des écoles : Il est trop marrant !! Un personnage comique et sympathique malgré que parfois je me sois exaspérée tout comme Seishu… Quel abruti…
– Le mec bizarre qu’on voit à la fin un peu racaille sur les bords mais gentil dont je ne me souviens plus du nom : Je crois que tout est résumé dans son nom haha ! Mais il est bien fun, vivement qu’il devienne bien ami avec Seishu !
Voilà pour les personnages, je les aime bien tous, mais j’aimerai bien qu’après leur introduction on puisse bien voir leur rôle dans l’évolution du personnage de Seishu. Surtout les deux collégiennes.
Nous avons discuté de ce manga à notre réunion au lycée, tous les élèves du lycée-collège-BTS Auguste Renoir on aimé ce manga, pour moi c’est aussi le signe qu’il touche un large public de jeunes.
Donc, honnêtement, si vous voulez vous faire plaisir, ou vous remonter le moral, rien de tel que ce manga ! J’attends de pied ferme la suite ahaha !! (Je vais devoir me battre avec mes camarades pour être la première à sauter dessus… mais… je vais avoir de grands rivaux…)
Un des points forts de ce manga est pour moi la calligraphie ! C’est n’est pas commun de voir ce genre d’histoire dans un manga et cela rend l’histoire beaucoup plus intéressante. Au niveau du dessin c’est vraiment clair et net je trouve que c’est presque parfait sauf quelques arrières-plans qui manquent à certains endroits.Je trouve que c’est un bon manga il est plutôt intéressant et bien dessiné ! Que demander de plus !
Ce manga est très bien fait… on comprend bien les bulles tandis que dans certains mangas on se perd un peux, Amanchu », Barakamon met en scène les péripéties d’un apprenti calligraphe dans sa quête de perfection, c’est que toute suite on est transpercé par son univers à lui! il nous emmène dans son aventure avec lui comme si on y était !
J’ai adoré ce manga ! A premiere vue, on trouverait sa long et ennuyeux mais au fur et à mesure on s’y attache. La rapport entre le personnage principal et les enfants sont drôles et bien choisis . Le scenario est innatendu et les graphismesde certaines pages est magnifique. Ce manga est simple a comprendre, et très agréable à lire. On passe un très bon moment à le lire. Je me suis precipité acheter la suite et je la recommande vivement.
Barakamon, un manga que je trouve humoristique avant tout car le héros cherche à avoir du calme pour pratiquer sont art mais hélas je crois qu’il est mal tombé pour cela! J’aime le style de Sheishu Handa le héros de ce manga car il me fait rire et en même temps on a l’impression de vivre son aventure à fond, pour ce qui est des dessins je les trouve superbes après Radiant ce manga est mon préféré donc je vous conseille de le lire.
Ce manga est un concentré de bonne humeur !
-l’histoire est simple, mais est très intéressante de par la vie d’un jeune et beau calligraphe de génie, contraint de s’exiler sur une île peu habitée après une altercation avec un confrère plus expérimenté. L’île étant inspirée du lieu de naissance de l’auteur, cela montre une image familiale et joyeuse de la vie dans ce petit village. On peut voir tout au long du manga l’envie de l’auteur de nous transmettre sa vision de la vie en communauté, loin de la technologie de la ville.
-l’évolution du Seishu, calligraphe arrogant au départ, est vraiment intéressante. Les relations de fraternité existant entre tous les habitants de l’île venant peu a peu à bout de sa carapace de solitude est vraiment plaisante à voir, surtout ses altercations avec une petite fille du village. Il espérait pouvoir pratiquer son art en toute tranquillité, seulement avec des villageois aussi farfelus, son quotidien se retrouve rempli de fantaisie, ce qui rend le tout extrêmement drôle a voir !
-les dessins, tout comme l’histoire, sont simples et fluides, mais se laissent apprécier.
Barakamon est un manga à la bonne humeur communicative, et je pense qu’il ravira un grand nombre de lecteur avec son humour complètement déjanté !
« Barakamon » signifie dans le dialecte local « une personne en pleine forme ». Personnellement je suis perplexe devant ce « héros » qui passe son temps à éjecter une petite fille par la porte.
Étoile montante de la calligraphie japonaise, Seishû Handa n’a pas supporté la « critique constructive » d’un vieux maître. C’est ainsi que le tabassage irrespectueux du vénérable vieillard a été suivi de l’exil de l’irrespectueux Saishû sur une petite île. Ce dernier estimait pouvoir s’y consacrer à l’art de la calligraphie dans un calme idyllique. Or, le jeune homme a découvert que sa maison avait été « colonisée » par des enfants du village. L’un d’eux se révèle être un adepte de la « technique du thermomètre » (les lecteurs de Naruto reconnaîtront cette technique qui fut baptisée « 1000 ans de souffrance ! » par Kakashi Sensei).
Il ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.
Barakamon est rempli de pep’s, de joie et d’éclats de rire de notre part. J’ai beaucoup aimé l’ingénuité de la petite ! Je sens que je vais bien m’amuser en lisant ce manga et j’espère que Maître Handa va bien s’épanouir et montrer au monde son talent pur et clouer le bec à ce vieux crouton de maître.
Une jolie découverte que je vous conseille !
Pour commencer je trouve ce manga super et drôle.
Le graphisme est bien et l’histoire intéressante. On est vite captivé par ce manga et on comprend facilement.
Je trouve aussi qu il ressemble à « Yotsuba » au niveau des personnages et des événements.
Mais l’histoire reste bien et unique en son genre.
Ce manga raconte l’histoire d’un calligraphe devant se reposer sur une île où il rencontre une petite fille qui l’empêche de travailler. Le sujet de ce manga est donc très original. De plus, les dessins sont bien réalisés, même s’ils sont, à mon avis, un peu classiques. Chaque personnage est attachant, le manga est touchant dans son ensemble. En effet, les traits d’humour et le fond de l’histoire laissent un goût agréable. Par contre, j’ai trouvé dommage que l’histoire en elle-même n’avance pas très vite… voire pas du tout. En somme, je considère ce manga comme plutôt bon et je le conseille.
Seichû Handa, grand maître calligraphe illustrement connu par son talent et sa jeunesse est envoyé en vacances forcées sur une île isolée suite à un accroc avec son directeur d’exposition.
Si je devais résumer mon sentiment en un mot après avoir lu ce manga, je dirais… mitigé.
En effet, en commençant par l’aspect extérieur, la couverture de l’ouvrage joue sur la simplicité et l’épuré tout en regroupant les éléments importants qui résument graphiquement le thème du manga (titre calligraphié, jeune homme blasé et une fillette pleine de vie). Même si cette couverture n’arrive strictement pas à la cheville de celle de Zéro pour l’éternité, elle possède cependant un côté attractif qui peut pousser nombre de personnes à découvrir ce que le manga cache entre ses pages.
Ensuite, le manga nous propose un scénario séduisant de par son humour et ses charmantes leçons de vies. Même si l’auteur a amené quelques touches d’originalité comme l’hommage à la calligraphie, célèbre art japonais, l’histoire en elle-même sonne ennuyeusement le déjà vu… Premièrement, l’histoire principale basée sur un personnage à l’esprit fermé découvrant un nouvel environnement pour finalement superposer leçons de vie à sa passion n’est pas inédite. Deuxièmement , le personnage de Naru ressemble étrangement à celui de Yotsuba (présent dans le manga du même nom) mais en moins drôle et très rapidement déplaisante. Les autres personnages du manga sont au contraire assez attachants, dommage que la plupart soit issues du stéréotype japonais (l’écolière sportive aux cheveux courts, l’intello à lunettes, la racaille tout droit sortie d’un shônen…) ! L’auteur a choisi tout de même le bon nombre de personnages évitant ainsi que l’on soit submergé par le nombre tout en laissant une part de diversité.
Au niveau de dessin, je dirais qu’il est plutôt bon mais je n’irais certainement pas jusqu’à le comparer à celui de DeathNote ou Bakuman qui est largement meilleur (désolé « donzelotjoris » je ne suis pas d’accord avec toi ) ! La seule chose que l’on peut regretter graphiquement est le manque de paysages dans certaines cases nuisant, je trouve, à l’esthétique général du manga.
Au final, ce manga est loin d’être un chef d’oeuvre que l’on meurt d’envie de dévorer mais il reste un agréable moyen de passer un bon moment de détente.
Barakamon, c’est l’histoire de Seishu Handa, un jeune génie de la calligraphie. Un jour suite à une critique d’un conservateur qui lui dit qu’il trouve sa calligraphie formatée et vide le jeune homme s’emballe et finit isolé sur l’archipel de Gotô. Sa vie va alors radicalement changer, le passage de la ville à la campagne étant un gros contraste. En effet, tous ses voisins prennent soin de lui et s’invitent, tout comme les enfants du village. Seishu s’installe dans une maison qui se trouve être le terrain de jeux favori de la petite Naru, 5 ans, une petite fille montée sur pile électrique, enquiquineuse et terriblement mignonne. De cette situation va se créer une jolie amitié car, bien que cette petite fille soit jeune, elle arrive a apporter beaucoup de choses à Seishu qui se retrouve un peu perdu.
J’ai pour ma part beaucoup aimé ce manga qui se révèle être un seinen très rafraichissant et très optimiste. Il traite d’un sujet peu utilisé : la calligraphie, et l’expose sous une forme que je ne soupçonnais pas : un art strict et très dur. L’histoire est vraiment intéressante même sans scène de combat ou histoire d’amour classique. L’ amitié entre Seishu et Raku, malgré leur différence d’âge, est très attendrissante, très constructive et surtout très drôle. Le dessin est agréable et très fluide.
Je me ferai un plaisir de la lire la suite et de re-lire ce manga facile à lire pour tout le monde et qui donne le sourire.
Les dessins sont beaux , on se lie vite d’amitié avec les personnages.
Seishu Handa est un calligraphe japonais . Lors d’un concours, il est critiqué par un vieillard conservateur dans un musée. Il le frappe car il n’a pas apprécié la critique : «travail formaté et sans saveur». Seishu est puni et expédié sur une île «perdue» où il fait la rencontre d’une petite fille «collante» et pleine de vie. Tout ça donne une histoire pétillante et drôle. Je conseille ce manga.
– C’est un manga classique japonais : les émotions et les sentiments sont reflétés en exagérant sur les personnages et sur l’arrière plan….etc)
-J’aime bien le graphisme, il est du genre clair donc cela me donne envie de lire même si je ne connais pas le genre de l’histoire.
-Le thème est enthousiasmant,les personnages sont très drôles donc c’est plutôt un manga du genre comique. Mais ce n’est pas, pour autant,un manga qui a seulement pour but de faire rire les lecteurs, il y a aussi un histoire.
Donc en conclusion, ce manga se donne pour mission de divertir les lecteurs à travers l’histoire et c’est une très bon œuvre pour mettre les lecteurs de bonne humeur.