« Ceux qui se tapissent dans le ciel’. La simple évocation de ces êtres supérieurs qui déchainent sur terre des catastrophes naturelles aussi aléatoires que meurtrières, suffit à faire frémir les plus braves. La rumeur veut qu’ils aient élu domicile au nord d’une ville côtière, sur des terres inexplorées et entourées de falaises vertigineuses que nul n’ose approcher… C’est pourtant à leur rencontre que se dirige Zipher, transportant sur son dos le cercueil qui contient la dépouille de sa défunte petite amie… Pour lui c’est certain, les mystérieux magiciens entendront ses suppliques et ramèneront sa dulcinée à la vie. Quand, épuisé, il s’écroule à l’approche de sa destination, il est recueilli par Domika, une des habitantes du village qui l’a pris en pitié. À son réveil, Zipher doit se rendre à l’évidence : en guise de miracle, c’est une détresse plus grande encore que la sienne qui l’attend dans le village des magiciens…
26 Commentaires
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J’ai apprécié ce manga. Les dessins sont finis et les dialogues bien écrits. Je n’ai pas beaucoup aimé la folie de Zipher. Domika est très touchante par sa compassion envers Zipher. Jamais elle ne va le lâcher dans sa quête pour ramener à la vie son amie… Il y a une complicité qui se noue entre eux. Zipher ne perd jamais espoir face à la réponse du chef du village disant qu’ils n’avaient pas de pouvoirs magiques. Il ne peut pas s’arrêter d’y croire.
J’ai bien aimé le lire car il y avait de l’ aventure. Le scénario était très précis et très clair. Le portrait des personnages était bizarre car je suis habitué à ce que ce soit des hommes et pas des animaux. Les graphismes sont bien dessinés quelques personnages n’avaient pas d’œil.
-Je trouve ce manga assez bien car ce qui m’a un peu plus c’est les personnages car ils ont une forme animalière. La couleur joue sur le marron et le rouge foncé donc ça fait ressortir les personnages des images. Le scénario fait un peu peur car c’est Zipher qui veut faire ressuscité sa petite amie. Les dessins sont plutôt bien présentés, on peut apercevoir les détails grâce au graphique. Le portrait des personnages est joyeux, triste, étonnant. L’atmosphère générale est bien car c’est comme si on est avec les personnages.
J’ai détesté ce livre parce qu’il y a des animaux au lieu des hommes mais il se lit dans le sens normal et je préfère. J’ai bien aimé le scénario dans ce livre parce qu’il y a de l’aventure. Le personnage principal vit des péripéties aux fur à mesure de son voyage. Les images sont bien faites. Ce livre n’est pas comme les autres parce qu’il est en couleurs. Mais si les couleurs sont tristes l’histoire est bien. Les personnages sont très très bien faits Zipher et très gentil dans ce livre. L’atmosphère générale est très calme.
J’ai adoré ce livre . L’histoire est géniale, passionnante. Elle nous transporte dans un monde merveilleux. Les personnages sont ultra méga adorables, on les adore dès le début de l’histoire.
Cette histoire n’est pas sombre. Elle est intrigante avec du suspens et c’est ça qui renforce l’histoire. Les graphismes sont très beaux. Je le conseille a tout le monde !
Je n’ai pas trop aimé ce manga car il n’y avait pas assez d’action, ce livre se lit dans le sens normal. Le scénario, lui, par contre était assez bien fait. Les graphismes, eux, étaient très bien faits même si les couleurs sont tristes, les graphismes sont quand même bien. Les personnages sont très bien faits mais les choses qui sont bizarres c’est que se sont des animaux à la place des humains. L’ambiance du livre est molle et trop calme.
Ce livre m’a vraiment beaucoup plu car Zipher a risqué sa vie pour ramener sa bien-aimée auprès de lui. Les personnages sont bien dessinés malgré que ce soient des animaux. Le scénario est plutôt bien réussi car cela raconte une belle histoire. Le portrait de Zipher est plutôt bien fait. L’atmosphère de Pandemonium 1 est normale et un peu romantique.
J’ai bien aimé. L’atmosphère était bien. Les scènes sont bien faites. Il était assez sombre triste et joyeux. Les personnages pour moi n’étaient pas très bien faits par contre le décor était pas mal.
Je trouve Pandemonium bien mais ce n’est pas mon préféré.
Le scénario est plutôt touchant, pour les graphismes j’aime bien les personnages par contre je n’aime pas les grosses pattes de Domika.
Le fait que les graphismes soient dans des couleurs chaudes donne une ambiance comme si ils étaient sous terre, que c’est éclairé que par des lumières qui n’arrive pas à tout éclairer et qu’il y a des endroits sombres me plaîsent bien.
Pandemonium est un manga qui m’intrigue beaucoup. Je le trouve « bizarre » tout comme le personnage principal. Je n’arrive pas à deviner ses intensions et ses sentiments (si il ment, si il a peur ou qu’il est énervé au fond de lui). Quand à Domika, elle est très mignonne. Les dessins sont bien faits, et j’aime bien les couleurs un peu feu, utilisées pour le manga. L’atmosphère est mi-sombre mi-joyeuse.
Je n’ai pas du tout accroché sur ce manga. Même si j’ai trouvé ça romantique ce que Zipher fait pour sa femme. Je n’ai pas non plus aimé l’atmosphère que donne ce manga.
Il y a un point positif pour le graphisme et l’aspect général.
Il y a une drôle d’entente entre Zipher et Domika. En lisant ce livre, je n’ai rien ressenti cela ne m’a pas toucher.
Amour funèbre, créatures surnaturelles et effroyables… Bienvenue dans le monde de Pandémonium, un manga des plus originaux aussi bien par son intrigue que par son grand format. Un univers à la Tim Burton qui oscille entre personnages mignons, monstres difformes, et nous embarque sur une histoire d’amour tragique qui fait de notre héros, Zipher, un personnage attachant et sentimental près à braver mille dangers pour redonner vie à la dépouille de sa dulcinée.
L’histoire est portée par une palette chromatique centrée sur le sépia qui contribue à toute l’étrangeté émanant du récit mais qui contraste avec des dessins adorables qui ne masquent en aucun cas le sublime coup de crayon de Shibamoto.
Autrement dit, un manga entre la vie et la mort que je conseille fortement aux personnes qui oseront rencontrer « ceux qui hantent le ciel »…
Franchement pour moi ce n’est pas un manga c’est plutôt une BD ça ce lit de gauche à droite les dessins sont horriblement mal dessinés les pages sont colorisées le seul point positif c’est l’histoire qui est correcte . C’est l’histoire de Zipher qui veut demander au maire d’une petite ville étrange de ressusciter sa femme mais celui-ci refuse car il n’ont pas de pouvoirs magiques mais avant de demander au maire cela il se fait accueillir par Domika une fille étrange . Je trouve que Zipher est étrange car je n’arrive pas à le cerner par rapport à son attitude envers Domika . L’ambiance du bouquin est étrange les couleurs sont chaudes puis on a l’impression que l’histoire se passe sous terre dans un contrée éloignée où les plantes ne poussent pas et où tous les habitants sont fait de plusieurs animaux comme une chimère .
Je ne conseillerai pas ce manga.
La terre est ravagée. « Ceux qui hantent le ciel » détruisent notre planète. Zipher notre héros a perdu sa femme. Il est persuadé que le village des difformes abrite des magiciens capablent de redonner vie à sa bien aimée. Après un long voyage dans une contrée aride, il rencontre Domika qui l’accueille dans ce fameux village. Il rencontre le chef du village qui lui apprend qu’ils sont incapables de lui donner la vie. Zipher montre des feux d’artifices aux habitants du village. Un enfant pique un des pétards et provoque un incendie…
C’était un manga triste et extrêmement long. Cette histoire est une critique du racisme dans un monde où la société n’existe plus. C’est un manga intéressant que j’ai bien apprécié.
Pour la première fois, je découvert un manga en couleur et qui se lit de gauche à droite. C’était à la fois intéressant et original. Par contre, les dessins sont sombres et violents. Le fait que les personnages soit des animaux adoucie certes le coté violent de l’histoire mais cela n’empêche pas à l’histoire d’être triste. En outre, on s’attache aux personnages principaux ainsi qu’à leur passé compliqués car leurs visages sont beaucoup plus attirants que s’ils étaient humain. Certains dessins sont violents mais il n’y a jamais de sang qui est versé… Il y a une véritable recherche sur les personnages afin de les humanisés sans complètement les rendre humain. Cela est très original…
L’histoire quant à elle est bien construite. Une aventure pour sauver quelqu’un qu’on aime et qui ne peut pas être sauvé, un village où vivent des personnes différentes qui sont rejetées, tout est réuni afin que l’histoire soit triste. Elle est en effet très sombre. En outre, beaucoup de paysages d’apocalypse sont représentés. De plus le fait que la couleur dominante soit le marron n’aide pas à égayer l’histoire. Par contre, c’est un manga très intéressant dans lequel on critique le vivre ensemble ainsi que le rejet d’une population à cause d’une différence. On découvre que l’Homme rejette les personnes qui ne sont pas « normales ». On voit à quel point, il est égoïste et il a peur de la différence. En outre, cette histoire met beaucoup de temps à se mettre en place. C’est dans les dernières pages qu’elle commence réellement. Ce qui est dommage.
C’est un manga très original, avec une histoire très bien construite. C’est l’un des seuls mangas qui ne ressemble à aucun autre et qui possède un « genre » bien spécifique. De plus, les dessins apportent une touche de fantaisie qu’il n’y a pas forcément dans d’autres manga.
Pour ma part ce fut une très bonne lecture. Même si je l’ai déjà dis, c’est un manga très original. Mais je pense que ce n’est pas vraiment un manga mais plutôt une Bande-Dessinée plus traditionnelle (France-Belge). Par contre, l’histoire est très longue et par moment, il arrive que l’on s’ennui. En effet le personnage principal fait toujours la même chose. Ce qui est dommage car l’histoire est vraiment bien construite…
Ce mange relate une histoire triste, dans laquelle on critique notre société. On découvre des personnages à la fois magiques et qui nous font peur qu’on apprend peu à peu à aimer comme Zipher. C’est une histoire dans laquelle on apprend à comprendre des gens qui ne nous ressemblent pas…
Je trouve ce manga triste, négatif mais intéressant. Je trouve que les dessins sont bien faits. Ce qui me touche est que les difformes doivent se réfugier dans un village à part, cela montre le manque de tolérance envers les autres dans le monde. Pour ma part je ne conseillerais pas se manga…
Je n’ai pas réussie à lire ce livre car le style graphique et l’ambiance qui en ressort me rebute. De plus, ni l’histoire ni la couverture ne me donnent envie de le lire.
Le chara design (graphisme des personnages) est vraiment étrange et lugubre.
Le scénario n’a rien de nouveau.
Dans un monde avec une apparente quiétude, vivent des anthropomorphes (des animaux se comportant comme des humains). Mais même les plus braves d’entre eux frémissent en entendant le nom de « ceux qui hantent le ciel », des êtres surnaturels qui déchainent des catastrophes naturelles sur les habitants. Cette fatalité a touché Zipher qui a perdu sa fiancée suite à l’une de ses calamités.
Il décide alors de se rendre dans le village où ces êtres auraient élu domicile au nord d’une côtière, sur des terres inexploitées, entourées de falaises vertigineuses où nul n’ose s’approcher.
J’ai énormément apprécié l’histoire. Très prenante et mystérieuse, on se laisse vite emporter. Les premières pages annoncent avec brio l’ambiance et la couleur tout de suite, sans en dire ni trop ni pas assez.
En parlant des couleurs, elles sont parfaitement bien choisies: des couleurs beiges, brunes, noires qui installent une ambiance sombre. Les cases noires à l’écriture blanche et une police bien trouvée donne presque la « voix » des personnages. L’univers, les couleurs et le style graphique nous rappelle le génie de Tim Burton,…
Un livre, un conte très intéressant autant graphiquement qu’au niveau scénaristique, et des personnages tous différents et attachants avec chacun leur part de mystères et de secrets.
Enfin, un conte qui apprend l’altruisme, le respect des autres, la différence, la pitié et qui critiquent l’indifférence, la cruauté, l’injustice, ainsi que tout un tas d’autres chose…
Je le conseille grandement à tous, petits et grands
Personnellement, j’ai détesté ce manga. Les dessins étaient banals, ils me faisaient penser à un livre pour enfants… Le scénario est déjà vu… Aucun élément positif pour moi.
A l’approche d’un village mystérieux rempli d’être plus étranges les uns que les autres, un personnage nommé Zipher, venu pour faire ressusciter sa petite amie est tombé d’épuisement.
Tout d’abord, j’ai bien apprécié l’histoire. J’ai eu du mal a considérer « Pandemonim » comme un manga car les graphismes ne correspondent pas vraiment aux codes du manga. De plus le format est peu courant et l’ouvrage et l’ouvrage entièrement en couleur éloigne encore plus du manga dont on a l’habitude.
La couverture est attirante bien qu’elle contraste avec l’intérieur du livre: couverture blanche et sobre contre un intérieur sombre et assez chargé. La transposition des personnages en animaux rend l’atmosphère moins lugubre bien que les dessins restent dans les ton rouge et noir. Les graphismes sont originaux et très jolis. On arrive à s’attacher aux personnages, malgré quelques détails un peu glauques, comme le fait que le personnage principal transporte dans sa mâle le corps de sa bien aimée. Je trouve que même si les personnages sont sensés être des monstres, leurs « malformations » aide à leur donner une identité bien propre qui s’ajoute à leur caractère bien démarqué.
Au niveau de l’histoire ce n’est pas très original car on a déjà vu des milliers d’histoires où un homme cherche à ressusciter sa bien aimée. Toutefois, le graphisme, les personnages et certains éléments comme les feux d’artifice entraine de nouvelles petites péripéties qui rythmes l’histoire, la rendant moins commune.
Je conseille ce « manga » car il peut apporter un nouvel aspect à votre appréhension des mangas.
Pandemonium est un seinen qui a la particularité d’avoir la taille d’une BD et d’avoir des dessins en couleur, ce qui est très original. C’est une découverte pour moi car c’est la première fois que je vois un manga taille BD et en même temps en couleur. D’ailleurs je trouve que la couverture n’est pas mal car elle a un arrière plan assez neutre et elle montre bien les personnages que je qualifierai de personnages principaux.
L’histoire est très intéressante, Zhiper part à la recherche d’un village peuplé d’habitants étranges qui auraient des pouvoirs. Mais il n’y arrive pas et tombe à terre, peu de temps après il se réveille dans le village qu’il convoitait tant. Il est accueilli par une jeune fille nommé Domika. En se rendant compte qu’il était au village il ne tarde pas à demander au maire du village ce qu’il voulait d’eux c’est à dire qu’ils utilisent leur pouvoir pour ressusciter sa bien aimée .Mais le maire lui expliqua qu’il ne peut pas car il n’est pas doté de ce pouvoir.
Personnellement je trouve que ce manga est assez bien. J’ai bien aimé car sont style graphique ma beaucoup plus parce qu’ il utilise des couleurs assez chaudes qui rappellent très bien l’endroit où se situe le village (c’est a dire dans un désert) mais aussi le côté propre du graphisme. Je vous conseille ce manga qui ma beaucoup plu. ^^
Ce manga est bien mais il ne vaut pas le temps attendu pour le lire. Le style est complètement différent des autres mangas de la sélection. Les graphismes sont en adéquation avec le thème plutôt sombre de l’histoire. Par rapport à celle-ci, le but de Zipher est de ramener à la vie sa bien-aimée mais… Je ne vais pas tout vous dire sinon aucun intérêt de le lire. Voilà je pense que j’ai dit ce qui pouvait être dit.
Pandemonium représente tout ce dont je n’attendais pas du manga.
Quand je pense à « manga », je dis « petit volume » avec une histoire pouvant s’étaler sur plusieurs tomes. Mais quand j’ai lu Pandemonium, je fus époustouflé.
Ce genre de manga se rapproche du roman graphique, où le dessin fait avancer l’histoire en même temps que les décisions des personnages. Aussi, tous les personnages sont des êtres anthropomorphiques, ce que j’aime bien car j’ai toujours un attachement à ses personnages non-humains, avec lesquels je pouvais m’échapper de ce monde étant enfant, même aujourd’hui.
L’histoire est simple à première vue, mais elle cache quelque chose d’encore plus profond. Zipher, qui essaye de ramener sa dulcinée à la vie après sa mort tragique, est un personnage tourmenté, aveuglé par son unique but. J’ai d’ailleurs cru à sa démence quand je l’ai vu courir à la place publique avec ce qui ressemblait à une bombe, mais qui était un feu d’artifice. Son discours avant d’allumer la mèche m’avait donné des frissons dans le dos. Domika, la difforme qui l’héberge, est une fille douce et attentionnée et nous voyons, au cours de cette première partie du diptyque, qu’elle commence à avoir des sentiments envers Zipher.
Le village représente le hameau, l’ultime réconfort, mais seulement pour ceux nés différents: les difformes. Malheureusement, à la fin du livre, après une explosion, une bonne partie est détruite et Zipher est gravement blessé, brûlé en sauvant Brow.
Les graphismes sont une partie indéniable de l’histoire et sa colorisation (une première pour moi) se mêle aux tons rouge-ôcre, pouvant symboliser la furie que ce monde subit ou la discorde que les habitants ont pour les difformes, accusés à tort d’être responsables de la « foudre rectiligne », le fléau de ce monde.
L’ambiance est renforcé par les couleurs (selon mon avis) car les couleurs sombres pèsent sur le lecteur, l’entraînant dans une spirale infernale dont il ne sortira que lorsqu’il aura atteint la fin.
Ce manga est une bonne expérience, mais pas adapté pour un débutant, même si le sens de lecture est à l’occidentale, pouvant être plus accessible à un public de l’Ouest. Ce manga est très bon, très bien construit mais n’est pas la représentation normale d’un manga.
Je conseille donc d’avoir d’abord sauter dans les tankōbon avant de s’immerser dans cet univers fantasmagorique qu’est Pandemonium.
Pandemonium est un manga que je trouve original, grâce aux personnages qui sont des animaux, les dessins en couleur puis le sens de lecture inversé. Je trouve l’histoire sombre, et l’ambiance oppressante, parfois cela dérange mais je m’y suis fait.
Zipher, qui s’acharne sur son but, devient un peu lourd des fois, mais il est déjà plein de désespoir à cause de la mort de sa femme donc on ne lui en veut pas quand il se met à genoux pour supplier quelqu’un.
Les dessins, je les aime bien : ils sont simples, et dans des scènes d’actions ils sont violent quelques fois.
Je n’ai pas grand chose à dire car je n’ai lu que le premier tome, mais j’ai envie de savoir comment tout le monde va évoluer au fur et à mesure. J’ai apprécié Pandemonium.
Quelle triste histoire. Le dessinateur a choisi de drôles de couleurs, mais qui ne me sont pas déplaisantes. Bref, je souhaiterais absolument connaître la suite pour voir si quelqu’un peut sauver la vie de la petite amie de Zipher. Je n’ai malheureusement pas grand chose à dire sur ce manga mais je quand-même bien apprécié !
Bonjour tout le monde !!! ^^
Alors passons tout de suite à cette BD , comment ça ? C’est un manga ?
Non plus sérieusement: Pandemonium un « manga » avec une histoire sympathique mais comme vous aurez pu comprendre je ne le caractérise pas comme « manga », de part son sens de lecture et ses couleurs mais ce ne sont que détails il y a surtout le format qui est encore plus troublant à mon sens !!! Effectivement pour moi Pandemonium se classe plus dans la catégorie BD … Je vais quand même dire ce que je pense de cette histoire et de ces dessins. L’histoire tout d’abord a été assez compliquée à comprendre, après, peut être suis-je le seul ? Sinon on arrive quand même à distinguer les bases de l’histoire.
Le dessin des personnages n’est pas très développé mais ne choque pas énormément ( en tout cas on arrive à s’y faire ^^ ) mais personnellement je n’ai pas réussi à m’identifier au personnage principal ce qui ajoute encore une difficulté de lecture pour un « manga » ( à mon humble avis ), non ne savons pas si le personnage est un menteur, un traître, un « garçon » bizarre ( enfin si, il est bizarre ) ou juste une honnête personne ^^ .
Bon il est temps de conclure, cette lecture ne m’a pas réellement emballé.
J’ai beaucoup apprécié ce manga atypique de tous points de vues. Tout d’abord, le scénario m’a conquise: une époque inconnue, un monde incroyable mais qui présente des similitudes avec le notre, des êtres aux traits animaux… C’est un monde onirique où la magie semble avoir sa place, un monde qui change de ce dont on a l’habitude! Par ailleurs, l’histoire de Zipher m’a beaucoup touchée, allant même jusqu’à me mettre la larme à l’œil.
La première chose qui surprend dans ce manga, c’est son format: il fait la taille d’un roman, ce qui change des habituels petits formats des mangas. En outre, ce manga est en noir et blanc, ce qui est plutôt rare. Le fait qu’aucun personnage n’ai de véritables traits humains est aussi très atypique. Au départ, je pensais que cela constituerait un frein pour ce qui est de l’identification aux personnages, mais ça n’a pas été le cas.
J’ai été conquise par les décors et les traits harmonieux: le graphisme est sublime, les décors sont riches. Pour ce qui est de la couverture, je la trouve assez bien réalisée: épurée, elle présente les deux personnages principaux, Zipher et Domika, ainsi que les objets les plus importants dans ce manga. L’essentiel est représenté.
Je me suis beaucoup attachée au personnage de Zipher, déterminé à sauver sa bien-aimée quoi que cela lui en coûte. Sa détermination et sa sensibilité m’ont plu, c’est un personnage simple mais très délicat. Le personnage de Domika est aussi très attachant: la jeune femme est sensible, douce, et elle est elle aussi pourvu d’une grande détermination. L’alliance des deux personnages permet à l’histoire d’avancer, ce sont eux qui bouleversent l’ordre et se battent pour leurs idéaux.
A travers ce manga, ce n’est pas que l’amour qui est traité, c’est aussi un manga qui nous pousse à réaliser nos rêve. « Pandémonium » est une oeuvre sublime qui vaut le coup d’être lue. Ce pendant, ce manga ne conviendra pas aux plus jeunes car certaines scènes sont un peu violentes.