Tsangyang Gyatso (1683-1706) est le seul dalaï-lama à avoir refusé une vie de moine ordonnée. Personnage historique et mythique, le 6e dalaï-lama est déchiré entre son amour pour Maji, la fille du chef de son village et sa destinée religieuse. Ces affaires religieuse entraînent aussi un conflit politique et une guerre entre le Tibet et la Mongolie de l’époque.
23 Commentaires
Passer au formulaire de commentaire
La première fois que j’ai vu ce manga il m’a plutôt fait penser à une une BD. Les dessins ne sont pas comme un manga traditionnel, les visages sont plus arrondis. Je trouve que c’est ce qui le rend intéressant. Il m’a fait découvrir qu’il existe plusieurs types de mangas.
Ce manga est un format très spécial ce qui le rend très intéressant.
Il nous donne un point de vue très appréciable auprès des lecteurs, il y a une histoire autre que la religion même si on fait le parallèle avec la religion tout le long. C’est un très bon manga. Les pages couleurs sont très bien car du noir et blanc n’aurait pas été appréciable pour un style rond comme le visage des personnages.
L’atmosphère est calme et douce.
Ce manga ma tout de suite fait penser à une BD. Les dessins sont tous colorés à l’aquarelle ce qui permet d’avoir plus de réalisme par rapport aux mangas habituels. Les animaux, le décor et les personnages sont tous dessinés de façon plus réelle que les autres mangas ce qui fait le charme de celui-ci. L’histoire quand à elle, est rapide à lire et rapide à comprendre. Les personnages principaux sont très attachants avec leur caractère, leur physique et leur habits qui sont différents mais paraissent identiques.
J ai bien aimé le sixième dalaï-lama car il n’y a pas de problème sur le scénario, le graphisme et les portraits des personnages je vous conseille de le lire car il est vraiment bien.
J’ai aimé ce manga.
D’une part, le graphisme est impressionnant par son réalisme, au niveau des personnages (même si les expressions faciales sont assez proches des mangas basiques). La couleur à l’aquarelle est très travaillée ; il y a peu de mouvements, mais ils apportent suffisamment de dynamisme à l’histoire.
Celle-ci se rapproche des contes traditionnels dans la forme et s’inspire de faits historiques. C’est l’histoire du seul Dalaï-Lama à avoir refusé une vie de moine bien ordonnée (Tsangyang Gyatso, 1683-1706).
Je trouve que le livre se prête aussi bien aux enfants qu’aux adultes car l’histoire est facile à comprendre mais il a beaucoup de poésie.
D’autre part, ce « manga » n’appartient pas à une catégorie particulière parce qu’il est plus complexe que la plupart des mangas « lambda » (action, amour…). Il est au-delà de catégories genrées comme le shonen et le shojo qui sont très stéréotypées. Pour ce côté atypique je vous conseille ce manga au format singulier.(FreyssinetEmmanuel)
Le sixième dalaï-lama est un manga qui pourrait être considéré comme une Bande dessinée de par ses particularités d’être en format BD mais aussi à cause de ses dessins coloriés ce qui est ma foi originale mais qu’on a déjà vu par le passé et pour finir n’oublions pas le sens de lecture français. Je pense sinon que la couverture n’est pas mal à cause de son fond blanc qui met en évidence le personnage et l’oiseau, nous remarquons par la même occasion que cette couverture est très détaillée et très belle. Ensuite pour parler de l’histoire je l’ai trouvée belle et agréable à lire. Franchement quand j’ai lu ce manga j’avais l’impression de lire une histoire assis devant un feu avec des enfants à côté, ce qui m’a surpris d’ailleurs car ils se font rare les mangas qui me donnent cette impression. D’ailleurs je trouve que le dessin était simple avec une pointe de détails ce qui ne me gênât point au contraire ce qui me plut beaucoup car je trouve qu’ils sont très bien adaptés à cette histoire, mais surtout ce qui me plut le plus ce sont les couleurs car je les trouve belles et elles sont assez vives.
Personnellement ce manga m’a plu que ce soit du côté de l’histoire comme celui des dessins je le trouve magnifique, donc je ne vois pas d’inconvénient à vous le conseiller.
A première vue ce manga ne me paressait pas génial mais après lecture mon avis a tout à fait changé.
Effectivement dès les première pages que ce soit pour le style des dessins, la superbe colorisation ou même l’intrigue tournant autour de la culture tibétaine m’a tout à fait ravi.
Comme je l’ai dit juste avant j’ai énormément aimé l’aspect graphique car j’aime beaucoup le style aquarelle des dessins.
De plus les dessins réalistes et la colorisation sont des points importants pour moi.
Le fait que l’histoire se déroule au Tibet fait que la culture est bien encrée dans l’histoire ce qui est donc très intéressant et change un peu des manga japonais racontant surtout des histoires à propos de la culture japonaise.
L’intrigue se déroule lentement mais sûrement, on sent que l’histoire a un bon potentiel pour la suite.
De plus les personnages sont plutôt attachants et les relations entre eux promettent une bonne évolution psychologique.
J’ai adoré ce manga ! L’histoire est super inintéressante et original. Les dessin sont vraiment très beau avec des couleurs vives. j’ai hâte de lire la suite !
Ce manga est génial ! Il est très intéressant et original. Les dessins sont magnifique. J’ai hâte de lire la suite.
J’ai beaucoup aimé ce manga, même si au début il me faisais penser à une BD. Malgré cela j’ai trouvé l’histoire de Tsangiang vraiment belle et pleine de tristesse car il est tiraillé entre son amour pour Maji et sa destiné de sixième dalaï-lama. Je trouve aussi que les illustrations sont vraiment belles et pleines de détails.
Ce manga était intéressant à lire en tant que bouddhiste, et je l’ai bien aimé. Le scénario était intéressant, et je l’ai beaucoup aimé!
Ce manga était à la fois mon genre, mais aussi pas le genre de manga que j’ai l’habitude à lire, et j’ai trouvé le graphisme très beau, c’était un style tout à fait différent, mais très beau!
J’ai beaucoup aimé les différents personnages, leur personnalité, et leur façon de s’exprimer!
Je ne sais pas trop quoi penser de cette bande dessinée. Elle m’a plu mais ne me donne pas envie de continuer.
Cette histoire m’a fait penser à une histoire pour enfants avec les nombreux cartouches et l’histoire des trois amis. Leurs aventures sont très prenantes.
Ce premier tome pose l’histoire en présentant les personnages assez rapidement ainsi que le problème. L’histoire est assez simple mais attachante. C’est la première fois que je lis une BD sur la Chine, cela est donc intéressant car le thème change de d’habitude. J’aurais aimé voir plus de moments avec les trois enfants car se sont ces moments qui m’ ont le plus plu dans l’histoire. Mais, finalement, l’histoire va s’orienter vers Lobsang, notre héros, qui à la fin de ce tome part pour une grande aventure. J’ai apprécié le fait de parler de la religion bouddhiste et des différentes classes sociales. Cela nous montre ce que subissent les personnes en bas de l’échelle sociale par ceux qui se positionnent en haut.
Les dialogues sont bien proportionnés, il n’y en a pas beaucoup mais la compréhension n’est pas compliquée car les paroles vont directement au but.
Les personnages sont très mignons, ils ressemblent à des poupées plus particulièrement Makye et Dedimentok. Le coup de crayon de l’auteur est vraiment incroyable ! Les dessins sont tout simplement magnifiques. Ils peuvent sembler un peu fades selon les pages mais dès qu’il y a des couleurs lumineuses les dessins se transforment. Je trouve les pages 14 et 78 vraiment superbes.
Je me suis beaucoup attachée à Gelaï, le petit renard, qui fait un bruit de chien ainsi qu’au petit ours surtout la première fois qu’on le voit avec ses mains sur sa tête. Les expressions des animaux les rendent vraiment à croquer.
Une chose peut être gênante, les prénoms des personnages sont très compliqués à retenir mais bon, c’est un détail.
Bref, cela ne m’a pas envie de lire la suite comme je l’ai dit plus haut, l’intrigue peut-être prenante mais ne m’a pas convaincue.
Ce qui m’a le plus marqué dans ce manga ce sont les dessins, ils étaient magnifiques mais ne sont pas en rapport avec les dessins habituels de manga. De plus, je trouve qu’il s’agit d’une bande dessinée et non d’un manga. Je trouve cependant que l’histoire est bien, mais comme je ne connaissais pas de manga (ou BD) de ce style, je ne saurai donc pas dire si c’est un scénario déjà exploré. Les personnage et les animaux sont particulièrement attachants, j’ai surtout aimé l’animal de compagnie de Lobsang.
J’ai aimé ce manga, il ressemble a une BD, les dessins sont bizarres mais adorables. L’aquarelle est vraiment magnifique surtout pour les paysages. L’histoire est un peu triste à la fin mais pas trop non plus. Le manga laisse du suspense pour la fin mais bon je ne suis pas fan de la fin mais le thème sur l’amitié est vraiment magnifique.
Une bd très intéressante sur le sixième dalaï-lama : j’ai appris plein de choses intéressantes. il me faut absolument la suite
Ce manga est très original, d’une part par son format, on a une taille plus grande que celle d’un manga normal, et d’autre part par le fait que toutes les pages sont en couleur, on a plus l’impression que c’est une bande dessinée.En effet, on peut constater que ce manga n’a pas été réalisé par un Mangaka japonais mais chinois, d’où la différence de style, de graphisme et d’histoire. On est entraîné dans l’histoire d’un jeune garçon Lobsang qui s’est destiné à être le sixième dalaï lama d’où le titre. Ce manga m’a beaucoup plu car il m’a appris pas mal de choses sur la religion du bouddhisme, sur Le Tibet, sur La Chine et surtout sur la façon de désigner le prochain dalaï lama (je croyais que c’était une succession du père au fils mais pas du tout, tout dépend du destin). Le graphisme à l’aquarelle est vraiment magnifique, avec beaucoup de détails et de couleurs, ce qui le rend plus réaliste, on nous montre beaucoup de paysages qu’on ne voit pas tous les jours, comme le trône du roi de Chine.
Par contre, je trouve que les noms sont vraiment dure à retenir, il y a beaucoup de personnages et leurs prénoms sont longs, cela vient peut être du fait que je lisais que des mangas japonais avec des noms japonais.
L’histoire est pas mal, on a au début un peu de romance puis la désignation du sixième dalaï lama. Ce qui est triste, c’est qu’il doit partir et quitter son village ainsi que Maji (la fille dont il est tombé amoureux). Cela me donne envie de lire la suite, pour voir ce qui va se passer : est ce qu’ils vont se retrouver quand ils seront plus grands? Que va t’il lui arriver sur la route de retour?
Le sixième « dalaï-lama » est un manga que j’ai adoré non pas pour son scénario ou ses dessins, c’est la première page du manga qui m’a captivée : tous les personnages de l’histoire (qui il sont, leurs liens de parenté, leur histoire) sont détaillés, j’ai passé un demie heure à faire les liens entre les personnages et j’ai adoré,je conseille ce manga qui a de très bonnes sources historiques.
Le sixième Dalai Lama est un bon manga sous format BD, ce qui le différencie des autres. L’histoire est bien structurée et elle tient la route, elle parle d’un héros qui se réincarne, l’apparition d’une histoire d’amour permet a l’histoire d’être encore plus réaliste et nous donne envie de savoir se qu’il se passe ensuite. Je le recommande fortement !
Salut,
Déjà pour commencer, je n’aime pas les dessins de ce manga, après c’est le seul point que je n’aime pas dans ce manga. Le manga sous forme de BD est assez original et l’histoire est belle et bien trouvée : l’enfant qui parle aux animaux, et qui à la fin n’hésite pas à quitter ses amies, sa famille et ses horizons pour sauver son père du sacrifice. Je le conseille mais sans plus, je ne suis pas très attaché au manga.
La principale caractéristique de ce manga, c’est que les dessins sont vraiment très beaux. Le format est spécial ce qui rajoute un petit plus et nous permet de mieux apprécier les dessins. Pour le scénario, il est assez sympa sans être la meilleure histoire du monde (de toute façon, la place est déjà prise par Radiant). J’ai bien aimé les personnages et j’ai trouvé ce manga plutôt bien.
Ce manga me fait penser à une BD avec le format. Part exemple le sens de la lecture. Pour l’histoire, j’ai bien aimé, rien que l’endroit choisi. Il y a aussi le mélange de catégorie entre la fille du seigneur de Tawang. Je trouve original le fait que dès que l’on ouvre le manga, on trouve les noms des personnages et les lieux où cela se passe.
Je trouve que le graphisme est bien travaillé et même je le trouve original car dans d’autres mangas les dessins ne sont pas travaillés de cette façon, avec cette couleur en plus qui rend encore plus le manga agréable à lire.
Et pour finir, l’atmosphère générale est plutôt bien il y a une bonne entente entre les deux personnages principaux.
L’histoire est intéressante je l’aime beaucoup ! Les dessins sont supers et l’amitié est forte. Dommage il n’y a pas assez de discours, et le temps passe trop vite. Ils grandissent rapidement et les personnages principaux sont attachants !!! On a envie de lire la suite !
Le sixième Dalai-Lama est un manga que je n’apprécie pas à cause de son histoire qui pour ma part n’est pas assez originale (Une personne qui tombe amoureuse d’un autre mais leur amour est impossible). Je n’aime pas trop les dessins bien que l’on ressent bien que le paysage semble lointain mais après je ne suis pas spécialiste en dessins donc je n’y connais pas grand chose. Malgré le fait que l’histoire n’est pas originale, le fait que derrière l’histoire d’amour se cache le Dalai-Lama rend l’histoire un peu moins ennuyeuse. Pour conclure sur ce manga, je dirais que je le trouve pas trop bien mais qu’il y a de l’idée.