Second summer never see you again de Hirotaka Akagi (Doki Doki)
Rin Moriyama, arrivée au lycée en cours d’année, a été emportée des suites d’une maladie incurable. Sans le savoir, Satoshi Shinohara l’a aidée à réaliser son dernier souhait. Ensemble, ils ont créé un groupe de musique avec lequel ils montent sur scène lors de la fête du lycée. Leur concert est réussi, Rin est heureuse, mais alors qu’elle est en train de vivre ses dernières heures, Satoshi commet une faute a priori irrémédiable : il lui confie ses sentiments pour elle.
Quelques mois plus tard, il se retrouve toutefois de nouveau face à elle. Il est mystérieusement renvoyé dans le passé afin de réparer son erreur : permettre à Rin de revivre tout ce qu’ils ont vécu, mais cette fois sans jamais rien lui dire de ce qu’il éprouve…
3 Commentaires
L’histoire est vraiment attachante. Je vais m’acheter la collection.
Les dessins sont bien, mais ont un détail qui me perturbe, les pupilles sont super petites, et surtout pour Satoshi, on dirait un psychopathe.
Concernant les personnes, je pense que grâce au personnage Himeko les scènes sont à la fois drôle et loufoque.
Rôkuro, lui est un personnage sexy avec son côté fier et bizarre, mais je pense qu’il n’a pas un grand intérêt pour ce tome 1.
Ensuite, je trouve que le personnage Satoshi est mignon, je l’aime de plus en plus, par contre le dessin de ses yeux me stresse vraiment.
Quant à Rin, elle est super mignonne, drôle, forte et original, son histoire m’a réellement peiné… Cependant, je ne l’a comprend pas, elle aime Satoshi ou pas ? J’ai beaucoup trop de questions, il me faut la suite. Je suis devenue dépendante de ce manga… LOL
Second summer never see you again,
Ce manga ne sort pas du lot. Personnellement, je suis un peu déçue, je m’attendais à plus surprenant (je parle en tant que grande lectrice de manga). L’histoire n’a pas de défauts particuliers à part son manque d’originalité.
Ce n’est pas pour autant que cette lecture ne m’a pas intéressée. J’ai lu la série en entier pour être sûre de ne pas faire de faux pas dans ce commentaire. Certains sont sûrement tombés sous son charme, je n’en doute pas. Cette histoire n’est pas unique, c’est vraiment un style que j’ai déjà vu plusieurs fois. Et c’est bien dommage de n’avoir pas grand-chose qui ressort. On aurait pu avoir une intrigue plus recherchée pour nous tenir en haleine et pour nous attacher aux personnages. Même si ceux-ci sont attachants, ce n’est pas assez pour devenir une grande fan de cette série.
C’est l’œuvre de Hirotaka Akagi. A l’origine, cette série est un roman mais elle a été adaptée en manga par le dessinateur Minamoto Motomi. Les dessins sont simples. Sur certaines pages, il faut suivre. On pourrait se perdre avec les bulles un peu partout sur les planches (droite, gauche, milieu) surtout les pensées des personnages avec les paroles des autres, mais ce n’est que sur certaines pages. La plupart des planches sont nettes et fluides. Rien à redire. Les traits sont fins et cela ne me dérange pas. Le seul inconvénient est le manque de détails au niveau des habits ou encore des paysages et pour certaines cases, cela fait vide.
Voici le résumé de l’histoire. Nous avons deux personnages principaux : Rin Moriyama et Satoshi Shinohara. Ils sont tous les deux lycéens. Rin a une maladie et souhaite réaliser son rêve qui est de réaliser un concert et sans le savoir Satoshi va y contribuer. Ils vont créer un groupe de musique pour monter sur scène et faire un concert lors de la fête de leur lycée. Rin est très heureuse malgré le temps qui lui reste à vivre à cause de sa maladie. Satoshi est amoureux d’elle et il décide de lui avouer son amour. Mais Rin n’accepte pas sa déclaration et le lendemain, elle décède. Satoshi s’en veut beaucoup de lui avoir déclaré ses sentiments. Mais miraculeusement, il se retrouve face à elle car il a été renvoyé dans le passé. Il se dit que c’est une chance pour se rattraper. Et il décide donc de ne pas lui avouer ses sentiments, pour qu’elle reste heureuse jusqu’à la fin… mais bien-sûr vous vous doutez que tout ne s’est pas passé comme il l’aurait voulu. 🙂
C’est une histoire assez dramatique et romantique à la fois et à part le surnaturel, il n’y a rien de bizarre.
Tout ça pour vous dire que l’œuvre d’Hirotaka Akagi est seulement en deux tomes, déjà disponibles en France. Pour ceux qui n’ont pas l’habitude de ce genre d’histoire, je vous la conseille malgré ma critique. Elle reste belle à découvrir. Elle a comme thèmes l’amour, la mort, le voyage temporel et l’adolescence, avec comme slogan : « Je n’aurais jamais dû lui dire que je l’aimais » !
Second summer never see you again vous attend en magasin ou en librairie proche de chez vous !
Merci d’avoir pris le temps de lire mon commentaire !
Second Summer Never see you again
Scénariste : Akagi Hirotaka
Dessinateur : Minamoto Motomi
Type : Shonen
Genres : Drame – Romance – School Life – Surnaturel
Thèmes : Adolescence – Amour – Mort – Voyage temporel
Nb volumes VO : 2 (Terminé)
Satoshi dévoile ses sentiments a Rin Morimiya, co-fondatrice du groupe de musique avec lequel ils sont montés sur scène lors de la fête du lycée. Malheureusement Rin souffre d’une maladie incurable, et quand Satoshi lui révèle ce qu’il ressent pour elle à l’hôpital, celle-ci pleure et décède le lendemain. Par on ne sait quel miracle Satoshi remonte le temps, ce qui lui permet de faire revivre a Rin ce qu’elle a vécu sans jamais rien lui dire à propos de son amour pour elle.
Sympathique dans l’ensemble, les dessins sont « doux », enfin le trait est gracieux j’ai l’impression, ça fait du bien aux yeux. Le personnage de Rin paraît presque agaçant parfois mais on lui pardonne, elle est gentille… Si les personnages sont agréables, il y a une plutôt bonne ambiance et le manga se lit rapidement. Série est fini en 2 tomes, elle n’a rien d’extravagant mais n’est pas désagréable. Il est juste dommage qu’il n’y ait rien de vraiment original (les retours dans le temps c’est du déjà-vu, mais ça n’empêche pas le manga de ne pas être mauvais du tout). Je jetterai un œil pour connaître la suite (par contre si Rin survis à la fin par je ne sait quel pouvoir de l’amour ou quoi, je brûle les tomes et disperse les cendres dans la nature, un peu de cohérence bon sang !)