Trait pour trait, dessine et tais-toi de Akiko Higashimura (Akata)
Akiko Hayashi est lycéenne, et elle habite dans la préfecture de Miyazaki. Très jeune, elle savait qu’elle voulait devenir dessinatrice de shôjo mangas, et avait déjà fantasmé tout son plan de carrière : l’âge auquel elle enverrait des premiers travaux aux éditeurs, l’âge auquel elle serait publiée, l’âge auquel son manga serait adapté en anime… Persuadée que son génie auto-proclamé suffirait à lui ouvrir toutes les portes, elle va pourtant être rattrapée par la réalité. Car en dernière année de lycée, sa rencontre avec un prof d’une petite classe d’arts à l’écart de tout, va violemment la ramener à la réalité. Ce professeur étrange, plutôt sévère et armé de son sabre en bambou, va profondément changer sa vie.
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« Trait pour trait, dessine et tais-toi » est un manga autobiographique d’Akiko Higashimura qui va raconter ses années en tant que lycéenne et étudiante, passionnée de manga.
Je n’ai vraiment pas accroché ce manga tout d’abord au niveau des dessins qui ne m’attiraient pas du tout, à mon gout les planches sont trop chargées ce qui rend le manga long à lire et ennuyeux, ce que l’histoire n’arrange pas non plus. Bien que j’entende qu’il s’agisse d’un manga autobiographique et aimant comme notre héroïne, le dessin, je n’arrive pourtant pas à trouver de l’intérêt au contenu. La seule chose qui ait pu me motier à lire jusqu’au bout est le personnage intriguant du professeur d’art d’Akiko. Il est assez compliqué d’arriver à cerner ce personnage. Il frappe ses élèves à coup de bambou, les rabaisse, leur hurle dessus et pourtant c’est à lui qu’Akiko Higashimura rend hommage dans ce manga. J’ai du mal à vraiment saisir pourquoi, peut-être que je ne comprends pas car je suis comme Akiko lycéenne, encore loin de pouvoir comprendre les raisons des agissements de ce professeur.
« Second summer Never see You again » est un manga qui raconte l’histoire de Rin, une jeune fille qui va refuser les traitements dont elle a besoin, pour vivre autrement, vivre comme n’importe quelle jeune fille. En entrant au lycée, elle va rencontrer Satochi avec qui elle va réaliser son rêve, celui de créer un groupe de musique. Après avoir joué leurs premiers concerts, Satochi lui avoue ses sentiments alors que Rin arrive au bout du temps que la vie lui a accordé sans ces traitements et meurt. Satochi est mystérieusement renvoyé dans le passé au jour de leur rencontre, il va alors tenter de réparer son erreur, ne pas lui avouer ses sentiments.
J’ai vraiment adoré ce manga ! Tellement, que je pense même acheter la série et surement voter pour lui en mai. Ce qui fait que j’ai autant aimé c’est son originalité, que ce soit pour l’histoire ou pour les personnages. L’idée de renvoyer Satochi dans le passé après la mort de Rin est excellente, déjà ça vaut bien mieux qu’un pauvre petit flash-back ! Et puis le fait qu’au fil de l’histoire Satochi se rend compte que certaines choses changent, nous fait espérer une fin meilleure et ça, ça donne très envie de lire la suite ! Quant aux personnages, Satochi qui fait tout son possible pour que Rin réalise son rêve et puisse partir en paix, est vraiment adorable et ce que j’aime aussi chez lui, c’est qu’une fois retourné dans le passé, il comprend mieux Rin qu’il sait désormais malade. Rin, justement, rend ce manga vraiment attirant grâce à son personnage qu’on ne peut qu’admirer pour sa force et sa détermination et aimer parce qu’elle est juste trop mignonne ! Quant aux personnages secondaires comme les deux autres membres de leur groupe, ils sont surprenants et très originaux. Les dessins sont magnifiques, tout est très bien organisé, en fait vous l’aurez compris, pour moi c’est un manga formidable !
Ce manga à première vue m’a intrigué du fait qu’il possède des prix. Le graphisme est appliqué et réaliste, je pense que c’est assez normale puisque c’est un manga autobiographique.
L’histoire en elle-même est intéressante, mais au début elle est barbante, rien de foufou ne se passe, c’est assez pénible, j’ai eu l’impression que c’était « une perte de temps ». Cependant, les moments entre Akiko Hayashi et Mr. Hidaka (son professeur) sont assez drôles, entre le narcissisme d’Akiko et la sévérité de Mr. Hidaka. Quant au personnage Futami, la meilleure amie d’Akiko, elle est impassible, je n’ai pas vraiment d’avis sur elle.
Puis, lorsque vient ses examens l’histoire devient captivante, il y a beaucoup de haut dû au narcissisme d’Akiko, mais surtout des très bas, ce qui est assez drôle. C’est un manga original, car d’une part, on revit son vécu, et j’aimerais bien savoir qu’elle est le lien qu’il y avait entre Akiko et son professeur, car on dirait presque que le manga est une sorte de lettre comme pour rendre hommage à son professeur. D’autre part, il y a des interventions par moment d’Akiko et Futami à l’âge adulte comme si elles se racontaient leurs souvenirs.
C’est un manga drôle qui vaut le coup d’être lu même si le début est long et ennuyeux.
« Trait pour trait, dessine et tais-toi » est pour moi un bon manga pour les personnes s’intéressant aux arts et aux dessins. C’est un manga autobiographique qui nous retrace le parcours artistique d’Akiko. C’est un manga rentrant dans la catégorie des slice of life car l’on suit la vie d’une étudiante souhaitant intégrée une école des beaux arts dans le but de devenir par la suite mangaka. Je trouve très intéressant que ce soit un manga très réaliste où le personnage principal se heurte à de nombreuses difficultés. C’est un manga très terre à terre qui nous montre également les doutes et craintes d’Akiko. Son professeur d’art loufoque apporte un côté humoristique et mystérieux à cette œuvre. Le fait de voir ce qu’est devenue l’héroïne après ses études nous montre sa réussite malgré ses doutes et difficultés. De plus, je trouve que les dessins épurés apportent un certain charme à l’œuvre et également que les couvertures à l’aquarelle soient très belles.
Je recommande vivement ce manga surtout pour les passionnés d’art et de dessin mais aussi pour ceux qui ont des craintes sur leur avenir.
Trait pour trait, dessine et tais-toi !
Alors, disons la vérité… Ce manga ne m’a pas plu. Bien qu’il le soit beaucoup pour certains, sachant qu’il a reçu le grand prix manga 2015 japan media arts festival et le grand prix du manga taisho 2015, ce n’est vraiment pas très agréable à lire.
Ce manga n’est pas exceptionnel. Je trouve l’histoire ennuyeuse. Il n’y a pas d’intrigue. Les personnages ne sont pas attachants. Puis beaucoup de choses sont abordées en même temps et personnellement, j’étais déjà perdue dès la troisième page… C’est catastrophique, enfin comment on peut vendre un manga avec autant de détails et si peu de place ! C’est tellement comprimé, il n’y a pas une seule place pour un paysage. Franchement, je suis très déçue de ce manga, je n’ai pas pris le temps de lire le tome 2, ça ne vaut pas la peine. Et c’est très dommage de penser comme ça. Mais c’est la vérité. Pour la traductrice Miyako Slocombe, cela a dû être dur de traduire tous ces petits mots, expressions, paroles, pensées, onomatopées, il y a beaucoup trop de texte… J’en suis saoulé rien que d’écrire tous les détails, pour vous dire que ce n’est vraiment pas un manga qui m’a plu !
Ce manga a été écrit par Higashimura Akiko. Je suis allée regarder ses autres œuvres, qui sont bien. Mais bon, « Trait pour trait » n’est pas exceptionnel. Les dessins sont quand même beaux mais les bulles cachent cet aspect esthétique. C’est vraiment dommage de gâcher une œuvre pour faire avancer l’histoire plus vite. Malheureusement, c’est horrible à lire. Je ne vous le conseille pas mais si ce genre de graphisme ne vous dérange pas, c’est votre choix.
C’est l’histoire de Akiko Hayashi qui est lycéenne. Elle veut devenir dessinatrice de shôjo manga en pensant que son génie auto-proclamé allait suffire pour réussir. Elle va avoir un professeur d’art très sévère qui va changer sa vie. Vous allez donc suivre son aventure pour le dessin, mais tout ne va se passer comme elle le voulait.
Cette série est en 5 tomes, mais seulement 3 sont sortis en France. Ils ont comme thèmes art et faits réels. Et comme genre biographique, drame, school life et tranche de vie. De catégorie Josei (pour femme) chez Akata en Large à 7,55 € le tome.
« Trait pour trait, dessine et tait-toi ! » vous attend en magasin ou en librairie proche de chez vous !
Merci d’avoir pris le temps de lire mon commentaire !
Auteur : Higashimura Akiko
Type : Josei
Genres : Biographique – Drame – School Life – Slice of Life
Thèmes : Art – Faits réels
Nb volumes VO : 5 (Terminé)
Trait pour Trait est un manga autobiographique de Higashimura Akiko, connue notamment pour ses œuvres Princess JellyFish ou Tokyo Tarareba Girls.
Akiko Hayashi veut devenir dessinatrice de manga shôjo. Elle imagine sa vie adulte avec toutes les étapes importantes, comme l’âge auquel elle serait éditée ou encore l’âge ou son manga serait adapté en anime… Étant très narcissique et bien trop sûr d’elle, Akiko est convaincu que ses compétences en dessin lui ouvriront les portes des écoles les plus prestigieuses. Sa rencontre avec un professeur d’art plutôt agressif va complètement bouleverser sa vie.
On dirait que toute l’histoire est inventée tellement elle est folle ! Je ne connaît aucun prof de dessin qui critique aussi violemment les talents de ses élèves ou qui hurle sur des enfants en bas âge et des petits vieux ! Les dessins sont presque caricaturaux, c’est assez agréable a lire et les dialogues sont excellents tant au niveau humour que sur le réalisme ! Le fait qu’Akiko se fasse remettre les idée en place a grands coup de sabre en bambou alors qu’elle est très sure d’elle et qu’elle a les chevilles bien gonflée m’a beaucoup fait rire. La langue de vipère de ce prof qui hurle sur Akiko est aussi très drôle. Pour autant, même si ce manga est assez comique, il ne m’a personnellement pas plus marqué que cela. Ce manga reste tout de même une bonne lecture, très divertissant pour passer le temps