Kindergarten wars de You Chiba (Ki-Oon)

Rita est la dernière recrue du “Kindergarten Black”, surnommé “la maternelle la plus sûre du monde”, qui accueille les rejetons de l’élite du pays. La réputation de l’établissement n’est pas usurpée : ses employés sont des criminels aguerris chargés de repousser toute attaque ! Rita elle-même est une tueuse légendaire qui, en échange d’une remise de peine, a accepté ce poste hors du commun… Mais cette experte du combat ne rêve que d’amour ! Pour elle, tout assaillant est un potentiel futur copain, à condition d’être beau et, surtout, de partager ses goûts bien tranchés. Cuisine, cinéma, personnalité… chaque adversaire est mis à l’épreuve avec un quiz sans concession, où la moindre erreur est punie de mort ! Trouvera-t-elle l’âme sœur sur le champ de bataille de cette maternelle ultra déjantée ?
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Kindergarten wars, le mélange parfait entre éducation et protection dans un monde sans pitié. La maternelle la plus sécurisé du monde, dans le centre ville d’une grande métropole du Japon, lieu en apparence banal, abrite de puissants employés.
Dès le début, on en apprend beaucoup sur, en particulier sur leur vie avant l’école, à l’image de Rita ou Doug. Mais pour d’autres, on découvre des détails seulement au cours de l’histoire, comme leur âge ou leur famille. Les comportements de beaucoup d’entre eux semblent réalistes mais pour d’autres, ça l’est beaucoup moins. Les dessins sont composés d’un mélange équilibré entre traits fins et traits épais, dessinés avec une grande précision. Les expressions et mouvements des personnages sont facilement interprétables même dans les actions de combat, ce qui contracte avec le manque de détails des décors en arrière plan de chaque planche sûrement voulut par le mangaka.
La différence entre le monde brutal des tueurs à gage et le monde enfantin de la garderie se ressent jusque dans les dessins, plus détaillés lors des actions violentes et intenses, et beaucoup plus simple lors de la présence des enfants sur certaines planches. Cela crée un décalage hilarant.
Ce manga de genre shōnen, entre aventure et science-fiction, n’est pas recommandé pour les plus sensibles. Néanmoins, il est très appréciable pour son action et ses rebondissements à lire pour le meilleur et pour le pire.
Kindergarten wars, le mélange parfait entre éducation et protection dans un monde sans pitié. La maternelle la plus sécurisée du monde, dans le centre ville d’une grande métropole du Japon, lieu en apparence banal, abrite de puissants employés.
Dès le début, on en apprend beaucoup sur Rita ou Doug, en particulier sur leur vie avant l’école. Mais pour d’autres personnages, on découvre des détails seulement au cours de l’histoire, comme leur âge ou leur famille. Les comportements de beaucoup d’entre eux semblent réalistes mais pour d’autres, ça l’est beaucoup moins. Les dessins sont composés d’un mélange équilibré entre traits fins et traits épais dessinés avec une grande précision. Les expressions et mouvements des personnages sont facilement interprétables même dans les actions de combat, ce qui contraste avec le manque de détails des décors en arrière plan sûrement voulu par la mangaka.
La différence entre le monde brutal des tueurs à gages et le monde enfantin de la garderie se ressent jusque dans les dessins, plus détaillés lors des actions violentes et intenses, et beaucoup plus simples lors de la présence des enfants sur certaines planches. Cela crée un décalage hilarant.
Ce shōnen n’est pas recommandé pour les plus sensibles. Néanmoins, il est très appréciable pour son action et ses rebondissements à lire pour le meilleur et pour le pire.
Si ton truc c’est l’action, la tendresse, du romantisme, des armes, et des combats sanglants, alors ce manga EST FAIT pour toi !
Kindergarten Wars est un livre très divertissant dans lequel les personnages sont attachants avec une personnalité bien à eux. De plus, la crédibilité inexistante de Rita met une touche d’humour plutôt agréable. Le scénario est intéressant dans le sens où l’auteur utilise des retournements de situation en continu pour que le lecteur ne décroche pas et ne s’ennuie pas.
Les décors sont urbains avec la plupart du temps un petit aspect sale. L’histoire se déroule dans un monde où les armes à feu n’ont apparemment pas beaucoup de restriction. Il y a un petit coté Assassination Classroom dans le sens où l’histoire se déroule dans une école pas comme les autres. L’auteur a vraiment réussi à faire passer les sentiments qu’il veut véhiculer grâce aux touches de graphisme comme les petites bulles et les étoiles aux moments romantiques ou les hachures durant les scènes d’action rapide. De plus, la transition entre la violence et l’humour semble rapide grâce aux expressions faciales très décalées. En résumé, les dessins sont réellement adaptés à l’histoire pour attirer le lecteur.
Le personnage principal de l’œuvre est Rita. Elle sort de l’ordinaire car elle change d’humeur instantanément. Par exemple, au début du livre, elle tombe amoureuse du tueur et à la page d’après, elle lui tire une balle dans la tête. J’aime bien le fait que chaque personnage a son propre design, sa façon d’être, son apparence. En gros, chaque personnage est différent, et ça, c’est COOL !
Pour moi, ce manga n’a pas vraiment sa place dans une catégorie particulière. Je l’aurais mis entre le shōnen et le seinen. En résumé, le ressenti est assez spécial dans le sens où il y a une touche d’humour sarcastique absolument géniale au milieu d’un monde où tout le monde se tire dessus. Si vous aimez les endroits calmes comme les écoles maternelles, avec des maîtresses, mais que vous aimez aussi les armes à feu, les combats violents, alors Kindergarten Wars est fait pour VOUS ! Achetez-le, bon si vous ne pouvez pas l’acheter EMPRUNTEZ-LE ! Mais LISEZ-LE !
Dans ce monde d‘enfants et de tendresse se cache un groupe d’assassins avec un seul objectif : protéger Kindergarten avant que ce soit la Wars.
Kindergarten Wars est un manga drôle grâce à une histoire qui varie entre un style sérieux et décalé.
La dessinatrice You Chiba nous transporte dans son manga par le biais de ses dessins.
Les thèmes abordés sont : l’école, par rapport à son caractère enfantin et humoristique puis la science fiction au sujet de l’assassinat qui délivre un caractère sérieux et irréaliste.
Les personnages dessinés par You Chiba sont réalistes à certains moments et démontrent le sérieux alors qu’à d’autres moments, ces mêmes personnages expriment, par le dessin, soit un côté immoral, soit un côté enfantin. On peut également remarquer des moments détaillés permettant de retrouver une image sérieuse, avec des illustrations noires et blanches et non des couleurs vives pour éviter une saturation de couleurs. Ce manga est difficile à définir dans son genre car il peut être défini comme un manga pour filles comme pour garçons. Il serait plutôt rattaché à une histoire d’aventure, d’humour et sentimentale. Après avoir lu le livre, nous avions pu ressentir une satisfaction car la couverture définit bien l’humour décalé du manga.
Kindergarten Wars, qui est l’un de mes mangas préférés, est un manga à la fois original et décalé, qui mérite d’être découvert pour son concept unique et son approche ludique des conflits enfantins. Le scénario repose sur l’idée folle d’une guerre entre enfants dans une école maternelle, où des batailles sont menées pour des raisons qui, à première vue, peuvent sembler futiles. Cependant, cette absurdité donne une profondeur inattendue à l’histoire, mélangeant humour et moments plus sérieux. Bien que certains arcs puissent paraître répétitifs, l’ensemble reste captivant et divertissant, avec un fond de réflexion sur des thèmes comme la compétitivité et la relation humaine.
Le graphisme est l’un des points forts du manga, avec des dessins expressifs qui capturent parfaitement les émotions des personnages, et un design très coloré qui donne vie à cet univers enfantin. Chaque personnage possède sa propre personnalité visuelle, ce qui rend leur évolution au fil de l’histoire particulièrement intéressante. On apprécie particulièrement la façon dont les visages et les expressions sont exagérés pour accentuer les moments comiques ou dramatiques.
Les personnages eux-mêmes sont un mélange de stéréotypes et de personnalités bien définies. Bien que certains semblent un peu caricaturaux au début, leur développement et les dynamiques entre eux les rendent de plus en plus attachants. La manière dont les relations évoluent, qu’elles soient conflictuelles ou amicales, apporte une certaine profondeur à l’histoire.
L’atmosphère du manga, oscillant entre comédie et moments plus intenses, est aussi un de ses grands atouts. L’école maternelle, bien que colorée et joyeuse, devient un terrain de bataille pour des enfants aux stratégies étonnamment complexes. Cela crée un contraste intéressant entre la légèreté et des enjeux parfois étonnamment profonds.
En conclusion, Kindergarten Wars est une œuvre rafraîchissante qui, sous ses airs de comédie absurde, réussit à aborder des thèmes universels avec originalité. Une lecture à la fois amusante et surprenante, qui ne manque pas de faire réfléchir malgré sa surface légère. Donc lisez le , c’est l’un de mes manga préféré et je suis sûr que vous allez l’adorer vous aussi.
ce manga rejoint totalement le même style que spyfamily ! Parmi un monde en apparence enfantin, se cache tout un monde sans pitié !.
J’adore pour ma part l’humour et les références à de multiples mangas ! la première de couverture façon shojo sous la jaquette, les petites histoires en plus à la fin qui me font toujours bien rire.
Cependant l’histoire prend son temps, on en apprend sur les personnages principaux qu’au fur et à mesure ( Dough et Rita) notamment et ça donne envie de lire pour en savoir plus.
On aimerait bien qu’il u ait une bonne fin pour certains » mechants » qui ont tous une raison d’être devenu ce qu’ils sont. mais comme le rappelle si bien le manga : pas de pitié, c’est tuer ou être tué !
quand au côté graphique il est « simple » mais quand il s’agit des scènes d’actions cela rend le côté épique ! petite note de la mangaka, c’était sa dernière tentative avant d’arreter son rêve de mangaka et le shojo c’est vraiment pas son truc ! d’où toutes les parodies ( hana yori dango…)