Le Palais des assassins de Tabasa Iori (Ki-Oon)
Karin vient d’entrer comme apprentie servante au quartier des femmes du palais impérial. Dans ce lieu à part, elle espère réaliser son vœu de toujours : se faire des amies ! Fille du haut fonctionnaire le plus craint de l’empire et considérée comme le bras armé de son conspirateur de père, elle a toute sa vie vécu isolée. Même si elle est experte dans l’art de l’assassinat, elle n’aspire qu’à une vie normale ! Pourtant, les efforts qu’elle fournit pour se rapprocher de ses camarades sont vains, car la peur qu’elle inspire fait d’elle une paria… Un soir de tempête, alors qu’elle est au bord du désespoir, un garçon s’approche pour lui offrir son parapluie avant de disparaître… Ce n’est autre que l’empereur lui-même ! Ce geste d’amitié inattendu redonne courage à la jeune fille, qui jure de prouver sa reconnaissance. L’occasion ne tarde pas : elle débusque un assassin infiltré qui cherche à atteindre le petit monarque et l’élimine grâce à ses talents cachés ! Tant de gens veulent la perte du souverain… mais Karin se promet de le protéger dans l’ombre !
3 Commentaires
Le Palais des Assassins est un manga intrigant qui mêle action, mystère et politique dans un univers riche et sombre. L’histoire, bien que prenante, peut parfois être lente à se déployer, mais elle reste captivante grâce à ses rebondissements et à la profondeur de ses enjeux. C’est pour cela que j’ai beaucoup aimé ce manga et j’écris ce commentaire pour vous le faire aimer, vous aussi.
Le scénario est complexe, explorant des thèmes de trahison et de manipulation, tout en maintenant une certaine tension tout au long de l’histoire. Toutefois, certains passages peuvent sembler un peu alourdis par des dialogues ou des introductions de personnages.
Les dessins sont détaillés, avec une bonne gestion des ombres qui renforce l’ambiance du manga. Les scènes d’action sont dynamiques, et les expressions des personnages ajoutent beaucoup à leur caractère.
Les personnages sont bien travaillés, chacun ayant une histoire et des motivations qui les rendent plus nuancés et attachants. Leur évolution est crédible et intéressante, ce qui les rend plus profonds.
L’atmosphère générale est sombre et mystérieuse, remplie de tension, où le danger semble toujours proche. L’univers est complexe, renforçant le sentiment d’un monde en perpétuelle instabilité.
En somme, Le Palais des Assassins est une œuvre intrigante, bien conçue et immersive, malgré quelques passages plus lents.
En poussant les portes du Palais des Assassins, nous découvrons une jeune fille à qui il arrive beaucoup de misères.
Dès que nous avons eu ce livre entre nos mains, nous avons senti que se dégageait un grand potentiel émanant de l’ouvrage. La couverture de ce livre est emplie de nombreuses couleurs vives, ce qui contraste totalement avec les pages sombres.
Dès le début, nous plongeons dans le Japon médiéval d’un manga qui pourrait être considéré comme un seinen. Les personnages ont tous une histoire intéressante et différente à l’image du personnage principal qui est une jeune fille, à première vue angélique mais qui a, en fait, un côté démoniaque.
Certains passages paraissent ennuyeux mais il y a souvent des rebondissements qui contrebalancent ce premier sentiment.
Enfin, il règne dans cet ouvrage une atmosphère très très très très très mystérieuse qui donne envie de dévorer le prochain tome. Nous vous conseillons de lire ce manga car il permet d’en apprendre plus sur le Japon féodal.
Trahisons, meurtres, énigmes : cela vous donne envie ? Poussez les portes et BIENVENUE dans Le Palais Des Assassins.
Nous apercevons directement le personnage principal : Karin qui nous guette avec son regard noir, ses yeux bleus et sa personnalité maladroite qui l’empêche de se faire des amies. Néanmoins, une capacité héréditaire lui venant de son père lui permet d’être très habile pour le combat. D’ailleurs, son père, plus connu sous le nom de d’O KO, effraye tous les habitants et nous aussi. Nous pouvons également voir que Karin est une très bonne couturière grâce aux graphismes apportés sur les détails des tissus et de ses yeux.
Ayant été isolée toute sa vie, Karin devient servante sous la surveillance de son père. Rejetée tel un déchet à cause du passé de son père et de son regard transperçant transmis par celui-ci, la vie en société devient complexe, étant donné l’étiquette que lui donnent les habitants. En lisant ce manga, nous nous sommes identifiées à Karin à cause de plusieurs préjugés vexant qui nous ont fait penser à notre pratique sportive que certains trouvent encore inhabituelle. Les préjugés peuvent mener à du rejet, une chose à modifier car elle peut faire mal.
PS : Il est important de lire… Alors, autant lire un livre qui vous plaira !!!!!!!!!!!!!!!!