RedFlower de Loui (Glénat)
Kéli est un adolescent impétueux qui ne rêve que d’une chose : passer le rituel du Katafali afin de devenir un homme aux yeux de sa tribu. Seulement, le jeune garçon peine à intégrer pleinement la philosophie pacifique de son peuple, ainsi que les sages conseils de ses aînés… C’est alors qu’Anansi, le sorcier, a une vision d’apocalypse : le village va se faire envahir par des étrangers dotés d’un pouvoir mystérieux et meurtrier ! Les membres du clan se trouvent désormais face à un dilemme : comment se défendre face à cet ennemi quand leurs croyances leur imposent la non-violence ? Kéli tient-il là l’occasion de prouver sa valeur ?
8 Commentaires
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J’ai adoré ce manga, il est vraiment incroyable ! Le scénario est trop bien car ça change de certains mangas. Ça nous projette vraiment au cœur de la vie de Kéli. En plus de ça, dans le manga il y a des documents qui sont très explicatifs, ce qui nous permet vraiment de nous plonger dans la vie de cette tribu. Le graphisme est très détaillé même sur les scènes de combat. Les personnages sont super beaux et parfois drôles comme le sorcier Anansi, L’histoire est vraiment belle je vous conseille de le lire absolument !
Super livre, l’histoire est passionnante et je n’ai pas vu le temps passer en le lisant. La vraie aventure ne commence que vers la fin du tome mais le début, avec la mise en place de l’intrigue, est quand même passionnant. Le petit est arrogant, fort et n’atteint jamais son but : c’est ce qui est intéressant chez lui, de voir tout le mal qu’il se donne pour surpasser son frère mais n’y arrivant pas, il se ridiculise un peu devant tout le monde. Il rate tout ce qu’il fait, cela rend son personnage attachant. J’attends avec impatience de lire le tome 2 🙂
J’ai adoré Red Flower car ce n’est pas le style « classique » d’un manga, ce qui fait qu’on n’a pas l’impression d’avoir déjà lu ce livre. L’univers et l’histoire sont tout à fait inédits et les dessins, magnifiques, y sont parfaitement adaptés.
Par ailleurs, je trouve qu’il y a une forme de philosophie dans cette histoire, une morale qui dit « c’est bien d’avoir un idéal et de tout faire pour le réaliser, mais c’est aussi important de faire attention à nos proches, autrement on risque de réussir…mais seul. »
La fin aussi est très bien trouvée, il y a un suspens insoutenable ! Je pense que l’on va passer dans une autre phase de l’histoire, mais dans tous les cas…vivement la suite !
Je tiens à préciser que je n’aime vraiment, mais alors vraiment pas Anansi le sorcier. Mais bon, sans lui, l’histoire serai beaucoup moins intéressante.
Red flower est un très bon manga au niveau du scénario et avec de très bons dessins. On dirait qu’il a été fait par un mangaka japonais mais non ! C’est un manga français !
D’ailleurs, on a rencontré Loui aux journées finales de Manga’titude en juin 2024 et cela m’avait donné très envie de lire son manga. Loui est un mangaka gentil, drôle, avec un parcours semé d’embûches qui s’est accroché et qui a eu raison : après avoir fait une auto-édition et galéré dans des salons comme la Japan expo, il a été publié par Glénat, l’éditeur de One piece ! Je peux vous dire que je ne suis pas déçu par cette lecture! C’est le meilleur de ce que j’ai lu « Made in France » !
Le personnage principal se nomme Kéli, il ne rêve que d’une chose, c’est de passer l’épreuve du Katafalie afin de devenir un homme aux yeux de son village. On va suivre son aventure à travers les mythes africains. C’est un très bon manga qui rassemble mythes, pouvoir, mystères et arts martiaux.
Il y a beaucoup de dynamisme dans l’histoire et dans le dessin, beaucoup de mouvement et d’action. C’est très prenant, ça se lit vite et on ne voit pas le temps passer.
Je vous le conseille donc les yeux fermés !
Red Flower est mon coup de cœur sur cette sélection. Le manga est long, les dessins expriment clairement l’émotion que l’on est censé ressentir devant, par exemple le roi de la tribu qui est très imposant. Les explications à la fin des chapitres sont très utiles pour comprendre l’histoire. Mon personnage préféré est probablement la grand mère qui fait progresser Keli, même si ce dernier s’entête dans ses erreurs. Il y a une chose que l’on ne peut pas comprendre au début du manga, c’est le fait que Kéli se compare à son frère. On se demande logiquement « Pourquoi ? », puis on comprend que Kéli se sent obligé de faire comme lui pour être reconnu. Mais en voulant faire comme lui, il fait beaucoup de mal aux autres sans s’en rendre compte. Kéli est un personnage qui est entouré de ses amis, mais qui a besoin de l’attention de tous et pas uniquement de celle de ses amis.
J’ai beaucoup aimé ce manga car le contexte est original et de plus c’est un auteur français qui l’a écrit. C’est rare de trouver des mangas s’inspirant des tribus africaines et de leurs rituels. Le lecteur découvre les origines de Loui, l’auteur. L’histoire est bien écrite, le scénario est intéressant. Les graphismes sont superbes : les personnages et les paysages sont dessinés avec beaucoup de détails ; les traits sont fins.
Pour moi, un seul défaut : je me suis parfois perdue dans les paroles et les pensées du personnage principal, Kéli.
Mais, j’ai quand même apprécié ce manga.
J’ai adoré l’univers de ce manga il est vraiment pas comme les autres ,les dessins et les schémas explicatifs sont magnifiques j’ai adoré suivre les aventures du petit Kéli il est fort et très attachant j’ai adoré les personnages secondaires ils apportent vraiment du bonheur dans l’histoire
J’ai hâte de lire le tome 2
Keli est un enfant qui veut apprendre les arts martiaux comme son frère qui est fort dans ce sport. Il l’espionne pour pouvoir lui ressembler et devenir aussi fort que lui. Sauf que Keli n’est pas adulte et qu’il n’a donc pas le droit de faire ce sport de combat.
Les dessins sont bien faits mais il y a trop de choses dans la même case. Par contre, les dégradés de noir et gris sont réussis.
L’histoire est bien travaillée, drôle et l’univers est bien aussi. Mais la fin est triste.
Le manga est bien : j’ai aimé l’histoire, le dessin et les personnages (malgré le fait que les dessins soient surchargés).
UwU