Il était une fois un frère et une sœur qui étaient de grands sorciers…
Le grand frère découvre le moyen d’accéder à l’immortalité : dévorer des âmes. Il devient alors le Seigneur de la mort, à chaque fois un peu plus assoiffé d’âmes humaines, et il lance sur le monde les Larvas, des humains métamorphosés chargés de récolter des âmes pour lui. Sa petite sœur Lemuria, se rebelle et fonde un ordre de chevaliers chargé de traquer et éliminer les Larvas…
Deux cents ans se sont écoulés… Le jeune Cyan décide de devenir lui aussi un chevalier pour sauver l’âme de la descendante de Lemuria. Mais pour cela, il se lance dans une quête qui pourrait bien lui coûter la vie…
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Bonjour, je vais vous parler de The Grim Reaper and an Argent cavalier. Ce manga a été écrit par Irono et est sorti le 7 juillet de cette année au éditions Kana. La jaquette représente Cyan un jeune chevalier d’argent qui a perdu ses parents. Celui-ci pour protéger Reinette Lemuria, une jeune fille, va perdre se qu’il a de plus cher. Je n’en dis pas plus, pour pas vous spolier!
Les dessins son superbes, ils montrent vraiment les sentiments des personnages.
Les personnages, parlons-en : je vous ai déjà parlé de Cyan un personnage très attachant. Il y a également Reinette Lemuria, la petite fille du guide spirituel du culte de Lemuria. Vous devez vous demander qui est Lemuria ? Ce n’est autre que la sœur du seigneur de la mort qui a vécu 600 ans avant le début de l’histoire. Cyan va d’ailleurs combattre des monstres nommés Larvas qui sont des envoyés de la mort. Ici, également je n’en dirait pas plus.
J’allais oublier, si vous pouvez regarder la 1ère et 4ème de couverture ( en dessous de la jaquette), il y a une mini bande dessinée. Je vous le conseille, elle est vraiment bien, d’ailleurs le tome 2 est déjà sorti pour ceux qui veulent lire la suite. Bonne lecture.
Ce manga de style dark-fantasy est assez intrigant et rempli de péripéties malgré le fait que le tome 1 ne soit que le commencement de l’histoire.
Grâce à ce tome 1, nous découvrons un personnage principal qui a des principes et qui s’y tient malgré le grand nombre de difficultés qu’il ne tarde pas à rencontrer.
Je le conseille vivement pour tous. Il est rempli de rebondissements et d’émotions qui nous tiennent en haleine jusqu’au bout et une fois commencé on ne s’arrête plus.
Grim Reaper est un shonen publié aux éditions Kana, dont l’univers appartient à celui de la fantaisie.
Le style graphique du manga est très beau et très clair, les expressions des personnages sont très bien illustrées et très emblématiques. Les détails sont présents et magnifiques.
L’histoire, elle, est très émouvante et elle nous permet de nous attacher aux personnages principaux avec une simplicité agréable. Pour ce qui est de la couverture du manga, je trouve qu’elle est assez aguicheuse de par ses couleurs et par son style graphique. La couverture du manga est également réversible, ce qui donne une touche assez impressionnante au manga. De plus, la couverture nous représente bien l’univers du manga avec les couleurs argentées.
Enfin je trouve que ce manga est assez émouvant et agréable.Je pense que celui-ci pourrait plaire à une grande majorité de personnes, et pour cela, je vous conseille de le lire et de lire également les tomes suivants, comme moi.
La quatrième de couverture de « Grim Reaper », le catégoraisant dans la dark fantasy. Ce genre littéraire ne s’y prête absolument pas. Des titres comme « Ubel Blatt » ou bien « The Arms Pedler » sont des manga de la dark fantasy, un univers très sombre n’hésitant pas à montrer des corps inanimés, des scènes plus poussées et un public plus averti. C’est donc déjà un faux départ pour ce manga. Ensuite graphiquement, je dirais qu’il est repoussant en plus du scénario peu imaginatif qu’il a fallu à l’auteur, les traits, les expressions et les mouvements ne nous donne pas envie, ça devient un obstacle parfois pour se sentir dans l’histoire. Ensuite les personnages : le protagoniste est plus bateau, cliché, sans plus, peu de caractère pouvant le différencier des autres. C’est un manga simple se ralliant sous le genre de la fantaisie, c’est un shônen simple comme on peut en trouver. Ce n’est que mon avis mais ce n’est pas un manga que je recommanderai en lecture, mais toute lecture est bonne à prendre donc pour ceux qui hésitait ou qui ne voulait pas le lire, faites-le. Lors de ma lecture je restais sur ma faim et je suis déçu de cette aventure.
Un premier tome qui plante le décor pour ce manga sur fond de dark fantasy. Un univers que la mangaka a créé de toutes pièces, rappelant un peu les vampires qui aspirent non pas le sang mais l’âme. Nous faisons la connaissance de Cyan, un petit garçon qui ne veut plus être chevalier d’argent ( sorte de soldat là pour tuer les Larvas ). Sa mère est morte devant lui, tuée par une de ces créatures et son père est très souvent absent étant en mission pour éradiquer ces monstres. Mais son père revient un jour accompagné d’une petite fille qui n’est autre que la descendante de Lemuria.
On apprend donc l’histoire des Larvas et de leur création. Deux camps s’opposent. Ceux avec le Seigneur de la mort, côté obscur et ceux du côté de Lémuria, la lumière qui les tue. Une histoire complexe mais très intéressante…Un début qui a permis de tout mettre en place. Les personnages sont très attachants, Jade dégage, je trouve, beaucoup de charisme et de puissance. Il est également mystérieux et bourré d’humour! J’ai hâte d’en apprendre encore plus sur lui. Cyan quant à lui est très déterminé ! Il a une volonté de fer et il est vraiment prêt à tout pour sauver Rainette et se venger. Il tient à tuer tous ces monstres, même s’il a muté et qu’il frôle avec le danger d’en devenir un.
Les dessins sont très beaux, un peu complexes par moment, j’avoue que pour certaines pages j’ai du mal à comprendre tout ce qu’il s’y passe. Un premier tome prometteur, qui annonce des aventures et des péripéties à venir. Sans compter que le duo Jade et Cyan est très drôle.
Un bon début qui donne envie de lire rapidement la suite !
Dans un monde parallèle, gouverné par la tyrannie des Larvas, envoyé de l’enfer et mangeur d’âmes humaines pour leur maître tout puissant – un sorcier maléfique, immortel grâce à la consommation d’âme – vit un ordre des chevaliers d’argent où nous allons suivre l’épopée du chevalier Cyan, meurtrie par la mort de ses parents dévorés par des Larvas. Il est sous l’admiration d’une jeune sainte et il est près à tout pour la protéger. Sur une trame simple d’un shonen, un héros qui devient fort pour sauver sa dulcinée et combattre le méchant monstre qui contrôle tout, arrive à donner un souffle entre les pages. La mythologie et les pouvoirs sont assez originaux mais n’altèrent pas le manga. Les graphismes et la mise en page sont séduisants et traduisent bien les combats. Cela permet une lecture fluide et agréable. Les personnages sont assez énigmatiques, un approfondissement je pense sera fait dans les prochains tomes pour garder du suspense. Pour conclure, j’ai apprécié cette lecture, sans grande prise de tête. J’attends quand même la suite et espère une fin digne de ce nom et inattendue pour le rendre unique et se détacher de cette trame du shonen classique.
Le manga est très intéressant et facile à lire. Le travail graphique est vraiment bien fait. L’histoire tient la route. Nous sommes plus habitués à trouver de la « Dark fantasy » dans les romans ( « Les chroniques du monde émergé » par exemple) mais cela est assez novateur dans le monde des mangas. Le fait qu’il y ait 6 tomes montre que l’histoire est intéressante et propose une longue intrigue. Je vous conseille de lire ce livre car il est vraiment passionnant et facile à comprendre.
Grim Reaper est un manga classique type Dark Fantasy. Mais un peu trop classique. Je vais être franc dès le début, je n’ai pris aucun plaisir lors de la lecture de ce livre. Trop peu de contenu, une histoire cousue de fil blanc et sans grand intérêt. Je dirais que, dans l’ensemble, le manga reste « bon », mais je n’ai pas trouvé d’originalité ni de surprise autant que dans les autres mangas du Prix. J’ai trouvé trop peu d’entrain, même dans la volonté de l’auteur d’amorcer une quelconque envie, une passion qui puisse me donner l’envie de lire, car l’intrigue reste extrêmement basique. On suit un héros voulant sauver une princesse dont il est tombé amoureux quand il était petit, et deviendra de plus en plus fort etc. Un élément reste toutefois amusant, le fait qu’il devienne lui même un des ennemis qu’il s’est juré de combattre. Cela rajoute quelque piment à l’aventure, mais sans trop relever son goût pour moi déjà trop insipide. Je rajouterai un univers qui manque d’entrain et des personnages sans beaucoup d’énergie, d’originalité, d’un je ne sais quoi qui vous surprend et qui vous y attache! De plus, le dessin m’a laissé sur ma fin. Un style un peu vide d’expression et qui ne donne pas la pêche (quoique normal pour un dark fantasy), mais quand même, on aurait voulu voir plus de combats, de retournements de situations, de l’éclate, en soi. Et ce n’est pas ce que j’ai retrouvé dans Grim Reaper, à mon grand regret.
Bienvenue dans la Dark Fantasy ! Kana, à travers ce nouveau volet, nous emmène dans un monde neuf avec certes une histoire des plus classiques mais pleine de rebondissements. Les dessins sont suffisamment détaillés pour un univers comme celui-ci mais pas d’excès de manière à ne pas noyer le spectateur dans les dessins jusqu’à en oublier l’intrigue. Cyan , héros simplet tenu par une promesse se lie d’amitié avec Jade, illustre membre de la famille des Lemuria qui s’oppose tout au long de l’histoire au camp du seigneur de la mort, avide d’âmes dont il s’empare à l’aide de larvas , monstres de sa création. Tout au long de l’histoire, nous allons suivre cette lutte pour la sauvegarde de l’espèce humaine contre le seigneur de la mort. Je conseille fortement ce manga pour les avides d’univers parallèles en quête d’une lecture des plus sympathiques.
Grim Reaper est un manga déroutant malgré la banalité de l’histoire qui reste adaptée à toute personne. Il ne fait pas forcément partie des mangas que j’ai préférés de la sélection de cette année. Les dessins restent classiques. Toutefois l’auteur du manga, Irono, a fait preuve de beaucoup d’imagination pour tenir l’accroche et il a réussi, à travers son écriture, à nous faire interpréter une voix particulière à Cyan , le personnage principal. Je le recommande à toutes les personnes appréciant la Dark Fantasy et ceux qui aiment les histoires fantastiques.
Dans un monde de fantasy où un puissant seigneur noir lève son armée mangeuse d’âmes, des héros se dressent face à lui. Les chevaliers d’argent et les religieux du culte de Lemuria protègent la population. Après avoir vu son père mourir devant lui sans pouvoir intervenir Cyan intègre l’ordre des chevaliers d’argent. Lié à la jeune Reinette, il promet de devenir son épée et son bouclier afin de la protéger et d’éradiquer la menace.
Un shonen dark fantasy bien classique apparemment qui ne tente pas de réinventer le genre.
Comme le laisse entendre le scénario classico shonen au possible, celui-ci se déroule sans grands rebondissements. Les événements s’enchaînent sans jamais surprendre et les révélations n’aident pas non plus à maintenir le rythme. Cyan suit le schéma classique de jeune homme qui veut faire le bien et qui déchante vite face à la réalité. Quant au mentor qui forme le duo principal avec lui, malgré un chara design plaisant ( bishonen oblige)on se retrouve avec un pseudo vétéran efficace qui tente d’être sombre et charismatique.
Le manga se tire lui-même une balle dans le pied en se présentant comme de la dark fantasy. La fantasy sans magie ou monde vraiment original devient plate et ce n’est pas par ce qu’il y a une armée des ténèbres et des morts que ça rend l’histoire dark. Au contraire on glisse dessus avec beaucoup trop de superficialité pour que l’histoire tende sur quoi que ce soit de sombre.
Quant au dessin il ne sert pas vraiment le propos. Sans beaucoup de style l’auteur sert des environnement fades et des personnages beaux mais ni charismatiques ni véritablement stylisés. Le dessin est clair, sans trop de détails et le découpage est académique ce qui n’offre pas d’avantage d’informations à cet univers déjà bien léger.
Pour ceux qui souhaitent une lecture sans prise de tête avec un dessin passable et une histoire oubliable ce manga est lisible. Il n’est pas mauvais non plus mais bien trop lisse et classique pour susciter beaucoup d’émotions. Cependant pour les amateurs d’univers construits ou de dark fantasy mieux vaut passer son chemin au risque d’une déception. Cette série s’étendant sur 6 tomes on peut espérer que l’auteur s’améliore dans les suivants.
« Grim Reaper » raconte les aventures de Cyan, un courageux orphelin qui deviendra un chevalier d’argent pour ainsi faire face au sombre seigneur de la mort et ses monstrueux sujets.
Les planches sont parfaitement aérées, dynamiques et sont toutes simplement séduisantes. Le noir, blanc et les nuances de gris permettent une profondeur donnant du relief à l’histoire et à ses personnages en les introduisant dans un univers singulier et riche en détails. Même les couvertures colorés collent parfaitement au monde créé par l’auteur et à l’idée que s’en font les lecteurs.
L’ambiance de ce manga se veut sûrement sombre et malheureuse cependant alors que le scénario permet d’instaurer une certaine noirceur, ce sont les traits et les choix des personnages principaux, enfantins qui décrédibilisent cette part sombre voulue.
Cependant, ce fait est normal, ce livre s’adresse avant tout à un public de cet âge. Mais pour la sélection lycée c’est un peu décevant… J’aurai aimé suivre les péripéties d’un adulte, ou jeune adulte. Heureusement la violence des actions, la présence de sang, tout les jeux de regard vide et désemparé et les coups de gueule pourtant crédible des personnages rehaussent assurément mon avis qui reste majoritairement positif.
Oui voilà, même si l’on suit les aventures d’enfants, l’histoire reste crédible et passionnante !
Je conseil vivement ce manga ! Lisez le, c’est une bonne aventure !
Grim reaper est au shonen, ce que « Lovely Complex » est shojo : un stéréotype.
Tous les codes du shonen sont là : un garçon, une fille, des combats.
Évidemment si le garçon doit lutter contre sa nature (nature qui lui fut imposée) c’est mieux. Cela nous donne comme un arrière goût de « Tokyo Ghoul ».
Pour ce qui est des personnages : Cyan, le personnage principal, qui a -bien sur- un passé tragique, va être transformé en larva et va devoir contrôler sa faim d’âme humaine. Encore une fois, cela nous rappelle Kaneki Ken de « Tokyo Ghoul ». Ne parlons même pas de sa rencontre avec celui qui lui fera prendre conscience de son état, qui encore une fois nous fait penser à la rencontre Kaneki / Nishiki.
Bien sûr, ce sont deux shonen reprenant les codes basiques de ce genre donc rien d’étonnant dans les similitudes.
Pour ce qui est des dessins, un bon point, c’est fluide, lisible et juste assez chargé sans trop l’être.
L’ambiance globale du manga est encore une fois, très shonen. Rien de nouveau. Que du déjà vu.
Je termine ce commentaire sur l’ennui que j’ai éprouvé en lisant ce récit.