Un septuagénaire corrézien a procrastiné la réparation de sa maison qui, elle, n’a pas reporté son effondrement :il n’a pas résisté au poids du plafond.
« Je savais parfaitement que l’oppresseur doit être libéré tout comme l’opprimé. Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de sa haine, il est enfermé derrière les barreaux de ses préjugés et de l’étroitesse d’esprit. (…) Quand j’ai franchi les portes de la prison, telle était ma mission: libérer à la fois l’opprimé et l’oppresseur. » (Autobiographie) [Lire la suite…]