Dans plusieurs pays du monde, et depuis plusieurs mois maintenant, de nombreux étudiants font grève à cause du manque de réaction des États et des sociétés face au réchauffement climatique.
La Belgique est un exemple de pays où les étudiants se rebellent. Là-bas, plusieurs collégiens et lycéens font grève et vont défiler dans la rue pour montrer leur colère face à l’inaction du pays contre le réchauffement climatique. Le 10 janvier 2019, trois milles de ces courageux étudiants défilaient dans leur ville. Le nombre ne fait qu’augmenter : le 24 janvier 2019, ils étaient désormais trente-cinq mille à marcher dans la capitale de la Belgique.
Plusieurs villes d’Allemagne et de Suisse ont également rejoint ce mouvement de grève le 18 janvier. Toutes ces villes font partie de l’Europe, mais de nombreux autres pays, comme l’Australie, soutiennent tous ces jeunes grévistes. Lors de la COP 24, une jeune Suédoise nommée Greta Thunberg, a fait un discours assez percutant sur le réchauffement climatique. Lors de ce discours cette jeune fille âgée de 16 ans, ainvité les étudiants grévistes du monde entier pour une grève internationale. Cette adolescente déterminée est la première a avoir lancé une grève de l’école en septembre 2018. Greta Thunberg a ensuite décidé d’aller manifester sur les marches du parlement de son pays tous les vendredis. Elle distribue aussi des tracts aux passants sur lesquels il est marqué : « Je fais ça parce que vous, les adultes, vous ch*** sur mon avenir ».
Au début, ce mécontentement est parti d’une seule personne: Greta Thunberg, puis de nombreuses autres personnes l’ont rejointe. Peut-être qu’un jour, ces jeunes arriveront à convaincre les chefs d’Etat qui ne croient toujours pas au réchauffement climatique, comme Donald Trump, climato-sceptique.
Zélie CHANTEREAU (5ème)
Sources d’information : madame figaro, huffingtonpost
