
Poème et illustration d’ Elisabeth (atelier lecture-nature, 6e)
Nov 24

Rencontre avec Adèle Tariel à l’occasion de la Foire du Livre de Brive.
Le vendredi 7 novembre, l’autrice Adèle Tariel est venue présenter son dernier album, Peuple de plumes, à des élèves du collège Bossuet à Brive. C’est une histoire pour la planète : Gloria, l’héroïne, veut sauver le peuple de plumes, cloué au sol dans un monde pollué alors que les hommes habitent le ciel dans des demeures suspendues. La première de couverture est très belle et a incité plusieurs d’entre nous à lire son aventure avant l’arrivée de Madame Tariel.

Raphaël : Est-ce que « écrivaine », c’est votre métier ? Est-ce que vous faites autre chose ?
Avant d’être écrivaine, j’étais journaliste et j’ai travaillé pour Le Quotidien. Ce métier consiste à trouver des informations bien entendu mais aussi à les vérifier. Depuis trois ans, je me consacre à l’écriture. J’organise des ateliers d’écriture dans les médiathèques, j’écris des livres et participe à différents salons du livre, comme la Foire du livre de Brive.


Elyah : Est-ce que vous avez écrit d’autres livres ?
J’écris différents genres d’ouvrages : des albums pour enfants, des romans aussi. Mon premier livre est sorti en 2011. Dans Bertille et Brindille, l’histoire peut se lire dans les deux sens : il y a Bertille qui cherche son chat Brindille et, inversement, Brindille qui cherche sa maîtresse, Bertille. Mais j’ai aussi écrit un roman sur un sujet sérieux et important, le harcèlement. Dans La meute, un professeur d’histoire-géo en est victime sur les réseaux sociaux.

Cyril : Pourquoi avez-vous voulu écrire ce livre ?
On m’a offert une image qui m’a inspirée : celle d’un corps mi-homme, mi-oiseau. Cela m’a fait réfléchir. L’homme est attiré depuis longtemps par les oiseaux. Chez les Égyptiens, par exemple. A Lascaux, aussi. Il y a une gravure préhistorique d’un homme avec une tête d’oiseau et un long bec. Je voulais parler de la connexion à la nature et de la pollution. J’ai alors imaginé que ces oiseaux étaient des créatures qui avaient muté à cause de la pollution.
Louise : Combien de temps vous a-t-il fallu pour réaliser ce livre ?
Cela a pris plusieurs années. Plusieurs mois, en plusieurs étapes. Il y a d’abord eu un synopsis, puis cela a été divisé en plusieurs parties et, ensuite, j’ai écrit à l’intérieur et envoyé à l’illustrateur qui m’a renvoyé ses croquis. Il y a eu pas mal d’allers et retours avec l’illustrateur.
Gabriel : La végétation repousse à la fin dans le monde d’en bas et la nature reprend ses droits. Est-ce que vous êtes optimiste pour l’avenir de notre terre ?
Dans l’album, les oiseaux se sont transformés en fonction du climat, j’espère que cela n’arrivera jamais, bien sûr. J’espère que la Terre restera habitable pour la génération à venir. C’est une dystopie, c’est-à-dire un monde dans un futur imaginaire mais inquiétant. Le pays de Gloria est une dictature ; le conseil des sages décide de tout et le peuple de plumes n’a aucun poids décisionnaire. Cela fait penser à une politique de ségrégation, il n’a pas les mêmes droits que les autres.
Adèle Tariel a aussi déplié un livre au format vraiment original, Le monde perdu, dont les pages ne se feuillettent pas comme dans un livre ordinaire. Adèle Tariel a publié 28 livres et il devrait en sortir 3 autres l’an prochain.


Elle nous a proposé une activité ludique : dans une double page de l’album, elle avait ôté les bulles et les dialogues et il s’agissait pour nous d’imaginer les paroles des personnages. La rencontre s’est terminée par une séance de dédicaces. Lucas n’avait pas le livre mais a fait dédicacer sa double page !

Avis sur Peuple de plumes par Gabriel et Louise :
Ce livre est très intéressant. L’histoire nous permet de comprendre qu’il faut prendre soin de la nature, la respecter et que cela nous permettrait de vivre mieux. Les illustrations sont très bien.
Nous avons un scoop à vous annoncer ! Il y aura peut-être une suite, elle l’envisage avec l’illustrateur.
L’équipe de l’atelier Lecture-Nature.
Juin 16
Nous pratiquons l’équitation depuis plusieurs années et nous souhaitons partager notre passion. C’est un sport exigeant et physique.
L’équitation est tout d’abord un art et un mode de vie avec plus de 20 disciplines, 40 métiers et des millions de pratiquants dans le monde.
L’équitation est un des sports les plus anciens au monde en traversant les époques comme l’Antiquité, le Moyen-Age et maintenant de nos jours avec plus de 700 000 cavaliers partout en France et plus de 21 000 chevaux vendus en 2024, ce nombre est en progression de 12% par rapport à 2019.

L’équitation réunit plus de 20 disciplines officielles comme le dressage, le CSO (concours de saut d’obstacle), la voltige ou le cross ; l’équitation est inscrite aux Jeux Olympiques depuis 1900 la première fois à Paris.
L’équitation est en sport de passion ou le bien-être du cheval est primordial, et la sécurité aussi.
C’est un des sports les plus dangereux au monde avec plus de 6000 accidents en France en 2024 et plus de 30% de fractures mais il est toujours aussi adoré par les cavaliers du monde entier.

Maël Enaëlle 6B BOSSUET
Juin 16
Le comte de Monte Cristo raconte l’histoire d’un jeune homme tombant amoureux d’une femme de famille riche. Il est engagé dans la marine avant d’être arrêté. L’histoire raconte sa vengeance.
L’acteur phare
Pierre Niney joue le comte de Monte Cristo. Il incarne parfaitement le rôle ; il est à la fois bouleversant et attachant. Il reflète parfaitement le rôle du comte de Monte Cristo.
Mon avis sur le film
Ce nouveau comte de Monte Cristo est magnifique. L’histoire est intéressante, pendant les deux heures, on ne s’ennuie pas. On sait où on va et l’histoire est palpitante.
Seul bémol : la fin est très longue. Malgré cela, nous recommandons vraiment ce film.
Jules Grimmett, Gaspard Vandooren
Avr 18

La droséra du Portugal (Drosophilum lusitanicum)
Plante très surprenante et originale. Espèce insectivore à longues feuilles fines portant de nombreuses glandes « digestives ». Fleurs jaunes se fermant le soir . Se rencontre
dans des garrigues sur silice
Description :
-Taille de la plante : 20 à 50 cm
-Diamètre de la corolle : 30 à 40 mm
-Type végétatif : vivace
-floraison : de Avril à Septembre
-Altitudes : de 0 à 1200 m
-Répartition : Ibéro – Maghreb
-Famille : Droseraceae
Louis 6°E
florealpes.com
Quelque photo de la droséra du Portugal
florealpes.com