Petite photo souvenir de la journée à Tulle. Beaucoup de travail en perspective, de bonne humeur, mais pas trop de bonbons. Juste un, pour la forme.
Mar 21
Alerte incendie à l’IUT !
En pleine séance du comité de rédaction, alarme incendie à l’ IUT! Affolement général ! Cohue dans les couloirs ! on y croit, on n’ y croit pas ? Juliette n’y croit pas . Elle a entendu qu’il y aurait un test . Maëlys n’y croit pas . Elle précise que les intervenants l’ont bien dit ! Notre professeur n’écoutait pas. Elle était plongée dans l’actualité du jour ! Cassandra a vu les pompiers manger tranquillement un gâteau. Ouf! On est sauvé! C’était un contrôle de sécurité.
Mar 21
« Mutuellisons » solidaires
Le jeudi 21 mars 2024 nous avons rencontré et interviewé Nordine Khabez, président de la MGEN en Corrèze, Mutuelle Générale de l’Education Nationale. Il nous a expliqué ce qui permet selon lui de préserver sa santé en 2024.
Après quelques mots sur sa fonction à la MGEN, qui est une mutuelle militante, notre intervenant insiste sur le sujet de la santé, l’importance du sport, la nécessité de réduire l’utilisation des écrans, le rôle de la nourriture. Il est également important pour les jeunes, a-t-il dit, d’avoir un contact et d’aider les gens plus âgés, ce qui renforce d’ailleurs la production de dopamine car on se sent utile. Nordine Khabez évoque la question du stress et explique comment l’évacuer. Pour cela, il faut également faire du sport, d’abord pour son plaisir, ensuite pour se défouler.
Mais que fait la MGEN exactement ? Forte de plusieurs partenariats, elle finance de nombreux projets sportifs, notamment pour les jeunes. Cette mutuelle est solidaire car elle sécurise les données des nombreux adhérents et les protège contre les cyberattaques. La MGEN compte environ 9 000 adhérents. Elle a pour but de s’occuper du maillage territorial, c’est à dire de tous les habitants de la Corrèze mais cette mutuelle doit venir en complément à la Sécurité Sociale.
La MGEN est une mutuelle française et solidaire, quand on paye, on ne paye pas seulement pour soi mais pour les autres aussi d’où leur slogan « On s’engage pour celles et ceux qui s’engagent ».
La MGEN, une mutuelle engagée !
Calan, sixiième
Mar 21
Lucas Pasteau , un rugbyman d’exception
Nous avons rencontré ce matin Lucas Pasteau, sportif paralympique qui nous a expliqué comment il a surmonté ses problèmes et a réussi a continuer à jouer au rugby malgré son handicap.
Lucas Pasteau qui habite à Brive joue souvent au rugby et en 2011 il s’est fait mal en jouant, au niveau des cervicales. Il est devenu tétraplégique, sa blessure au niveau de la moëlle épinière est grave et tout le corps est touché. Alors il pratique le rugby au niveau paralympique. Il fait beaucoup de sport depuis ses 6 ans. Pour lui les sport est une compétition, il fait du sport pour gagner. Il est en troisième division mais les fauteuils coûtent très cher, environ 10000 euros. La plupart du temps les arbitres sont valides, mais les coachs peuvent parfois être en fauteuil roulant. Deux mondes qui cohabitent . Aujourd’hui, il travaille dans l’immobilier en parallèle de son sport.
Un personnage qui nous inspire et nous encourage.
Leria et Marwa
Mar 21
Le STAPS, c’est quoi ?
Mme Ferry est maître de conférence et chercheur. Elle s’occupe de la filière STAPS en Corrèze. Nous l’avons rencontrée pour lui poser quelques questions sur son métier. Elle nous a expliqué comment elle fait pour aider les jeunes, de nos jours, à trouver leur métier ( entraîneurs ou professeurs de sport au collège ).
Le STAPS, qu’est-ce que c’est ? Le STAPS, c’est une formation. Il y a 24 enseignants sur Tulle et 5 sur Brive. Cela veut dire « Sciences et techniques des activités physiques et sportives ». Cette section universitaire sert à la préparation de métiers très divers : des entraîneurs, dans des clubs / professeurs d’EPS, professeurs d’activité physique adaptée pour participer à la réadaptation, en l’adoptant au handicap, au vieillissement. On forme au management autour des activités sportives. Une autre formation moins connue est la filière ergonomie du sport.
Les études: licence éducation et motricité puis master ; à la réussite du concours, on est enseignant.
La formation classique: Licence Master Doctorat pour être enseignant et chercheur. Mais il y a des formations plus courtes ,il y a des DUST, en deux ans.
Article réalisé par ROSE et JULIETTE . Sixièmes
Mar 18
La star du paralympique
A 35 ans, Mandy François-Elie est devenue une star des jeux paralympiques d’athlétisme. Elle est devenue championne du 100, 200 et 400 mètres.
Triple médaillée Mandy François-Elie est une star de l’ équipe de France de parathlétisme . « C’est encore dur pour moi au présent », confie – t-elle sous les travées du stade Charléty à Paris. Victime d’un accident cardio – vasculaire à seulement 18 ans, Mandy François-Elie est passée très proche de la mort, étant plongée pendant trois semaines dans le coma. A son réveil, elle est hémiplégique partiellement paralysée des membres de son coté droit. Mandy François-Elie va gravir les échelons et devenir championne aux jeux paralympiques sur 100m , dans la catégorie T 37 , grâce à son amour du sport. A l’occasion des championnats du monde de parathlétisme à Paris en juillet dernier.
Mar 18
Tisser des liens entre les espèces
Le lundi 15 janvier , nous avons rencontré Mme Gabet, éducatrice environnement au CPIE (centre permanent d`initiative pour l`environnement) de la Corrèze. Elle nous a sensibilisés sur les espèces animales, la nature et les écosystèmes.
Voici quelque questions que nous avons posées :
Calan , « journaliste en herbe » :Est-ce que les catastrophes naturelles comme l’éruption en Islande sont liées au réchauffement climatique ?
Mme Gabet : On a réalisé des activités dans le but de nous apprendre ce qu’est un réseau
alimentaire. Voici l’une d’entre elles, que j’ai illustrée :
LE JEU DE LA FICELLE :
Nous avons aussi joué à un jeu : le jeu de la ficelle! Ce jeu nous a permis d’en connaitre plus sur les chaines alimentaires .
Mme Gabet
Fév 10
Journaliste passeur d’histoires
Le lundi 5 février 2024 nous avons reçu au collège Mr Greghi qui est rédacteur en chef du journal la Vie Corrézienne pour qu’il nous transmette ses connaissances sur le métier de journaliste et nous explique son parcours.
Mr Gréghi nous raconte d’abord son parcours. Il était passionné par ce métier « J‘ai toujours voulu faire du journalisme « . Il a passé un bac G3, fait des études dans le droit et avait la vocation. Il a commencé par travailler au journal « La montagne » puis il est allé travailler au journal « La Vie Corrézienne ». Il a gravi les échelons pour enfin finir rédacteur en chef de la Vie Corrézienne. Penchons nous sur la petite histoire de ce journal. La Vie Corrézienne a été fondée en 1944 à la libération, par des résistants, amis d’Edmond Michelet. Avant l’ancêtre de ce journal était la Croix de la Corrèze, un journal chrétien et démocrate. Aujourd’hui la Vie Corrézienne compte environ 6 000 abonnés dont approximativement 900 personnes à l’étranger et son public s’est élargi. Ensuite, nous lui avons posé quelque questions.
- Comment vérifiez-vous si les information sont vraies ?
- Réponse de monsieur Gréghi: je vais prendre l’exemple d’un projet de déviation de la commune de Varetz. Certains seraient « contre ». On va se déplacer pour voir. On donne la parole à tout le monde. On va croiser les sources pour vérifier. On va éclairer le lecteur : il y a ceux qui pensent ça et ceux qui pensent ça. On le laisse choisir.
- Avec les fake- news, c’est un vrai problème de ne pas se laisser polluer. Maintenant tout le monde peut avoir une âme de journaliste et étaler des « informations » devant tout le monde, avoir 2 100 abonnés sur Facebook. Avec l’IA aussi, on peut faire tout et n’importe quoi. D’où l’importance de garder contact avec une information sérieuse et vérifiée grâce à la presse. Si un journaliste dit des bêtises, il est responsable.
- Êtes-vous parfois stressé ?
- Non, jamais vraiment. Un journal, c’est le mythe de Sisyphe : quand on termine un article, on en recommence un autre, c’est le métier ! Mais ce qui m’énerve le plus, c’est la désinformation. Ou ceux qui jugent le journal sans l’avoir lu. Avant, certains pensaient que c’était très « chrétien ». Les communistes ne le lisaient pas. En fait, nous sommes un journal humaniste. Il y a du respect chez nous, pas d’articles à charge.
- Comment choisissez-vous un sujet ?
- Il y a, à la rédaction, deux secrétaires de rédaction et deux commerciaux, car on vit aussi de la publicité. Et il y a aussi trois journalistes de terrain. Le choix se fait collectivement. S’il le faut, c’est moi qui, finalement, décide. Mais chaque journaliste amène ses idées. Cette semaine, on a décidé de faire un dossier « manger local ».
- Quel est votre lectorat ?
- Ce ne sont pas les plus jeunes qui nous lisent. Ils ne lisent pas la presse locale. Le lectorat va de 35 ans à …On parle de la vie dans les communes. Ceux qui y habitent sont intéressés.
- Merci à vous.
Déc 20