Même s’ils ont (encore!) obtenu de nombreux prix (e-reporters et Mediaticks), nos élèves de l’Espace ÉcritureS restent inestimables…
Lors de la cérémonie des engagés, au collège Cabanis, les membres de l’Espace ÉcritureS se sont vus distingués par le Principal, M. Bartoli, pour la grande qualité de leur travail et de leur engagement : des félicitations amplement méritées, qui font suite à la remise du Prix de la meilleure illustration (journée départementale e-reporters), et du prix du « Blog le plus professionnel » (concours académique Mediaticks).
Pour cette dernière remise de prix, nous nous sommes rendus à Limoges, avec une petite délégation pour représenter tous les élèves du groupe, et cette virée en
automobile a bien été à l’image du travail de toute l’année : de l’engagement, des rires, du sérieux, de la créativité, de la légèreté!
De l’engagement! À l’image de cette élève qui prévient qu’elle est malade en voiture, mais qui a le courage de souffrir les 200 km du trajet, à la condition de choisir sa place. Choix judicieux, puisqu’elle dormait déjà alors que nous avions à peine quitté Brive…
De l’engagement encore, car il leur a fallu jouer des coudes tenir leur place au milieu des hordes d’élèves déferlant de toute l’académie…
Des rires! Si on y regarde d’un peu plus près, on voit bien les visages détendus et complices (et la sieste de notre « malade en voiture » qui n’est pas tout-à-fait finie…)
Du sérieux! L’image parle d’elle-même (si vous regardez cette photo plus attentivement, vous y verrez un détail surprenant, et amusant…) :
Vous n’avez pas trouvé? Allez, on vous aide : elles sont deux, très différentes, et pourtant inséparables… Non, toujours pas? alors regardez mieux, la position des mains dans les cheveux…
De la créativité! pas de photo, cette fois, mais, sur le trajet du retour, nos quatre représentantes, bien réveillées, et pas du tout malades, se sont engagées dans une discussion animée sur les « rats volants », ont contemplé pendant de longues minutes les lignes blanches du bord de route (faute de nuages dans le ciel…) qui défilaient à une allure vertigineuse, se sont inquiétées de sentir la voiture rétrécir, pour finalement s’accorder sur le fait que c’était simplement le toit qui était en train de s’abaisser, en finissant sur une phrase mémorable que l’une d’elles prononça, après avoir été autorisée à ouvrir la vitre arrière (pour échapper au toit…) et avoir mis son nez à la fenêtre quelques secondes : « je comprends enfin ce bonheur immense que ressentent les chiens qui ont la tête à la fenêtre… ».
De la légèreté, on vous le disait : un bien précieux, sans prix…
Vivement l’année prochaine, pour reprendre nos aventures!