Remède miracle!

portrait_chinois
Projet d’écriture

Si j’étais un plat, je serais du Nutella : quand j’avais 4ans et demi, je suis tombée gravement malade; j’ai passé mes 5 ans à l’hôpital… On ne trouvait pas comment  soigner ma maladie, je me suis donc faite hospitaliser à Limoges. Je ne mangeais plus rien, jusqu’à ce que je recommence à manger du Nutella qu’on m’avait apporter en cachette : c’était la voie vers la guérison!

Si j’étais un film, je serais Intouchable, car mon père m’en avait longuement parler. Il me disait qu’il était intéressant, et que, malgré le handicap, il faut toujours garder espoir. Alors je l’ai regardé, pour lui. Et je ne le regrette pas, car, quand je n’ai pas le moral, j’y pense et je me dis que ma vie n’est pas si nulle que ça.

lerugbyrendbeau
© www.zbbrb.fr

Si j’étais un lieu, je serais le stade de rugby de Brive, car j’ai passé de merveilleuses soirées là-bas. Et j’y ai également rencontré mon premier amour… L’ambiance est chaleureuse lors des matchs du top 14. La musique, les encouragements des supporters, la fameuse mascotte zouzou, leur nourriture pas forcément bonne. Mes meilleures soirées se sont passées là-bas.

Si j’étais un loisir, je serais la danse, car, depuis que je sais marcher, c’est ma passion! Cela fait 7ans que j’en fais. Après avoir essayé de nombreux clubs, j’en ai enfin trouvé un qui me va. De la danse classique au moderne jazz, en passant par la danse moderne. La danse est vraiment un besoin essentiel pour moi, j’ai vraiment besoin de danser pour évacuer les choses négatives, me libérer.

Si j’étais une année, je serais l’année 2005 car cela a été la plus douloureuse que j’ai connue, pour l’instant. J’ai vécu le divorce de mes parents, un moment atroce, j’ai longtemps cru que si mes parents avaient divorcé, c’est qu’ils ne m’aimaient plus, et puis j’ai eu cette maladie qui, à n’importe qu’elle moment de ma vie, peut resurgir, mais que j’ai surmontée… L’année 2005 m’a rendue plus forte et combattante.

Si j’étais un roman je serai Lettre à une disparue, de Véronique Massenot C’est une histoire très touchante, on voit, à travers la mère, l’amour et le manque qu’elle éprouve pour sa fille disparue. On y voit également le combat de sa mère pour récupérer sa petite fille et pour que sa petite fille l’aime. Je trouve que le moment le plus touchant de cette histoire, c’est quand la petite fille découvre les lettres que sa grand-mère écrivait à sa fille morte. A son tour, la fille écrit à sa mère…

Charlotte MESTRE (3ème)