D’un pas quotidien vendredi matin vous êtes arrivé.
Odeur du sang maintenant devant l’entrée du lycée.
Malheureux sont les élèves, aujourd’hui choqués
Instantanément vous les avez protégés
Nul ne saura ce que vous avez éprouvé
Il faut maintenant s’unir et s’entraider
Qu’importe les difficultés, il faut continuer à lutter
Unissant courage et héroïsme, vous les avez protégés devant leur lycée
Et cela, personne ne pourra l’oublier
Bien à vous Monsieur Le Professeur,
Éteint en plein vol, ce funeste vendredi à 11 heures
Reposez en paix, les anges s’occuperont de votre douleur
N’oubliez pas que votre geste a touché la France en plein cœur
À ne pas en douter, de votre exemple, nous ne laisserons pas la peur
Rôder autour de nos collèges et lycées.
De ce sacrifice que vous nous laissez, une solidarité est née.
Amaury Alves de Oliveira (4eme)