La tour Eiffel s’élève vers le ciel
Tel cet amour
Éternel, perpétuel
Croissant, dépassant la tour immortelle
Mais, constamment le temps passe
L’amour s’efface, trépasse
Comme la tour de fer qui s’engourdit
Durant l’hiver
Le désir dépérit
Quand l’ardeur s’érode, réduit l’envie
Mais, constamment le temps passe
L’amour s’efface, trépasse
L’amour, comme la tour escamotable
Aussi solide
Soit-elle, est démontable,
Se brise, quand on le croit incassable
Mais, constamment le temps passe
L’amour s’efface, trépasse
Puis vient la tristesse continuelle
Mais la nuit, comme
Jour exceptionnel,
La tour Eiffel s’élève vers le ciel
Mais, constamment le temps passe
L’amour s’efface, trépasse
Léandre Courrege (4ème)