Découvrez la première émission des élèves de l’atelier radio réalisée en collaboration avec Colas Juteau, animateur EMI auprès de l’OCCE.
Notre groupe de reporters retrace les étapes de son travail et traite deux sujets d’actualité, le cyclone qui a dévasté Mayotte puis revient sur les résultats des élections américaines.
Émission réalisée avec la participation de : Lilie, Gabrielle, Noah, Elijah, Soane, Mayeul, Maxence, Jane, Lana, Antoine, Kelian, Clélia et Elina.
« Ce que la danse contemporaine donne à voir, à sentir, à penser et à rêver. Tissu d’écritures chorégraphiques plurielles cousu de fil rouge et or avec la Cie Koubi » : un beau projet orchestré par Mme Trévisiol, professeure de français avec la journée du mardi 03 décembre comme point d’orgue.
Ce projet autour de la danse a pu se concrétiser grâce notamment au financement de la Région Nouvelle Aquitaine, et ce sont 230 élèves (tous niveaux) qui ont pu y participer.
Les élèves du groupe de terminale de HLPI1 (Humanité Littérature Philopsophie) se sont mis en jambe et ont pu partager un moment de danse lors d’un atelier avec Housni Mijen. L’après-midi un spectacle et une conférence dansée ont été présentés aux élèves . De beaux échanges entre danseurs, chorégraphe et les élèves ont terminé cet après-midi dansé.
A noter qu’un atelier hebdomadaire de danse s’est mis en place au lycée le lundi soir avec Marie Arsandaux de cette même compagnie…avis aux amateurs !
C’était jeudi 31/10 et si vous avez manqué cette chronique, vous pouvez la réécouter ici . C’est à partir de 7’22, jusqu’à 15’13.
Les élections américaines c’est ce mardi 05 novembre avec des enjeux décisifs pour les américaines et les américains, mais également sur le plan international.
Merci à Noah, Mayeul et Gabrielle pour leurs recherches et leur partage à ce sujet, merci à Bram FM de les avoir accueillis et d’avoir permis cette diffusion.
A bientôt pour de nouvelles chroniques radio avec l’atelier radio du lycée !
Tu as entre 15 et 18 ans, le Pass Culture c’est chaque année une somme allouée par le ministère de la Culture pour des sorties ou des biens culturels :
15 ans : 20€
16 ans : 20€
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Pour cela, une simple inscription sur le site Pass Culture !
Quelques élèves du comité lecture. Crédit photo CDI Perrier
Carmen, Nynon, Bastien, Clélia, Robin et Théophane partagent leur dernier coup de cœur de lecture.
De la science-fiction, de la dystopie, un témoignage, une immersion au japon, le combat d’une jeune femme yéménite pour son indépendance ou encore un récit de vie poignant.
Nouvelles complètes. Philippe K. Dick. Gallimard
Et ils meurent tous les deux à la fin, Adam Silveira. R-Jeunes adultes
Incandescente pour toujours. Adeline Toniutti. Éditions du Rocher
Les chroniques de l’érable et du cerisier. Camille Monceaux. Gallimard jeunesse
La voiture d’Intisar : Portrait d’une femme moderne au Yémen. Pedro Riera – Casanova Nacho. Delcourt
La classe de seconde 4 s’est illustrée lors de la journée E-Reporter. Près de 200 élèves, de l’école primaire au lycée, ont participé cette année à ce dispositif d’éducation aux médias organisé par le CLEMI, en partenariat avec la DSDEN, Canope 19, l’OCCE 19 et les médias locaux.
Toute la journée, nos journalistes en herbe ont pu interviewer les différents intervenants et rédiger des articles, réaliser des interviews filmées ou podcasts radio autour des deux thèmes de cette année, le sport et la santé mais également traiter l’actualité du jour.
Dans le cadre du dispositif Prix Albert Londresen lycée, les élèves de la classe de 504 ainsi qu’un groupe d’élèves de 1ère HLP ont eu la chance de rencontrer Pierre Stéphane Fort, journaliste d’investigation sélectionné pour le Prix Albert Londres pour son documentaire « Qatar 2022, un scandale français ? »
Retrouvez l’interview qu’Inès et Valentine ont réalisée à l’issue de la rencontre.
Merci à Pierre Stéphane Fort de s’être prêté au jeu.
Ludovic Lecurat,professeur d’EPS et également responsable d’une formation à l’université de Limoges dans la filière STAPS (section tourisme et loisirs sportifs), et Mme Béatrice Ferry directrice STAPS du site de Briveont exposé les nombreux métiers qui sont possibles grâce à cette filière. Ils ont également exposé les principes de la formation des étudiants.
Il y a bien sûr la licence qui est la formation principale qui peut être suivi d’un Master, ce cursus est appelé LMD (Licence Master, Doctorat). Il existe 5 mentions qui orienteront vers des champs professionnels différents :
– Education et Motricité, (pour devenir professeur d’EPS par exemple)
– Entrainement sportif (pour devenir entraîneur dans diverses spécialités)
– APAS : Activité Physique Adaptée et Santé. Cette mention-là prépare essentiellement à devenir professeur APAS qui intervient auprès de public en difficulté dont la santé s’est altérée. L’activité physique proposée est adaptée aux différentes pathologies (accidents ou vieillissement).
– la filière management, pour l’organisation d’événements ou de gestion de structures.
– la filière ergonomie, un peu moins connue. Il s’agit de travailler par exemple sur l’adaptation des postes de travail.
Quelles matières sont enseignées ?
La formation des étudiants se fait donc sur trois années pour la licence. Trois années pendant lesquelles ils ont des apports à la fois pratiques mais aussi théoriques avec des matières générales telles que les sciences humaines, les sciences sociales, la biomécanique ou la physiologie. Ils ont également des cours d’Histoire et enrichissent leurs connaissances sur les jeux olympiques, leur origine, leur évolution et bien sûr leurs valeurs, sans oublier les contraintes économiques et les écueils possibles.
« La pédagogie est très présente et toujours en évolution, pour essayer de changer manière dont on vous transmet les informations, les compétences, les connaissances ».
Sur le questionnement autour de la coopération dans le sport, le point est mis sur la participation de tous. Ce qui peut être difficile en milieu rural où « c’est compliqué d’avoir une activité physique qui soit ouverte à tous. Comment est-ce que tu mobilises des personnes âgées par exemple ? Comment est-ce que tu amènes l’activité chez eux ? Comment tu les amènes à se déplacer quand tu sais qu’ils ont vraiment besoin, mais qu’ils n’ont pas vraiment envie ? ». Un défi à relever !
Qui sont les jeunes qui arrivent en licence STAPS, et comment sont-ils encadrés ? Sont-ils tous motivés par cette filière-là, ont ils envie d’apprendre ?
Au début, le premier mois, les 15 premiers jours, ils sont tous très motivés. Ensuite, certains se démotivent car ils peuvent avoir des difficultés qui sont liées aux études, une adaptation difficile au rythme universitaire, ou d’autres difficultés qui prennent le dessus. Il faut pouvoir garder la motivation, en tous cas « il y a des gens derrière » pour les aider.
Certains découvrent peut-être que cette formation a « des exigences qu’ils n’avaient pas soupçonnées et les difficultés qu’ils rencontrent peuvent être un élément qui fait que cette motivation baisse ».
M Lecurat et Mme Ferry précisent bien qu’il existe un écueil, celui de « de venir en STAPS pour dire je viens à la fac pour faire du sport sauf que ces 6 premiers mois, ils n’ont fait qu’une activité le reste étant des cours théoriques, ce qui plaît moins aux étudiants. »
« Il y des étudiants qui, très clairement, viennent en STAPS et arrêtent en disant non, mais finalement, je me suis trompé et c’est pas ça que je veux faire ».
Ces étudiants en difficulté semblent toujours très écoutés par leurs formateurs, il y a de la discussion pour analyser les problèmes.
On est en année olympique, est-ce que l’important, c’est juste de participer ?
« Il n’y a pas un athlète qui ne veut pas participer. À un moment donné, il va essayer d’aller se surpasser. Alors, se surpasser, et gagner, c’est quoi ? C’est peut-être faire mieux que ce que je faisais avant.J’ai gagné, peut-être contre moi-même si j’ai battu mon record ». Ludovic Lecurat
Notre classe participe cette année au dispositif prix Albert LONDRES. C’est en feuilletant le supplément littéraire du Figaro de ce 21 mars que nous sommes tombées sur un article concernant justement Albert LONDRES, ce qui nous a donc inspiré.
Albert LONDRES, né en 1884 devient journaliste, écrivain, grand reporter et reporter de guerre. Il publie dans sa jeunesse des recueils de poèmes. Ses articles de journaux sont engagés et dérangeants. Par exemple, il a enquêté sur les liens très étroits entre la police française et les trafiquants de drogue chinois, ou encore sur les communautés juives en 1929, période durant laquelle l’antisémitisme était très présent en France. Il s’est même rendu en Guyane au bagne de Cayenne en 1923 où il a décrit l’horreur de ce qu’il a vu, ce qui a provoqué de nombreuses réactions au sein des autorités.
Dans ses articles, il fait preuve de panache, de tenue, de goût pour les jeux de mot et la provocation et d’un talent pour le portrait. Il est mystérieusement mort la nuit du 15 au 16 mai 1932, dans la mer rouge, mort noyé ? ou asphyxié ? La question se pose toujours puisqu’il était en pleine enquête. Une chose est sûre : il reste l’inspiration du prix Albert LONDRES.
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie en mettant dans la balance son crédit, son honneur, sa vie. »
Le prix Albert LONDRES récompense les meilleurs grands reporters francophones dans 3 catégories : la presse écrite, l’audiovisuel, l’édition. Le prix a été créé en 1932 mais a été décerné pour la première fois en 1933.
Son jury se compose du président du concours, Hervé BRUSINI, de différentes personnalités et des lauréats des deux dernières années.
Les gagnants de l’édition 2023 sont, Hélène LAM TRONG (audiovisuel), Nicolas LEGENDER (édition), et enfin Wilson FACHE (presse écrite).
« Aujourd’hui les reporters c’est nous »
Nous sommes directement concernés par le prix Albert LONDRES puisque depuis le début de l’année nous avons travaillé sur les journalistes participants au prix (vous pouvez retrouver nos chroniques radio sur le blog du lycéeici et là).
Dans ce cadre là, mardi 26 mars 2024 nous nous rendrons au Lycée Simone VEIL de Brive afin de rencontrer le journaliste Pierre Stéphane FORT pour qu’il nous parle de la réalisation de son documentaire Qatar 2022 : un scandale français ? pour lequel il a été sélectionné au Prix Albert Londres cette année.