C’est le titre du webmagazine réalisé par les élèves de 2nde 7 dans le cadre de l’enseignement d’exploration Littérature et société. Une fin logique au travail mené sur l’image et les médias tout au long de l’année.
C’est dans les locaux du 400 que ce travail a été possible. Le 400 est installé dans une ancienne usine située à Saint Viance. Les lycéens (et le grand public) y sont accueillis afin de découvrir les métiers des technologies de l’information et de la communication. C’est donc dans un vrai studio d’enregistrement équipé avec du matériel professionnel que les élèves ont pu travailler.
Monsieur Chapot et M Bentata, les animateurs numériques, ont donné de précieux conseils et le défi a été relevé : choisir un format d’émission, délimiter des rubriques, choisir des présentateurs, des chroniqueurs, choisir aussi un logo, une musique, écrire les textes des rubriques, des reportages et FILMER LES REPORTAGES ET AUTRES PUBLICITES ET ENREGISTRER L’EMISSION EN DIRECT LIVE !!!
* Dans le cadre du Prix Passerelles, prix littéraire académique destiné aux élèves de 3eme et de 2nde, les élèves inscrits cette année ont réalisé et enregistré des chroniques sur le mode de chroniques radio afin de présenter les livres de la sélection.
Les élèves de 2nd5 se sont rendus au hameau de Rouffiat, à Davignac mardi 12 mai au Festival Acteurs Juniors * pour participer à des ateliers de pratique artistique.
On pouvait deviner une certaine inquiétude dans leurs regards au tout début de l’après-midi lorsqu’il a fallu séparer la classe en 2 groupes pour participer à l’atelier théâtre et à l’atelier d’écriture…
Céline, de la compagnie creusoise Fée d’hiver, a su mettre les jeunes en confiance. Elle les a invités à jouer en expliquant que « le théâtre c’est du jeu ». Les lycéens ont répondu à toutes les sollicitations avec plaisir. Pas toujours évident de se mettre à nu et de laisser libre cours à des improvisations.
Les 2 heures passées avec Eugène Durif, écrivain et dramaturge, ont été plus studieuses et les propositions faites aux élèves ont nécessité introspection et concentration. « Vous êtes dans la peau d’un bonimenteur, essayez de convaincre le public de venir découvrir ce qui se cache derrière un rideau rouge »… ou encore « vous découvrez une valise dans un grenier et vous sortez un à un les objets qui se trouvent à l’intérieur, vous pouvez les décrire et raconter l’histoire de ces objets… ». Cet atelier d’écriture s’est déroulé au fond du parc, dans une petite chaumière, un endroit propice à la création littéraire.
En soirée les lycéens ont assisté au spectacle « Le dernier ami » (une compagnie) , un spectacle sensible qui les a touchés. Le texte d’Eric Durnez parle d’humanité, d’amitié, du poids du passé aussi. Le narrateur évoque son amitié avec Sam, un taiseux qui porte haut les valeurs humaines malgré une histoire difficile. Malgré la solitude, la colère, la relégation, Sam garde une certaine foi en l’humain «les gens finissent toujours par revenir à de meilleurs sentiments ».
Seul en scène, Thierry Lefèvre a réussi à embarquer le public dans cette belle histoire qui met à l’honneur les valeurs de l’amitié, de la générosité, du pardon et du partage. Le jeune public a fait preuve d’une grande qualité d’écoute.
Nul doute qu’avec les ateliers de l’après-midi, les lycéens ont eu un regard différent sur le spectacle vivant présenté en soirée.
* Acteurs juniors est un festival de théâtre jeune public et tout public organisé par la FAL19 – Ligue de l’enseignement. Edition 2015 du 12 au 28 mai à Davignac.
Les héroïnes de roman, des femmes romanesques ? Une invitation à la (re)lecture proposée par les élèves de Terminale L2 au CDI à partir du jeudi 19 mars.
Ce sont les 13 (!) adjectifs déclinés dans la bande-annonce du film de Claude Chabrol pour désigner Madame Bovary.
À partir de cette héroïne fantasque, passionnante, et surtout définitivement inépuisable (malgré les heures et les heures passées à vouloir l’étudier), les élèves de Terminale L2 sont parti-e-s à la recherche d’autres personnages féminins venus des quatre coins de la littérature.
Ils /elles ont élu une «héroïne» et ont imaginé des lettres ou des fragments de correspondance, des dessins, des boîtes à secrets, des pages de journal intime, en rapport avec l’histoire de cette créature de papier. Mais de papier, est-ce si sûr ?
À vous de venir à la rencontre de ces femmes romanesques, mais sans les froisser…
Marcel Conche philosophe et spécialiste en particulier d’Epicure, est né à Altillac en Corrèze, et a étudié au lycée Edmond Perrier de Tulle.
Lors de la conférence du samedi 28 février à Naves il a été question de son ouvrage Epicure en Corrèze (Edition Stock) que nous avons acheté pour le CDI.
M Conche a très gentiment dédicacé cet ouvrage aux lycéens d’Edmond Perrier… Précieuse dédicace à venir découvrir au CDI à la lecture de l’ouvrage !
« Ils sont 25, tous élèves en classe de terminale au lycée Edmond Perrier de Tulle.
Ils ont choisi de suivre l’option facultative arts plastiques et vont exposer leurs travaux, projets et recherches.
Chacun tente de développer une pratique personnelle et de donner sens au geste artistique.
Autour de sujets tels que «Une collection surprenante», «De nouveaux espaces de dessin», «Hors-échelle», «Hybridation(s)»,
les élèves questionnent l’espace, le dessin, la forme, l’objet, le format, le matériau, le corps, le rôle du spectateur…
Comment donner forme à une idée, comment la présenter au regard du passant! »
Rendez-vous à la Cour des arts et à la Galerie « Le Point G » !
… quelques bonnes raisons de lire, affichées à la BFM de Limoges dans l’expo « Fabulator, en voilà des histoires ». (Cliquer sur les images pour les agrandir).
Ce sont les élèves inscrits au Prix Passerelles qui ont pu apprécier cette expo intéractive autour de la fiction et de la lecture.
Une expo qui propose huit postes clairement identifiés où se côtoient fabrique de textes et usine de textiles. « Textes et textiles ont la même étymologie » précisent les deux commissaires de l’expo. C’est vrai que l’on parle du canevas d’une histoire, d’une histoire cousue de fil blanc. Pas étonnant alors de trouver des machines à coudre… des textes.
L’humour est bien présent au fil de l’expo notamment dans les cartes postales envoyées par des personnages de fiction
Et saviez vous que la littérature sert à panser oui , panser avec un A. Pourquoi pas une pharmacopée livresque ?
Les élèves de terminale de l’option Arts Plastiques ont embarqué pour un drôle de voyage mercredi 04 février dans leur salle de classe. C’est Judith Gueyfier, jeune illustratrice, qui leur a proposé de naviguer parmi ses oeuvres colorées.
Cette rencontre se situait dans le cadre de la future Journée départementales de Droits de l’enfant organisée par L’OCCE (Office Central de Coopération à l’Ecole) et la Librairie Chantepages de Tulle. C’est en effet Judith Gueyfier qui illustrera le village des droits qui sera édifié lors de la JDDE. Elle était donc présente à Tulle pendant une semaine pour prendre contact et préparer son travail.
Avec les élèves, elle a d’abord évoqué son parcours : un bac d’arts appliqués puis un BTS de graphisme à l’école Dupperré à Paris, et enfin des études aux Arts-Déco de Strasbourg pour ensuite se lancer dans l’édition jeunesse.
Les élèves étaient doublement intéressés puisqu’ils sont actuellement dans la perspective du postbac avec l’inscription APB (Admission PostBac).
L’artiste a ensuite ouvert son carton à dessins. On a l’ impression, en découvrant ses planches pleines de couleurs, que Judith Gueyfier a trempé son pinceau directement dans les pigments naturels trouvés lors de ses nombreux voyages. Car ce sont ses périples à l’étranger qui inspirent l’illustratrice, et nourrissent son univers graphique.
Une belle rencontre qui transmet le goût du voyage et qui donnera peut-être aux élèves l’envie de réaliser leurs propres carnets de voyages, et pourquoi pas de se diriger vers une carrière artistique.
Pour découvrir l’univers de Judith Gueyfier, rendez-vous sur son blog.