La danse est considéré comme un sport. On peut trouver plusieurs styles de danse comme : classique, latino, samba, le madison, la zumba… et tant d’autres. La danse est un moyen de s’exprimer et de se divertir pour beaucoup de personnes mais également un moyen de se maintenir en bonne forme et en bonne santé ! La danse permet de se maintenir en pleine forme mais aussi de perdre du poids mais encore donne un regain d’énergie. Danser sert à se défouler et à lutter contre la monotonie de l’existence qui touche beaucoup de personnes.
Nous avons interviewé Ophélie qui veut devenir professeur de sport et qui aime pratiquer la danse. Nous lui avons demandé ce qu’elle pensait de la danse en général.
« Je pense que ça aide à s’exprimer par le corps pour les personnes qui ont du mal à mettre des mots sur ce qu’elles ressentent que ce soit de la colère, de la tristesse, de la joie… »
Elle nous dit aussi que c’est une activité où « tout le monde peut réussir, chacun trouve la danse qui lui convient ».
Mennel Ibtissem est une jeune femme de 22 ans. Repérée sur le plateau de The Voice, pour sa formidable prestation sur le titre Allelujah dans lequel elle a intégré des paroles arabes, elle a créé aussi une première polémique en chantant avec un voile qui a été perçu comme étant inapproprié.
Peu de temps après cette première polémique, deux tweets postés par la jeune fille, deux ans auparavant, ressortent et attirent l’attention pour leur contenu polémique : « C’est bon c’est devenu une routine, un attentat par semaine !! et toujours pour rester fidèle, le « terroriste » prend avec lui ses PAPIERS d’identité. c’est vrai que quand on prépare un sale coup on oublie SURTOUT PAS de prendre ses papiers !!« ainsi que : » les vrais terroristes c’est notre gouvernement « .
source image : Mcetv
Pour répondre aux critiques qu’ont suscitées ses tweets, Mennel affirme, sur RTL ne pas faire partie d’un groupe terroriste, ne pas non plus faire l’apologie du terrorisme et s’excuse publiquement auprès des familles des victimes. Elle dit aussi qu’à l’époque elle n’était pas consciente de l’impact de ses tweets ; pour elle les réseaux sociaux étaient comme son journal « je prenais facebook un peu comme un journal intime, un défouloir« .
L’affaire ayant une pris de l’ampleur, des stars comme Slimane, Julien Doré ou Amir prennent la parole. Slimane prend la défense de Mennel en faisant des photos avec elle, mais surtout en disant sur un plateau de télévision belge : « Ce qui me trouble […], c’est que cette fille est venue chanter la paix avec un voile, une chanson écrite par quelqu’un de Juif, chantée en anglais, puis chantée en arabe. Pour moi, cette fille représentait le vivre-ensemble, en tout cas l’image de cette vie représentait le vivre-ensemble et on a craché dessus. Clairement. C’était aussi cracher sur cette tolérance et ce vivre-ensemble dont on a tous besoin, je crois« . Julien Doré lui reste plutôt neutre : « Il y a un moment où ça devient délicat de poursuivre quelque chose qui est de l’ordre du divertissement quand autant de personnes et de complications tombent sur toi« . Quant à Amir, il condamne les tweets « Personne n’a reproché à Mennel d’être d’origine syrienne. Personne n’a critiqué sa prestation, que j’ai trouvée extraordinaire… mais les gens ont critiqué le fait qu’elle parle contre son pays, ce qui est à mon sens inadmissible ».
Ayant quitté The voice, Mennel ne désespère pas d’intégrer le monde musical et profite de toute cette hype pour faire la promotion de son nouvel album qui est en préparation.
Le match retour des huitièmes de finale de la Ligue des Champions le 6 mars 2018 opposait le Paris Saint-Germain face au Real Madrid. Le PSG ayant déjà perdu au match aller 3-1, se fait éliminer 2-1 sur son propre terrain, le Parc des princes. Le PSG version Quatar n’entend pas changer de ligne après avoir déboursé 417 millions d’euros, l’été dernier (2017), pour recruter notamment le brésilien Neymar (222 millions d’euros), joueur le plus prestigieux du monde et le jeune joueur français de 19 ans Kylian Mbappé (180 millions d’euros).
Paris a été incapable de renverser la situation, ils ne verront une nouvelle fois pas les quarts de finale comme la saison passée. L’équipe avait de grands espoirs de battre l’équipe madrilène mais la chance n’était pas de leur côté. Très vite, les parisiens ont donné l’impression d’une équipe tiraillée entre l’envie d’emballer ce match et la crainte d’être punie en retour. Finalement, le Paris Saint-Germain a été éliminé définitivement de la Ligue des Champions et espère une revanche l’année prochaine.
A Pyeongchang en Corée du Sud, les JO 2018 commenceront le 9 février 2018.
93 pays participeront à cet événement mondial et 2952 athlètes courront pour la médaille d’or (hommes et femmes) , 7 sports dont 15 disciplines et 102 épreuves composeront ce concours . 4 nouvelles disciplines seront introduites à PyeongChang:
L’épreuve de Big Air en snowboard: figure en snowboard
A l’occasion de la 36eme édition de la Foire du Livre de Brive du 10 au 12 novembre, notre équipe s’est rendue sur place vendredi afin de prendre un bain de foule entre livres, auteurs et maisons d’édition mais ce fut aussi l’occasion pour nous d’étendre notre culture littéraire. Pari réussi pour Brive cette année avec pas moins de 300 auteurs qui étaient au rendez – vous de Cyril Lignac, Amélie Nothomb, Bernard Cazeneuve en passant par Stéphane Le Foll, etc… Et une forte progression des ventes comme des entrées.
Deux Interviews express
Nous avons rencontré Nicolas Michel, journaliste et auteur français pour lui poser quelques questions au sujet de son dernier livre Quand le monstre naîtra paru aux Editions Talents Hauts.
Littérature & Société -Votre dernier livre, »Quand le monstre naîtra » est paru il y a peu. Vous y parlez de la guerre vue par une petite fille juive, de ce qu’elle ressent face au conflit,… Pourquoi ce sujet ? Et pourquoi utiliser cette petite fille ?
Nicolas Michel -J’ai eu l’idée lors du décès de mon grand père, il était résistant et me parlait parfois de la guerre alors j’ai voulu continuer à transmettre ce souvenir aux enfants des générations futures.
Je me suis demandé comment leur faire passer ce souvenir alors là, la fiction était la meilleure solution. Raconter l’histoire à travers une enfant apporte de la légèreté. Je trouve que l’enfance
amène beaucoup de fraîcheur donc c’était parfait pour que d’autres enfants puissent lire ce livre et le comprendre.
L&S – Vous dites que votre grand père était résistant, est ce que ce livre est une autobiographie ou le récit d’une des histoires qu’il vous a raconté ?
NM -Non mais oui ( rires) c’est inspiré de sa vie et de ce qu’il me racontait mais ce n’est pas un récit direct ou de quelqu’un de proche qu’il aurait connu à ce moment là. Comme on écrit par rapport à ce qu’on connaît il y a une part de vérité dans ce livre, une part de lui. C’est aussi un peu un moyen de lui rendre hommage.
L&S – Avant d’être un auteur vous êtes tout d’abord journaliste. Pourquoi avez-vous voulu écrire un livre ?
J’ai toujours évolué dans un environnement où il y avait beaucoup d’histoires : mon père était prof de français, il nous parlait beaucoup de littérature, de toutes sortes d’histoire. Ma mère était infirmière à domicile donc elle nous racontait souvent ce qu’elle voyait . Je crois que j’ai commencé à vouloir écrire quand j’étais jeune, à peu près vers le collège .
Laurent David est un auteur de BD. Il a publié aux Ardents Editeurs deux bandes dessinées autour du cyclisme : « Un Espoir en Jaune » et « Dossard de Légende ».
L&S – Quelles sont vos sources d’inspiration ? Laurent David – Je fais du vélo depuis longtemps et, à vrai dire , j’ai toujours aimé dessiner, que ce soit des paysages , des cyclistes , des vélos … Raconter des histoires aussi donc c’est un peu une
synthèse de tout cela .
L&S – Qu’est ce qui vous a donné envie de traiter ce sujet précisément ? Laurent David – En étant cycliste , on a toujours envie de voir plus de livres sur ce sujet mais il est très rare d’en trouver qui soient véritablement réalistes . Ils sont plutôt écrits sous forme de romans , avec beaucoup de bio et auto-biographies d’athlètes mais pas de BD. Je pense que ce qui m’a poussé c’est aussi le fait qu’il y ait très peu de genres différents, d’ouvrages sur le cyclisme . L’idée m’est venue comme ça : pourquoi pas moi ?
L&S -Pourquoi choisir une BD plus qu’un roman , un journal … ? Laurent David – Parce que le côté artistique et libre du dessin est un bon moyen de retranscription. Qui plus est, le vélo c’est très visuel donc ça me paraissait assez évident .
L&S -Pourquoi plus le style BD que manga par exemple ? Laurent David – Je ne suis pas fan du manga . Il y avait déjà quelques BD sur le cyclisme qui m’avaient inspiré comme « Les Vélomaniaques » mais très axées sur l’humour . Moi , ce que je voulais faire c’était quelque chose de plus fidèle et de plus sérieux donc je me suis focalisé sur le réalisme. J’ai été légèrement influencé par Francq (ndlr : Philippe Francq dessinateur des BD « Largo Winch » représentant Jean Van Hamme) donc on retrouve un peu de son style à lui aussi.